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L'enseignement du BIM dans les écoles d'architecture françaises

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Academic year: 2021

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(1)U SE. Mémoiredeséminaire:conditionsdeconsultation. O. AT IO D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. L’auteur du document accorde les droits d’usages suivant :. U LO. Ce document est protégé par le droit d’auteur (art. L. 112-1 du Code de la propriété é intellectuelle). intell. OUI. Impression. ✔. Diffusion Intranet. ✔. Diffusion Internet. ✔. Exposition. ✔. Publication non commerciale. ✔. LE. N. ✔. O EC. NON. Consultation sur place.

(2) U. LO. U. SE. FAILLIÈRES Clément n°09111. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. O. MÉMOIRE DE MASTER :. L’ENSEIGNEMENT DU BIM DANS LES ÉCOLES ÉCOL RANÇ ÇAIS SE D’ARCHITECTURE FRANÇ FRANÇAISES.. EC O. LE. N. AT. IO. Problématique : Quel est l’état ’état actuel ac actue ctu de l’enseignement du oles les d’architecture d’ d’archi ’arch BIM dans les écoles françaises?. Sous la tutelle de Mme. MARQUES SANDRA & M. FERRIES Bernard Séminaire S. 87 AN : Architectures Numériques École Nationale Supérieure d’Architecture de Toulouse. 30 AOÛT 2014.

(3) EC O. LE D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. IO. AT. N. U. O. U. LO. SE.

(4) SE U LO U O. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. MÉMOIRE DE MASTER:. L’ENSEIGNEMENT DU BIM DANS LES ÉCOLES ÉCOL NÇAIS NÇAIS D’ARCHITECTURE FRAN FRANÇAISES. EC O. LE. N. AT. IO. Problématique : Quel est l’état ’état actuel ac actue ctu de l’enseignement du oles les d’architecture d’ d’archi ’arch BIM dans les écoles françaises?.

(5) EC O. LE D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. IO. AT. N à Marie-Antoinette Jacquet... t.... U. O. U. LO. SE.

(6) REMERCIEMENTS : Je tiens tout particulièrement à remercier mes deux tuteurs de mémoire, Madame Sandra MARQUES et Monsieur Bernard FERRIES qui m’ont été d’une aide précieuse, qui ont su me guider et me conseiller lors de la réalisation de ce. U. U. LO. disponibles, ils n’ont pas hésité à m’aider dans la réalisation de mes travaux.. SE. travail. Leur participation et leurs relectures m’ont été indispensables. Toujours. O. Supérie Je tiens également à remercier la directrice de l’École Nationale Supérieure. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. q qu d’Architecture de Toulouse, Madame Monique REYRE, sans qui les questionnça aisess n’auraient na naires aux étudiants et surtout aux écoles d’architecture françaises ussi Messieurs Me essieu Daniel essieur pas recueilli un si grand nombre de réponses. Je remercie aussi oration n du questionnaire qu BONNAL et Frédéric LESUEUR pour leur aide dans l’élaboration aux écoles d’architecture.. ulier à ma soeur, so J’adresse un remerciement tout particulier Élise FAILLIÈRES e et la correction correc pour son aide immense dans la relecture de ce mémoire ainsi EMH HANDEZ-I DEZ- M qu’à mon éternelle binôme Khadija LEMHANDEZ-IMANI pour son soutien et son A pourr son on n aide a aide. Sans oublier Dounia LARAICIA et ses corrections.. ntt tout te e l’équ Je remercie également toute l’équipe de la « Boucherie » de l’ENSA de SSIOT, Fathia Fathia RIAH et Daniel VALÉRO, pour leur soutien Fa Toulouse, Françoise GASSIOT, lleur eur ur a ide tec moral sans faille, et le aide technique irremplaçable avec une mention partiame G ASSIOT pour sa relecture de mes travaux. culière pour Madame GASSIOT. AT. IO. er toutes tout les écoles d’architectures françaises, leurs directeurs Sans oublie oublier. N. rs pers els qui ont pris le temps de répondre à notre questionnaire. et leurs personnels. EC O LE. Et bien b sûr les étudiants de l’école d’architecture de Toulouse qui ont par-. ticipé à l’enquête sur les outils numériques et le BIM.. Page: 5.

(7) EC O. LE D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. IO. AT. N. U. O. U. LO. SE.

(8) TABLE DES MATIÈRES. 5. Avant-propos. 9. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. Introduction. O. U. LO. U. SE. Remerciements :. Partie I : Présentation du contexte. 11. 13. 1. Présentation du BIM :. 13. 2. L’Impact du BIM :. 14. 3. L’enseignement du BIM à l’étranger : 15 3.1. Le Royaume-Uni : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 3.2. Les États-Unis et le reste du monde monde ond : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. 4. Conclusion de la présentation n du contexte contex onte ext x :. 16 18. Partie II : étude de cas as : l’école l’éc école nationale supérieure d’architecture 20 de Toulouse 1. Les enseignements ement ments du BI BIM à l’École d’architecture de Toulouse. 20. IO. 2. Analyse du que questionnaire estionn aux étudiants de l’E.N.S.A. Toulouse: 22 2.1. Présentation Présentatio entatio du contexte : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22. 24 2.3. La perception du BIM par les étudiants : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 2.4. Le choix du logiciel pour faire du BIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 2.5. Le niveau des étudiants en matière de BIM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32 2.6. Le(s) moment(s) de l’enseignement du BIM : . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 /HVGLϝpUHQWHVPpWKRGHVG·HQVHLJQHPHQWGX%,0 . . . . . . . . . . . . . . . 37. EC O. LE. N. AT. 2.2. La connaissance 2.2 con du BIM : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. 3. Conclusion de l’étude de cas : L’E.N.S.A. Toulouse :. 41.

(9) Partie III : L’implication des écoles d’architecture dans l’enseignement du BIM 44 44. 1. Présentation des écoles d’architecture françaises :. 2. Analyse du questionnaire aux écoles d’architecture françaises: 45 2.1. Présentation du contexte : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45. 45 2.3. Le(s) lien(s) avec l’enseignement du projet : . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48 2.4. Le(s) lien(s) avec les enseignements hors projet : . . . . . . . . . . . . . . . 51 2.5. L’enseignement des pratiques collaboratives : . . . . . . . . . . . . . . . . . 53. O. U. LO. U. SE. 2.2. L’enseignement du BIM en formation initiale : . . . . . . . . . . . . . . . . .. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. 3. Conclusion sur l’implication des écoles d’architectures française an nçaise çaise dans l’enseignement du BIM :. 55. 57. Bibliographie. 60. Annexes. 62. N. AT. IO. Conclusion.

(10) AVANT-PROPOS Lorsqu’il nous a été demandé de choisir un thème pour notre mémoire j’ai choisi le thème de l’enseignement du BIM1 pour plusieurs raisons. Pour commencer, j’ai été surpris tout au long de mes études du fossé qui existe entre. SE. les enseignements des outils numériques et l’enseignement du projet. Lors de. LO. U. ssin sin ma première année, comme tout le monde, j’ai appris ou approfondi le dessin. U. à la main que ce soit pour les dessins techniques (plans, coupes, etc) ou les. O. ère année, ann documents graphiques (croquis, perspectives, etc). Mais dès la première. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. no ota ta lorsque commencent les enseignements aux outils numériques ett notamment pliquen pliq nt. Enthoul’apprentissage de logiciels d’architecture, les choses se compliquent. PPpGLDWHPHQ WHPH YRXOX VLDVPp SDU OHV SRVVLELOLWpV TX·RϝUHQW FHV ORJLFLHOV M·DL LPPpGLDWHPHQW our dessiner desssiner siner mon m mettre en application ce que je venais d’apprendre pour projet. der par par mon enseignant qui C’est alors que je me suis fait durement réprimander peu importe im mp mpo m’a interdit de dessiner autrement qu’au « traitt » peu le logiciel. J’ai erformant erforma nt pour pou en revenir à du destrouvé cela aberrant d’utiliser un outil très performant sin à la main assisté par ordinateur.. rWUH H DP DPSOLÀp SOLÀpH  &HWWHFRQVWDWDWLRQQ·DIDLWTX·rWUHDPSOLÀpHDXIXUHWjPHVXUHGHVDQLQWp pUrW UrW SRXU OHV RXWLOV QXPpULTXHV M·DL QpHV (Q HϝHW SRXUVXLYDQW GDQV PRQ LQWpUrW oix ix d’intensif d’intensif sur certains logiciels. Ces enseignesuivi les enseignements au choix e compte, comp ments m’ont permis de me rendre encore un peu plus, des possibilités FLHOV &HS FLHOV & SHQG &H TX·RϝUHQWWRXVFHVORJLFLHOV&HSHQGDQWHQSDUDOOqOHMHFRQWLQXDLVjGHVVLQHUHQ d d’autr ’autrres logi log deux dimensions surr d’autres logiciels pour le projet. Une réelle perte de temps. es autres autr autres étudiants étu Discutant avec les de ma promotion et de l’école en général, ndu compte com mpte que q je n’étais pas le seul dans cette situation mais que je me suis rendu. AT. IO. blait normal no ormal pour p cela semblait tout le monde ou presque. En parallèle de ces ensei-. N. ents au choix oix certains de mes camardes m’ont parlé d’un autre module au gnements. EC O LE. oix qui qui u proposait à un groupe d’étudiant de travailler à plusieurs et en même choix WHPS WHPSVVXUODPRGpOLVDWLRQG·XQPrPHSURMHWVXUXQPrPHÀFKLHU Malheureusement, ne pouvant pas être à deux endroit à la fois je n’ai pas. pu assister à cet enseignement. Et puis ce n’est qu’en quatrième année, en participant au séminaire sur l’architecture numérique, que j’ai pu comprendre et mettre des mots sur ce. 1 BIM : Building Information Modeling, voir présentation du BIM dans la partie 1.1 de ce mémoire Page: 9.

(11) qu’il se passe dans les coulisses de cette école. C’est dans ce séminaire que j’ai entendu parler pour la première fois du BIM, c’est à ce moment-là que j’ai commencé à comprendre pourquoi les enseignements des logiciels se font isolés de l’enseignement du projet. Parallèlement à ce cours, étant moniteur informatique et participant aux. SE. dre réunions de la commission des ressources numériques à l’école, j’ai pu me rendre. U. e pour compte de l’intérêt grandissant des étudiants et d’une partie de l’école. LO. mantes de les nouveaux outils numériques tels que les maquettes 3D, les imprimantes. O. U. FHUWD FHUWDL GpFRXSHODVHURXELHQOHVVHUYHXUVGHWUDYDLOjSOXVLHXUV(QHϝHWFHUWDLQVpWX-. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. uv voir utiliser u diants de seconde année ont demandé une formation pour pouvoir dans ELQ{P ELQ{PH OHXUVSURMHWVSHUVRQQHOVXQVHUYHXUDÀQGHWUDYDLOOHUSDUELQ{PHVXUOHPrPH ÀFKLHU. pte qu’il qu’il y avait qu ava des progrès De ces constatations, je me suis rendu compte qu’il serait ser à faire dans l’enseignement du BIM ou en tout cas qu’il intéressant de pédag pédago voir si toutes les écoles ont adopté ce grand écart pédagogique ou si certaines HOH H OH%,0 %,0 0HW HWG G RQWSULVO·DPSOHXUGHVSRVVLELOLWpVTX·RϝUHOH%,0HWGRQFRQWUpXVVLRXWHQWHQW. EC O. LE. N. AT. IO. au d’enseigner le BIM et pourquoi pas de le lier aux autres enseignements.. Page: 10.

(12) INTRODUCTION &HTXLHVWLQWpUHVVDQWGDQVFHVXMHWF·HVWG·DERUGVDQRXYHDXWp(QHϝHWLO n’a jamais encore été réalisé de recherches sur l’enseignement du BIM dans les écoles d’architectures françaises. De plus, cela s’inscrit complètement dans la. SE. continuité de mon parcours à l’école comme nous avons pu le voir dans l’avant-. LO. U. oles les propos. Nous espérons qu’il permettra peut-être de faire avancer les écoles. U. rétend’architecture françaises dans leurs enseignements. Mais sans avoir la préten-. O. fair le tion de donner une méthode pédagogique, il permettra au moins de faire. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. es aimeraient aim am point sur ce que font ou ne font pas les autres écoles et ce qu’elles une e, une une base b faire. Il permettra peut-être de leur fournir une base commune, qui sera peut-être le départ de nouveaux échanges.. re le point po oint nt sur la situation Nous allons donc, dans ce mémoire, tenter de faire d’arch tecture d’archi tectur en répondant française de l’enseignement du BIM dans les écoles d’architecture ctuel de de l’enseignement ll’ens l’en à la problématique suivante: « Quel est l’état actuel du BIM (W FH DÀQ GH GDQVOHVpFROHVG·DUFKLWHFWXUHIUDQoDLVHV"ª(WFHDÀQGHSRXYRLUSHXWrWUHHQ dévelop évelopper cet ce enseignement. c tirer des conclusions et des pistes pour développer. QS SUHPLHU SUHP LHUWH  3RXUFHIDLUHQRXVDOORQVGDQVXQSUHPLHUWHPSVHVVD\HUGHGpÀQLUOH%,0 historrique que ue. e. Nous N à travers une analyse technique ett historique. aborderons également rapiinsstallatio dans le milieu professionnel. Nous dement l’état et les raisons de son installation nt les é écoles d’architecture ont vécu en parallèle de verrons également comment vers une un ne rapide rapid présentation et un bref historique. Nous l’évolution du BIM, à travers artie ar tie en e explorant explo expl terminerons cette partie l’état actuel de l’enseignement du BIM à l’étranger.. ne seconde seconde partie, p Dans une nous travaillerons plus en détail le cas particu-. AT. IO. FROHGH FROH GH 7RXOR OLHUGHO·pFROHGH7RXORXVH(QHϝHWFHWWHpFROHDIDLWjO·pSRTXHOHFKRL[GH. N. éa donnerr la pri priorité aux enseignements numériques. Ce n’est donc pas un hasard. EC O LE. lle héb hé h si elle héberge aujourd’hui un séminaire consacré à l’architecture numérique et. si elle permet aux étudiants de se former à de nombreux outils numériques. Ce C Cependant, on peut se demander si cette priorité est toujours d’actualité et si elle lui a permis de prendre, à l’heure, le train du BIM. C’est donc ce que nous essayerons de découvrir à travers le point de vue des étudiants, des enseignants. Pour ce faire nous étudierons, entre autres, les résultats d’un questionnaire établi par nos soins et proposé à l’ensemble des étudiants de l’école sur les outils numériques en général mais aussi sur le BIM et son enseignement. Page: 11.

(13) Nous analyserons également sa prise en compte de l’enseignement du BIM, les choix de fonctionnement qui sont ceux de l’école de Toulouse, son organisation des études et l’impact de ces outils ou pas sur le fonctionnement de l’école. Dans une dernière partie, nous utiliserons les résultats d’un second questionnaire, qui vise l’ensemble des écoles d’architecture françaises, qui nous a. SE. permis de les sonder sur les outils numériques en général mais aussi sur leur eur. U. resser approche du BIM et leur investissement dans cet enseignement pour dresser. LO. ue fois, fois ce un état des lieux des enseignements numériques et du BIM. A chaque. O. U. portrait dressé des écoles sera comparé avec le cas, détaillé dans la partie. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. on ns pu découvrir précédente, de l’école de Toulouse et avec ce que nous avons sur les manières d’enseigner le BIM dans les autres pays. Nous essaierons de oir su sur l’orga orga voir quelles conséquences cet enseignement peut avoir l’organisation des études mais aussi sur l’après-diplôme.. QFOXDQWVXU VXU O·p O·  (QÀQQRXVWHUPLQHURQVFHPpPRLUHHQFRQFOXDQWVXUO·pWDWGHO·HQVHLJQHançaises, et essayerons ançaise e ment du BIM dans les écoles d’architecture françaises, également nt pour pour ces écoles é de proposer des pistes de développement et pour l’ensemble DQV QVOH OH EXWG· EXWG GHO·HQVHLJQHPHQWGHO·DUFKLWHFWXUHGDQVOHEXWG·RϝULUXQHPHLOOHXUHFRQQDLVdiants et diants et don sance de cette technologie aux étudiants donc de leur permettre de sortir de dant aux a x exigences exig l’école avec un diplôme répondant de son temps et permettant. EC O. LE. N. AT. IO. proffession pro essio de suivre les évolutions de la profession.. Page: 12.

(14) PARTIE I : PRÉSENTATION DU CONTEXTE 1. Présentation du BIM : Le BIM a fait son apparition dans le monde de l’architecture et de l’indus-. SE. WULHGXEkWLPHQWGDQVOHVDQQpHVVRLWLO\DSOXVGHDQV(QHϝHWFHV. LO. U. RXUV XUV SUHPLHUV RXWLOV pWDLHQW ELHQ GLϝpUHQWV GH FHX[ TXH O·RQ FRQQDvW GH QRV MRXUV. U. généra mais les bases et les idées étaient les mêmes. En même temps que la généra-. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. O. matièr de lisation des outils informatiques dans le monde de l’architecture en matière e de France F Fra conception, s’est développé dans certaines écoles d’architecture un enseignement adapté.. en plu pluss tard, dans les Or, naturellement, tout cela n’est mis en place que bien taine aine phase phase ase d’expérimend années 90. Maintenant que le BIM a dépassé une certaine antage de cette cet technologie, tation et que certaines personnes ont compris l’avantage QW PDL PD V GH GH SO S HOOHWHQGjFRQQDvWUHXQHVVRUWRXMRXUVXQSHXOHQWPDLVGHSOXVHQSOXVFRQFUHW entrepr ntreprrises ises éditrices éd é Le bouche à oreille, la communication des entreprises de logiciels, et HQGHQW QGHQ jDFF VXUWRXWODPRGLÀFDWLRQGHODOpJLVODWLRQWHQGHQWjDFFpOpUHUFHGpYHORSSHPHQW PSR RUWD DQW GH G GpÀQLU FH TX·HVW OH %,0 /H GH  3RXU FRPPHQFHU LO DSSDUDvW LPSRUWDQW saxonne dont do on le sens le plus utilisé est: “Builont “BIM” est une abréviation anglo-saxonne u bien “Building ““Buildin “Buildi ding Information Modeling” ou Information Model” littéralement: bâtime âtiment”. t”. En français est apparu l’abréviation “MNB” “modèle d’information du bâtiment”. rique ique du d bâtiment”. bât bâti pour “maquette numérique Cependant, ce dernier est un peu erra plus en détail par la suite, mais le terme maquette a, réducteur car, on le ve verra UFKLWHF FKLWHFWXUDO GDQVOHPLOLHXDUFKLWHFWXUDOXQVHQVELHQSDUWLFXOLHU(QHϝHWHOOHIDLWVRXYHQW. IO. iqueme quement nt à lla forme du ouvrage sans prétendre rendre compte de référence uniquement. AT. spectss d’un bâtiment dans sa grande complexité comme par exemple tout les aspects. N. térialité érialit la composition o la matérialité, des parois, l’orientation, les méthodes de construc-. EC O LE. on n et d’assemblage d tion etc.  /H %,0 SHXW rWUH GpÀQL FRPPH XQ FRQFHSW WHFKQRORJLTXH &·HVW XQ. co c concept car il ne peut pas vraiment être rapporté à un élément tangible, sa représentation tangible se fera à travers des logiciels qui utiliserons cette technologie mais qui ne seront que des outils pour travailler avec ce concept. Si l’on GRLWGpÀQLUUDSLGHPHQWOH%,0FHVHUDLWGRQFO·DFWLRQGHGRQQHUXQVHQVDX[. éléments de la construction en leur attribuant un plus ou moins grand nombre Page: 13.

(15) d’informations qui pourrons être enrichies au fur et à mesure du processus de conception. Cette sémantisation a deux objectifs. D’une part, elle permet de regrouper en un seul et même lieu, un seul ORJLFLHOHWXQVHXOÀFKLHUWRXWHVOHVLQIRUPDWLRQVG·XQEkWLPHQW(WGRQFSRXU l’architecte cela représente un grand gain en simplicité et en temps puisque. SE. toutes les ressources sont disponibles rapidement et peuvent interagir entre ntre tre. U. u bois elles. Par exemple, changer la composition d’un mur de béton pour du. LO. au estimaesti changera automatiquement, le prix d’un linéaire de mur dans le tableau. O. U. tif du projet mais également la résistance thermique de la paroi ett donc le bilan. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. n,, en coupe, co énergétique du bâtiment sans oublier la représentation en plan, et en image de synthèse de ce mur, etc.. ne logique logique standardisée s D’autre part, si cet ajout d’informations suit une tier du secteur secte du bâtiment alors le BIM peut permettre à tous les corps de métier ue”. Dans Da ans l’idéal, l’id de travailler sur la même “maquette numérique”. cela voudrait bureau d’études d dire qu’un architecte, un ingénieur structure,, un bureau ou tout autre ssanc et donc son travail à la intervenant, peut en théorie ajouter ses connai connaissances ine ne très très rapidement rapid même maquette numérique. On imagine que pour des projets n gère gère tout to tout ces c échanges de données et les d’envergure il faudra que quelqu’un déc ulent. Toutes ces données, une fois cenquestions d’autorisations qui en découlent. dispos er d’une d’u tralisées, permettrons de dispose disposer vraie maquette numérique, au sens dirre e d’une d’un représentation numérique du bâtiment premier du terme, c’estt à dire es composants com mposa mposan avec l’ensemble de ses dans toute sa complexité et non pas seulement sa forme.. ans ns c e but q C’est dans ce qu’ont été développés les IFC. L’IFC est un format qui QWp DYHF OH % DpWpLQYHQWpDYHFOH%,0&RPPHOH':*SRXUOHVÀFKLHUVGHGHVVLQHQGHX[. IO. VLRQV LO O SHUPHW SHUP G·pFKDQJHU GHV SURMHWV FUppV GDQV GHX[ ORJLFLHOV GLϝpSHU GLPHQVLRQV. AT. nts ts mais ma tous deux selon le processus BIM sans, en théorie, perdre aucune rents. EC O. LE. N. des d es in informations contenues.. 2. L’Impact du BIM : Au niveau national, les choses ne bougent que depuis très peu de temps.. (QHϝHWOHGHUQLHUpYpQHPHQWGDQVFHWWHDϝDLUHFHVRQWOHVPRWVSURQRQFpV SDU&pFLOH'XÁRWDQFLHQQHPLQLVWUHGHO·(JDOLWpGHVWHUULWRLUHVHWGX/RJHPHQW dans un entretien paru dans Le Moniteur du 18 mars 2014 :. Page: 14.

(16) K.08>?.;7.6.7=;*7F*2<?*9;80;.<<2?.6.7=;.7-;.8+520*=82;.5*6*:>.==.7>6G ;2:>.-*7<5.<6*;,1G<9>+52,<-O=*=.7

(17) L  (QHϝHWLOVHPEOHTXHOD)UDQFHSUHQQHODPrPHURXWHTXHVDYRLVLQHFRXronnée en décidant de rendre obligatoire le BIM d’ici 2017. L’Angleterre avait elle. SE. aussi fait cette annonce, mais en 2011, ce qui a laissé cinq ans à l’industrie du. U. bâtiment pour se former. Ce qui est étonnant dans ces démarches législatives es. LO. c’est qu’elles ne prennent pas plus en compte la formation. Dans cette situa-. O. U. oles sont so tion, l’Etat décide, le parlement vote, les entreprises suivent et les écoles. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. étudia en censées faire de même. Mais est-ce vraiment le cas? En temps qu’étudiant nseign architecture, je peux dire que non. Certes les détracteurs de l’enseignement de ectur n’ont jamais ecture l’architecture diront que de toute façon les études d’architecture tudiantts à la sortie de vraiment préparé à la réalité du travail qui attend les étudiants JDOH GH O·DUFKL ·DUFK O·pFROH(QHϝHWWRXWHODSDUWLHDGPLQLVWUDWLYHHWOpJDOHGHO·DUFKLWHFWXUHQ·HVW volont iremen mise de coté, volonta que survolée, l’économie de la construction est volontairement etc.. Mais est-ce normal de sortir d’une école, avec un diplôme délivré par répondre répond dre correctement co cor l’Etat et de ne pas être en mesure de répondre aux lois que ce HWXQ HW XQ REOLJD PrPH(WDWDPLVHQSODFH"(QHϝHWXQHREOLJDWLRQOpJDOHVHPEOHQpFHVVDLUH ccompagner ccompa gner de plus de communication sur le mais elle devrait peut-être s’accompagner tss qui relèvent rrelèven elèven de la tutelle de l’Etat pour que ces sujet dans les établissements ur le quai. qu uai. ai. De toute façon dans le privé, les entreprises derniers ne restent pas sur eurs urs places pla aces ces dans d da le train du BIM bien avant que celui-ci ne avaient déjà acheté leurs démarre.. IO. 3. L’enseignement gneme ent du BIM à l’étranger :. N. AT. 3.1. Le Royaume-Uni oya :. EC O LE. Lorsque l’on cherche à savoir à quel point les autres pays se sont lancés Lo. dans l’enseignement du BIM la première idée qui nous vient à l’esprit est de se WR WRXUQHUYHUVO·$QJOHWHUUH(QHϝHWFHSD\VD\DQWSULVODGpFLVLRQGHUHQGUHREOLgatoire par la loi les rendus en BIM niveau 2 dès 2016, on peut supposer que l’enseignement a déjà anticipé ce changement et que le BIM sera un des éléments clefs de la liste de compétences des diplômés au moins à partir de 2016. Or, dès que l’on fouille un peu on peut remarquer que ce n’est pas vraiPage: 15.

(18) PHQWOHFDV(QHϝHWFRPPHRQSHXWOHOLUHSDUH[HPSOHGDQVO·DUWLFOHGH0 McGough, Danny. “The Challenges in Integrating BIM into Education.” qui date de mars 2013. La loi promulguée par le gouvernement britannique a lancé une DGRSWLRQGHPDVVHSDUOHVHQWUHSULVHVGHODÀOLqUHTXLRQWVHQWLOHULVTXHGHQH pas se mettre immédiatement au BIM. Cependant, l’enseignement n’a semble-. SE. t’il pas suivi cette mutation. Et le commentaire de Kelli Lubeley vient appuyer yer. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. K  

(19) *= 96. O. U. LO. U. ce constat soulevé dans l’article:. 2695.6 <*/8;6.;#.?2=27<=;>,=8;*=*,866>72=B,855.0.*7-*2695.6.7=*=287<9.,2* *5<8 *7O=+. 7O=+. 52<=1*?.=8,*7O=.691*<2C.18@2698;=*7=.->,*=2872<*5<8,*7O=+.52.?.18@52==5. <.6+;* .6+;*,.-=1. 2<+.270-87.78@,87<2-.;27018@<=;8705B=1.27-><=;B1*<.6+;*,.-=1.=;.7-!/*55 HWWR¿QGGDFRXU RIWKHHGXFDWRUVDQGDQGJUDGXDWHV,KDYHPHW,KDYH\HWWR¿QGDFRXUVHWKDWWHDFKHVXVHIXO <7..-< 7..-< 8+.*= 8+.* #.?2==.,172:>.</8;=18<..7=.;270=1.@8;4/8;,.%12<7..-<=8+.*=89-8@768?.6.7=@2=127 +*,40;88>7-/8 27<=2=>=287<=89;8?2-..->,*=8;<@2=1=1.9;89.;+*,40;8>7-/8;=.*,1270=12<27/8;6*=287L e que qu l’Angleterre lA Angl Du coup, on peut en conclure a décidé d’installer le BIM RLHW RL HW SDVV SD SDUOD©IRUFHªHWGRQFSDUODORLHWSDVSDUODPRGLÀFDWLRQGHVXVDJHVSURFplo longue Un choix dû au lobby des éditeurs de dure que l’on imagine bien plus longue. logiciels?. ticle icle da ate te de 2013 et que l’on peut supposer qu’à l’approche Bien que cet article date es auront auro aur ont évolué, év é vo de 2016 les choses on n’ose imaginer les conséquences que cela quelq lques ues générations gé aurait sur less quelques d’architectes qui sortiraient de l’école ne as en phase avec ce que le milieu professionnel attend d’eux. Imagiseraient pas. IO. onc mal mal une telle situation, on peut croire que, bien qu’ayant dû se faire nant donc. AT. a « ma m rche che forcée », l’intégration du BIM dans l’enseignement des écoles à la marche. EC O. LE. N. d’arch d ’arch d’architecture anglaises a eu lieu. Ou du moins a commencé. 3.2. Les États-Unis et le reste du monde :. En ce qui concerne l’enseignement du BIM outre-Atlantique ainsi que dans le reste du monde, il apparait que la plupart des facultés qui enseignent l’architecture ont commencé à introduire des cours sur la thématique du BIM à partir des années 2000. Ainsi l’article de 2011 intitulé « BIM teaching strategies: an Page: 16.

(20) overview of the current approaches » sur la conférence de l’ICCCBE à Nottingham le 1er Juillet 2010, écrit par Maria Bernardete Barison (Université de Londrina, Brésil) et Eduardo Toledo Santos (Professeur assistant à l’Université de Sao Paolo, Brésil) indique que :. SE. K7

(21). 8;>6*9952.-*7*,*-.62,<>;?.B@2=1.201=*,*-.62,27<=2=>2=287<27. U. =B B =1. &72=.- $=*=.< ;2C87* $=*=. &72?.;<2=B *;7.02. .5587 &72?.;<2=B ;.A.5 &72?.;<2=B. LO. <=2=>=. <=2=>=. *@;.7,.%.,1".77<B5?*72*$=*=.&72?.;<2=B"2==<+>;0$=*=.&72?.;<2=B'.7=@8;=17<=2=>=.. O. U. %.,17 %.,172 8/%.,178580B*7-'8;,.<=.;"85B=.,172,7<=2=>=.*7-=1;..27=.;7*=287*5<,1885<%.,17287. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. -& &72?.; <;*.57<=2=>=.8/%.,178580B&72?.;<2=B&72?.;<2-*->=H786*-.(>,*=D7*7-&72?.;<2-*-. 8>;<.< 8>;<.<8 *=H52,*"8;=>0>.<*%1.68<=8/=1.6

(22) =.*,18;-2<,><<.<27,8>;<.<8;9;83.,=< ;<

(23) *5;.**5;.*%1.6278;2=B +.0*7=827=;8->,.27,>;;2,>5*27

(24).

(25) 8=1.;<

(26) *5;.*-B27=;8 >,. /;86

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(28).

(29) *7-=1.68<=8/=1.6+.0*7=827=;8->,./;86

(30). L versités ersité américaines amé amér Il semble ressortir de cet article, que les universités se posent BIM, M, ce qui est visible par le en leaders dans ce domaine de l’enseignementt du BIM, es prix x décernés décer déce nombre élevé d’entre elles qui ont reçu des par les éditeurs de tio on du BIM auprès des étudiants. logiciels pour leur investissement et la promo promotion es universités un versité ersité étrangères proposent trois Toujours selon cet article, les nt entièrement enti ent èreme èrem types de cours : l’un indépendant dédié au BIM, le second en lien prrojet, ojet, et e le troisième en collaboration avec avec d’autres matières dontt le projet, L LOLO V·DJLW Oj G G·DXWUHVjGLVWDQFH$LQVLLOV·DJLWOjG·XQHGLϝpUHQFHQRWDEOHSDUUDSSRUWDX[ franç çaises aises puisque p écoles d’architecturess françaises l’on peut dire qu’elles n’en sont, en ’aux aux stades ssttades e France encore, qu’aux expérimentaux comme l’indique le moniteur dans ratique atique e » du moniteur numéro 5766 du 21 Mars 2014 dédié au son « cahier pratique. IO. HWj HW jOD OD SDJH %,0(QHϝHWjODSDJHDXSDUDJUDSKHLQWLWXOp©)RUPDWLRQ,QLWLDOHª. AT. on peutt lire :. N. K O.7< K KO.7< KO.7<.207.6.7=-.5*6*:>.==.7>6G;2:>.7O.<=9*<8+520*=82;.-*7<5.<9;80;*66.<-.. EC O. LE. /8;6*=28 /8;6*=287272=2*5..7,87<=;>,=287*6G7*0.6.7=*;,12=.,=>;..=>;+*72<6.7,8;.6827<5. UHFR UHFRXUVDXWUDYDLOFROODERUDWLIHWOHGpFORLVRQQHPHQWGHV¿OLqUHVGHO¶LQJpQLHULHGHODFRQVWUXF. WLRQD¿QGHFRXYULUOHF\FOHGHYLHG¶XQRXYUDJH0DLVTXHOTXHVLQLWLDWLYHVH[LVWHQWHWIRQW¿JXUH GHSLRQQLqUHVPrPHVVLHOOHVQHVRQWSDVVXLYLHV «

(31) ª Chaque type d’enseignement est proposé par plusieurs universités des Etats-Unis notamment. Cependant, on note une large préférence pour le cours Page: 17.

(32) « indépendant », visible dans cet article dans une étude sur 103 universités dans le monde : K8<=<,1885<27=;8->,.27875B87.-2<,29527. *7-/.@*;.=;B270=8<26>5*=. =1.27=.0;*=.-9;*,=2,.<27=.;-2<,29527*;B*7--2<=*7,.,855*+8;*=287 L. SE. . U. éatoire Or, ces enseignements sont répartis de manière relativement aléatoire. LO. selon les universités, certains étant dispensés durant les premières années et. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. lors de l’analyse sur les écoles d’architecture française.. O. U. on retrouvera retr d’autres durant les dernières. C’est d’ailleurs une disparité que l’on ncore très constellé Ainsi, l’enseignement actuel du BIM outre-mer est encore néce sité, ité, c entre les universités. C’est pourquoi cet article révèle la nécessité, comme nous enseignemen du BIM sur la allons le démontrer dans ce mémoire, d’introduire l’enseignement ure. Il s’agirait s’agirait donc notamment durée totale ou presque des études d’architecture. tention des étudiants de manière de mettre en place un enseignement à l’intention giciels adaptés, adap personnelle, dont l’enseignement des logiciels durant les premières eignem ment ent de années. Ce à quoi succèderait un enseignement des méthodes de collaboration urant les ess dernières der avec les autres corps de métiers durant années, avec une mise en ire. C’est C’ stt en tout C t pratique éventuelle et nécessaire. cas ce que conclu cette étude.. 4. Conclusion de la présentation p présen ntatio du contexte :. 2QSHXWGRQFDϞUPHUTXHOH%,0DXUDGDQVO·DYHQLUXQHLPSRUWDQFHGHSOXV ϞUPH TXH OH O urtout si les urtout le institutions françaises décident de le rendre oblien plus grande surtout gatoire à l’instar des autres pays. Si cette obligation venait à enstar de de la plupart plu trer en vigueur, un bouleversement pour tout le secteur du bâtiment, gueur, ueur, elle serait se. IO. particulier particu ier pour po les architectes. Or, il est peu probable que les institutions et en particulier. AT. ançaise prop pro françaises proposent de faire évoluer les enseignements avant l’aspect légal de. LE. N. a profession. pro la C’est donc aux écoles de se prendre en charge pour pouvoir for-. EC O. mer m des étudiants compétents au bon moment. Étant donné la forte probabilité me de cette évolution les écoles d’architecture doivent d’ores et déjà revoir leurs programmes pour former au mieux les prochaines générations d’architectes. On peut également noter que les écoles d’architecture ont déjà pris un train de retard par rapport au milieu professionnel mais également par rapport aux écoles d’ingénieurs. Dans la plus part des pays qui ont adopté le BIM de manière légale on peut noter qu’ils proposent maintenant un enseignement du BIM Page: 18.

(33) qui semble correspondre aux pistes que certaines écoles françaises semblent DERUGHU(QHϝHWO·HQVHLJQHPHQWGX%,0IDLWjFKDTXHIRLVUHVVRUWLUOHVPrPHV thématiques à savoir celles des pratiques collaboratives et des enseignements pluridisciplinaires. Ce qui se fait à l’étranger ne peut pas forcément être appliqué en France, il faut néanmoins s’y intéresser pour pouvoir rattraper une partie. SE. de notre retard dans ce domaine. Nous allons donc tenter de voir dans les par-. U. es ties suivantes dans quelle mesure les écoles françaises suivent le chemin des. LO. facultés étrangères et ce notamment à travers l’une des école pionnière en la. EC O. LE. N. AT. IO. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. O. U. matière, à savoir l’école de Toulouse.. Page: 19.

(34) PARTIE II : ÉTUDE DE CAS : L’ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D’ARCHITECTURE DE TOULOUSE $ÀQ G·HQWUHU XQ SHX SOXV GDQV OH GpWDLO GH O·DQDO\VH GH O·HQVHLJQHPHQW e er du BIM dans les écoles d’architecture en France, nous avons choisi d’étudier. SE. as un l’exemple le plus proche, à savoir l’école de Toulouse. Certes, ce n’est pas. LO. U. naturel ature hasard si ce mémoire a vu le jour dans cette école en particulier et, naturelle-. U. q ment, nous garderons à l’esprit tout au long de l’étude de cette école qu’elle. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. O. rne ne le BIM. B est l’une des plus actives sur la scène nationale en ce qui concerne Cette WHQWH HQWHQ LPSOLFDWLRQHVWSRUWpHSDUXQSHWLWJURXSHG·HQVHLJQDQWVTXLWHQWHQWGHGLϝXVHU emie er temps temp temp voir quels le BIM. Dans cette partie, nous allons donc dans un premier ensuite nous intéressont les enseignements du BIM à l’école de Toulouse pour ensuite jet. et. ser au ressenti et à l’avis des étudiants sur ce sujet.. 1. Les enseignements du BIM à l’École École d’arc d d’architecture h de Toulouse En essayant de ne pas entrerr dans une ne polémique p po redondante, qui reste savo sav oir : « Qu’est-ce oir Qu Q néanmoins une vraie question, à savoir qui est du BIM? Et qu’est-ce comm qui n’en est pas? » ou plutôt : « Où commence le BIM? ». Nous allons essayer de ments propos faire l’état des enseignements proposés aux étudiants de l’école de Toulouse. e Toulouse, Toulouse, les le enseignements sur les outils informatiques Dans l’école de pre emière année et peuvent se poursuivre jusqu’en cinemiè commencent dèss la pr première trravers les enseignements facultatifs et les enseignements aux quième année à travers endant ndantt, s’il l’on l’o s’intéresse uniquement aux enseignements qui ont un choix. Cependant,. IO. ect ct ave ec le BI B lien direct avec BIM, il n’en reste plus beaucoup.. AT. L’en seigne L’enseignement qui se rapproche le plus d’un enseignement du BIM tel. N. que l’o l’ que l’on peut se l’imaginer, au regard de ce que l’on a déjà évoqué précédem-. EC O LE. m me ment dans ce mémoire, est l’enseignement au choix de troisième année intitulé « Maquettes numériques et nouvelles pratiques de collaboration. » donné par monsieur Bernard FERRIES1 (Q HϝHW GDQV FHW HQVHLJQHPHQW RQ UHWURXYH OHV. 1 Bernard FERRIES est un enseignant en licence et en master à l’école G·DUFKLWHFWXUHGH7RXORXVH0DvWUHDVVLVWDQWGDQVOHVGLVFLSOLQHV6FLHQFHV et Techniques pour l’Architecture - Outils mathématiques et informatique, LOHVWGRFWHXUGHƒF\FOHHQPpFDQLTXHGHVÁXLGHV,OHVWDXWHXUGHQRPbreuses publications sur le BIM et un des personnages les plus actifs en ce qui concerne le BIM en France. Page: 20.

(35) principaux éléments du BIM à savoir la sémantisation des éléments mis en place à travers le logiciel ou bien la création d’éléments de bibliothèque. Mais aussi et surtout on propose aux étudiants d’expérimenter le travail collaboratif « entre architectes » en leur permettant de travailler à plusieurs sur un seul et même ÀFKLHUJUkFHjODJHVWLRQHQDPRQWGHVDXWRULVDWLRQVG·DFFqVG·XQVHUYHXUGp-. SE. dié type BIMserveur® d’Archicad®. C’est le cours qui permet, malheureusement. U. nt. t. à un trop petit nombre d’étudiants, de découvrir le BIM et son fonctionnement.. LO. HGH GH (QHϝHWOHVDXWUHVHQVHLJQHPHQWVGHORJLFLHOVTXLSHUPHWWHQWHQWKpRULHGH. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. le thème du BIM.. O. U. dent pas p faire du BIM, et qui eux sont donnés à des promotions entières, n’abordent eprése Les logiciels sont enseignés comme des outils d’aide à la représentation. Il eignements. ents. Grâce, ne faut pas néanmoins sous estimer l’importance de ces enseignements. es enseignants ens ense eignant arrivent entre autres, au nombre d’heures qui est conséquent, les QW GX GX ORJLFLHO ORJLFLH OD PDvWULVH j GRQQHU DX[ pWXGLDQWV OHV EDVHV GH IRQFWLRQQHPHQW atteindre par atteind pa eux-mêmes une basique de l’utilisation du logiciel et les clefs pour atteindre HjFDX XVH VHGH G PDvWULVHSOXVSRXVVpH0DLVSHXWrWUHHQSDUWLHjFDXVHGHODWDLOOHGHVJURXSHV eut aussi aussi aisément aisé ais ils n’abordent pas la question du BIM. On peut penser que cette d’autres d’aut res ex absence d’enseignement du BIM trouve d’autres explications que celle de l’asIM est es loin de faire l’unanimité chez pect « pratique » puisqu’il est clair que le BIM les enseignants.. oser la question questio suivante: est-ce vraiment à ces enOr, on en vient à se poser former ormer pour enseigner e seignements de se transformer le BIM ou le BIM nécessite-t-il un u et adapté, ad dapté apté qui viendrait peut-être en complément après enseignement nouveau ases ses par p pa arr l’ensemble l’ens l’acquisition des bases des élèves? C’est une vraie question dont stt pas forcément forcém la réponse n’est évidente. C’est aussi une question qui va se. IO. us en p plus lus ra rap poser de plus rapidement et avec de plus en plus de force. Par exemple,. AT. nnée un u nombre nom cette année relativement important d’étudiants de deuxième an-. N. o nt, d née on ont, d’eux-mêmes, sollicité une formation sur la gestion, l’utilisation et la. LE. UpDWLR pDWLR FUpDWLRQG·XQVHUYHXU%,0$\DQWEpQpÀFLpXQLTXHPHQWGHVHQVHLJQHPHQWVGLW. EC O. « classiques cl » d’informatique et sachant qu’il existait une possibilité de travail collaboratif, ils ont voulu être formés pour pouvoir utiliser cette fonctionnalité lors de leur enseignement de projet. Il faut cependant noter que ces mêmes étudiants ne savent pas pour autant vraiment ce qu’est le BIM. On peut donc pratiquer une sorte de BIM, ou en tout cas certains de ses concepts sans pour autant en être véritablement conscient. Page: 21.

(36) 2. Analyse du questionnaire aux étudiants de l’E.N.S.A. Toulouse: 2.1. Présentation du contexte :. C’est à travers un questionnaire, mis en ligne sur internet, que nous avons pu poursuivre notre enquête. Participant à la C.R.N.1 de l’école de Toulouse, il. SE. ’ounous a été demandé de sonder les étudiants sur leurs besoins en matière d’ou-. LO. U. VWLRQQH WLOV QXPpULTXHV 1RXV DYRQV GRQF SURÀWp GH O·RFFDVLRQ SRXU OHV TXHVWLRQQHU. U. a première prem également sur leur connaissance et leur utilisation du BIM. Toute la. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. dédiée aux outils numériques et la seconde dédiée au BIM.. O. exe) était ét partie de ce questionnaire (dont un exemplaire est joint en annexe) donc. Figure 1 : Participation Participation au questionnaire sur le BIM par promotion Particip. AT. IO. /HQR /H QRPEUH  /HQRPEUHG·pWXGLDQWVTXLRQWUpSRQGXELHQTX·pWDQWVXϞVDQWQ·HVWSDV. N. rès ès éle élev Il faut f très élevé. remettre ce questionnaire dans son contexte pour pouvoir. EC O. LE. co om omp comprendre les raisons de ce nombre peu élevé. Le questionnaire n’a été mis e en ligne que durant vingt jours du 4 au 24 Juin 2014 principalement en raison GXFDOHQGULHUGHODÀQGHVFRXUVHWGHFHOXLGHOD&51TXLQRXVDLPSRVpGH rendre nos conclusions le 1 Juillet 2014. De plus, le mois de juin est un mois. 1 C.R.N. : la Commission des Ressources Numériques de l’ENSA Toulouse est présidée par monsieur FERRIES. Elle regroupe des enseignants, des pWXGLDQWVHWGHVSHUVRQQHOVHWDSRXUPLVVLRQGHGpÀQLUOHVRULHQWDWLRQVGH l’école en matière de numérique. Page: 22.

(37) traditionnellement très chargé pour les étudiants puisque durant ce mois ils ont à la fois les rendus de dossier, les partiels et les rendus de projet. Malgré ces délais très courts et cette période chargée, nous avons pu atteindre plus d’une centaine d’étudiants. On peut remarquer sur ce graphique qui représente la répartition par année de la participation des étudiants que ceux de première. SE. année sont les plus nombreux à avoir répondu suivi de près par les étudiants de. U. es cinquième année. Si l’on compare ces résultats à ceux du questionnaire sur les. LO. outils numériques qui lui était lié et le précédait. On remarque qu’ils sont sensi-. O. U. blement les mêmes.. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. LpHV H 2QSHXWHQGpGXLUHTXHOHVH[SOLFDWLRQVGHFHVFKLϝUHVVRQWOLpHVHWTX·LO n des étudiants est impossible de les dissocier. Du coup, la forte participation s’im s’i mplique plique dans de première année s’explique sûrement plus par leur envie de s’impliquer M et c’est c’e c est ce que nous la vie de leur école que par l’intérêt par rapport au BIM DLUH,O,O \DIRUW DLUH \ FRQÀUPHURQVVXUODSUHPLqUHTXHVWLRQGXTXHVWLRQQDLUH,O\DIRUWjSDULHUTXH n’aurion ’aurio sans le questionnaire sur les outils numériques nous n’aurions jamais atteint DQGX HW WUqV WUq FHVFKLϝUHV/H%,0pWDQWHQFRUHWUqVSHXUpSDQGXHWWUqVSHXFRQQXSDUPLOHV partic cipé aurait au a étudiants, le nombre de ceux qui auraientt participé été sûrement bien. LE. N. AT. IO. moins important.. EC O. Figure 2 : Participation au questionnaire sur les outils numériques. Ce qui a été marquant dans ce questionnaire, c’est surtout le nombre. GHFRPPHQWDLUHVODLVVpVSDUOHVpWXGLDQWV(QHϝHWORUVGHOD FRQFHSWLRQGX questionnaire il avait été décidé de limiter les questions ouvertes et les zones d’expression pour faciliter le traitement des réponses qui s’annonçaient nombreuses. Cependant, nous avons quand même laissé un espace dédié aux comPage: 23.

(38) PHQWDLUHVHQÀQGHFKDTXHSDUWLHHQSHQVDQWTXHOHVpWXGLDQWVQHSUHQGUDLHQW pas vraiment la peine de les remplir. Or, ces zones ont été très utilisées par les étudiants qui ont répondu. Nous avons ainsi reçu plus d’une centaine de commentaires (pour l’ensemble du questionnaire) qu’il nous a fallu traiter, analyser et synthétiser. Malheureusement, le sujet du BIM étant moins connu, seul dix. SE. pour cent de ces commentaires étaient en lien avec le BIM.. U. RPPH PPH  3RXUSDUOHUGHODIRUPHODSOXSDUWGHVTXHVWLRQVSRVpHVRϝUDLHQWFRPPH. LO. réponse une échelle graduée de zéro à cinq, permettant de ne pass avoir de. O. U. un côté ou de valeur intermédiaire et donc de se positionner plus facilement d’un. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. UUDSLGH O·DXWUH'HSOXVOHTXHVWLRQQDLUHVXUOH%,0pWDLWSUpFpGpG·XQHUDSLGHGpÀQLWLRQ GHTXR GH TXR DÀQGHSHUPHWWUHjWRXVOHVpWXGLDQWVGHELHQFRPSUHQGUHGHTXRLLOpWDLWTXHVWLRQ/DGpÀQLWLRQpWDLWODVXLYDQWH . 8;6*=2877 8-. 8-.5 K  .<= 5O*,;87B6. 98>; >25-270 7/8;6*=287 8-.5 8-.5270 *7*0.. 87 7 -.<< 7   .  ?* *>-.5E -. 5* 6.7= 5 7. /*>= 9*< ,87/87-;.  .= ;.9;G<.7=*=287 -.<<27 EOHGHWH OHGHWHFKQROR UHSUpVHQWDWLRQJpRPpWULTXH,OLQWqJUHXQHQVHPEOHGHWHFKQRORJLHVHWGHPpWKRGHVSHUPHWWDQW HPHQWULFKHFRQ HPHQWUL FKHFRQ GHJpQpUHUXQPRGqOHQXPpULTXHVpPDQWLTXHPHQWULFKHFRQWHQDQWGHVGRQQpHVG¶XQEkWLPHQW UppHj SDU UppHjS SDUWLUG UWLU QHXIRXFRQVWUXLW8QHPDTXHWWH%,0HVWFUppHjSDUWLUGHVpOpPHQWVTXLFRPSRVHQWXQEkWLPHQW

(39) HWGHV QIRUPD

(40) HWGHV IRUPD PXUVSRWHDX[SRUWHVIHQrWUHVHWF

(41) HWGHVLQIRUPDWLRQVTXLVRQWDVVRFLpHVjFHVREMHWV*UkFH <G-.<27/8;6*= <G-.<27 /8;6* *>=;*2=.6.7=27=G0;G.=,.7=;*52<G-.<27/8;6*=287<5*9;*=2:>.->9.>=/*,252=.;5*,855* HXUVGHOD¿OLqUH D¿OLqU ERUDWLRQHQWUHGLIIpUHQWVDFWHXUVGHOD¿OLqUHGXEkWLPHQW SDUH[HQWUHDUFKLWHFWHVDUFKLLQJp L L *;,12+.=270G+.=.=,L. estio stionss du questionnaire qu Les questions qui ne se présentent pas sous la forme elle de e zéro à cinq était sous la forme d’un « vrai - faux » gradué en d’une échelle. IO. iveaux : vrai, vrai vra plutôt vrai, plutôt faux, faux et sans opinion. Les autres cinq niveaux. AT. estions qui ne n sont d’aucune de ces deux formes seront détaillées à chaque questions. EC O. LE. N. fo ois que q nous analyserons leurs résultats. fois 2.2. La connaissance du BIM :. La première question, de la partie sur le BIM, de ce questionnaire porte sur la connaissance du BIM par les étudiants. Le zéro représentant « je n’en n’ai jamais entendu parler » et le cinq représentant « je connais très bien le sujet du BIM ». S’il on s’intéresse aux réponses d’une manière générale, on peut remarquer que plus de soixante-quinze pour cent des étudiants qui ont répondu au Page: 24.

(42) questionnaire se situent du côté inférieur de l’échelle de graduation. C’est-à-dire qu’ils n’ont jamais ou très peu entendu parler du BIM et qu’il ne savent pas vraiPHQWGHFHGRQWLOV·DJLW2QSHXWpJDOHPHQWUHPDUTXHUTXHFHX[TXLDϞUPHQW WUqVELHQFRQQDvWUHOH%,0QHUHSUpVHQWHQWTXHTXDWUHSRXUFHQWGHVUpSRQVHV. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. d’étudiants soit un peu plus d’un groupe normal de travaux dirigés.. O U LO U SE. 6·LORQUDPqQHFHFKLϝUHjO·pFROHHQWLqUHFHODUHSUpVHQWHHQYLURQXQHWUHQWDLQH. Figure 3 : Niveau de e connaissance c conna aissan du BIM aissanc. alyse yse u n peu plus en détail les réponses à cette question et que Si l’on analyse un. IO. esse sse to ujours à ce niveau de connaissance du BIM mais cette fois en l’on s’intéresse toujours. AT. QGHV GHV S RPRW IRQFWLRQGHVSURPRWLRQVRQYDSRXYRLUFRQÀUPHUXQHGHVK\SRWKqVHVIRUPX-. N. d ans la l présentation du questionnaire. lées da dans. LE. (Q (QHϝHWRQYRLWTXHOHVpWXGLDQWVGHSUHPLqUHDQQpHELHQTX·pWDQWFHX[. EC O. qui ont le plus répondu à ce questionnaire, ne savent pas du tout ou alors très peu ce qu’est le BIM. Dans leur promotion, le nombre de réponses entre zéro et trois inclu est d’environ quatre-vingt cinq pour cent alors qu’il n’est que de soixante pour cent chez les étudiants de cinquième année.. Page: 25.

(43) U SE LO O U D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. Figure 4 : Niveau de connaissance du BIM parr prom promotion motion. DQV VXQ XQ VHQVS VHQV  &HVFKLϝUHVVRQWUDVVXUDQWVGDQVXQVHQVSXLVTXHO·RQVHUHQGFRPSWH XUV DUF D FKLWHFW TX·jODÀQGHOHXUVpWXGHVOHVIXWXUVDUFKLWHFWHVRQWDXPRLQVHQWHQGXSDUOHU s. Cependant, Cep ndant on peut aussi remarquer que cela du BIM et y ont été sensibilisés. itié ne savent saven pas ce que c’est et que moins de cinq veut dire que plus de la moitié parfaitement le sujet alors que tous se lancent dans le pour cent connaissent parfaitement n monde monde qui qu va sans doute devoir évoluer pour se mettre monde du travail. Un ous l’avons l’a avons vons vu v dans la partie précédente. Il serait intéressant au BIM comme nous HWWH WWHT  TX XHVWLR XHVWLRQ GHUHSRVHUFHWWHTXHVWLRQFKDTXHDQQpHDÀQGHYRLUO·pYROXWLRQGHVUpVXOWDWV ple, le, les étudiants étudia Par exemple, de deuxième année collent à la moyenne (cinq pour. IO. onnaisssent sent le BIM et environ soixante-quinze pour cent sont entre zéro cent connais connaissent. AT. c’e dans cette même promotion qu’il nous a été demandé de et trois). Or, c’est. N. ffa aire u faire une formation pour gérer un serveur permettant le travail collaboratif. Il. EC O. LE. ap apparait donc peut-être qu’il existe une dichotomie entre la pratique du BIM et VDYRLUFHTXHF·HVW(QHϝHWFHUWDLQVpWXGLDQWVVHPEOHQWOHSUDWLTXHUHQSDUWLH sans savoir de ce dont il s’agit en réalité. Pour terminer sur ce graphique, on peut remarquer la répartition de la ligne des étudiants de troisième année. Ils regroupent à eux seuls les deux extrêmes, c’est-à-dire qu’ils sont ceux qui comptent le moins de zéro et le plus de FLQT&HVFKLϝUHVQHV·H[SOLTXHQWSDVSDUOHXUSDUWLFLSDWLRQ(OOHDXUDLWHQHϝHW Page: 26.

(44) pu fausser les résultats, une fois présentée sous forme de pourcentage, si elle avait été trop faible. Or, ils représentent dix-huit pour cent de la participation, soit presque autant que les étudiants de cinquième année. Nous ne pouvons, à O·KHXUHDFWXHOOHH[SOLTXHUGHPDQLqUHFHUWDLQHFHWWHGLϝpUHQFH/·H[SOLFDWLRQOD plus plausible est l’apparition d’un enseignement ou autre apport massif d’in-. SE. formations (conférence, intervention extérieure, etc) qui leur a permis d’avoir. U. er une meilleure connaissance du sujet. Quoi qu’il en soit c’est un sujet à creuser. LO. ment car concrètement il montre que ce qui a été mis en place a été relativement. IO D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. 2.3. La perception du BIM par les étudiants :. O. U. HϞFDFH. AT. Figure 5 : La perception perc ceptio du BIM par les étudiants ception. N. La qu question n suivante du questionnaire se présente sous la forme déjà. EC O LE. SOLTXp OLTXpH H[SOLTXpHGX©YUDLRXIDX[ªjFKDTXHOLJQHGXWDEOHDXFRUUHVSRQGXQHDϞU-. matio mation à laquelle les étudiants ont du répondre en indiquant si, pour eux, cette DϞ D DϞUPDWLRQ HVW YUDLH RX IDXVVH DYHF OHV QXDQFHV GpMj H[SOLTXpHV /H WDEOHDX VXLYDQWUpVXPHWRXWHVFHVUpSRQVHVDÀQGHSRXYRLUOHVFRPSDUHU2QSHXWSDU H[HPSOHG·RUHVHWGpMjUHPDUTXHUTXHSRXUFKDTXHDϞUPDWLRQLO\DSUHVTXH à chaque fois environ la moitié de réponses « sans opinion ». Cela fait écho au pourcentage important d’étudiants qui ont indiqué avoir une connaissance Page: 27.

(45) faible voir nulle du BIM. Cependant nous allons, dans un premier temps, regarder LQGLYLGXHOOHPHQW OHV UpVXOWDWV GH FHV DϞUPDWLRQV DYDQW GH SHXWrWUH HQ WLUHU des comparaisons et des conclusions. 1RXVDOORQVFRPPHQFHUSDUO·DϞUPDWLRQ©/H%,0HVWXQIUHLQjODFUpDWLYLWpª&·HVWHQHϝHWXQGHVDUJXPHQWVTXLKDQWHOHVFRXORLUVGHO·pFROHHWTXH. SE. nts, ts, l’on retrouve dans la bouche de presque tous les détracteurs du BIM (étudiants,. U. ass pour enseignant, et professionnels). Ce qui nous intéresse ici, et ce sera le cas. LO. U VL VL FHWWH FH WRXWHV OHV DϞUPDWLRQV TXL YRQW VXLYUH FH Q·HVW SDV WDQW GH VDYRLU. O. U. QW W GH GH YXH Y DϞUPDWLRQ HVW YUDLH RX IDXVVH PDLV SOXW{W GH FRQQDvWUH OH SRLQW GHV. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. d manière étudiants. Ici on remarque que les avis sont plutôt partagés et ce, de d do en déduire relativement égale avec un léger avantage pour le vrai. On peut donc nts mais maiss qui ne fait pas, que c’est un argument qui trouve écho chez les étudiants heureusement, l’unanimité.. URSFR URS FRQWUDLJQ  /·DϞUPDWLRQVXLYDQWHHVW©/H%,0HVWWURSFRQWUDLJQDQWª&HWWHDϞUnte te qu’ impo mation peut être comprise comme la contrainte qu’ill imposerait dans la concepSUpFpG GHQWH PDLV HOOH SHXW DXVVL rWUH WLRQ XQ SHX GDQV O·LGpH GH O·DϞUPDWLRQ SUpFpGHQWH nique e phy comprise comme la contrainte technique et physique dans l’utilisation donc XLYDQ H XLYDQW H 2Q SOXW{WGDQVO·LGpHGHO·DϞUPDWLRQVXLYDQWH2QUHPDUTXHTXHFHWWHIRLVHQFRUH e le v ai et le faux. l’égalité est quasi parfaite entre vrai. JDOLWpV IRQWUH IRQWU  2UFHVGHX[TXDVLpJDOLWpVIRQWUHVVRUWLUXQSUHPLHUpOpPHQW(QHϝHWVL lités av vec ec les résultats que font les deux nuances « plul’on met en lien ces égalités avec apportt aux réponses r tôt » cumulées par rapport franches et avec la forte quantité de rem marque arque que tout cela tend vers un point essentiel à savoir « sans opinion » on remarque FRQQD RQQDLV LVVDQFH VVDQF O·DEVHQFHGHFRQQDLVVDQFH&HVDϞUPDWLRQVQHSHXYHQWSDVrWUHjODIRLVYUDLHV s.. Pourr ceux qui connaissent le BIM elles seront l’un ou l’autre. C’est et fausses.. IO. SDU PDQTXH G GRQFSDUPDQTXHG·LQIRUPDWLRQVÀDEOHVHWFRQYDLQFDQWHVTXHOHVpWXGLDQWVUp-. AT. ndent d’après ’après après ce qu’ils ont entendu dire et donc souvent avec de la nuance, pondent. N. RX R RXQH QH RXQHUpSRQGHQWSDVGXWRXW$XGHOjGHFHODFHVDϞUPDWLRQVWURXYHQWOHXUV. EC O. LE. Up UpSRQVHVGDQVODSUDWLTXHHWQRQGDQVODWKpRULH(QHϝHWFHQ·HVWTX·XQHIRLV que l’on a commencé à manipuler du BIM que l’on peut avoir un avis sur la question. Or, comme nous l’avons déjà expliqué, très peu d’étudiants ont déjà utilisé du BIM à proprement parler.  /·DϞUPDWLRQVXLYDQWHHVW©/H%,0HVWIDFLOHjSUHQGUHHQPDLQVª'DQV. OHVUpSRQVHVjFHWWHDϞUPDWLRQOH©3OXW{WIDX[ªVHGpWDFKHQHWWHPHQWGHV autres, on peut donc déduire que c’est là aussi une idée assez répandue chez Page: 28.

(46) les étudiants et l’on ne peut pas vraiment les en blâmer puisque c’est une idée qui fait un peu consensus, même chez les personnes qui connaissent et utilisent très bien le BIM.  /·DϞUPDWLRQ VXLYDQWH WHQG HOOH DXVVL WUqV FODLUHPHQW G·XQ F{Wp SOXW{W TXHGHO·DXWUH3RXUXQHPDMRULWpGHVpWXGLDQWVO·DϞUPDWLRQ©/H%,0SHUPHW. SE. à l’architecte de gagner du temps » est vraie. C’est dès lors intéressant de voir. U. nt que sur ces questions, ils semblent avoir un avis plus tranché alors que ce sont. LO. u. On les mêmes étudiants avec la même connaissance du BIM qui ont répondu.. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. est déjà assimilé par les étudiants et est considéré comme exact.. O. U. ϞUPDWLR SHXWSDUH[HPSOHHQGpGXLUHTXHO·DUJXPHQWVRXVMDFHQWjFHWWHO·DϞUPDWLRQ QQXOH QQX OH  /·DϞUPDWLRQTXLYLHQWHQVXLWHHVWO·XQHGHFHOOHVTXLDFRQQXOHPRLQVGH HPE  DFTXLVH HPEO DFTX UpSRQVHV © VDQV RSLQLRQ ª F·HVW GRQF XQH DϞUPDWLRQ TXL VHPEOH SDU UOD U ODFR F ODERUD SOXVG·pWXGLDQWV&HWWHDϞUPDWLRQ©/H%,0YDIDYRULVHUODFROODERUDWLRQGDQV les étudiants. étudia étudi le bâtiment » tend, elle aussi, nettement vers le vrai pour les On peut age ge que que peut peu apporter le BIM donc peut-être en déduire qu’ils ont saisi l’avantage oublier que dans la présentation sur cette question. Cependant, il ne faut pas oublier e on pouvait po ouvait lire : du BIM dans l’introduction du questionnaire. *,252=.; *,855*+ *,252=.; ,855*+ K5*9;*=2:>.->9.>=/*,252=.;5*,855*+8;*=287.7=;.-2//G;.7=<*,=.>;<-.5*. . LWHFWHVDUFKLLQ LWHFWHVD UFKLLQ ¿OLqUHGXEkWLPHQW SDUH[HQWUHDUFKLWHFWHVDUFKLLQJpDUFKLEHWLJQpEHWHWF

(47) ª. WVjFH WVj FHWWH WWHDϞ D 'XFRXSOHVUpVXOWDWVjFHWWHDϞUPDWLRQVRQWSOXW{WjQXDQFHU&·HVWXQ XUDYLR XU DYLR RQV QVVVR SHXFRPPHVLQRXVOHXUDYLRQVVRXϟpODUpSRQVHHWGRQFLOHVWGHIDLWDVVH] TXHOOH XHOOH HVW OD S GLϞFLOHGHVDYRLUTXHOOHHVWODSDUWGHQRWUHDLGHHWODSDUWGHOHXUUpHOOHFRQQDLVéponse. sance dans la répons réponse.. IO. PDWLRQ QVXLYD VXLY  /·DϞUPDWLRQVXLYDQWHHVW©/H%,0HVWVLPSOHjPDQLSXOHUª2QUHPDUTXH. AT. RLV V TXH TX FRPP FRP FHWWHIRLVTXHFRPPHSRXUOHVGHX[SUHPLqUHVDϞUPDWLRQVOHVUpSRQVHVVRQW. N. eu près réparties de manière égale avec une légère tendance pour le « faux à peu. LE.  (Q (Q HϝHW H ª F·HVW XQH LGpH DVVH] UpSDQGXH TXL IDLW pFKR DX[ GHX[ SUHPLqUHV. EC O. DϞU DϞ DϞUPDWLRQV/H%,0DSSDUDvWFRPPHTXHOTXHFKRVHGHFRPSOH[HHWGHGLϞFLOH jJpUHU,OVRQWO·LPSUHVVLRQTX·LOOHXUIDXGUDLWWURSGHWHPSVSRXUOHFRQÀJXUHU et que même après cela, ils n’arriveraient pas à « dessiner » aussi vite qu’ils le font actuellement. On le retrouve également dans l’un des commentaires laissé par les étudiants : FRPPHQWDLUHQƒ© «

(48) HWMHQHVXLVSDVGXWRXWHI¿FDFHUpDOLVHUXQSURMHWjO¶DLGHGX Page: 29.

(49) %,0PHSUHQGSOXVGHWHPSVHWJpQqUHSOXVG¶HUUHXUVGHUHSUpVHQWDWLRQTXHVLMHOHGHVVLQHHQ

(50) L  9LHQWHQVXLWHODTXHVWLRQGHVGLϝpUHQWVQLYHDX[GHGpWDLOLQKpUHQWVDX[ GLϝpUHQWHVSKDVHVGXSURMHWDYHFO·DϞUPDWLRQ©/H%,0V·DGDSWHIDFLOHPHQW DX[QLYHDX[GHGpWDLOGHVGLϝpUHQWHVSKDVHVG·XQSURMHWª,FLXQHIRLVHQFRUH. SE. OHV XQH PDMRULWp GH UpSRQVHV VH GpPDUTXH SRXU OH © YUDL ª (Q HϝHW FKH] OHV. U. e que : étudiants qui ne connaissent pas encore bien le BIM, il se dégage l’idée. LO. et, alors alo il puisque le BIM peut contenir une multitude d’informations sur le projet,. O. U. FLÀHUX IDXWGqVOHGpSDUWFRQQDvWUHWRXWVXUVRQEkWLPHQWHWDXVVLVSpFLÀHUXQHWUqV. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. cha grande quantité de détails qui sont susceptibles, voire obligés de changer avec con l’avancement du projet. Une fois de plus, c’est le manque de connaissance des étudiants sur le BIM qui est criant ici.. devenir obligatoire oblig L’avant dernière proposition : « Le BIM doit devenir » traite ªFDU ªFDU HOOH HOOHD D G·XQVXMHWTXHO·RQSRXUUDLWTXDOLÀHU©G·DFWXDOLWpªFDUHOOHDpWpDERUGpHGDQV e du logement. lo logeme le courant de l’année par l’ancienne ministre Les réponses des e dans le e « faux f fa étudiant sont autant dans le « vrai » que ». On peut néanmoins convain constater que le « faux » compte pluss de convaincus que le “vrai” ou les étudiants sont plus hésitants.. VW DX VL FHOOH  /DGHUQLqUHDϞUPDWLRQHVWDXVVLFHOOHTXLDUHFXHLOOLOHSOXVGHUpSRQVHV 0VHUD 0 VHUD UDSLGH UDSLG &HWWHDϞUPDWLRQ©/H%,0VHUDUDSLGHPHQWLQFRQWRXUQDEOHªUpFROWHHQSOXV réponsses, es, une un majorité écrasante de « vrai ». On peut d’un grand nombre de réponses, e les étudiants éttudiant qui ont déjà entendu parler du BIM ont comé donc en conclure que mportan portan nce. ce. pris toute son importance.. O FH WD DEOHDX  $XÀQDOFHWDEOHDXQRXVPRQWUHELHQWDQWSDUOHQRPEUHGH©VDQVRSLe par la a large majorité de « plutôt » que les étudiants n’ont entendu nion » que. IO. es rumeurs rumeurs su que des sur le BIM, des bruits de couloirs et des « on dit ». Très peu. AT. ntt conv con aincus de ce qu’ils savent et ceux qui le sont correspondent sûresont convaincus. N. PHQW P PHQW PHQWDXSHWLWQRPEUHG·pWXGLDQWVTXLRQWSXSUHQGUHHQPDLQOH%,0,ODSSDUDvW. EC O. LE. cla clair que dans l’objectif d’enseigner le BIM, il faut avant tout commencer par de l’information aux étudiants avant même de d’aborder l’enseignement, à proprement parler.. 1 Le commentaire présenté ici est issu de la liste des commentaires ODLVVpVSDUOHVpWXGLDQWVjODÀQGXTXHVWLRQQDLUHLOVRQWQXPpURWpVSRXU préserver l’anonymat, regroupés de manière brute et joins en annexe de ce PpPRLUH,OVVHURQWDQDO\VpVSOXVHQGpWDLOjODÀQGHFHWWHSDUWLHGDQVXQH chapitre qui leur est dédié. Page: 30.

(51) 2.4. Le choix du logiciel pour faire du BIM.  1RXV QRXV VRPPHV HQVXLWH LQWpUHVVpV DX[ GLϝpUHQWV ORJLFLHOV TXL SURposent de faire du BIM. Plus exactement, nous avons cherché à savoir quels logiciels les étudiants choisiraient s’ils devaient demain travailler en BIM. Leurs. N AT. IO. D NA O LE C U S M U EN PE T RI SO EU U RE M IS D AU 'AR D CH R IT O E IT C D TU 'A R U E TE D U E R T. O. U LO U SE. réponses sont synthétisées dans le graphique suivant.. EC O LE. Figure gure 6 : Choix du logiciel pour produire un BIM. La nette avance d’Archicad® par rapport aux autres logiciels (plus de la. moitié des réponses) peut trouver plusieurs explications. Tout d’abord, certains diront qu’Archicad® est le plus adapté et le plus performant quand il s’agit du BIM. Il est vrai que nous avons pu, durant le cours de séminaire intitulé « Architectures Numériques », nous même constater qu’Archicad® est le plus apte à Page: 31.

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