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ARTheque - STEF - ENS Cachan | L'ombre d'un doute : l'incertitude comme moteur d'une oeuvre et de sa réception

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Academic year: 2021

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A. GIORDAN, J.-L. MARTINAND et D. RAICHVARG, Actes JIES XXV, 2003

L’OMBRE D’UN DOUTE : L’INCERTITUDE COMME MOTEUR

D’UNE ŒUVRE ET DE SA RECEPTION

Nathalie CANDITO, Hervé GROSCARRET (Muséum d’histoire naturelle de Lyon) Maud GAUCHET-LOPEZ (CSRPC, Grenoble)

MOTS-CLES : MUSEE – INSTALLATION – SCIENCE – POLITIQUE – MEDIA – INTERACTION INDIVIDUELLE ET COLLECTIVE

RESUME : Notre discussion porte sur les intentions de conception et les modalités de réception d’un dispositif interactif conçu pour questionner les publics sur les relations problématiques entre le politique, le scientifique et les médias, problématiques émergentes d’une réflexion autour du principe de précaution. Comment ce dispositif – construit en porte-à-faux des schémas narratifs classiques – interroge la construction du savoir, distancie les visiteurs des processus de création et de diffusion classiques des connaissances et exerce leurs capacités critiques ?

ABSTRACT : Our account is referring to conception and reception of an interactive device designed to question publics on the media, the scientific and political communities into the fundamentals of their complex relationships. This emerging problematic sustains the reflection around the “precautionary principle”. How does this installation – existing aside classical narration schemes – bring knowledge development into question ? How does it lead visitors astray from usual creative processes and knowledge transfer, optimising eventually their critical legacy ?

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«Je pense que c'est mettre des doutes sur des certitudes qu'on a en permanence. Des vérités qu'on croit vraies et qui sont peut-être manipulées.» 1

1. INTRODUCTION

Cet article rend compte d’une expérience muséographique présentée au Muséum d’histoire naturelle de Lyon du 3 décembre 2002 au 3 juin 2003 : L’ombre d’un doute, une installation interactive de Thierry Fournier, conçue et réalisée avec Jean-Baptiste Droulers, Hervé Groscarret, Pascal Nottoli et Anne-Laure Stérin. Cette installation questionne les notions de doute et d’ignorance aussi bien dans le fond qui aborde des faits scientifiques et sociaux soumis à de constantes interrogations que dans la forme qui provoque chez le visiteur questionnements et remises en cause de ses propres certitudes.

Photo © Patrick Ageneau, Muséum d'Histoire naturelle

2. L’IGNORANCE, MOTEUR DE LA CONCEPTION

2.1 Du principe de précaution aux mondes de la science, de la politique et des médias

Le principe de précaution est un concept qui aujourd’hui est rentré dans le langage courant sans que ses contours, ses portées et ses intentions soient clairement comprises par les sujets. Spontanément repris par les médias, associé aux notions de crise, de risque, de responsabilité dans le secteur de l’environnement et de la santé principalement, il cristallise un certain nombre de débats

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scientifiques et sociaux impliquant le rôle des politiques, des scientifiques, des médias, l’information des citoyens, l’influence croissante du marché.

Le muséum de Lyon a décidé de proposer une lecture de cette thématique dans une exposition d’actualité. Afin d’expérimenter de nouvelles formes de médiation, la conception et la réalisation du projet ont été confiées à un artiste multimédia, compositeur et architecte, Thierry Fournier, créateur d’installations.2

Les concepteurs, à l’instar de la plupart des citoyens, sont ignorants. En effet, ils n’ont du principe de précaution qu’une vision parcellaire et se posent les mêmes questions que quiconque dont les seules sources d’information seraient les mass media. Mais ils ont l’intuition que ce concept débouche sur des débats d’ordre politique et interroge finalement les relations entre la science, la politique et les médias, axe plus large vers lequel ils font finalement évoluer la thématique.

Le titre choisi, L’ombre d’un doute, évoque notamment le fait qu’en science l’incertitude est omniprésente, l’ignorance étant à l’origine de toute quête scientifique. Et il évoque le principe de précaution essentiellement basé sur le doute émis par les spécialistes sur les risques possibles par exemple des OGM pour la santé. Avec des notions de doute et de certitude comme noyau du discours sur les sciences, on est bien loin des buts vulgarisateurs et didactiques des expositions de sciences classiques. Il s’agit ici davantage d’un métadiscours : un discours sur les discours des médias, des politiques et des scientifiques eux-mêmes sur les sciences.

2.2 Face au doute, une pluralité de voix

Thierry Fournier a choisi, pour faire face à la complexité des notions mobilisées, de proposer une forme elle aussi complexe. Pour insister sur la pluralité de discours et de langages, la forme est celle d’une installation interactive arborescente, un espace de construction en temps réel offrant un « palabre » de paroles singulières fait de mots, d’images et de sons. L’installation est à la fois une exposition de points de vue multiples et une invitation à se construire son propre regard de citoyen. Les vidéos, cœur structurant le contenu de l’installation, proviennent de différentes sources. La partie la plus importante est réservée aux images issues d’entretiens réalisés pour l’occasion. Dix-sept personnes ayant toutes un rapport proche ou lointain avec la problématique de l’installation ont été interrogées : « victime » du principe de précaution (éleveur dont le troupeau a été abattu au nom de ce concept), décideur politique, activiste, chercheur, juriste, économiste, philosophe, anthropologue, etc.3 Ces personnes partagent la même ignorance concernant l’ensemble de l’installation puisque le protocole a consisté à ne pas dévoiler quels étaient les autres interviewés

2 Site web : www.thierryfournier.net

3 Liste des personnes interviewées : Marc Augé, Bernard Bachelier, Alain Claëys, François Desriaux, Bernard-Marie Dupont, François Ewald, Christophe Gérard, Olivier Godard, Pierre-Henri Gouyon, Martin Hirsch, Pierre Lascoumes, Anne-Laure Morin, Christophe Noisette, Guy Riba, Isabelle Stengers, Jacques Testart, Hervé Touraquet.

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afin que des stratégies d’ordre personnel, professionnel ou politique ne viennent pas dénaturer les discours individuels.

Cent cinquante séquences d’une durée variable sont montrées aux visiteurs. Sont même délibérément mises en avant quelques séquences que l’on ne montrerait pas, par exemple à la télévision : les moments d’hésitation, le silence d’un intervenant qui écoute la question qu’on lui pose, un éclat de rire… De même, le temps long de certaines séquences ainsi que le choix d’intervenants peu médiatiques insistent sur la singularité du musée dans le champ de la diffusion des informations à caractère scientifique.

A cela s’ajoutent des lectures de textes littéraires et philosophiques choisis pour la pertinence ou l’humour des réflexions qu’ils ouvrent sur le sujet, notamment sur le doute et la certitude.4 Ces citations de textes présentées de manière atypique – une lecture oralisée par des acteurs face à la caméra – amène le visiteur à une réflexion plus abstraite. Et la mise en perspective avec les interviews permet « de comparer les choses, d’élargir le regard sur les choses, qui ne vient pas

spontanément. A priori ce sont des gens qu’on entend tous dans des contextes différents. »5

Enfin, près de quarante archives télévisuelles sont présentées : extraits de journaux télévisés, de débats parlementaires, d’interviews, de reportages sur des actions militantes et des manifestations. Pour certains visiteurs, ces images, tirées d’un univers télévisuel quotidien facilement identifiable, sont montrées « pour nous rappeler ce que d’habitude on nous rabâche ». [H, 27 ans, seul, chargé

de mission ingénierie culturelle]

Toutes ces séquences, ces images et ces paroles coexistent au sein de l’installation dans le même espace, ce qui permet de faire entendre leurs différences de contenu et de langage. Le visiteur se trouve ainsi face à une pluralité d’acteurs, de registres et de discours.

2.3 Le visiteur-acteur provoque un dialogue virtuel

L’installation se présente comme un écran panoramique de dix-huit mètres de long parcouru par un flux ininterrompu de mots, de questions, de fragments de textes et de phrases génériques. Lorsqu'un visiteur entre dans l'espace, il voit cet ensemble de mots en mouvement sur l’écran. Un système complexe de caméras numériques et de programmes informatiques capte les déplacements des visiteurs face aux écrans pour les matérialiser sous la forme d’une trace blanche. Lorsque la trace se stabilise quelques secondes sur un mot du flux, elle active une séquence vidéo. Là, le visiteur a le choix entre deux options : soit il se déplace sans écouter la séquence jusqu’à la fin, soit il s’arrête plus longuement, l’écoute en entier avant que ne se crée sur l’écran une nouvelle arborescence – une nouvelle série de mots en rapport avec ceux activés.

4 A titre d’exemple : Claude Allègre (Principe de précaution, piège à cons), Gilles Châtelet (Vivre et penser comme des porcs), Gilles Deleuze et Félix Guattari (Qu’est-ce que la philosophie ?), Ludwig Wittgenstein (De la certitude).

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Le déclenchement quasi aléatoire des séquences crée à chaque visite une nouvelle signification. La présence des visiteurs face aux écrans permet de déclencher plusieurs paroles en même temps. Cette simultanéité fortuite de deux ou plusieurs discours provoque une résonance qui contribue à créer une sorte de dialogue virtuel et fictif. Cette co-présence d’acteurs qui appartiennent à des sphères distinctes réunis le temps de l’interaction visiteur/écran crée des associations inédites, qui s’ajoutent aux connaissances et à l’expérience de chacun pour ne pas faire de l’exposition un média dispensant une pensée unique.

3. LE DOUTE, PILIER DE LA RECEPTION

Photo © Patrick Ageneau, Muséum d'Histoire naturelle

Compte tenu de la dimension expérimentale de l’installation, nous avons mené une évaluation sur ses modalités de réception et cherché à saisir au moyen d’une étude empirique centrée sur les leurs attitudes et comportements comment ce dispositif est perçu, ressenti et vécu par les visiteurs6. Quel statut les visiteurs donnent-ils à cette installation (œuvre d’art, dispositif interactif) ? Quels peuvent être le rôle et la spécificité du musée pour aborder des questions contemporaines en traitant des relations entre des approches scientifiques, politiques et médiatiques ?

3.1 L’expérience d’un mode de communication nouveau

5 Thierry Fournier cité dans un article publié sur le Web : www.laguinguette.com

6 25 entretiens approfondis ont été menés auprès de visiteurs préalablement observés dans l’espace. S’agissant de visiteurs individuels et de groupes conviviaux, l’étude a concerné au total 36 personnes. Cf. Nathalie Candito, Maud

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Les visiteurs sont délibérément laissés dans le flou concernant le mode d’emploi de ce dispositif pourtant atypique. Le plus souvent déconcertés par cette nouvelle forme d’accès au contenu, ils s’interrogent également sur son statut indéfini – que le terme « installation » ne permet pas d’éclaircir. Il leur est difficile de trouver le qualificatif le plus adéquat pour désigner cette expérience singulière : est-ce une installation, une œuvre d’artiste, une exposition, un mode de communication, un mur d’images… ?

J’ai été intéressé par une technique de communication qui est nouvelle, qui va nous interpeller sur des domaines qu’on ne connaît pas évidemment. (…) Il y a une créativité, un mode de communication que je ne connais pas, qui m’interpelle. [H, 53 ans, en famille, enseignant biologie]

Face à ce nouveau média construit en porte-à-faux des schémas narratifs classiques – montage arborescent et non-séquentiel des vidéos, absence de contextualisation des images – qui questionne et fait douter le public, le regard et le corps du visiteur se trouvent complètement mis en question.

C’est ça aussi le truc, c’est depuis quand a-t-il parlé et quand, combien de temps va-t-il parler ? Autrement dit, dans ce qui défile, où est-ce qu’on en est ? Donc on arrive au milieu d’une conversation et il faut déjà s’accrocher. [H, 65 ans, seul, retraité]

En effet, la découverte de L’ombre d’un doute exige une véritable mise en jeu du visiteur et de son corps, l’une des originalités du dispositif étant qu’on lui demande de se déplacer physiquement dans le contenu comme il le ferait avec le pointeur et la souris dans un hypertexte informatique7. Le dispositif demande un apprentissage, une expérimentation que tous ne sont pas prêt à mettre en œuvre.

Ça joue sur tellement de choses, sur le mouvement du corps, il faut être prêt, il faut reculer, il faut se mettre sur le côté, faut… on est… pas mal stimulé, en même temps lire, il faut prendre du recul parce qu’il y a des mots en gros qui arrivent, il faut se rapprocher parce qu’on veut entendre et que la voix est moins forte, on est toujours en train d’ajuster… [F, 33 ans, avec enfants, chercheur sociologie]

3.2 La dimension collective à l’œuvre

L’installation comporte une dimension collective explicite qui désigne à la fois le fait de déclencher une multitude de paroles en simultanée, de voir ce que regardent les autres mais aussi, de créer des

Gauchet, « L’ombre d’un doute : Récits d’une expérience singulière. Rapport d’étude », juillet 2003, rapport interne au Muséum de Lyon, 55 p.

7 La dimension ludique d’accès au contenu des séquences est ambivalente à plusieurs niveaux : le jeu interactif est rarement immédiat et exige des efforts (essais, ajustements, positions du corps…) ; le public adulte (majoritaire) n’est pas habitué à « jouer », en particulier dans un espace culturel ; le « jeu corporel » – y compris les tâtonnements – est exposé au regard des autres visiteurs.

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rassemblements, de fédérer les visiteurs devant un seul et même écran8 et par là même autour d’une idée sur des sujets tant controversés.

Et euh, c’est peut-être ça la notion de collectivité : gérer l’autre par rapport à ce qu’il écoute et tout ça. Mais je pense que si on se met tous sur un écran à dix personnes, devant un écran, bon on va avoir une image énorme, mais là on pourrait avoir toute l’attention portée sur un truc… c’est peut-être ça la notion de collectivité à gérer. [F, 21 ans, en couple, étudiante biologie]

Si les termes de « brouhaha », « cacophonie », désignent ce que produit la juxtaposition d’images, ils ne sont en revanche pas toujours employés dans un sens péjoratif, le brouillage étant également ce qui fait la spécificité ou l’intérêt de l’installation : elle permet de redonner une dimension collective au média interactif souvent perçu comme renforçant l’individualisme. Et puis les nuisances, le discours choral, le brouhaha renvoient directement à la réalité du traitement médiatique de ces questions.

3.3 L’ombre d’un doute sur les intentions

Ce qui plonge particulièrement les visiteurs dans le doute, c’est la méconnaissance des intentions et la non-lisibilité du message des auteurs. L’installation est perçue comme hybride dans le sens où elle met en avant un fait esthétique et présente une réflexion sur un fait de société. Les visiteurs sont sensibles soit à sa dimension technique soit à ce qu’elle véhicule comme information mais ne perçoivent que rarement l’articulation des deux comme un tout faisant sens. L’étude de la réception permet de dessiner deux figures majoritaires de visiteurs qui axent leur discours sur l’interaction avec le dispositif ou sur le sens généré par ce dernier.

Concernant la question du sens des contenus véhiculés par l’installation, l’analyse fait apparaître trois éléments récurrents : la diversité des thèmes, l’ancrage dans l’actualité et la prise de conscience « citoyenne ».

Il y a sûrement une cohérence mais on est plus ou moins intéressé par certains termes, moins par d’autres. Qu’est-ce qu’il racontait sur là euh … à propos des OGM là, des organismes génétiquement modifiés, s’il y a des dangers ou pas de danger. Ce sont des questions contemporaines je pense. [F,+65 ans, entre amis, retraitée]

Au milieu du flot de paroles des intervenants, le message des concepteurs sur le principe de précaution semble absent. Et pourtant, c’est dans le médium lui-même qu’il faut le chercher : la confrontation des disciplines, des intervenants, du discours écrit (lectures) et oral ; la sélection des extraits ou le temps accordé aux locuteurs. Comme pour créer un espace de débat inédit et toujours renouvelé en réponse au formatage de l’information. Certains visiteurs à la recherche des intentions

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de conception (perçues comme subversives et polémiques) se risquent à formuler quelques hypothèses.

Justement je m’interrogeais pendant l’exposition pour savoir si [l’artiste] voulait, si il y avait derrière tout ça une dénonciation justement de cette concentration d’informations ou si lui-même il y contribuait. [H, 31 ans, en famille, professeur langues]

La dimension citoyenne et ses nombreuses variantes a été également fréquemment soulevée, et les visiteurs ont intégré – le plus souvent après coup, au moment de l’entretien – le message de responsabilisation, perçu les tentatives de l’artiste de déstabilisation des représentations, de remise en cause des idées préconçues ou stéréotypes et des paroles « officielles ». Les débats liés à la problématique des OGM, de la crise de la vache folle, du sang contaminé, des problèmes sanitaires liés à l’amiante constituent bel et bien des questions débattues dans différents milieux mais où la parole du citoyen n’est pas – ou très rarement – prise en compte. Là où le dispositif génère des questionnements face aux controverses évoquées, de virulentes critiques se sont exprimées quant à cet impossible droit de réponse. La situation d’enquête, et plus précisément l’entretien, a dès lors été perçue comme une compensation donnant enfin la parole au public.

4. CONCLUSION

Comme nous l’avons montré, les objectifs de l’installation sont multiples et au delà de la diffusion de connaissances, c’est avant tout une exploration de nouveaux dispositifs et langages. Face à une pluralité de points de vue sur une même question, le visiteur ne ressort pas plus « savant » qu’en entrant, mais avec un autre regard sur les sujets en lien avec le principe de précaution.

Si les réactions ne sont pas immédiates, les propos de l’installation font leur chemin – en écho bien souvent à une expérience personnelle – et amènent à une prise de conscience progressive. En effet, dans l’ensemble, les contenus véhiculés dans l’installation « parlent » au citoyen qui y trouve des questionnements plutôt que des réponses l’incitant à être vigilant et à adopter une posture de distanciation face aux problèmes contemporains, largement débattus dans les mass media.

Cette forme de dispositif déroute le visiteur qui s’interroge, doute… et constitue ainsi une nouvelle forme de discours, de circulation des idées et d’accès au savoir autrement dit, une pratique médiatique qui favorise la formation des capacités de critique et de questionnement. L’ignorance et le doute ressentis par les visiteurs semblent ainsi faire écho aux intentions des auteurs.

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BIBLIOGRAPHIE

CRENN G. (2002). Scribe, dé-scription, description : ce que la sociologie de la traduction fait au terrain. A propos d’un dispositif muséographique . Études de Communication – Langages,

informations, médiations, 25.

FOURNIER T. (2003). Composer des hybrides. Revue d'Esthétique, 43, 115-126.

LE MAREC J. (1998). Interactivité et multimédia : lieux communs revisités par l’usage. In

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