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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Détermination de la valeur énergétique des aliments

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

DF~Efu~INA'l'ION DE LA VALEUR ENE!.lGE'rIQUE DES ALIMIThi<'rS

:'1, NU'rTIN E. GOSSELI"N P. HAUTIER

Labcratoicc de pédagogje des Sci,~Ilces

(2)

1. Cadre de l'expérimentation

Cette séquence d'apprentissage s'adresse à des élèves de 3ème et 4ème rénové (14-15 ans) de l'enseignement secondaire général, ayant choisi une option scientifique.

Elle nécessite au minimum cinq périodes de 50 minutes et fut ettectuée dans cinq classes dans le cadre de stages d'agrégation du Laboratoire de Pêdaogogie des Sciences de l'DeL Louvain-la-Neuve.

Il. Objectifs poursuivis

Q~i~~!ii_g~~~E~!

A l'issue de cette unité de cours, l'élève sera capable de comprendre et d'appliquer la notion d'énergie calorifique dans la vie de tous les jours et disposera d'un outil lui permettant d'équilibrer son alimentation.

Q~i~~!ii~_~E~E~!i2~~~!~_~~_~~~~E~!~

Dans le cadre d'un cours sur l'alimentation, et après un interview et deux séances de laboratoire, l'élève sera capable de

a) au point de vue démarche scientifique expérimentale 1. Elaborer une hypothèse

2. Construire un protocole expérimental propre à vérifier le bien-fondé de l'hypothèse

3. Réaliser le montage et l'expérience 4. Recueillir les résultats

5. Confirmer, infirmer ou amender l'hypothèse de départ. b) au point de vue du contenu

Calculer la quantité journalière des trois nutriments nécessaires à un adulte connaissant ses besoins caloriques et la ration idéale des composants nutritifs de son menu.

(3)

Ill. Démarche proposée Interview

---Au cours d'une discussion entre le stagiaire (ou le professeur) et quelques élèves, celui-ci cherche à mettre en évidence les connaissances et à faire préciser les représentations des élèves sur le sujet ~tudié. Ace niveau, lléducateur se contente d'animer les débats, sans introduire de nouvelles informations et sans corriger les éventuelles erreurs. (voir annexe 1 : Exemple d'interview).

B. ~~1Z~~_3~~_i~~~E~~~i2~~_E~EEi~~~_~~E_l~~_~~~~!l~g~~_~!i~~3E~iE~~

La lecture des étiquettes renseigne l'élève sur la composition chimi-que des produits, sur les proportions de chacun d'eux et sur la valeur ~utritive globale ou partielle (voir annexe 2).

L1analyse critique des informations relevées met en évidence certaines omissions (telles que le pourcentage hydriqu~, par exemple)) la présence d'agents conservateurs ou colorants, et amène l'étudiant à s'interroger sur les techniques de détermination des valeurs énergétiques.

c.

~~~~~!~~i~~_~~~~_EE~~~~~l~_~~E~Ei~~3!~1

Au laburatoire, les élèves mettent au point leur propre protocole ~~périmental, qui leur permettra de vérifier les valeurs énergétiques relevées 3ur les étiquettes. Ce mode opératoire élaboré avec l'assistance

des stagiaires fait appel à un matériel minimum (voir annexe 3).

Sur base du protocole proposé, les élèves réalisenc concrètement le montage, effect~ent les diverses réactions de combust:on, enregistrént les résultats pour quelques aliments conditionnés et ?our les trois subs-tances organiques de r0férence (huile, sucre et insectes séchés). Des exemples de résultats et calculs sont repris dans l'annexe

-E. ~~~lz~~_~~~_!~~~l~~~~

~Ju les techniques élémentaires utilisées (l'usage cilu.n c31'Jr~rr:ètre.

étant inconnu par les élèves de ce niveau), les valeurs expérimentales sont

se.nsiblement inférieures aux valeurs théoriques relevées sur l'emballage. Les causes d'imprécisions sont essentiellement dues à l'appareillage r~di~entaire~ ~ la mani~re de procéder et Jventuellement aux erreurs de 12ct~:re ','olume d'ea.u, température).

Jans J.E ~as présent, la tEchnique opératoire étant identique pour les différents produits, l'erreur relative peut être considéree comme constante dJns les diverses expériences. I~ conviendra dès ~ors d'attacher davantage ci'importance à la comparaison des l}aleurs entre elles, plutôt qu'à leur \raleur absolue.

Les élèves ont ainsi pu constater notamment que les huiles (et les autres aliments riches en lipides, tels qu'3rachides et noix) SlJnt ~eaucoup

plus énergétiques que les sucres, ce qui ~tait contraire à leur représenta-tion initiale, précisée 3 l'interview.

(4)

A l'encontre d'idées préconçues, ils ont aussi pu constater de visu la combustion aisée d~ produits tels que biscuits, arachides et autres.

F. ~~~E~_~b~~Eig~~

Ensuite, il convient d'apporter aux élèves le complément d'informations, afin de préciser leurs représentations, de corriger les éventuelles

erreurs notées lors de l'interview ou au cours de l'élaboration du proto-cole expérimental, ceci en relation étroite avec l'expérimentation.

A cette occasion, le professeur cherchera à sensibiliser ses élèves aux problèmes liés à l'usage des additifs alimentaires, à la toxicité éventuelle de certains d'entre eux et enfin à l'équilibration de leur ration alimentaire journalière.

IV. Apports de cette recherche dans la rénovation de l'enseignement du concept de "l a valeur énergétique des aliments"

La nouveauté tient essentiellement en deux points : a) l'approche nouvelle du sujet b) la formation des maîtres.

A. ~EE~2~~~_~2~~~!!~_~~_~~i~~

1. Habituellement, l'étude des aliments et de leur valeur énergétique pour l'être humain s'effectue dans un premier temps par l'identifi-cation des nutriments grâce aux réactions xanthoprotéique, de Biurec, etc.

Ces réactions~ et les mécanismes chimiques qu'elles ~ettenten ~ause, sont inaccessibles au niveau des élèves~ et inutilisables dans la vie quotidienne.

2. En plaçant l'élève dans un contexte qui lui est familier, on favorise une démarche personnelle et on facilite l'élaboration d'un protocole et sa réalisation.

3. Le fait d'avoir élaboré ce protocole permet aux élèves d'accéder alors plus facilement aux concepts fondamentaux (glucides, lipides, protides). 4. L'élaboration et l'application de la démarche expérimencale à l'aide

de matériel simple démystifie l'aspect sensationnel dèS montages complexes et amène l'élève à se poser des questions sur la finalité de ses études en sciences.

B. Formation des maîtres

---1. L' interview

a) En plaçant un stagiaire en dialogue attentif avec quelques élèves, ce dernier pourra se rendre compte du niveau des connaissances et des diverses représentations des élèves sur le sujet qui va être abordé. Une véritable communication s'établit alors entre maître et élève.

b) Le stagiaire prend conscience de son rôle de catalyseur, de stimu-lant et non de dispensateur de savoir.

c) L'élève doit s'exprimer, chercher à préciser les représentations qu'il se fait d'un sujet qui le concerne, souvent même à son insu.

(5)

La séquence 1) En participant

Sa.gf~~ le stagia latlon continue de ses

l'é labor:lt

re se pose

lèves, al..: f

on de toute une s~quence

J'apprentis-e problèmJ'apprentis-e dJ'apprentis-e la guidancJ'apprentis-e ~t de

L'éva-l des di\;erses Ttdécouver-ces" de

b) L'~lève, quant à lui, apprend à dominer un sujet et à re~roJu~[e

experimentalement simplement des phénomènes naturels pour e~

!.is1.r ...2 port~e.

liCe qUé j'entends, je l'oublie Ce que je vis, je me Le rappelle Ce que je Îais, je le comprend!!

Conru(~ius.

J. Le maître de stage bénéficie d'une collaboration précieuse en renou-vellant sans cesse sa manière de :aire, découvre lui aussi de nouvelles techniques et travaille dans des condicions idéales (participation active des élèves au sein de petits groupes animés par un stagiai~e).

(6)

Annexe l a .

S.: Est-ce que tu veux la lire pour tout le monde D.: ... faiblement exothermique.

s.:

Savez-vous ce que signifie exothermique E.: Qui dégage de la chaleur.

S.: Donc, en d'autre mots, que devez-vous faire?

E.: Mettre en évidence l'énergie contenue dans les aliments.

s.:

Quelqu'un a-t'il une idée de la façon dont on pourrait procéder

On pourrait peut-être partir de la définition de la calorie. E.: La calorie est l'énergie qui permet à un gramme d'eau dtaugmenter sa

température d'un degré.

s.:

On pourrait peut-être essayer de faire libérer les calories contenues dans l'aliment pour faire chauffer de l'eau.

Comment pourrait-on procéder?

E.: Si on met le biscuit dnas l'eau, cela ne pas quand ~ême pas commencer à chauffer !

S.: Non bien sûr. Mais pensez à la manière àe se chauffer. Vous êtes d'accord que pour se chauffer, on extrait de l'énergie d'une substance. Comment fait-on?

E.: On brûle quelque chose. S.: Alors, que va-t-on faire ? E.: On va brûler les aliments. S.: Oui, pour faire libérer l'énergie.

Maintenant cormnent passer du stade IIbrûler les aliments" au stade lIfaire chauffer l'eau" ?

E.: Ben, c'est assez difficile

S.: Essayez de penser à la pratique de tous les jours. E.:

S.: Pensez à ce que vous faites lorsque vous réchauffez votre repas. E.: On le fait chauffer sur une cuisinière.

S. : De quoi avez-vous besoin E. : Du feu et d'une poële. S. : Et de quoi encore ? E.: De nourriture.

(7)

s.:

Vous avez les trois éléments. Mais que va être le feu La chaleur.

S.: Qui va libérer la chaleur E.: L'aliment.

S.: Que va être la poële E.: La poële.

S.: Oui, mais tu ne va pas employer une poële dans un labo. E.: On va utiliser un berlin.

S.: Et que va être l'aliment? E.: L'eau.

S.: Et bien vous avez trouvé votre montage.

E.: Et comment faitre chauffer l'eau? On ne va quand même pas mettre un

petit biscuit en dessous S.: Mais si, il suffit de le brûler.

E.: C'est la flamme qui va chauffer l'eau alors?

S.: C'est ça. La chaleur dégagée par le biscuit va faire chauffer l'eau. Mais comment va-t-on enflammer le biscuit.

E.: Avec un bec Bunsen.

E.: Mais alors c1est lui qui va faire chauffer l'eau.

S.: Non, il suffira d'éloigner le bec lorsque l'aliment aura pris feu.

E.: Mais un biscuit, est-ce que cela brûle?

S.: Vous allez essayer. Il y aura peut-être des aliments qui ne brûleront

pas.

Maintenant il faut mesurer.

E.: On va prendre un thermomètre.

E.: On doit prendre une quantité d'eau bien précise.

S.: Oui, et votre aliment ne brûlera peut-être pas tout à fait. Que

va-t-on faire pour que ce soit malgré tout quantitatif?

E.: On va peser l'aliment avant et après.

(8)

E. :

S.: Quelqu'un a-t1il une idée de la quantité d'eau qu'il faut mettre? E.: 10 cl.

I l ne faut pas en mettre trop. S.: Combien cela fait-il de ml ?

E.: 100 ml.

S.: Oui, et que fait 1 g. d'au comme volume?

E.: 1 cl.

S.: Non, 1 ml pèse 1 g d'eau.

E.: I l e 'est 1 kg ou dm' .

S.: Donc 1 ml c'est 1000 fois moins donc cela pèse

E.: 1 g.

S.: Et cela fait combien en volume

E.: 1 milli dm'.

S.: Mais c'est quoi un llmil1i dm3t!

E.: Un rmn3

S.: Tu est sûr que tu auras un coefficient de 1000 !

E.: Alors c'est 1 cm).

S.: Oui, c'est cela parce que le dm3 est une unité de volume et un volume

c'est une surface multipliée par une hauteur. Donc une surface, c'est ... E.: Mais on n'a pas besoin de savoir cela!

S.: Oui, mais tu sais, si tu te limites toujours à ce que tu as besoin de

savoir, tu te limites très fort !

E.: Cela ne servira à rien : on mettra un certain nombre de ml et cela correspondra à un certain nombre de g.

S.: Oui, mais si tu entends parler de cm) ou de dm), tu dois savoir ce que cela signifie, tu dois savoir qu'il y a un coefficient de 1000 entre le dm:.! et le cm).

Pourquoi? Parce que 1 dm3 = 1 unité de volume

=

i dm x 1 dm x 1 dm.

Donc, si tu passes au du dm au cm, tu as un coefficient 10 de différence. Donc, si tu passes du dm) au cm], tu as un coefficient de iOOa.

Comme du littre au ml, on a une différence de 1000 et que 1 l

=

1 dm), c'est que lml = 1 cm).

(9)

Oui.

Donc, on ne peut pas mettre trop d'eau.

r 0 Pa.rce que, sinon, on n'a pas tellement de variation de. c". Il faut el. mettre le moins possible mais suffisannnent.

S.: Oui. et pourquoi ne peut-on pas mettre que 2 ou ml

Parce que cela s'évapore.

Cela s'évapore, mais que va-t'il se passer à 1000

';

',~e~a augmente de volume mais cela nIa pas tellement d'import~_nce.

.. 'Jui, cela augmente de volume du fait de 1;agitation thermique mais a

1000

que se passe-t-il ? E.; L'eau baut.

s.;

~t que devient la température E.: Elle est constante.

So; Dorrc\ on ne peut plus observer de variation. Donc~ on d vu : - comment mesurer l'énergie,

- quel matériel utiliser,

qu'il faut peser va~t et après avoir bral~ l'ali~ent. Donc, votre labo est pratiquement prêt

Vous avez le mode opératoire, le matériel, le schéma expérirnent21. Il n'y a plus qu'à faire l'expérimentationv

E.: ?our libérer l'énergie, il faut fournir une autre énergie. P.: Il faut bien allumer l'aliment, cela est sûr.

Pour faire flamber le mazout ou le gaz, il faut aussi une étincelle. E.: Je ne suis pas convaincue qu'un biscuit va faire chauffer de lleau. P •+

S. :

L. :

S. :

S.: ~ais tu vas essayer!

T~ ne trouves pas cela génial comme moyen de déterminer qu'un aliment contient de l'énergie?

Regarde, on dit que 100 g contiennet 540 kcal. Donc, si tu parviens à faire brûler 100 g

Oui, mais cela c'est pour une énergie qui est transformée à l'intérieur du corps !

Mais il y a différents moyens d2 transformer cette énergie.

P.: Dans le corps, on ne brûle pas, on ne fait pas flamber. Nous, on ne sait pas réaliser une digestion en éprouvette. On pourrait peut-être essayer, mais la difficulté résiderait dans la mesure.

(10)

Donc, il faut bien trouver un moyen simple, visuel, qui permet de ~esurer effectivement une quantité d'énergie. De toute façon, vous verrez qu'il y a de grosses erreurs. En principe, cela doit se faire dans un calorimètre, un appareil tout à fait fermé. Quand on chauffe, l'air est chauffé, on perd de la chaleur.

Vous aurez des chiffres expérimentaux qu'il faudra comparer avec les chiffres théoriques.

Vous n'êtes pas convaincus? E.: Si.

P.: Tu n'as pas l'impression que cela va marcher, et bien tu vas essayer.

REPRESENTATION "TYPE"

- Question posée par l'Es (enseignant)

"y a-t-il plus de calories dans 1 g de sucre que dans 1 g cl'huile ?"

- Observation faire par les El (élèves) :

Quand on a un "coup de pompe", on mange du sucre pour récupérer. - Hypothèse élaborée par les El :

(11)

Pourr:2Z-VOUS imaginer un autre proc~c~ qui vous

per~ettrait de mesurer correctemerlt la températJre

de la flamme compte tenu de la définition de la

c a l ü Tle.

Chalj~fer de l:eau par la flamme de l'hulle.

Es - Lridée est excellente mais quelle est la ~uantité

d'eau nécessaire?

- SI - l g d'eau.

~s - Cr'oyez-vous que cette qilanti:é d'eau soit suffisan~E

que pour y trempe~ û~ thermomètre?

- El - Nc-r;.

- Ss - C:'~2 pc:JveZ-VOL-lS en dé',:uire?

-,21 - Il f'2'-lt plus d'eau (soit p~ex~ }[iO 6).

- ~,~ - A qu~J_ ~üment ~e3urer~z-vous la temp~r3ture de l'eau

·J0 pre;:drai la teIJrér3t~Jre de l feau tcutes lé";: JO

secondes de ma~i~re ~ /'Olr le gradie~t de

teŒp~ra-ture?

~s - Pourquoi to~tes les 3D secondes?

- El - ?our p0uvoir ~tablir un graphique de la

tempera-ture en fonction du tei0Ds.

- Es - Pourqlloi un graphique serait-il n~cessaire,

l

El - Four pouvoir calculer le nombre de calories. - Es - Croyez-vous!

Reprenons ensemble la aéfinition de la calorie

l calorie augmente de lor l g d'eau.

Si ma différence de te~pérature est de lO·C pour l g

d'eau, combien de calories seront nécessaires.

- El - 10 calories.

- Es - Alors, quand allez-vous mesurer la température de

l 'ea u ?

- El - Au début et

à

la fin.

- Es - A la fin. Que voulez-vous dire? - El - Ouand la flamme sera éteinte.

- Es - Cette expérience vous allez la faire pour l'~uile

mais qu'en est-il pour le sucre? - El - Le sucre ne brûle pas,

(12)

Annexe l I a .

arachides

grillées· salées

emball-ges sous vide

ingrédients . - arachides, huile d'arachide, sel (1,5%) Ingredienten

- plnda"s. arachideolie. zout (1.5%) 100gbevatten - contiennent proteinen 27 9protéin~s

koolhydralell 13 9 hydrates de carbone

"'o<:'~tùften 55 9 matières grasses

Importé

200 9

Produit Bianc ..

IngevOf

~"""/F~pour'Q8""nno-fIIotN'-tl.l11/""'N ... -8 .. l000e..-HA"'21i:l..'

IngrédIents ·Ingredllnten

farine de froment, mélange de matières grasses végétales et animales, sucre, sel, aromes, lactosérum en poudre', poudreàlever (bicarbonate de sodium) tarwebloem. mengsel van plantaardige en dienijke vetstoflen, suiker, zOU!, aroma's, weipoeder, rijsmiddel (natriumbicarbonaat)

àconsommer de préférence avant fin: ten minste houdbaar tot einde:

100 9bev.tten ..contlennent

proteinen 6 9 protéines koolhydraten 62 9 hydrates decarbone

vetstoffen 30 9 matières grasses 2250 k.I (540I«:al).

VlI.bls

'mg

115mg

""""

"mg

Ingredienten: BJoem, suiker. plant-aardige 'o'etten. melkpoeder. eieren,

gJ~cose,moutextraet. SOj8mee/. rHs. mlddel: natriumbicarbonaat pyrolOs-laat, zout, ...anilline, ...Itamines. iiZerdtr881

Jngrédients: Farine,sucre.graIsses 'o'égétales. lai! enpoudre.œufs. sirop deglucose, extraitde malt, tari ne de soya, poudreàlever: blcartl.de SOude pyrophosphate, sel. vanilline...itaml-nes, citrate de fer

Uoules 1,758

kC&l 420

1 Vllabrs 16'\I8l'l0IlQ_57kc:aJ 1 V'labtstourmlenv, 57 kcaJ

AnalyseerlvoedingswaalÙll (par100gr' Analyseetvaleur nutritiV!!(par100 gr.) GJuciden .GIVCIdes 75% Protiden - ProtIdeS 9% lipiden - lipides 8,5% Vocht - Humidilé 5% VitamInes 81 lmg B2 "ng B3 2.5mg 86 O.Smg p,p 7.Smg Mineralen - Minéraux F, C. P Mg Ophe!prtlliJk1aisOUsdafllQ

(13)

GAGnO.

2 cuilleréesàcafé bien remplies (±10g)Darv >rre de lait froid ou chaud,

pour sucrer yaourt, cürnflakes

2voHe ko!fielepeisI± 10g) per glas koude of wanne me!k.. voor het zoeten van joghurt, comflakes

ingrédients:

sucre(~/o),cacao 10rtement dégraissé en poudre(20'J'0),

dextrose(20%), émulsillant E 322, sel(0,2%), éthylvanilline ingredli!nlen

sUlker(58%),sterk onlvel cacaopoeder(20%), dextrose(20'1'0;

emulgalorE 322, zoul (0,2%), ethylvanilfine

100 9 bevatten -contiennent

proteinen3,8 9 protéinen

koolhydraten 86 9 hydrates de carbone vetstoffen22 9 matières grasses

1640kJ(392 kcaJ). P~e.rl(N(5.%) Vnan'lIns: Noaon VitarNn BI FbboIlaVln(Eh} Thla"TlIn(B'J VitarrnnD:, Iron ANALYSE P4R 100 9

glucides ass CH 54,9 ....erteerbaarCH

protides 6,7 eiwit

rjpides 28.5 vet

vitamines groupe 8 0,32 mg vitaminen groep B vitaminespp 0,85 mg vitaminen pp

humidité 2 vochtgehalte

Keal 503 Keal

KJ 2105 KJ

Cet étui contient trois repas de 4 biscuits. Un repas =260 Keal ou 1088 Kjoule.

Ces biscuits vous permettent de contrOler aisément le taux de calo-ries de vos repas.

Deze verpakking bevat drie maaltijden van 4 koekjes. Een maaltijd ~260 Kcal of 1088KJ.

(14)

Annexe II c.

1M'upJW

CORN

FLAKES~

Ingrédients:

maïs, sucre, sel, malt, niacine, fer, riboflavine (B2), thiamine (B,

l.

i

VotreKELLOGG'S

petit

déjeuner

CORN FLAKES!

1

Un boldeKEllOGG'S

CORN FLAKES (30g)arrosé

delait (10c!) VOU8 apporte les eléments nutritifs caractéristiques suivants:

30g tOcl

KELLOGG'S laIt Total

COANFLAlŒS entIer EnergIe ,Q4kca1 54kcall68kcaJ

Hydralesde 25,Og 4,7g 29,79 carbone PrOteines 2,49 3.3g 5,79 Mallères grasses 0,1 9 3,6g 3. 0 Vitamines - nlaClne 4.80mg 0.08mg 488mg - riboflavine182 ) O.45mg 0.19mg Q.54mg .~

-lhlamlne(8,) O.30rng O.04mg 0.34mg

Fe, 2,OQrng O,OSmg 2.05mg 309decéréalesKELLOGG'S CORN FLAKES servis avec' Ocldelait, apportentàun adulte au moins1/4desVitamInes qu'ildortabsorner quotidiennement, 1/3decelles recommandées pour un enfant 811/6 du 1er dont l'un el l'autre

1

ont besoin.

Composition caraclértstlque par 100g

Energie 1455k.J 34BkcaJ Hydrates de carbone 83,5g Protéines 8,Og Matières grasses 0,3g / S.C. FROMAGERIE-BRASSERIE DE MAREDSOUS B. 5642 DENEE

MOliere grosse 9% Vetgeholle· Protéines 18% Protell"oen HydlatedeCaIbOne 8% Koolhydroten - 100g=190k col

FROMAGE FONDU MAIGRE

MAGERE SMEERKAAS

VOIRDQS ZIE BODEM

ACONSOMME~

DE ;>REFERENCE AVANT LE TENMINSTE HQUDBAAQ TOT

1

5401 5012 lNGI?E DIENTS FROMAGE - SERUM DE LAIT CONCENmE .E-IYtJLSlF1ANTSEJJ9 450· SEl-EPICES ";~,,..._..._ _..'NG,;;,,".o;E~M'EN1E~ëS'GEco.Trmr?DEWEI. *&&=~:~:~~i~~:-Y'?z'.

:.

~:,

.

(15)

f!cE'XC I ll a .

DETE~'lINATIONDE LA VALEUR ENERGETIQUE DES ALIill:NTS.

-

~es ali~e~~s De11~'C-- li~&r'c~

l'énercie ouTils

cç~~ie~~Y~nt

de ii[~~rel'~es ~a~i~~es

- SJi~ ~ru~a~e~en~ C~= u~e r~ac:2o-­

~:>:-:-i1e:,;:;io:le•

~c~s avez

â

vo~re disDosition dlifè~e~ts ali~en~s

s~:sceptijles de libér~~ de llé~e~cie.

='éteI'~ine= le ~IGde o"8ére.toire

--- ~72~l~ssez un ~a~~eau cODDaratif eXDri=a __~ Do~r

c~aque alime~t la valeur ~ner~êtique e~ :qu~e/;

ai~si Que tou7es les don~ées exyéribe~tale8.

- ~é~inissez le Joule et la calorie.

(16)

,

, 1

Annexe III b.

• ~I\ALL.OIVOu

(17)

Annexe IVa.: Résultats expérimentaux

1. Combus_~0~ d'huile d'arachide.

VolUlTie d1eau 50 ml 200 ml 50 ml 100 ml 100 ml 100 ml

~las st:? d'huile g g g 19 g g Temp. Initial" 18° 170 19° 19° 210 20° Temp. Finale 67° 210 94° 47° 500 5l,5° Diff. de tempér. 49° 40 750 28° 29° J 1,5 ° Valeur énergétique 10,2 J,J 15,6 11 ,7 1 1 , 9 12,9 KJ

/

g ) 2. Combustion de sucre.

Rem.Le sucre fond plus qu'il ne brûle, néanmoins, certains groupes ont

mélangé la quantité de su~re à un peu de cendres de cigarettes, agis~ant

comme catalyseur de réaction.

Volumed'eau 50 ml 50 ml 50 ml 100 ml 100 ml 100 ml

Nasse de sucre

la

g 20 g 15 g g g g

Temp. Initiale

19°

19~

19°

20°

19°

19°

Temp. Finale

42°

520

42 °

26°

)1°

27°

Diff. de tempér.

2)°

)Jo 2Jo 60

12°

Valeur énergétique 0,47 0,J4 O,Jl 2,4 4,9 J,J

( KJ

/

g )

Rem.= Des insectes séchés, et en llocc~rencedes cadavres de mouches, ont

été choisis comme modèle de référence pour ce type de composé. Volume d'eau ~Jasse d'insectes Différence de Temp. Valeur énergétique ( l\J/g) 50 ml 1 g 18° J,7 50 ml 0,5 g

2,9 100ml 1 g

5,5

0 2,J 100 ml 19 6.5° 2,6

(18)

Annexe IV b. masse

la

ml 1,84 g

4)°

0,97 0,9

J

1

,5

°

1,44

10 ml

J,5

g

J8°

b,77

0,69 g

JJ

o 1,99 1,19 g JOo 1,58

renspignée est la différence entre la

après la combustion) 15 ml 10 ml 15 ml ~lasse lJifÏ. de tempo Valeur énerg. ( kJ / g ) a) Biscottes ( la masse avant et Volume d'eau b) Biscuits sablés Volume d'eau Hasse Diff. de tempo Valeur énerg. (kJ / g ) 15 ml l,2J g

J6°

1,79 15 ml 1,18 g 5 0° 2,60 10 ml 1,45 g 49° 1,41 10 ml 1,56 g 48° 1,25 15 ml 10" 1,70 g 0,8:: 29° 40° 1 ,05 1 ,9<= c1 Biscuit betterfood Volume d'eau tlasse Diff. de Temp. Valeur energ. ( KJ:I',') 15 ml 0,75 g 1J~5 1,10 10 ml 0,5~ g

18°

1,29 10 ml 0,79 g 1,1J d) Cacahuètes Volume d'eau Masse Diff. Temp. Valeur énerg.

(KJfg)

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