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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Bulletin de l'Association Amicale des Anciens Élèves de l'ENSET n° 157

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(1)

BULLETIN de L’ASSOCIATION AMICALE

des ANCIENS ELEVES de L

E N S E T

N° 157 4* trim estre 1986

Abo nne me nt (un a n ) ... 130 F Le numér o ...4 5 p 61, avenue du Président-W ilson

94230 CACHAN

SOMMAIRE

• U ne journée de réflexion à

i’EN SET sur le formation

des Ingénieurs.

• Renouvellem ent du tiers

sortant du comité.

• Congrès de Caen (su ite).

(2)

Pochettes

la dyn am iqu e du succès

CHOIX ®

P.I.MOMNOT

d 'exercices

p.

paillot

TRAVAUX DIRIGÉS Classes p réparatoires. TRA VAUX PR AT IQ U ES Bureaux spécialisés

(applications sur m icro-ordinateurs).

EXA MENS C O M M E R C I A U X

Classes term inales (des CA.P. aux B.T.S.).

NOUVEAUTÉS 86

lYÇiis

P rem ières C c o m m u n e s

SÉN : S téno entrainem ent

(PRÉVOST-DELAUNAY simplifiéel. D ictées et lectures.

ECO/DRO IT: EcorK>mie générale. Econom ie d'entreprise. D ro it Trois fascicules distincts e t sujets d e synthèse. O C C /D ISQ : D isquettes d 'a cc o m p a g n em e n t

prévues p o u r com patim es. LYS : Logiciel d e com ptabilité générale.

Outil p é d a g o g iq u e rem arq u ab le par sa sim plicité d'em ploi. Utilisable sur to u s co m p atib les IBM/PC.

T e rm in a l^ G

ECO/DROIT : Edition rem aniée avec sujets 198S et 1986.

LYS : Logiciel d e com ptabilité générale (voir ci-dessus).

B.T.S C o m p ta b le

: N ouvelle édition, au gm entée.

LYCÉES PROFESSIONNELS

SEN : Siérx) en trainem ent

(PRÉVOST-DELAUNAY simplifiée) Dictées e t lectures.

COMPTA 2 : C o m p lém en ts sur o p érations co u ran tes et systèm es com ptables. Pro lo n g em en t d e COMPTA 1 (m êm e esprit).

MATH. : M athém atiques N" 1, MATH 2 A et 2 B et MATH. 3. N ouvelle form ule : sujets d 'exam en s plus "mini-cours* couvrant tout le program m e.

CA.P. Em ployé d e com ptabiU té D eux p o ch ettes distinctes : C E .D . : C o nnaissance d e l'entreprise

et d o c u m e n ts com m erciaux. M.T.I. : Travail sur matériel et élém ents d e traitement d e l'information. B.E.P. C o m p ta b le D eux p o ch ettes distinctes.

E.TO.C. : Exécution d e ta c h e s d 'o rd re com ptable.

V.O.E. : Vie et organisation d e l'entreprise. LYS ; Logiciel d e co m ptabilité générale.

Kt'marquableparsasim plk.itéd'emploi. Utilisable sur tous co m p atib les IBM/PC:.

S u r s im p le d e m a n d e : SPÉCIMENS d e s é n o n c é s '"

P.-E. M O N N O T

7, r o u te d 'A llo n d a n s 25 200 MONTBÉLIARD

(3)

ASSOCIATION AMICALE

des Anciens et Anciennes Élèves des Sections Normales et de l’École Norm ale Supérieure de l'Enseignement Technique

Présidents d'honneur :

MM. les Directeurs généraux honoraires de l’Enseignement Technique.

MM. les anciens Directeurs de l’École Normale Supérieure de l’Enseignement Technique. M. le Directeur de l’École Normale Supérieure de l’Enseignement Technique.

M. le Directeur adjoint de l’ENSET. Mme la Sous-Directrice de l’ENSET. M. le Recteur P. PASTOUR.

Secrétaires généraux et Présidents honoraires .

R. CANTAREL (B 56-59) Chargé de Mission d’inspection Générale. P. PUECH (A 44-46), Professeur honoraire.

J.M . REFEU IL (EF 39-42), Professeur honoraire.

D. SAUVALLE (B 46-48), Professeur à PEU.T. de Paris-Saint-Denis.

A. TH U IZA T (Aj 42-44), Inspecteur Principal de l’Enseignement Technique honoraire.

COM ITÉ Présidente :

Melle M. MÈGE (EF 46-48), 48bis, rue Bobillot, 75013 PARIS.

Vice-Présidents :

G. PORCH ER (B 53-56), 10, rue du Docteur Lancereaux, 75008 PARIS.

R. PRUNET (A j 57-61),10, rue de la Croix des Mortiers, Les Loges en Josas, 78350 JOUY-EN-JOSAS.

Secrétaire Général :

B. BRAUN (A | 66-70), 49, rue de Chatenay, Flandre 3,92160 ANTONY.

Secrétaires adjoints :

R. CHASSINAT (A 44-47), 2, rue des Fossés Saint-Marcel, 75005 PARIS.

J. MAZARS (B 68-72), 20, hameau des Échansons, 91310 LONG PONT-SUR-ORGE. J. W AGNER (Bj 69-73), 19, rue de Dumerscheim, 94430 CHENNEVIÈRES-SUR-MARNE.

Trésorier :

M. RESSAYRE (D 56-59), 10, rue Auguste Renoir, 78860 SAINT-NOM-LA-BRETÊCHE.

Trésorier adjoint :

M. JEA N EA U (A | 39-43), 20, rue Toumefort, 75005 PARIS.

AUTRES MEMBRES DU COMITÉ

M. BAZIEU (G 43-45), Mmes BERNARD (EF 46-48), BLACHIER (C 68-71), M. BOISSIER (B 46-48), Melle DUPUY (EF 60-64),M. JANS (B 59-62), Mme JONON (D 49-51), M. LIÈVREMONT (A^ 61-65), Mme REV EILLÈRE (C 49-51), M. SCHWARTZ (A, 48-50).

ADRESSE et COMPTE COURANT POSTAL :

ASSOCIATION AMICALE DES ANCIENS ÉLÈVES E.N.S.E.T., 61, a v e n u e du P r é si d e n t Wilson, 9 4 2 3 0 C a ch a n (Val-de-Marne). C.C.P. Paris 5488-99-K

(4)
(5)

SOMMAIRE

O

U ne journée de réflexion à l’ENSET

sur le formation des In g én ieu rs...

5

0 Renouvellement du tiers sortant du c o m i t é ...11

0

Congrès de Caen (suite) ...15

0 Activités des groupes régionaux

groupe de l’Académie de M O N T P E L L IE R ... 19

0 Vie familiale

... 20

0 B ib lio g r a p h ie ... 21

Ce que publient nos c a m a r a d e s ...21

Nous avons r e ç u ...21

A travers les revues

... 24

(6)

J > '

;...

. V # , . .

-v^; ÿ:

.

(7)

UNE JOURNEE DE REFLEXION

A L ’E.N.S.E.T.

SUR LA FORMATION DES INGENIEURS

COLLOQUE DE LA COMMISSION DES TITRES D’INGENIEUR*

ET DE LA CONFERENCE DES GRANDES ECOLES

“Attitudes et Aptitudes de l’Ingénieur de l’An 2 000”

ENSET - Cachan - 17 avril 1985

Par Gérard M O N T E L , A ncien Directeur de V E N S E T A ncien M em bre de la Com m ission des Titres d'ingénieur

E n p roposant, à l’ép oque, au D irecteu r de l’E N S E T , de ten ir dans cette Ecole un C olloque de po rtée nationale sur la form ation de l’Ingénieur de l’A n 2 000, le P résident de la Commission des T itres d ’in g én ieu r, Y van M IR O C H N IK O F F , lui donnait en connaissance de cause l’occasion de la faire mieux connaître de nom breux responsables de notre système de form ation, de représentants quali­ fiés des différents secteurs de production, d ’observateurs ém inents de l’A dm i­ nistration.

Près de deux eents personnes ont en effet participé, sur invitation, à ce Collo­ que: M em bres de la Com m ission des T itres d ’ingénieur. D irecteurs d ’Ecoles d’ingénieurs. R esponsables d ’E ntreprises et d’O rganisations professionnelles ou syndicales. Chefs de Service des M inistères concernés, alors que deux Minis­ tres l’honoraient de leur présence et de leur participation effective: M onsieur Michel D E L E B A R R E , M inistre du Travail, de l’Em ploi et de la Form ation Professionnelle, et M onsieur R oland C A R R A Z , Secrétaire d ’E ta t auprès du M inistre de l’E ducation N ationale chargé des E nseignem ents Techniques et Technologiques. M adam e G E N D R E A U -M A S S A L O U , rep résen tan t M on­ sieur le Président de la R épublique, a égalem ent suivi certains débats et visité quelques A teliers et L aboratoires.

L a période était bien choisie p o u r l’E cole puisque, com m e le savait la C om ­ mission des T itres d ’in g én ieu r, l’E N S E T avait accompli, en quelques années, une im portante rénovation de ses installations, de ses équipem ents, de ses acti­ vités : elle avait en effet développé ses L aboratoires et A teliers d ’enseignem ent et de recherche ; elle avait créé de nouveaux L aboratoires ; elle avait développé les relations en tre ses différents D ép artem en ts et le caractère pluridisciplinaire de la form ation des E lèves; elle s’était fortem ent engagée dans la form ation continue des Professeurs, des Ingénieurs et Techniciens; elle avait pratiqué une politique active d ’ouverture vers les autres E tablissem ents d ’E nseignem ent Supérieur et vers les lycées, vers les Secteurs de P roduction, vers les G rands E tablissem ents des Pays industrialisés, vers les Pays en voie de développem ent.

Il n ’est donc pas éto n n an t que les Participants aient trouvé intérêt à visiter, pen d an t près de deux heures, les installations de l’Ecole consacrées à l’E nsei­ gnem ent, à la R echerche, aux relations avec les Secteurs Professionnels et avec l’E tran g er, en parcourant le parc déjà bien fleuri après avoir apprécié les talents de nos Chefs de Cuisine.

(8)

m anifestation a été assurée par p n ^ ç Q A r’ ! U niversité de Paris X III, dirigé p a r M me le Professeur PO IN SSA C et p ar les Services de l’E cole, sous la responsabilité de M onsieur C hristian A B A D IE , Secretaire G énéral: elle a conduit notam m ent à une déco- ration du G ran d A m p h ith éâtre, qui s’avérait bien nécessaire en atten d an t une refection dont il a grand besoin.

1 Professeurs et les Elèves de l’Ecole se sont associés activem ent au d éro u ­

lem ent du C olloque, en accom pagnant les participants ju sq u ’aux services q u ’ils souhaitaient visiter, en les y accueillant et en décrivant leurs activités, en partici­ p an t aux différentes sessions qui se déroulaient en parallèle.

La diffusion récente du C ornpte-R endu de ce Colloque** perm et de le p ré ­ senter dans les meilleures conditions, et d ’en dégager certaines conclusions inté- rcssântcs.

I - D éroulem ent du Colloque.

Le C olloque s’est déroulé en plusieurs phases bien distinctes

M T R O rH M iÿ n p p d ’o uverture, l’exposé d ’introduction du Président

n i intéressante p résentation, p ar M. A lbert

U U Ç K U C U , de ses idees sur l’évolution de nos civilisations

L introduction du Président de la Com m ission des T itres d ’ingénieur était destm ee a définir 1 o b jet de la réunion : le P résident a ainsi souhaité que se déga­ gent des idees sur ce que devrait ê tre , dans son contenu et dans ses m éthodes la

r A^ 9 non ^ p rép a re r à leur futur m étier les In g én ieu rs’de

r ■' ? U ‘^®"*‘ÿ * 'e r q ue, sous réserve d ’une découverte

inat-rn n îy . ’i i T ^ 000 est sans doute fixée: ainsi

S c ie n c 2 ‘pf ® progression accélérée des

Sciences et T echniques, d ado p ter les dispositions susceptibles de réduire au minimum le décalage en tre cette progression et l’intervention dans la p ratique - et donc ^ n s 1 enseignem ent - des nouvelles connaissances et des nouvelles tech­ niques. O n p eu t, en particulier, concevoir dès m aintenant le rôle im portant que sont appelées à jo u e r l’inform atique et la télém atique, cette d e r n i S devam e tre d ailleurs illustrée au cours du C olloque.

L ’exposé, passionné et passionnant, présenté p ar A lb ert D U C R O C O a p orte sur sa vision du proche avenir et de sa relation avec l’évolution de notre r y ^ m agistralem ent m ontré q u ’après avoir vécu deux

în non in " ? ’ '^/^?'''^i?ation agricole qui introduisit la no u rritu re artificielle (il y a lU 000 ans), et la civilisation industrielle qui introduisit l’énergie artificielle

t Z l Z T " / c iv ilL tio n : celle de l’info^rmation^t du ^ P r e s avoir assisté le ventre, puis le m uscle, 1 H om m e est a m em e d assister le cerveau: en l’A n 2 000, les Français

travaille-rn n d m t D U C R O C Q , sur l’inform ation. O n sera ainsi

conduit a distinguer les m etiers qui seront effacés p ar la robotique, où le travail s f b l ^ L ’iE i’m m eiJi'^ consignes et les m étiers où cette approche n ’est pas pos-

H consacrera alors a la mise en œ uvre de sa pensée, de son

ini-d ^ u x pouvoir créateur: le cerveau sera dégagé de ce qui lui est fasti-exposés, les participants se sont répartis entre huit grou- nieur ’ ^"™ ^s p ar des M em bres de la Com m ission des Titres d ’in g é ­ nieur.

- 1:

D E L A O E .D „ e c « u r d e

(9)

et M. M. P E R R U T , P rofesseur à l’Ecole N ationale Supérieure des Industries Chim iques de Nancy.

- 3: Génie Civil, anim é p a r M. P. B E L IC H O N , D irecteur T echnique de B alency-B riard Socea.

- 4; Electricité, Electronique, Automatique, Informatique, Intelligence arti­ ficielle, anim é p ar M. J.P . W A T T E A U , D irecteu r de l’E cole N ationale Supérieure de l’E lectronique et de ses applications (E N S E A Cergy) - 5 : Mécanique, anim é p ar M. C. B R E E , D irecteu r de la F orm ation T echni­

que chez C itroën.

- 6: Culture industrielle, anim é p ar M. J. S A U R E L , D irecteu r G énéral du C onservatoire N ational des A rts et M étiers.

- 7: Formation continue, anim é p ar M. J. M A R T IN O , D irecteur de l’Ecole N ationale d ’ingénieur de St E tienne.

- 8 : Relations internationales, langues, stages à l’étranger, transfert de tech­ nologie, anim é p ar M. M. du M E SN IL , Ingénieur G énéral, D irecteu r de l’E nseignem ent S upérieur T echnique des Postes et T élécom m unica­ tions.

Les travaux des groupes se sont achevés avant le déjeuner. L ’après-m idi, les participants o n t visité les L aboratoires, A teliers et Services de l’E N S E T , et ont assisté dans le G ran d A m phithéâtre de l’Ecole équipé, pour la circonstance, de m atériel de liaison audio-visuelle à grande distance, à trois opérations de tran s­ mission de l’inform ation ;

— U n e dém onstration de m essagerie iconographique (télétransm ission au to ­ m atique d ’images) p ar C .I.T . A L C A T E L .

— U n e conférence téléphonée à correspondants m ultiples, en anglais avec le L aboratoire d ’intelligence A rtificielle e t le D ép artem en t de “C om puter Science” de l’U niversité de Stanford (U .S .A .) sur le T hèm e “Ingéniérie de la connaissance, intelligence artificielle” . U n jeu n e ancien élève de l’E cole, M. P E G N A , qui avait travaillé deux ans à l’U niversité de Stanford dans le dom aine de l’intelligence artificielle, a participé activem ent à ce débat à C achan, avec M M . B O N N E T (E .N .S .T ., Paris), C O L M E R A U E R (U ni­ versité de Lum iny, M arseille), D O N IO (I.M .A .C ., Paris) sous la présidence de M. J.P . W A T T E A U .

— U n e vidéo-com m unication avec Lille, sur “La form ation continue” , avec la participation de M. M ichel D E L E B A R R E , M inistre du T ravail, de l’Em ploi e t de la Form ation Professionnelle, de M M . M IR O C H N IK O F F et M A R T IN O .

U ne T able R onde est égalem ent intervenue dans l’après-m idi, au cours de laquelle les anim ateurs de groupes de travail ont tiré les conclusions des réflexions conduites dans la m atinée.

Les Conclusions générales du C olloque o n t été tirées p a r M M . M. D E L E B A R R E et R. C A R R A Z , et p ar le Président M IR O C H N IK O F F . II - Contenu des débats.

Le colloque a perm is de dégager des idées com m unes à toutes les disciplines conduisant à la définition des caractéristiques de base de la form ation de l’Ingé­ nieur de l’A n 2 000, et des idées propres à chaque dom aine.

Les caractéristiques com m unes de base visent l’aptitude des ingénieurs à s’ad ap ter à l’évolution rapide des connaissances et des techniques, et à la mise en œ uvre éventuelle de technologies toutes nouvelles: elles font nécessairem ent

(10)

intervenir:

U ne initiation a la recherche, qui fait adm ettre la rem ise en cause des connaissances acquises et 1 obligation de se tenir au courant des nouvelles acquisitions des sciences et des techniques à l’échelle m ondiale.

IJne ouverture v e p la connaissance des entreprises, leur gestion les rela­ tions hum aines qui s ’y établissent, vers l’écon om ie.

— U ne initiation aux dém arches et aux ressources des sciences et techniques connexes au pro p re dom aine de form ation de l’Ingénieur.

~ œ k im ^ lÏ e ^ avec l’acquisition de langues étrangères que

A insi, le problèm e longtem ps d éb attu concernant la nécessité de form er des Ingénieurs generalistes ou des “Ingénieurs spécialistes” semble a u jo u rd ’hui dépassé, tout ingénieur devra disposer d ’un bagage solide de connaissances générales, to u t en ayant acquis une com pétence particulière dans le dom aine qui est le sien. La form ation initiale des Ingénieurs doit leur perm ettre d ’a c q u â ir des m éthodes de travail et d ’adaptation au m oins au tan t que des connaissances d q u e"^ " com pte des apports de la form ation continue, et de ceux de l’Inform a-II résulte de cette conception que les entreprises doivent contribuer à la fo r­ m ation generate des Ingénieurs, à la faveur notam m ent de stages d ’une durée de

i n L prepares et organisés. H en résulte égalem ent que les jeunes

genieurs disposent aisem ent d ’au moins deux langues étrangères et q u ’ils

aient acquis une bonne m aîtrise de l’Inform atique. s , q is.

A la form ation générale ainsi décrite doit toutefois s’ajo u ter, en fin d ’études 1 approfondissem ent d un dom aine relativem ent précis, tel que les polym ères pour un chimiste p ar exem ple : cet approfondissem ent ne doit pas être considéré specialisation, mais com m e une illustration de la dém arche par laquelle la culture générale est mise en œ uvre pour s’attaq u er, en profondeur à un problèm e bien plus délim ité : la “form ation p a r la recherche’* s’inscrit exacte­

m ent dans cette perspective. exacte

D ans chacun des groupes de travail, ces idées ont été précisées et com plétées

par des observations spécifiques. » et cuuipiciccs

groupe "Agriculture et Agro-industrie”, où l’Ingénieur a été défini

des^sTvo'ir” n n T ® interface entre généraliste et spécialiste, sachant intégrer

des savoir pour acquérir des savoir-faire” , a-t-il souligné l’im périeuse néces-

niW h form ation pluridisciplinaire, recouvrant une interdisciplinarité réelle

ou chacun a acquis une bonne com préhension de dom aines qui ne sont pas le est particulièrem ent vrai, p ar exem ple, dans le secteur des Biotechno-

^ collaborer des biologistes, des chim istes, des physiciens, des

'■ ^ ’équipés pluridisciplinaires où tous les m em bres

sont appelés a transm ettre leurs m essages et recevoir les messages des autres C/iiwœ a tenu un langage voisin, en soulignant la nécessité pour les C him istes, qui ont a intervenir dans des secteurs aussi variés que

l’électroni-l’énergétique - auxquels ils doivent fournir î n t ? i l c T - perform ances très variées - , l’agriculture, l’alim entation, la

f disposer d une large culture scientifique de base. C ette

analyse tient com pte notam m ent du fait que la grande industrie chim ique est appelee a se développer sur les lieux de produciton de m atières prem ières les pays industrialises s intéressant de plus en plus à la “Chim ie fine” à haute valeur

HJOUtCC.

(11)

pleine m utation : il convient en effet d ’y introduire une p art de plus en plus consi­ dérable d’innovation, et par conséquent d ’y développer une activité de recher­ che, alors que cette m êm e innovation est red o u tée dans la m esure où elle conduit à un changem ent profond de l’organisation de ces professions. Cela im plique la form ation d ’ingénieurs dotés d ’une large culture scientifique géné­ rale, à m êm e de se spécialiser en cours de carrière, acceptant la m obilité, connaissant les langues étrangères, m aîtrisant l’inform atique. Cela im plique égalem ent que les contacts se resserrent en tre ingénieurs de conception e t ingé­ nieurs de chantier.

L e groupe E .E . A.-Inform atique-Intelligence artificielle a situé le rôle actuel et

futur de l’Ingénieur tan t dans le secteur technique que dans le secteur com m er­ cial; l’Ingénieur constitue en effet l’interface en tre les problèm es posés et les réalisations. Il doit dont avoir reçu une bonne form ation générale technique, faire preuve de capacités d ’évolution, d ’esprit de m éthode, de créativité, et il doit être à m êm e d ’acquérir une bonne connaissance des m archés.

L e groupe “M écanique" a considéré q u ’en l’A n 2 000, la M écanique serait

plus “physique” que “m ath ém atiq u e” : la science de la m atière, la connaissance des m atériaux devraient constituer les principales préoccupations des Ingé­ nieurs, l’intégration de l’Inform atique et de l’A utom atique pouvant être d ’ores et déjà considérée com m e acquise. La m écanique sera jugée à sa capacité d ’adaptation: dans cette perspective, il conviendrait d ’y développer la recher­ che, notam m ent en conception de produits et en G énie m écanique. O n peut donc reg retter q u ’il soit difficile d ’effectuer dans n otre pays des recherches dans ces dom aines, alors q u ’elles constituent au Japon une véritable institution.

L e groupe “Culture industrielle" a insisté sur le poids de plus en plus grand des

relations hum aines au sein de l’entreprise : la com pétence et l’aptitude à la com ­ m unication l’em p o rten t de plus en plus sur l’autorité hiérarchique im posée. La culture industrielle des Ingénieurs se décrit donc en term es de m éthode et d ’état d ’esprit qui peuvent être acquis notam m ent au cours de stages dans les e n tre p ri­ ses. T outefois, ceci n ’est pas suffisant: cet état d ’esprit devrait pouvoir se forger aussi dans l’enseignem ent secondaire où, en s’appuyant sur l’en traîn em en t apporté p ar les classes p rép arato ires, on pourrait s’éloigner progressivem ent des présentations séparées des différentes disciplines.

Le groupe “Formation continue" a mis en avant le rôle pédagogique de l’Ingé­

nieur, q u ’il devra de plus en plus exercer, tan t auprès de ses collaborateurs que dans les E tablissem ents de form ation où il sera appelé à in terv en ir. Ce rôle im plique que l’on prenne en com pte la dim ension pédagogique daris la form a­ tion des Ingénieurs, en considérant que la F orm ation continue interviendra avec une im portance croissante dans l’avenir.

L e groupe “Relations internationales" a particulièrem ent ap préhendé la

grande ouverture des frontières qui va caractériser la fin du siècle. Il en a déduit une attitu d e très offensive au sujet de la form ation linguistique des futurs ingé­ nieurs: suivant les avis exposés, les futurs ingénieurs devraient connaître deux langues étrangères à leur en trée à l’E cole, et y acquérir une troisièm e. D e nom ­ breuses langues vivantes devraient être prises en com pte : s’agissant de langues “ra res” , on p o u rrait envisager des regroupem ents en tre Ecoles (com m e cela se fait déjà dans les Ecoles N orm ales Supérieures pour l’E nseignem ent du japonais***). O n peut s’attendre p ar ailleurs à une action de plus en plus im por­ tan te de form ation d ’élèves en provenance des Pays en voie de développem ent: elle donnera lieu à une concurrence en tre Ecoles françaises et U niversités é tra n ­ gères, et notre rayonnem ent économ ique et culturel d épendra en partie de notre réussite dans cette com pétition. Il ne faudra pas hésiter, dans cette perspective, à enseigner à l’étranger.

(12)

I ll - Conclusions.

La conception de l’Ingénieur de l’A n 2 000, telle q u ’elle se dégage de toutes es phases du C olloque, fait ap p araître deux caractéristiques com plém entaires qui sont appelées a m arquer fortem ent leur form ation.

1 - L ’acquisition et l’en tretien , p ar tout Ingénieur, d ’un large dom aine de com- petence ouvert sur plusieurs disciplines scientifiques ou techniques, sur la recherche et 1 évolution des connaissances, sur l’économ ie, la gestion les

relations hum aines, sur l’étranger. les

2 - L e soulagem ent de sa m ém oire p ar la m ise en œ uvre de l’Inform atique et

les possibilités croissantes q u ’apporte la T élém atique, qui im pliquent une bom ie connaissance de ces outils et des langues étrangères p ar tout

Ingé-l’intelligence et l’im agination dom inent, n ’est S n S i u ’a n n o r t p i T '” ^‘‘° " supérieure peut s’appuyer sur la solide culture generate qu ap p o rten t les enseignem ents prim aire et secondaire

Il ap p araît aussi à l’ancien D irecteur de l’E N S E T que les Professeurs de dem ain devront etre proches par leur form ation, des Ingénieurs tels q u ’ils sont décrits p ar les participants au C olloque. Cela est encore plus vrai si l’on consi- pédagogiques qui seront de plus en plus dem andées aux Ingé- îtanTi f ?•" œ m p te du rôle croissant que devront jo u e r les entreprises dans la form ation initiale et continue de tous leurs collaborateurs.

Un voit donc com bien il est nécessaire d ’assurer à la form ation des Profes-1^“ '' recrutem ent, une étendue et une ouverture com ­ parables a celles des Ingénieurs.

O n p eu t égalem ent constater la bonne correspondance qui existe en tre cette

S S re N ? E “ ° " P 'év a u . depuis qÛelqués

- O Ù la pluridisciplinarité, richesse de l’E cole est cultivée

r n r e c h e r c h e , après l’A g rég atio n ’ offre la possibilité de

d > p p r o f o „ r i “ i ! , r * '

- ou le perfectionnem ent des langues vivantes appliquées, et l’ouverture vers les

santVs"culhî^p î r * f ll^* ‘^^''eloppem ent, ap p o rten t les

compo-s e S f p f r i n nécessaires à la perception du rôle des Profes­

seurs et des C hercheurs dans le m onde d ’a u jo u rd ’hui et de dem ain

ou les relations d échange et les collaborations établies avec les entreprises connaître ce milieu et ses exigences tout en évaluant

ses à [’Ecole connaissances et des m éthodes de travail

acqui-- où l’Inform atique a pénétré progressivem ent tous les départem ents d ’enseiacqui--

’ensei-- ® ^ ses m eilleurs perform ances aux L aboratoires de R echerche

[ité d form ation continue conduit à se p é n étrer de la néces­

site d une actualisation perm anente des connaissances.

R em arque de l’auteur.

(13)

RENOUVELLEMENT DU

TIERS SORTANT DU COMITE

C onform ém ent aux statuts de l’A ssociation, nous devons procéder au renouvel­ lem ent d ’un tiers des m em bres du Com ité. Le m andat des cam arades dont les nom s suivent est arrivé à expiration.

M. B A Z IE U Guy Professeur CNAM honoraire

M .JA N SD aniel Professeur LT Nîmes

M. LIE VREM ONT Maurice Professeur ENSET

Mme R EV EILLER E Anne-Marie Professeur ENI Clermont Ferrand

M. SCHW ARTZ Marcel Professeur Université Lyon

M. W AGNER Joël Professeur LTE Vincennes

M essieurs B A Z IE U , JA N S , W A G N E R o n t exprim é le désir de ne pas se rep résen ter. N ous les rem ercions de tout ce q u ’ils o n t fait pour l’A m icale.

N ous avons 7 postes à pourvoir, notre am ie S. Prouhet décédée n ’ayant jam ais été rem placée.

Q u atre cam arades ont accepté de se présenter:

M. BERMOND Maurice B 55-58 Principal Collège Kennedy Allonnes (79) Mme BONTOUX Marie-Noëlle

née BOULESTIN D 70 Professeur à l’Ecole Hôtelière Paris

M. CHEFDEVILLE Jean Ai 52-55 Proviseur Lycée Monge Nantes

Mlle RICARD Denise A i 44-46 IPR honoraire

N ous souhaiterions que nos jeunes collègues com m e les collègues plus anciens fassent connaître leur désir de faire partie du com ité dès m aintenant. Leurs candidatures seront prises en com pte pour le renouvellem ent du 1 / 3 sor­ tan t fin 1987.

MODALITES DU VOTE.

Les votes doivent parvenir p o u r le 15 m ars 1987 à Mlle M E G E 48bis, rue B obillot, 75013 P A R IS , pour 7 sièges.

V otre bulletin doit être envoyé sous double enveloppe (avec le nom de l’ami- caliste et de l’établissem ent au dos de l’enveloppe extérieure ou son adresse pour les isolés).

Les délégués d ’établissem ent peuvent réunir les votes dans une m êm e enve­ loppe.

(14)

i / r. V. : -K-^^ : S' "\r-::.:S, r / y ^ nT-- r % y^', 'wfc î ^ f f v t .1 f f i ■ ■i' W ' ■; r 3 ’- -f !?'■ /'Jt >>'.*- • • Rr'-te-,-r È*-T V ' • • n ;■ k i- : ' . f ? ' i d s ’ i l ' H ■■ V>'<- '■ ' 'rirt-;^i ■- •‘f'.' '■" , ,:^ . V }!>^ j , y.^,:'j'j-jpV :?ÿ^--àv ,: A <"'jv I A ‘c'..,..i i; ' « f ÿ iy i V i ^ a ’T ■.;'. j.rr- 'h?:,iram ■.*'3^ < -..-îl. . ■' ;; '.' ' j.'.îl'f A iîÿ‘yM K<;iïâ iy^i J = a .i .r î ^ r / .î ; A ; n i r * -tl ' > ï ‘ •u * -.

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(15)

BULLETIN DE VOTE

M. BERMOND Maurice B 55-58

Mme BONTOUX Marie-Noëlle D 70

M. CHEFDEVILLE Jean

52-55

M. LIEVREMONT Maurice

61-65

Mme REVEILLERE Anne-Marie C 49-51

Mlle RICARD Denise A^ 44-46

M. SCHWARTZ Marcel A^ 48-50

(16)

:-'--«K.:. ■«^.1^ -i r V --r iJ ■-X . ' r.v>,' 'r-' , * V - i : ; '.?■ .'•r* ■ H m ^ r - - M l ^ ' Z v ^ i l ^ ; i : f ÿ y l r t } p h U ZAr ^ ' '.^'■y.; " ‘ r.;'^ Cy^ ,^ ;' ,^'l\ i l u ,/»...tl. L | | V <.5;-!^^ ’"' Z yyi ■ :^ÿ ■■ — - ï % r ( ^ A M p : ' f c & M . S 4 ^ i f K

(17)

;v,v-CONGRES DE CAEN (suite)

A in si que nous vous l’avons annoncé dans le bulletin 156, voici présenté par notre collègue M m e Flamand l ’expérience de travail collectif dont nous vous avions parlé.

EXPERIENCE DE TRAVAIL COLLECTIF EN CREATIVITE. — N euvièm e centenaire de la C athédrale de Bayeux.

— R elation historique en tre C antorbury et Bayeux. — Proposition du thèm e : lecture

«Sur les pas de Thom as Becket, p a r Sim one Bertrand»

— R echerche de sensibilisation au thèm e. — R echerche de m otivation créatrice.

— U tilisation de découpage ciném atographique pour l’expansion des «m om ents» de l’action.

D éterm ination des séquences: - notion de plan

- plans à l’italienne - plans à l’am éricaine - gros plans

- plans panoram iques, etc.

N otion de l’action, de l’atm osphère du décor.

— Les choix de textes seront lus lentem ent pour perm ettre à la classe, en m êm e tem ps que l’écoute, d ’exprim er graphiquem ent, spontaném ent (dessin-écri­ tu re) la vision q u ’ils en ont.

D ans certains cas (la palette p rê te ), c’est par la tache-peinture que les élèves o n t p ro je té , toujours à l’écoute du texte rép été très lentem ent et successivem ent leur im aginaire.

DETERM IN A TIO N DE L ’EC H E L L E DE LA TA PISSERIE AU M UR. S’il y a originalité de la dém arche, elle existe dans le fait que toutes mes clas­ ses o n t été engagées dans cette aventure de créativité.

C ette action a été m enée, en m ajorité, p ar le prem ier cycle, de la Sixième à la T roisièm e, des élèves de Secondes, de P rem ières, quelques Term inales. C ha­ que classe s’est divisée p a r groupes spontanés en fonction de leurs affinités et du choix de la séquence à créer.

Le découpage de l’enseignem ent des A rts Plastiques se faisant d ’heure en h eu re, la com position m urale com m encée p ar un groupe était reprise p ar les groupes des classes suivantes.

L’obligation de cette reprise de l’action perm it un déroulem ent créatif continu p ar les groupes successifs de chaque classe.

(18)

J ’ai observé à cet effet un développem ent constant du sens critique, d ’obser­ vations pertinentes concernant les changem ents survenus huit jo u rs après leur intervention, au niveau plastique p u r de l’organisation de l’action, des valeurs et couleurs.

U n sens de 1 organisation au sein de l’équipe: distribution des rôles, p erm u ­ tation des chefs d équipe, dislocations et regroupem ents de nouvelles équipes' expériences.

EXPERIENCE DU COMPORTEMENT DE CLASSE EN RAPPORT AVEC UNE EXPERIENCE

D’EXPRESSION MURALE:

TAPISSERIE NON TISSEE - FAITE DE TISSUS

MATERIAUX DE BASE.

— O pération de la collecte: vieux vêtem ents propres, repassés. O rganisation de l’atelier couleur: tissus classés p ar couleurs.

— O rganisation de l’atelier form es globales: form es géom étriques découpées en pap ier journal.T rois dim ensions classées p ar caractère de formes.

— C haque groupe face à un m ur.

— Le décor était généralem ent conçu en tissu directem ent.

— Les acteurs et autres élém ents créés p ar la juxtaposition, p ar la superposition des form es globales:

- articulations-m ouvem ents - densité-volum e

punaisés au m ur, le tout organisé, com posé.

— T ransposition des élém ents papiers, en tissu. Les form es globales papier, souvent dém ontées, servent de patrons pour la coupe des tissus, d ’où la créati­ vité réelle des personnages et de leurs costum es (aucune référence historique n a été évoquée à ce titre).

R éférence sentim entale de la couleur du décor, p o u r l’en trée des acteurs et autres élém ents p én étran t dans le décor.

— ^Mise en place précise des élém ents de l’ensem ble, cousus au m ur p ar un point — D escente de la tenture.

Pour 1 atelier dit de «broderie», laines diverses et aiguilles signifiant comme avec une pointe:

- la précision de la form e

- la mise en valeur de l’expression visages et m ains - l’ornem entation.

Il s’agit d ’expression graphique et ornem entale: - com préhension de la form e

- enrichissem ent de l’ensem ble.

J ai observé un développem ent inné dans la justesse de l’organisation de sur-l3CC.

— U ne approche de la connaissance de la com position plus sensible lors de la juxtaposition des pièces que nous avions voulues continues.

— U ne attitude à la lecture des rythm es allant de l’une à l’au tre, ce qui im pli­ quait référence à la séquence précédente.

— S’il y a unité de l’ensem ble, elle est due à la contrainte du vocabulaire. — La dém arche pédagogique a perm is, sans d o u te, la diversité et la richesse 1 6

(19)

B O R D E R E A U D ' E N V O I P O U R U N I S O L E O U U N R E T R A I T E A r e m p l i r p a r l ' a m i c a l i s t e P O U R U N E T A B L I S S E M E N T A r e m p l i r p a r le c o r r e s p o n d a n t ( 1 )__ ________

1986

1987

E T A B L I S S E M E N T D é n o m i n a t i o n a b r é g é e e x a c t e ( e x . L . T . N . G . ) N o m le c a s é c h é a n t N® d e t é l é p h o n e A d r e s s e C o d e p o s t a l — V il l e A c a d é m i e N o m d e r i s o l é o u d u c o r r e s p o n d a n t A d r e s s e p e r s o n n e l l e M . , M m e , M e l l e M. M m e M e l l e N O M ( e n c a p i t a l e s ) e t p r é n o m u s u e l N O M d e j e u n e f il le F o n c t i o n s a c t u e l l e s S e c t i o n C o t i s a t i o n + a b o n . t a r i f r é d . 130 F 1 0 0 F S o l i ­ d a r i ­ t é c o t i s a t i o n s à 130 F = c o t i s a t i o n s à 1 0 0 F = T O T A U X ... T O T A L G E N E R A L , o u r e p o r t (1 ) I n d i q u e r p a r o r d r e a l p h a b é t i q u e i n t é g r a l le s a m i c a l l s t e s o u n o n e n f o n c t i o n d a n s l ' E t a b l i s s e m e n t a u 1e r o c t o b r e 1986 o u a u S e r v i c e N a t i o n a l . V e i l l e z à l ’o r t h o g r a p h e d e s n o m s .

(20)

M e n t i o n n e r c i- d e s s o u s t o u t e s i n f o r m a t i o n s , c r i t i q u e s e t s u g g e s t i o n s s u s c e p t i ­ b le s d ' i n t é r e s s e r la vie d e l 'a m i c a l e : — M u t a t i o n s ( p r é c i s e r e n o b s e r v a t i o n s : a rriv é e o u d é p a r t e t, si p o s s ib l e é t a b l i s s e m e n t a n c i e n o u é t a b l i s s e m e n t n o u v e a u ) , — R e t r a i t e ( i n d i q u e r si p o s s ib l e a d r e s s e d e r e t r a i t e ) . — C as p a r t i c u l i e r s ( d é t a c h e m e n t , d i s p o n i b i l i t é , ...). — Mari ages, n a is sa n c e s, d é cè s. Merci p o u r v o t r e p r é c i s i o n . M M m e Melle N O M P r é n o m u s u e l S e c t i o n P r o m o O b s e r v a t i o n R e n v o y e r le p r é s e n t b o r d e r e a u , d é s q u e p o s s i b l e à

M. RESSAYRE Maurice, 10 rue Auguste Renoir 78860 SAINT-NOM-LA-BRETÊCHE { a c c o m p a g n é [ d ' u n o u d e s c h è q u e ( s ) b a n c a i r e o u d v i r e m e n t p o s t a l é t a b l i à l ' o r d r e d e u n o u d e s c h è q u e ( s ) d e A S S O C I A T I O N A M I C A L E D E S A N C I E N S E L E V E S DE L ' E N S E T c e p ; P a ris 5 4 8 8 - 9 9 K d u m o n t a n t c o r r e s p o n d a n t a u t o t a l g é n é r a l c a l c u l é au verso s o i t ...F le. Le c o r r e s p o n d a n t

(21)

Amicaliste □ Non Amicaliste P

1 9 8 6 - 1 9 8 7 En Activité □ Isolé □

Retraité □ Groupe d’Etab. □

NOM... PRENOM (usuel)... NOM de Jeune F ille... S e c tio n ...P ro m o tio n ... Nom et adresse de l’établissement d’exercice...

Fonction exercée.

F i c h e à r e m p l i r a v e c s o i n r e c t o - v e r s o p a r t o u s le s a n c i e n s é l è v e s d e l ' E N S E T .

Les cotisations sont recueillies :

— par le correspondant d ’établissement qui les transmet au trésorier, — par le trésorier lui-même pour les Isolés.

Pour la mise à jour du fichier et l’annuaire on considère qu’un établissement est le lieu dans lequel est donné un enseignement (Lycée, Collège, Département d ’I.U.T., Université, Grande école,...) et où exercent au moins 2 anciens élèves de l’E.N.S.E.T.

La mise à jour de l’annuaire est effectué à partir du BORDEREAU D’EN­ VOI aussi bien pour un établissement, qu’un retraité ou un isolé.

La mise à jour du fichier d ’expédition est effectué à partir de la FICHE CI-DESSUS (recto-verso).

Sont considérés comme isolés, les retraités, les personnels d’inspection, ou d’administration ministérielle, académique ou départementale, les profes­ seurs du iC .N .E .D .

L’envoi des bulletins et des annuaires sera désormais effectué chez l’amica- liste à son adresse personnelle (dim inution de nos frais d ’expédition par la tarification “envoi en nom bre’’).

(22)

Adresse personnelle :

Mme, Mlle, M ...

Code p o s t a l ... Ville Rectifications ou changement d ’adresse :

Collez ici l’étiquette d ’expédition corrigée

F i c h e â r e m p l i r a v e c s o i n r e c t o - v e r s o p a r t o u s les a n c i e n s é l é v e s d e l ’E N S E T .

M ontant de la cotisation et de l’abonnement aux bulletins trimestriels : — 130 F pour les amicalistes en activité.

— 100 F pour les amicalistes retraités.

Adresse de notre TRESORIER

M. Maurice R E S S A Y E E

10, rue Auguste Renoir

_________ 78860 S A I N T - N O M - L A - B R E T Ê C H E

M o d e d e P a ie m e n t n o m ...S e c t i o n ... P r o m o ... C h è q u e ; B a n c a ire P o sta l M o n ta n t ... A l'o r d r e d e ; A S S O C IA T IO N A M IC A L E d e s A N C IE N S E L E V E S d e l’E N S E T c c p P A R I S 5 4 8 8 - 9 9 K

(23)

d ’expression.

1077-1983: il est à n o ter que la Tapisserie est restée trois années en attente. — R eprise en fonction des possibilités pédagogiques de certaines classes (ce qui explique la plus grande participation du prem ier cycle) et en fonction des possi­ bilités de lieu:

- Prem ier environnem ent: A ncien grenier du Lycée,

- D euxièm e environnem ent: A telier d ’arts plastiques rénové. G rand espace. U n docum ent vidéo a été réalisé au cours de cette recherche en 1983-1984.

F rançoise F L A M A N D P rofesseur A rts Plastiques

L ycée A lain Chartier B A Y E U X

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(25)

ACTIVITE DES GROUPES REGIONAUX

GROUPE DE L’ACADEMIE DE MONTPELLIER

Compte rendu de la réunion du 8 juin 1986

L a réunion annuelle du groupe de l’A cadém ie de M ontpellier s’est ten u e à Béziers le 8 juin 1986. E taien t présents:

à'A ies: M. et M m e D A Y R O L L E , M. et M m e ISA FFO .

de Béziers: M. et M m e A Z A ÏS , M. et M m e C L A IR . de M ontpellier: M. et M m e C A P E L L E , M. e t M m e R E IX , M. et M me O G E R , M m e R U Y , M m e R E G N IE R , M m e B E L O R G E O T . de N îm es: M. et M me JA N S. de Perpignan: M. et M m eA T G E , M. et M m e B R U M A N . Retraités: M. et M m e A L A N Z E N , de Paris, M. et M m e D E G E L E E , des M atelles, M. e t M m e A R T IG U E S , de M ontpellier, M. et M m e M E JE A N , de M ontpellier, M. et M m e N O R B E R T , de N îm es,

soit au total u ne quarantaine de personnes, plus une dizaine d ’enfants. Le rendez-vous était fixé à 9 h 30 sur les allées Paul R iquet. P ar une belle m atinée ensoleillée, e t sous la conduite d ’un guide de la Société d ’archéologie de B éziers, nous traversons la vieille ville pour atteindre la cathédrale St N azaire, perchée sur une terrasse qui dom ine l’O rb, e t qui p o rte encore des traces de la guerre des A lbigeois. A près visite de la cathédrale et de con cloî­ tre , transform é en m usée lapidaire, nous parvenons au jardin de l’Evéché d’où l’on a une vue m agnifique sur l’O rb , le p o n t vieux construit au 13ème siècle et le po n t neuf. A u reto u r, nous visitons encore un vieil hôtel avec sa cour, son jard in , son vieux puits, etc.

A m idi, nous nous retrouvons au restau ran t du château, à C olom biers, près de B éziers, en bordure du canal du Midi où passent de nom breux bateaux de plaisance. A p rès un bon repas, nous nous dirigeons vers l’oppidum d ’Ensé- ru n e, to u t proche, où nous atten d le conservateur honoraire du m usée, vieux p rêtre de 80 ans resté très actif. Il nous retrace l’histoire de l’oppidum , depuis la prem ière occupation gréco-ibère, avant l’occupation rom aine, ju sq u ’à la dis­ parition de sa population, aux prem iers siècles de n otre ère. Puis, sous sa direction, nous visitons le m usée, où sont rassem blés tous les ob jets trouvés au cours de fouilles, soit dans le sol des m aisons, soit dans la nécropole: coupes, vases, am phores, etc, d ’origine grecque ou rom aine.

La jo u rn ée se term ine p ar une courte visite de l’abbaye de F ontcaude, en cours de fouilles et de restauration.

E nfin, c’est la séparation, après une jo u rn ée bien rem plie e t favorisée p ar un tem ps m agnifique. U n grand merci à nos cam arades de B éziers, p o u r l’organi­ sation de cette réunion, et à l’an prochain à Alès!

M .N O R B E R T

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VIE FAMILIALE

Décès

M A U R Y , née L E G R O S C olette (D 50- 53) le 13 août 1986 à Perpignan (66). M me M A U R Y fut professeur au Lycée

Jean L urçat de Perpignan. ^

Nous apprenons le décès de M onsieur C U IL L IE R Jean , professeur hono- raire de lettres classiques décédé à M ulhouse (68) le 29 septem bre 1986, époux de M adam e C U IL L IE R , nee F L O R E N T IN G abrielle (A^ 45-47).

M adam e J e a n - C la ^ e R O U G IE R nous fait p art du décès de son m ari M on­ sieur Jean-C laude R O U G IE R (A 51-54), professeur de m athém atiques spé- ciales au Lycee technique T U R G b j de Limoges (87). Les obsèques ont eu

heu le m ardi 4 novem bre 1986. ^ ^

Nous prions les familles éprouvées d ’accepter nos bien sincères condoléan-ces.

NECROLOGIE

N otre collègue Jean M A R T Y vient de nous q uitter brutalem ent Les

obsè-^ a s s e r obsè-^ d U o V f obsè-^ é j C u r r obsè-^ obsè-^ obsè-^

Jean M A R T Y avait été professeur de construction au lycée technique de

G é n é r a r ’ Pédagogique R égional, avant de devenir Inspecteur

Ingénieur A rts et M étiers” de form ation, il a apporté au groupe les ressour­ ces de sa com petence sûre, de son expérience d ’ingénieur et de Professeur et

m^pnt système éducatif et plus particulièrem ent de l’enseigne­

m ent technique qu il a servi avec un très grand dévouem ent.

bon am abilité, son sens aigu de l’am itié restero n t présents dans nos esnrits

com m e son hum our malicieux et son vif sourire. ’

C ’est pour nous une grande perte.

(27)

BIBLIOGRAPHIE

CE QUE PUBLIENT NOS CAMARADES

D roit public - C oncours adm inistratifs. — Cours. T extes d’application. Sujets d ’étude. Par A . G IM A L A C (D 58-59). Préface de P. D E L V O L V E (professeur à l’U n iversité de D r o it, d ’éco n o m ie et de scien ces sociales de Paris). E d. B E L IN , 8, rue P érou , 75006 Paris.

Cet ouvrage de syn thèse et d ’application veu t, par sa péd agogie très étu d ié e, faciliter aux non-juristes l’approfondissem ent du D roit public. Il est à la fois instrum ent de for­ m ation et de recyclage.

Il rep résente plusieurs livres en un seul; droit con stitu tion n el, droit com m unautaire, libertés publiques, droit adm inistratif général et sp écial, élém en ts de droit financier et d ’urbanism e. U n e large place est faite aux n ou velles réform es, en particulier à celle de décentralisation qui a de nom breuses répercussions touchant par ex em p le les agents et budgets des c ollectivités locales, les C ham bres régionales des com ptes. D e m êm e est pré­ sen té une étu d e des libertés publiques, qui englobe les libertés de la presse e t de la co m ­ m unication aud io-visuelle d ’une grande actualité.

L e public intéressé est par suite très divers: candidats aux concours adm inistratifs, encore étudiants ou déjà entrés dans la vie active, ayant ou non déjà reçu un e initiation juridique; agents de l’Adm inistration qui doivent suivre des cycles de form ation; candi­ dats à l’A grégation d’E co n o m ie et G estion qui peu ven t ainsi éviter recherches et perte de tem p s; nom breux autres étudiants tels que ceu x de C apacité en D roit (1ère et 2èm e ann ées).

La présentation très articulée, la m ise en relief des poin ts-clés, facilitent analyses et syn thèses. La nu m érotation sp éciale des divers d évelop p em en ts du livre perm et, par des renvois dans le corps du tex te , d ’assurer tous les liens nécessaires. E lle est co m p létée par l’ind ex des m atières qui vise les points de droit recherchés et par le classem en t des d éci­ sions juridictionn elles citées. Enfin les d évelop p em en ts s ’appuient sur de nom breux exem p les et sont p rolongés et approfondis par de m ultiples tex tes th èm es de réflexion. Chim ie expérim entale fascicule X X II par Julien S T E Y A E R T (A 46-48). F orm ation per­ m anente des professeurs de physique de l’en seign em en t secondaire, université C laude Bernard, Lyon I, U E R de physique.

N otre cam arade Julien S T E Y A E R T (A 46-48) professeur à l’E c o le N orm ale N a tio ­ nale d ’A p pren tissage de Lyon vien t de publier le fascicule X X II de la collection du lab o­ ratoire dirigé par M onsieur le Professeur R U H L A .

N otre cam arade. M onsieur l’Inspecteur G énéral de l’E du cation N atio n a le, G erm ain O D E R M A T T (A 51-54) nous a autorisé à reproduire sa préface, qui est la m eilleure m anière de présenter l’ouvrage de Julien S T E Y A E R T . N o u s l’en rem ercions vivem ent.

« L ’en seign em en t des scien ces physiques s’appuie sur la réalité concrète exp érim en ­ tale. Il n écessite un équ ip em en t adéquat: salles de cours a m én agées, salles de travaux pratiques, m atériel à usage didactique ainsi qu e des horaires perm ettant d ’organiser des séan ces de travaux pratiques avec les effectifs réduits qu’im posent la m odicité du parc de m atériel et les conditions de sécurité. C et en seign em en t se caractérise à la fois par la pré­ sentation et l’exploitation d ’exp érien ces de cours réalisées par le professeur devant sa classe et par des travaux expérim entaux personn els d’élèv es m en és sou s la direction du professeur.

M onsieur S T E Y A E R T propose ici un ouvrage, élab oré sans aucune décharge adm i­ nistrative, dont le but est de perm ettre aux jeu n es professeurs de se fam iliariser avec l’aspect expérim en tal de notre en seign em en t de scien ces physiques aussi bien dans l’en seign em en t classique que dans l’en seign em en t tech nique. C et ouvrage regroupe des inform ations e t une docum entation que l’on trouve rarem ent dans les m anuels. Il in té­ ressera notam m ent les professeurs qui vien nent d’être chargés d ’un laboratoire scien tifi­ que d ’en seign em en t. L es produits chim iques sont étudiés et p résentés avec la législation

(28)

profession n elle qui en reglem ente l’usage industriel dans divers pays. L ’auteur en déduit les con seils de prudence qu e l’on peut en tirer quant à une utilisation pédagogiq ue ne fai- * ^ ité " quantités réduites de produits pendant un tem ps toujours très S T F Y A P IÎT prop osées ont é té réalisées e t l’ouvrage de M onsieur î > l t Y A t R I don ne tous les ren seign em ents n écessaires pour q u ’elles réussissent

sans le concours efficace de M onsieur le Professeur K U H L A qui a bien voulu inclure 1 ouvrage de M onsieur S T E Y A E R T dans la collection phyTiques P® S^^iQues destinés à la form ation perm anente des professeurs de scien ces

L ’Inspecteur général G erm ain O D E R M A T T (A j51-54)

NOUS AVONS REÇU

Electronique: problèm es d ’exam ens corrigés et com m entés. - E lectron ique des petits « g n a u x , T om e 2 1986 par D . B E N A D D A et F. V A N D E V IL L E , 232 p ages, 110 F éd. E yrolles, 61 boulevard St G erm ain , 75240 Paris céd ex 05. '

a apporté au choix des problèm es d ’exam en proposés dans cet ouvrage et a la m éth od e ad op tee dans la rédaction des corrigés.

im pulsion s, l’oscillation , le filtrage e t l ’applica- îiarh dispositifs industriels (générateur d ’im pulsion s, circuits de com m an de des hacheurs e t asservissem ent de la vitesse d ’un m oteu r).

Pour être conform e aux program m es les plus récen ts, une part im portante a é té réser­ v ée aux am plificateurs opération nels. «=<ieL cicscr

La plupart des m ontages électron iq u es com m e les com parateurs, les triggers les m on ostab les bistab les, astab les, les transform ateurs d ’im pulsion s, les conform ateûrs à d io d es, les filtres... son t étudiés dans les différents su jets p rop osé^ " ™ i« eu r s a

Com m e pour le tom e 1, les solution s sont d ’un e part extrêm em en t d étaillées ne lais- sant dans 1 om bre aucun raisonnem ent interm édiaire, et d ’autre part largem ent com m

en-paifkire ses œ Z L T c e r rencontrées et de

L ouvrage s ’adresse en prem ier lieu aux étudiants préparant la m aîtrise E E A le BTS et le D U T gén ie électrique. 11 sera par ailleurs un outil de pt ipt t h pr®r^‘®ux pour les auditeurs du C N A M , les ingénieurs en cours de form ation et les tech nicien s supérieurs de l’industrie. lo n iia iio n .vpp“îîl SA V O IR & SA VO IR FAIR E des E d ition s C E D IC nous découvrons avec plaisir les cinq nou veau x volum es: uci.uuviofis P*’®"’'ère S / E V olu m es 1 et 2 , par R oger P roteau, D a n ièle Spéradio et Bernard M A TH S Term inais A l , par G in ette M ison et R en é G authier

T f-m in a les A 2 / A 3 , par G in ette M ison et R en é G authier. M A TH S Term inale B , par G in ette M ison et R en é G authier.

1 -^^“P o Z s de ren èfp ” collection est structuré en quatre parties bien distinctes: nitions dp ' H f ? proprem ent parler un cours m ais un e syn thèse de défi-PMP H rjc form ules et de m éth od es opératoires. U n cod e alphanum

éri-reference situe dans la marge perm et des renvois aisés.

l - Pour s exercer” regroup e, outre les an ecd otes historiques chères à la C E D IC les exercices d application. Certains sont com plètem en t résolu s, d ’autres con tien n en t’des indications ou des astuces pour la recherche de la solution. com ien n en t aes

Pour se tester” propose un recueil de q u estion s sim ples en Q .C .M .. Le nrincine du questionnaire a choix m ultiple est plus qu e discutable dans un cours ii n ’en est pas de m em e dans un ouvrage destiné avant à un travail personn el de révision ^

L index term inant chaque ouvrage perm et de retrouver rapidem ent une définition ou un e propriété avec les exercices qui s ’y rapportent. a eim itio n ou coUecfion SAVOTR^^ “P®"'' ®’®’‘ercer” , chaque ouvrage de la d^ & S A V O IR F A IR E se présente com m e un instrum ent de révision et de m ise a jour des connaissances. U n e disposition “m écan ograp hique”, les figures e t les an ecd otes en n ch issen t le propos e t facilitent l’accès à la “substantifique m o ëlle” .

B. Braun A . 66-70

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Electronique - C oncepts de B ase. Par François D A T T E E avec la collaboration de D a n ielle V E N O T ingénieurs E .S .E ., professeurs à l’E .S .E ., 522 pages ch ez Eyrolles.

Issu directem ent du cours de prem ière an n ée de l’E c o le Supérieure d ’E lectricité, l’ouvrage de François D a tté e propose un e solid e form ation de base à l’électroniqu e ana­ logiq ue. S’adressant au p rofessionn el le cours ne s ’éloign e jam ais des réalisations indus­ trielles actu elles et parvient à d égager de ces réalisations tech n ologiq u es la fonction e t le m od èle théoriq ue.

La prem ière partie de l’ouvrage - “Signaux, systèm es, o p érateu rs.” propose une sen si­ bilisation aux deux aspects fon ction n el et structurel du com posan t électron iq u e, cette prem ière étap e m otive le lecteur e t l’engage à poursuivre son étude.

En secon d e partie - “E xem p le illustratif.” les auteurs appliquent les principes e t les m éth odes vues précédem m en t à un cas classiqu e, celui de l’am plificateur.

La troisièm e partie - “C om posants et m acrocom p osan ts.” occu pe la m oitié du livre. T rois com posan ts son t étudiés en détail: la diod e jon ction , le transistor bipolaire à jo n c­ tion et l’am plificateur opération nel. Pour chaque com posan t des m od èles son t p roposés suivis des schém as d’application courants, citons:

- pour la diod e jonction: applications au redressem ent et à l’éch antillonn age, régulation par diod e Z éner.

- pour le transistor bipolaire: applications aux sources com m an d ées, sources de ten sion , sources de courant, miroirs, transistors com p osites, e tc ...

- p o u r l’am plificateur opération nel: opérateurs lin éaires, com parateur, redresseur, générateur de signaux.

E n conclu sion un e bibliographie e t les fiches constructeur de q u elq ues com posan ts classiques com p lèten t un ouvrage déjà résolu m en t professionn el.

B. Braun 66-70 Guide Pratique de la C om m ande N um érique par R ob ert Intartaglia et Philippe L eco q , 191 pages aux édition s D u n od .

B on gré mal g ré, la com m ande num érique pénètre l’E n seign em en t T ech niqu e et Pro­ fession n el. L e “G uide Pratique de la C om m ande N u m érique” vise particulièrem ent le public d es é lè v e s des L ycées T ech n iq u es, des L ycées P rofession nels e t d es C .F .A . c o n ­ frontés à cette révolution.

L es auteurs présenten t la tech n ologie e t les principes de program m ation des systèm es num érisés en restant près d’un e réalisation industrielle: le N U M 560. D e nom breux exem p les détaillés enrichissent le propos. L ’ouvrage se term ine sur une quarantaine de fich es tech n ologiq u es ou fich es d ’aide à la program m ation.

G uide pratique le livre de R. Intartaglia et P. L ecoq l’est certain em ent, la qualité et l’abondance des figures, la clarté de la m ise en page en font une excellen te n otice d ’appli­ cation que les utilisateurs de N U M 560 apprécieront. L es puristes regretteront un m an­ que certain de rigueur dans la présentation des m od èles m athém atiques et inform atiques proposés.

B . Braun A^ 66-70 M ATHS T om e I par F. Liret et M . Z ism an, M aître A ssistant et P rofesseur à l’U n iversité Paris V II, 404 pages ch ez D u n od U n iversité.

«O ù l’étudiant en scien ces de prem ière ann ée découvrira au long de 59 (courtes) leçon s ce qu’il doit apprendre lors du prem ier sem estre; e t assim ilera ce cours “participa­ t i f ’ grâce aux constants con seils des au teu rs...»

L ’ouvrage de F. Liret et M . Zism an prétend être différent, il ren oue en fait avec la grande tradition du livre de cours par opp osition à l’austérité des m anuels thém atiques de référence. La structure de M A T H S le destine avant tout au vaste public des étudiants autod id actes ou insuffisam m ent encadrés: chaque leçon est la transcription d ’un e séan ce com p lète avec ses défin ition s, ses dém onstrations, une rem arque ou un dessin hum oristi­ que e t les révisions à faire.

Extrait du som m aire de M A T H S T om e 1: T héorie des p olyn ôm es. N om b res com ­ plexes. P olyn ôm es à coefficien ts com p lexes ou réels. F onction s num ériques. Suites. F onction s continues. D ériv ées. D év elo p p em en ts lim ités. G raphe des fonctions num éri­ ques. Form ule de Taylor. Intégrale des fonctions m on oton es. Logarithm es et ex p o n en ­ tielles. Calcul des orim itives. D éco m p o sitio n en élém en ts sim ples. Prim itives d es fo n c­ tions rationnelles.

B . Braun A^ 66-70 23

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par P .-A . P A R A T T E et P. R O B E R T . C ollection “Traité d’Electri- d ’E lectrotech n iq u e” , D u n o d , 17, rue R ém y-D u m on cel B P 50 75661 P an s C edex 14, 1986, 15,5 X 24, XII + 368 p ages, broché, 200 FF

précises constitue un préalable indispensable au d évelop p e- ÎTpmlnt f ® "’.'5® œuvre des tech niques. En ce sen s, la m esure est

certaiscientifique la plus fond am en tale. M ais on ne m esure pas une tem -m S = ' 1; Z ™ ™ : ' , " ' * d 'éch ap p em en , d 'u n . Pour choisir en fonction de la situation, un procéd é de m esure approprié, il est néces-r o n fnéces-r ^ |p ^ ° f ^ ^°""®‘ssance suffisante des m éth od es de la m étrologie et de savoir contrôler et interpreter les résultats.

com m e la ph ysiqu e, la chim ie et les m athém atiques d u n e part des techniques recen tes com m e la m icro-electroniqu e, la m icro-inform atique, l’op toélec- trimique d autre part, ont leur place dans la m étrologie m oderne.

C et aspect pluridisciplinaire lui don ne un cham p d ’application très vaste. C e livre en présenté les caractéristiques essen tielles dans le but d ’amer les lecteurs à maîtriser les p roblèm es de m esure auxquels ils son t confrontés.

u 1 - C aractéristiques m étrologiq ues d ’un systèm e de m esure. 2 -

du b r i H t ^T r * m esure. 3 - B ruit, m éth od es actives et passives de réduction

du bruit. 4 - Circuits de m esure analogiques. 5 - A cq u isition inform atique des m esures 6 - Sources lum ineuses. 7 - Capteurs optiqu es passifs. 8 - Capteurs optiqu es actifs 9 g r l? h T e'^ n d 1 ? a n a l^ 't™ ù r '' ' ° “ électriques. 11 - A n n exes. B iblio-T héorie des réseaux de K irchhoff par R. B O Iiblio-T E et J. N E IR Y N C K . C ollection “iblio-Traité RP sn et d ’E lectrotech n iq u e’’, D u n o d , 17, rue R ém y-D u m oncel

r v c V l C edex 14, 1986, 15,5 X 24, V III + 320 p ages, broché, 180 FF C est la puissance et la sim plicité du m od èle de K irchhoff qui en ont fait le succès Les p h én om èn es electriques se propageant à la vitesse de la lum ière, on peut postuler que la

L a n d p , electriques n ’ont pas de dim ensions. D è s lors les relations entre les n.TP electriques caractérisant les différents dispositifs du circuit ne d épend en t plus mpnt fpc Les règles gouvernant ces con n exion s sont

précisé-ent les céléb rés lernmes de K irchhoff. C ette schém atisation presque outrancière reste valide pour de nom breux cas et offre des m éth od es de résolution exactes sîm oîes à m anipuler e t d ’une rem arquable sou p lesse. exactes, sim ples a A don n e aux étudiants et ingénieurs électricien s et électroniciens les m étho-f ® ®°"*.“ “ 'isees dans l’analyse des réseaux et leur expliq ue la relation qui existe entre un circuit et son m od èle. O n m ontre en particulier com m ent le m odèle de K irchhoff petit servir a m ettre en équation non seu lem en t des systèmes électriques mais aussi des systèmes m écaniques ou acoustiques. eiectnques mais

Table des matières: 1 - D éfin ition des réseaux de K orchhoff. 2 - Propriétés générales de^s systèm es. 3 - A n alyse des réseaux élém en taires. 4 - M ise en équation des réseaux

t i n n f f reseaux linéaires. 6 - Etude du quadripole. 7 -

Distribu-r L t “ l X a t S û e .- ^ Laplace.^^BiblJgraphie. Sol

A TRAVERS LES REVUES

Arts et M étiers N . 6 sept-oct 85

L e th èm e principal choisi est l ’industrie agroalim entaire. U n historique c o m o lété de "'t'iÎi des p erspectives d ’avenir de l’I. A .A . française. * Tin» 'o .‘consacre a l utilisation des autom ates program m és TIlOO et TI300 * U n e é tu d e ’de M' la qu erelle privatisation-nationalisation. N 7 îo v -d é c 85 contradictions de l’éco n o m ie m oderne.

* C om pte-rendu des entretien s de V ersailles sur le thèm e “prendre des m archés” nas- sage en revue de dix exem p les de réussites industrielles récen tes prouvant q u ’il est possi- ble de gagner, m em e dans des conditions très difficiles. ^ ^

Chronique de G. Donnadieu: “l’approche systémique” méthode qui permet de déchif- rer une réalité complexe (biologique, économique, sociologique...) pour la comprendre

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et m ieux agir sur elle.

* U n article très éto ffé nou s expliq ue l’origine des com ètes. N . 1 jan-fév 86

* C om pte-rendu des entretien s de M onastir th èm e “in ven tez v os m archés” un e étu d e d es m oyens don t nous disp oson s pour gagner la guerre écon om iq u e qu e l’on nous im pose.

* Production assistée par ordinateur - l’installation d’une G P A O dans un e usin e ob lige à tout rep en ser pour standardiser au m axim um .

* G . D on n ad ieu s ’interroge sur les possibilités réelles du désen gagem en t écon om iq u e de l’état Français.

* C om paraison entre les deux m éth od es d’am élioration du produit: l’analyse de valeur et le cercle de qualité.

* A . M ichel nou s don ne à réfléchir sur les con séq u en ces des découvertes scientifiques et techniques.

N . 2 m ars 86

* U n e étu d e sur l’analyuse de valeur aux usin es P eu geot.

* U n article consacré à l’évolu tion des règlem ents relatifs à l’im position fiscale du savoir faire (b revets, e t c ...) .

* L e com m issaire aux com ptes : l’accroissem ent du rôle du m onsieur vérité de l’en tre­ prise.

N . 3 avril-m ai 86

* D an s sa chronique G . D on n ad ieu se pen ch e sur les perspectives d ’em p loi des an n ées à venir et envisage une redéfinition com p lète de la pratique du travail.

* E xportation - l’écu eil des norm alisations tech niques des pays im portateurs. * L ’industrie au tom ob ile m ondiale: un e évolu tion radicale en q u elq ues ann ées. * A . M ichel d én on ce un m al qui aném ie l’éco n o m ie française à savoir la “p o n ctio n ite” d es em prunts d’é ta t, qui drainent l’épargne, au détrim ent des entreprises.

Références

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Les convulsions sont traitées par une benzodiazépine (diazepam 0,5 mg/kg sans dépasser 10 mg/injection IV ou IR, midazolam ou clonazepam 0,03 à 0,05 mg/kg sans dépasser 1 amp/inj),