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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Expériences pédagogiques.

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Academic year: 2021

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I. - T R I B U N E

L I B R E

Expériences pédagogiques

Ce rapport concerne un ensemble d'essais fondés sur l'étude de la

psycho-logie de l'enfant appliquée à la pédagogie et tentés depuis trois ans au Collège, technique Elisa-Lemonnier, sous l'autorité de M"'" Gaborit. (N.D.L.R.)

LA SÉLECTION

La sélection a, dans l'Enseignement technique, des caractères qui lui sont propres et elle se révèle délicate.

D'une part elle porte sur une population trop souvent écrémée par les concours d'entrée aux lycées et aux collèges modernes.

D'autre part elle doit répondre à un double but, l'un scolaire, l'autre professionnel.

Elle doit permettre de recruter des jeunes filles capables à la fois de bénéficier de l'ensei-gnement donné dans nos écoles et de réussir dans une spécialité professionnelle déterminée. De plus, le recrutement doit toujours se faire en fonction des besoins de l'industrie.

Ces multiples nécessités exigeraient des mé-thodes et des moyens de sélection parfaitement mis au point.

Des examens traditionnels existaient. En géné-ral, ils constituaient un moyen efficace d'appré-cier les connaissances acquises par les enfants au cours de leur scolarité primaire et, dans une certaines mesure, leur aptitude à être de bonnes élèves. Mais, d'une part, cette sélection tradi-tionnelle n'accusait pas toujours une corrélation acceptable avec les résultats scolaires — nous avons pu constater des échecs totaux et surtout des demi-échecs; — d'autre part, elle n'était pas adaptée au futur apprentissage et ne permettait pas de déceler les aptitudes dont le rôle est pri-mordial pour la réussite professionnelle.

Nous avons donc tenté :

1° De modifier l'examen traditionnel pour en faire surtout une épreuve d'intelligence globale et de connaissances scolaires;

2° De lui adjoindre une série d'épreuves ca-pables de déceler, avant l'apprentissage, les apti-tudes professionnelles.

C'est ainsi que nous avons été amenés à uti-liser des batteries de tests soigneusement sélec-tionnés par le bureau de recherches de l'I.N.O.P.

Nos expériences se sont échelonnées sur trois années.

1949

C'est l'année héroïque où nous avons délibé-rément rompu avec les méthodes du concours d'entrée traditionnel.

A la suite de recherches rigoureuses, une bat-terie de tests a pu être établie en collaboration avec l'I.N.O.P. Nous avons procédé successi-vement :

1° A un premier choix arbitraire, visant à réunir des tests variés (visualisation, intelligence, vocabulaire, etc.) ;

2° A un essai de ces tests sur des élèves en cours d'apprentissage (élèves de 4e année A,

sec-tion couture);

3° Au calcul de corrélation entre : notes obte-nues à ces tests et notes scolaires; notes obteobte-nues à ces tests et notes professionnelles;

Ces calculs permettant d'avoir une idée de la validité des tests (valeur prédictive) sous réserves

(statistiques et psychologiques);

4° A la préparation de la batterie de tests à employer à l'examen en fonction :

a) De la validité des tests étudiés; b) De leur contenu.

Seules, les corrélations supérieures à 50 ont été jugées significatives.

Le concours d'entrée s'est trouvé ainsi com-posé d'une double série d'épreuves :

ÉPREUVES TRADITIONNELLES

1° Epreuve d'orthographe suivie de questions portant sur la compréhension du texte et les connaissances grammaticales;

2° Epreuve d'arithmétique;

3° Epreuve de couture ou de dessin (suivant la section).

Des épreuves nouvelles en couture ont été

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établies, permettant une notation objective et avec le souci de déceler :

1" Sûreté du coup d'.œil; 2° habileté manuelle et surtout 3" capacité de compréhension d'un pro-blème de couture.

Ces épreuves avaient été au préalable étudiées et validées au même titre que les tests proprement dits.

TESTS

V G 47, N I I P. Fiche d'aptitude technique (fiche A M'"" Piéron) et pour les dessinatrices : V G 47, barrage Mvers (les résultats au test n'ont pas été utilisés par suite de la longueur des

correc-tions de l'épreuve).

Enfin, une innovation a été introduite dans la . notation des épreuves : le 'classement des candi-dats a été fait d'après les méthodes statistiques et exprimé en écarts réduits.

Les résultats de cette première expérience nous ont été donnés en fin d'année scolaire.

Tandis que la corrélation tests-résultats sco-laires atteignait : . 59, la corrélation examen tra-tionnel-résultats scolaires n'était que : . 24.

Ces résultats nous ont encouragés à renouveler l'expérience en améliorant encore les épreuves de l'examen.

1 9 5 0

Nous nous sommes donné une double tâche : 1° Améliorer les épreuves traditionnelles à la lumière de l'expérience de 1949;

2" Constituer une nouvelle batterie de tests valable .surtout pour la section « Couture ».

Amélioration des épreuves traditionnelles.

Nous avons surtout cherché à donner des épreuves comprenant un plus grand nombre de questions permettant d'apprécier : les connais-sances acquises, l'intelligence des candidates tout en facilitant, une notation objective.

Constitution de la batterie de tests.

Nous avons fait une étude critique des tests uti-lisés l'année précédente et procédé an choix des épreuves avec les mêmes précautions qu'en 1949 (validation préalable, recherche de corréla-tion, etc.).

Epreuves de l'examen (1950). Epreuves traditionnelles : 1° Orthographe et grammaire;

2" Mathématiques : série de questions portant sur les connaissances acquises et sur le dévelop-pement de l'esprit logique;

3° Epreuves professionnelles comprenant des épreuves d'intelligence et des épreuves d'habileté manuelle. Chaque épreuve a été choisie de façon à permettre une notation objective.

TESTS

V G 48,, N I I P, R P. Serviette de bébé. Nous avons utilisé pour cet examen un nou-veau test créé spécialement par les services du Bureau de recherches de l'I.N.O.P. pour des sec-tions de métiers féminins (R P) et adapté une

épreuve qui avait été utilisée dans l'Académie de Strasbourg par les services d'Orientation profes-sionnelle (serviette de bébé).

Résultats de l'examen.

L'examen nous a donné, pour la section « Cou-ture », un groupe d'élèves très homogène dont les résultats scolaires et professionnels nous ont paru très satisfaisants.

Il avait été décidé au préalable que toutes les élèves admises resteraient attachées à leur section durant toute l'année scolaire (sauf cas de force majeure, bien entendu).

L'examen des résultats, en fin d'année scolaire, nous a amenées à prendre les décisions suivantes :

Sont renvoyées :

M..., venue du Centre d'apprentissage, prise à l'essai. Opérée en cours d'année, s'est ensuite totalement désintéressée de son travail. Impossi-bilité de l'autoriser à doubler (en fait, tripler).

Doublent la classe de quatrième :

H..., trop jeune d'esprit, n'avait pas réussi à s'adapter parfaitement;

D..., santé;

G..., d'origine italienne, a vécu cinq ans en Italie. Difficultés en français.

Changent de section :

F... et Y... (passent en section de tapisserie). Centre d'apprentissage :

1)..., ne parvient pas à s'adapter, travaille peu, ne s'intéresse pas à ce qu'elle fait;

C..., entrée à l'école sur l'ordre des parents mais désirait entrer en section commerciale.

L'expérience nous montre de plus en plus clai-rement que la sélection des futures couturières doit tenir le plus grand compte de l'intelligence des candidates.

Nous nous proposons d'étudier quelle forme d'intelligence peut permettre de pronostiquer la réussite professionnelle.

Nous devrons également étudier de près ce que nous pourrions appeler « l'aptitude à l'appren-tissage ».

Enfin le comportement de l'élève devra être étudié. Telle enfant intelligente, travailleuse, mais trop sensible, ne pourra jamais s'adapter à la vie d'atelier où la course au succès est portée à son degré maximum.

1951

En 1951, l'effort a porté surtout sur les épreuves du concours d'entrée en section dessin sans né-gliger pour cela les autres sections bien entendu. Nous procédons, comme les deux années précé-dentes :

1° A des essais préalables;

2" A la modification de l'épreuve reproduction de figures et à un deuxième essai de validation.

EXAMEN

Epreuves traditionnelles

Un effort est entrepris pour faire de ces épreuves des tests de connaissance et des moyens

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propres à apprécier le niveau et la forme d'intel-ligence des candidates.

TESTS Tous métiers. 1 V G 49i Serviette bébé. V G 49» R F Dessin Knauber I V G 49i Serviette bébé. Essai de tests Tests proposés :

Tous métiers. Dessin

. 25 min. . 30 — . 6 0 — . 1 0 . 20 — . 50 • — Vocabul. Binois 20 — Serviette bébé. 20 — C P 7 15 — D 48 F I V G 49, . V G 49*. . . V 47, R P Knauber 1 h. 30 fil de fer. I V G 49 Résultat de l'essai 4" A N = 33 MOYENNES 4" D MOYENNES Eus. géu. Atelier Eus. gén. Atelier

1VG 49 .45 .55 . 50 .10

CP 7 . — .08 .15 .26 .01

Binois .29 .41 — .06

R P modifié. . . — .01 . 55 .28 .01

VG 49, .42

Validations en vue du concours d'entrée 1951. Section « Dessin ». — Validations opérées sur les moyennes du premier semestre 1950-1951. Knauber : atelier moyenne générale Fil de fer : atelier moyenne générale N I I P : atelier moyenne générale Serviette bébé : atelier moyenne générale VG 48, : atelier — .13 moyenne générale 07 Section « Couture », 4e A. Serviette bébé : atelier 29 moyenne générale RP première forme : atelier 51 moyenne générale 05 I P : atelier IV moyenne générale — .03 .17 .29 .29 .36 .16 . 32 .42 .46 VG 48 : atelier 40 moyenne générale 08

Epreuve de calcul à l'examen

Moyenne en calcul premier semestre (4e A.) :

.24; (4° D) : 30

Moyenne atelier; moyenne enseignement

gé-néral (4e A) : 51

Dossiers individuels.

A la suite de la première expérience, c'est-à-dire en octobre 1949, nous avons établi un tionnaire pour chaque nouvelle élève. Ce ques-tionnaire (qui est reproduit ci-dessous) devait servir de base à la constitution du dossier sco-laire de chaque élève.

Le dossier individuel comprend :

1" Le dossier médical établi par les soins du médecin scolaire et de l'assistante médico-scolaire;

2" Le dossier scolaire proprement dit compre-nant les résultats aux épreuves du concours d'entrée et les notes scolaires obtenues;

3" Le questionnaire rempli par l'élève elle-même.

Il peut s'enrichir de tous les éléments pouvant servir à la connaissance de l'enfant.

COLLÈGE TECHNIQUE ÉLISA LEMONNIER (1950. — Classe de quatrième.)

QUESTIONNAIRE Nom et prénoms.

Date et lieu de naissance. Adresse des parents. Adresse de la personne à qui vous êtes confiée. Durée du trajet (aller et retour) de la maison à l'école

(indiquer moyen de locomotion).

FAMILLE. — Age et profession du père; de la mère (indiquer si le métier lui permet de rentrer pour déjeuner); des frères et sœurs; des grands-parents (s'il y a lieu et s'ils habitent avec vos parents). Où faites-vous votre travail de classe ?

Aidez-vous votre père dans ses travaux ?

Aidez-vous votre mère ? Quels travaux ? Quels travaux préférez-vous ? Quelles occupations aimez-vous le moins ?

Etudes faites. Dans quelle école ?

Résultats scolaires : diplômes obtenus (année d'obten-tion) ; rang de classement 1949-1950.

Avez-vous plusieurs fois changé d'école ? Combien de fois ? Pourquoi ?

Ecoles successives.

Avez-vous redoublé des classes? Lesquelles? Pourquoi? Aimez-vous votre école ? Vos maîtresses ? Vos

ca-marades ?

Enseignement préféré. Quel métier avez-vous choisi ?

Que pensez-vous faire en sortant du Collège ?

L'avez-vous choisi par goût ? Vos parents vous ont-ils conseillé un métier ?

Pour quelles raisons l'avez-vous choisi (énumérer) ? Pensez-vous continuer à l'exercer même si vous fondez

une famille •?

Y a-t-il un autre métier qui aurait eu votre préférence ? Pourquoi ne l'avez-vous pas choisi ?

Aviez-vous, avant d'entrer à l'école, subi un examen d'orientation professionnelle ? A quelle date ? Eli quel lieu ?

Quel métier vous a-t-on conseillé ?

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Aviez-vous, avant d'entrer à l'école, déjà commencé l'apprentissage d'un autre métier ? Où ?

Auriez-vous aimé faire l'apprentissage chez un artisan ? Pourquoi ?

Pourquoi êtes vous entrée au Collège technique ? Auriez-vous aimé faire vos études dans un autre

établissement ? Lequel ? Pourquoi ne l'avez-vous pas fait ?

Où passez-vous générale/lient vos vacances ? A quoi les employez-vous ?

Avez-vous des loisirs ? A quoi les employez vous !? Quelles sont vos distractions préférées ?

Sortez-vous avec votre famille ? Buts de sorties.

Cinéma ( f r é q u e n c e des sorties; films vus; films pré-férés).

Théâtre (fréquence des sorties; pièces vues; pièces préférées).

Musique. Assistez-vous à des concerts ? — Etes-vous musicienne ? Indiquez l'instrument. Ecoutez-vous des concerts par T.S.F. ? Si oui, musiciens préférés. — Aimez-vous entendre des disques?

Lectures. — Aimez-vous lire ? — Livres lus. — Genres préférés. — Possédez-vous une bibliothèque ? — Vous achète-t-on des livres ? — En quelle occasion ? — Etes-vous abandonnée à une bibliothèque ?

Sport. —- Aimez-vous le sport ? — Faites-vous partie d'une association sportive ou de groupements de jeunesse ? — Sports pratiqués. •— Quels sports vou-driez-vous pratiquer ?

Visite de monuments et musées. — Indiquez ceux que vous avez visités.

Voyages. — Voyages faits. —<• Durée des séjours ?

Amies et camarades. — Avez-vous beaucoup d'amies ? Combien ? — Age ? — Sortez-vous ensemble ? — A quoi employez-vous vos sorties ?

Inadaptation.

La sélection opérée, la psychologie ne perd pas ses droits; au contraire, c'est alors qu'elle nous pose des problèmes impérieux.

Quelques cas d'inadaptation se présentent : Ou ils sont signalés par des professeurs; Ou ils se révèlent au moment de.l'examen des résultats scolaires en fin de trimestre.

Recherche des causes.

Pour chaque cas nous reprenons :

1° Les résultats au concours d'entrée en fai-sant l'étude analytique des résultats aux diverses épreuves;

2° Le dossier médical. Au besoin nous deman-dons un examen médical supplémentaire;

3° Le dossier personnel (fiche).

Cette étude se complète par une étude du comportement de l'enfant et, au besoin, par une enquête auprès de la famille.

Résultats de cette étude.

Très souvent, l'inadaptation a des causes d'ordre social :

— Mésentente entre les parents ou leur sépa-ration;

— Absence du père ou de la mère;

— Présence d'un beau-père ou d'une belle-mère;

— Travaux ménagers imposés à l'enfant; — Impossibilité pour l'enfant de s'isoler pen-dant ses heures de travail;

— Trajet de la maison à l'école (jusqu'à deux fois deux heures et demie).

L'inadaptation s'explique parfois par une dé-ficience dans l'état général due, soit à une ma-ladie, soit à l'âge de l'enfant (puberté).

On peut alors y remédier en faisant doubler la classe.

Orientation scolaire.

Quelques cas d'inadaptation nous ont révélé des erreurs d'orientation dues le plus souvent à l'obstination irraisonnée des familles. Dans ces cas, p a r l'analyse des dossiers individuels et, en tenant compte des goûts de l'élève, nous avons p u venir à bout de l'opposition des parents et procé-der à des changements de section.

Deux couturières sont ainsi passées clans la section de tapisserie, une couturière a été admise en mode.

Nous avons pu observer également que telle élève qui paraissait avoir des aptitudes pour la couture pouvait seulement espérer devenir une bonne ouvrière, mais n'avait aucune chance de se qualifier dans la haute couture.

Dans ce cas, nous conseillons le transfert au Centre d'apprentissage annexé au Collège.

Problèmes pédagogiques.

Les problèmes de la psychologie se posent à tous les instants. Notamment :

— Dans les ateliers on a mis à l'étude la recherche de procédés pédagogiques basés sur la psychologie de l'enfant p o ur améliorer l'appren-tissage en diminuant le nombre et la durée des séances d'atelier;

— L'enseignement de l'orthographe et de la grammaire fait l'objet de recherches. Nature des fautes commises, groupement de ces fautes, recherche des causes de la faiblesse des enfants en orthographe, recherche des moyens pour y remédier.

— Liaison de l'enseignement du dessin avec l'enseignement du français, de l'histoire, etc.

— Liaison entre l'enseignement professionnel et l'enseignement du français.

CONCLUSION

Nos expériences ont été toujours menées avec beaucoup de prudence. Toujours conduites avec -le souci d'aider -les élèves et non de se servir d'elles dans des expériences sans résultat pratique. Elles ont été facilitées par l'I.N.O.P. qui nous a généreusement donné des batteries de tests, le personnel pour les examens et s'est imposé en tra-vail supplémentaire les calculs statistiques.

Nous avons acquis une expérience dont nous serons heureux de faire bénéficier les collègues des autres ordres d'enseignement, mais nous vou-drions à notre tour connaître les résultats de leurs

recherches. R BOURRILLON,

Professeur au Collège technique Elisa-Lemonnier,

Diplômée de l'Institut de psychologie de l'Université de Paris.

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