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Statut du recruteur, secteur de l’entreprise, et
valorisation de l’internalité selon son type
Bernard Gangloff
To cite this version:
Bernard Gangloff. Statut du recruteur, secteur de l’entreprise, et valorisation de l’internalité selon
son type. Bulletin de psychologie, Groupe d’étude de psychologie, 1995, pp.113-119. �hal-01691295�
Statut du recruteur, secteur de
l'entreprise, et valorisation de
l'internalité selon son type
B. Gangloff
tage l'interne revendicateur par rapport aux entreprises privéea? Telles sont les questions aux· queJies nous avons voulu id répondre.
M!Eihodolorfle
Nous avons présentli Al
cies
évaluateurs protes· sionnelales réponses que dea candidalll un poate de ëaiD'i!:"éblient censés avoir apportées à un ques--teonna'i~rétrlbutlons perçues. Les évaluateur.savaient po.JJr c:on.si&ne d'utlliser ces rt§ponses comme critère afin de classer fea candidats par ordre de préférence pour cette embauche.
Le queationnaire employé est basé sur une ~helle de 50 questions (dont 10 de rempliuase) que nous avions àntérieurement valld~e (Gansloff et Souriase, 1995). Nous avons cependant fait subir à cette échelle quel~ues modlrlcations :
- en .suppr!91ant les Uein.s de remplissage : : .... :: avec d~s .Âtlems plus
professionnels :
81lenu êtaienf énêitët
orientés vie scolaire. de type • 11iles t!tudianls lkhouent la leurs e~amens. cela pM· vient d'une incompatibilllé d'humeur entre l'élu· diant et l'mseignant •. Aussi avons-noUs remplacé les mots " ~tudlant • et • enseignant • par • can-didat • et • recruteur •, et le ft!rme • examen 1 par
• examen de sélection 1 :
- enfin,
parmiles 20 questions • internes •
(oùla
rétribution est. de par la formulation delaques-tion, attribuée
à l'Individu,étant entendu que
le ~ndanl peut ne pas ëtre d'accord : sa réponse, l'objection. étanl alors codfe externet. nous enavons tiré
JO au sort.(51uétrlbuUon positive et
S i rétribution négarive) que nous avons trans-formé en propositions • revendicatrices •· Ainsi. J)lr exemple. la proposition initiale • les sens dont la valeur n'est pas reconnue .sont ceux qui n'ontpu
cherchéA
faire rec:onnanre • est devenue • le$sens
dont la valeur n'estpu
reconnue sont ceux qui ne 1e sont pat assez batlus pour la faire recon· naitre •·Nous avons ainsi obtenu 3 groupes de
questions
(dans chacun desquels le nombre de renforce· ments positifs égaJalt celui de renforcement nésa· Ufs) : 20 questioau e.x.ternes (où il était lait rdfé· renee au huard. 1 autrui .... ), 10 questionsinter-nes
cla•alques. et 1 0 question• hi ternes revt!ndl·catrkes
.
Puis. à partir de cette matrice, nous avons élaboré 4 profils de cand•dals :- candidat E (totalement externe) : tout les Items externes sont codlft 1 (• je suis d'accord avec la proposition •} et tous les items internes 0 (• fe ne suis pos d'accord avec la proposition •);
- candidat 1 (totalement interne) : toUl
les items e.JCternes sont cochés 0 et tous les intemea 1 :· - candidat JC (internes classique) : tout les items internes dautques sont coc:hû J et tous les autres 0:
- candidat IR (interne revendlc~eur~ : tou.sles
ltecni
Internes revendicateurs aont c:ochés Jet
tou.s
lea. autres O.Quant l nos suJets. Il s'qit de 12 consultants en recrutements, et de 20 r«:mteun en entreprise
(10 dans Je
secteurprivé.
10 dans lesecteur
pubUc). chaque suJet r~Jisant indlvlduellement la tAche demandée :-a
6 des 12 consultants nous avons demM!Ielé
d'4tablir un classement de 4 candidats. d'une pGrt pour un poste l pourvoir dans une entreprise prt· vée, d'autre part pour un poste àpourvoir dans
une entreprise publique. alors qu'aux 6 autre• nous n·avons apporté aucune information com· p!émentaire sur le secteur du poste :-a11x ·10 recruteurs efl entreprise privie (res• pectlvement publlquet nous avons demandé d'4!tabllr le clas.sement
PQur
une entreprise pri-vée (respec:tivement pu~llque).Nous avons aln•i obtehu 38 classements réi)Ar· tl• en 5
sroupes :
6 dusements par les tenault.ants p~r
un poste
au
secteur indéterminé.6 classements par les C:OIU\Iltants pour un por;le dana le public.
6 clusernents ~r
les consultants pour un
poQ&e
dans
•~ privé.10 classements par les recruteurs d'entreprise pour un posle d•ns le public. ·
JO c:lassement&
par
les recruteurs d'entreprise pour un poste dans le privé.RW.ultat~ 1
A l'intérieur de chacun de ces aroupes, la
post·
lion moyenne de classement de chaque c:ancUdat (sur une variable ·conllnue allant de 1 l 4) a d'abord été calculée. Puis nous avons. sur cèsdon-n4es, au moyen de test: de Student,
effectu' 2types
d·analyses : des analytu de difr~rences de polition dea candidats les uns par rapport aux autres lntragroupes : et de1 analyse$ de différen-ces de position de chaque candidat, pria indlvl-dueHement, intergroupa.Les dlff~rences significatives obtenues ~~.
(leux types-
d,
analy~e.s (avèc
toujours p sont consignées: •aux
tableaux-let 2.[nsï,ennètteôi
ains
C
crabou· tir à 3 nlv.eaux de classement slgnUkativem~nt dUfbenu entre eux (candidats préfé~a. candidats en situations Intermédiaires, candidats rel~guéli).-
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Tableau 2 : cluG~me.:ll de <:baque candidat 1.1elon 1~ troupe&
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,;;. l J"' Le:~ nombre.; nor• p<>rentftèse5 re;n~sentent
la position moy!!nne de classament de chaque
candldZ~.t intrasroupes.
• Les nombres entr~ patcnthèses rotèrent au
nlv~u de c:la.asament (tel que défini au t;ableau
1) de ctuque candidat intragroups.
tt Les trnlts de na~ons signalent le& lieux des
dUférence.s !Significatives.
On observe ainst. globaleml';flt (tableau 1. Sor.1me J):
'
1.
1
1,\1 (1\:'!.l)1.
l.l7(niv.l)1
~~·
.,
-
- .,:ii:J ... M" •• 1,8l (n:'f'.l) 3.-i (nri.J):u
t:n
.
JJ
3,1 (ro!Vl) ·~-que les axterneJ ront clllll$6 en d~.i"ni:er, les
candklats inteanas, mt.\Ï:I ~c;aleœ.ent mixtes(! R ct
r
C) kur étant préiéréls ;-que 11ntenw.lité .rf est pJ.S un tout hor.1ou~~1e mals qu'une dil!&t'lnc:iation y e~t possiblej ceJ!o-ci se
c:arac:térise.
par une valorisation de I'IC p.arrapport à l'IR.
On remarque égzdement un effet recruteur (sauf
pour l'évaluation du candidet ext:;me, toujourJ c~ dernier):
relégué à la dernière place. ad même titre que l'externe (tableau l,
t
2), alors que chez tes c:on·aultanll,
l'IR est
en première position; commeI'JC
et 1'1 (tableau 1,t
1).-Le tableau 2 conftnne par aillwr$ que l'IR est mieux classé par les conaùltants que par les rec:ruteun en entreprise (respectivement politlon
1,83 etl,l). mm montre ~--~rn~f!tq~ I'J~ .si.tué
en niveau
1 A
la foil par les r~ruteiJrl en entre-prise et par les consultants. est cependantdavan-tage apprt!cl6 pu les premiers que les seconds (respectivement position I.SS et 2,17):
Cet effet recruteur nou1 ~ndult donc
à étudier
l'effet secteur non globalement mais au sein de chacun des deux groupes de recruteurs. Et l'on constate alorD UJJe interaction entre les 2 varia· bles. !e secteur du pos1e à 1pPurvolr n'ayant uneffet que chez les consu!tarus.
- Chez les recruteurs en entreprise. que le poate
soit
l pourvoir dans le public ou dans le prlv6, l'tC et 1'1sontl
iaalité et toujours préll!résà
l'IR ..- Chez les consultants. par contte :
En
J'absence de précillon aur le sectèur, I'Jesc
prélt!U! aux candidats mixtes ~eux·mèmes mieux appréciés que I'E) : c:'est .. -dtre qu'tel {contraire-ment aux recruteurs en entrl!prise). 1'1 est mieux fvalué que I'IC. et l'IR mieux évalu6 queJ'E.
Lorsque le secleut est défini, les candidats 1 et E sont relc!auâ A la dernière place. avec en pre-ml6re pl~: c!lfaJlté entre l'IR et I'[C quand le
poste est l pouvoir dans le pubUc, et prédoml· 111111ce de J'[R sur I"IC lorsque le
poste
est à pour·voir dana Je privé.
DJtJCU&aion
Le principal résultat obtenu est, nous semble-t-U. Ja posaible dilférendation des évaluations en foadJon du type d'lnternalité : Il exiate des fac-teurs préval1111t IUr l'internalité et dontl'aaoda·
tian
avec
c~tte dernièreen
contrecarre l'effet. Ainsi, si l'oncrotse
l'lntemalité avec la dl~etJonallt~ des comportements (outgroup venua
lngroupe), on remarque qu'il ne aufDt pas d'être ln&eme pour ~re valorisé :
encore
faut-il • bien •dlrl(Jer son comportement, être un • bon •
fnterne, Ja définition de la bonne
direc:tion
étant,alors variable eokm J'haluateur et selon la cul· ture de l'entreprise d'ao:ueil.
Ainsi, pout les recruteuu en entreprise, I'IC et
J'l sont les candidats préférés.
Sana
doute pourJe premier par attrait pour son efficacité. et pour le second soit par absence de crainte quant l son
caract~re revendieatour. salt par compensation
de
cette
caractl!rlstique du fait des résultats posi-tifs eseomp~• pour son tempérament IC. Al'opposé, on observe un reietltle l'IR ·
iet
1
derE.
Certes, ici, l'absence de prélbence dt. L'E
P..,
rap-port l l'IR dans le.s entrepriiea putlllqua peut sembler aller à l'encontre des résultats d'Aktdri· saniet
~1 (1976) ou de ceux de Frantz (1980). mettant en évidence qu'obtenir un emploi et tra-vaUler dans une entrepri~e publique émouuer•exprealon de l'lnlernalit~ {un ph.&1om6ne
lrwene étant
coilitaM chez
les Alariés du socteurprivé) : c:e qui noua semble a lortfori appUcable aux
IR.
Cependant ces études comparaientl'l!voa
lutlon des tawr: d'intemaJUI! et non Je niveaud'lnternallt~ par rapport au niveau d'externalit4. Par ailleurs, certaines verballsaüon& dfl nos tujell
(recruteur~ en entreprise publique) recueillies
apns paaatlon de
laaiche
noua permettent de comprendra teur non préMrence de I'E par rap-port li1R. leapremiers
étant assodéaà • J'lmap
que J'on peut avoir des fonctionnaires, sunout 11 y a quelque.s années, c:'eatà
dire la routine, lemanque
de
dynamisme 11 :ca externes, • quidon-nent une mauvaise imase, on en a que trop dana 1œ admiltrallons •. maiatenànc. c on ne veut plua
de ces gens Il ; Ils ne 14irverit A rien et mvme gênent l'effic:ac:il~ de
notte
étabJJasement •..•Chez
le~~ consultants.par contre,
J'rR
ac
tou-tours en première position, etse
dt!tache mimeœ
tous les autres candidats Jor~qu'll s'agit d'entrerdans le privé. JI
y
a donc Id non seulement abœnce de crainte par rapt)Ort aux revendlc:a•teurs. mdl aUJii peut-41ral'lmpression que ce
der-nier serait un atout pour les entreprise~. notam•
ment
celles
du secteur prtvé.On peut ainsi penser que
les recruteurs
en entreprise tiennent compte de 2 critères : l'effi·c:toèt~ potentielle, représentée par l'IC, et l'esprit
de cohêslon. illustrê négativement par 11R. Ce
dernier. selon let dires de nos recruteur• • mon· tes'ait
peut-être
lessens
les una contre les autres •· • on ne le prendrait p.u paru qu'Il mettrait ung ma"vaise amolance dans J'l!quipe : il est trop révolt4S • ; • trop agressir • ; • je ne saia pas sinoœ
pourrions le glisser dans nos structures • : • il et~dllftciJe lgl!rer • ; • U hdsltera moins
à
renverHr l'ordre ~tabll ....A l'oppO~. les consultants, soit ne tlendraleltt
compte que du premier
crltire,
soit encore valo-riseraient l'esprit frondeur de l'IR, notammentquand le potte e• à pourvoir dans le secteur prift. L'un de ces.rec:rüteur~auant l'IR en
pre-~e posiUon peur le secteur privé et en
lroi-siime
pour le public) explique ainsi : " j'estimeque let entreprises publlquea aont quand meme
motna battantes. et qu'elles seront de tour_, manière .. la recnen:he de personnes par trop bat· tantes • .qui n'en veulent pas trop •...
N';. 1 N• 2 N' 3 N" 4
9 ·Le tuCCà que les
oena
renccntrent dans leiX vie _,o...,.. est lW •leurperaot~nalitê 0 1
0
110 ·Le plus souvent. les tnnuis qu'ont les gens d~naleur vie prokl.ssionnelle ~
nene
deleneura qu'la commettent
0
1 0 111 • lof'l d'un entretien d'amblucha. le fait d'avoil' une lêlt QUI plalt 6 la personne
ct.gèe ckl recrutement favorise lortament remblucl\e 1
0
0
012 • Lea cancüdats réuasis~tnt ladement à lean e~Camens dl ~ilac:tion s'ils !)Oit~
dant les aptlbJCies nëcessarrea
0
10
11 3 • Lea aens capables qui na I)8Meflnent pas i P'OQtllltl' dlnlleur C8(Rtfe sont
ÇIIUII qui l'l'eni pas lU &'Imposer pour qu'on leur offre des ~sllbililés
0
1 1 0•• . à
t4. Le
pua
souvtnt. une personne qui, repondant URII offre d'emi*M. pament t se laire embaucher est une pe11orine chanceuse: eHe a eu Il r:hanee d'arrtvtr au bonmarnent
t
00
0tS. Lu gens CIUi nt pa."VieMitlt
~"
i s'impow comme leldlr le doivent il.l'•
mllehcnce .1
.
i
0 0 0~
1 8 • 1 y a dell ;ours particullllfl dan. 1a vie cû tout nt peut <IUt rNsir 1 0 0
0
'•1
T
·le plus souvent. les persannn qui ne parviennent pas i trouver un emPloi le dot·wnt t tiM personnllld qui n'est pa assez agrt~tsivt 0 1 1 0
t8. La r•usaite awc examens da séfecliOn est dlrtcttmtnt liltct au trlvllil roumi et i
un otprlt c:ombaltl ali'\ d'lire reconnu
0
t 1 019.
o.ns
la plupartdes cu
.
c'est
le haSitdou ce sont
IH él6rnentS lnc:Ontr6lableaqui emplchent de trouwr un emploi 1 0 0 0
20 ·Dt ncmbfeux èchec:s aux examens de sélectiOR s'expliqUent par"" ineompatibi·
litt d'humu antre le candidat et le recrutN 1 0 0 0
21 • C'llt la haWd QUi fait qu'on a bellucouP d'amis 1 0 0 0
22 ·lA
*•lite
profesSionnelle eat directement l"• aux compitences des individu• eta
leur ciPICitt .l ravendlquer pour qu'elltl soient reconnues 0,
1 0 23 - Si IN joum .. de travail c:ammence bien. elle at paaera bien detoute
façon 1 0 0 D 24 • Si 11181 savent clamer haut et fort laura caplcit•s. les perscmes qLI sont au ch6·mill' trouvnnt certlinenMtnt du1m11 0 1
,
025 • La rëuasîte professionnelle est
lin
au bon YCJUioW da•oen•
dont on dépend 1 0 00
28. Le plus aouwent, alles gens n'obflennanf pas, au sei! de leur enftprtla. le
poste
qu'ils déatent, cela vient du fait qu'ils n'ont pas laa eptlludes néc.SIIireS 0 1 0 127. LoriQUI
ron
u
donne la p.nt de contnteJcertailes
d6clslons.on
finit loUjOUII!)ir tlrt IQCirëclê 0 1 1 0
28 • La mliel.fè partie dea personnes qui ont un trava~ inléraasanlsotlt dea person·
" " dlanCIUIW : e1et
ont
eu ta chanCI de tomCer SIX une otfte d'emplOiN• 1 N• 2 N• 3 N• 4
29 • Il y a !OUjourl dans la vie des gens auffllamment pulsunts pour empOcher les
liMes de réuair c:. qu'la t.nlnlprennent 1
0
0 030 • Dans la via PIOfOSiilonnelle. si un homme est compélent et mordant. ~ pamenclra
presque toujoll's
t
IHelndre ses ob;açtifs 0 1 1 Q31 ·Lee c::andldat.l r4~t néco~èiment a11s 1ont dam un bon jour 1
0
00
32 • La plupart dea gens qui ont réuul t l'ftlaresser dana laur carrière devraient
nsmarcler le h8a'd 1
0
00
33 • Lo plu:. oowent, allos gens na réu8SÏII8nt pu dans lu lnwl!l, c'est en raison
d'un manQue Cie capacn:,s, d'una 1111uHisance de travail ou da persëvérance dl leur .
pat 0 1 0 1
'
34 • n y a etes gens qui, de par leur lpfrsonnalité. n'auront jamais d<i succ*ti dans tour
vi~J amoureuse 0 1 0 1
35 • De nombraw: échGCs aux entrellens de reetutoment s'eJCpliquent par une i'lccm·
patibilfté dt caractère entra Je demandeur d'emploi et la personne chargétl Cfu
riôcrurement
~
0 0 038 • L~~ug
ron
E>'En donne la poina, on srriva la plupert du tempsa
lro~Wer unt.fi!piOI ' 0 1 0 1
37 • ~ trop d6i ctwtceï, on ne peut ecqu«ir cfiiM son travail de nouftiO~
ro~naabilité:i 1 0 0 0
38 • L'iliiufllsanœ d~ trav;;rJ et d'a9(01s1Vité expliqua
ta
plupat Clea êchecs aux exa·msns da sâlecdcn 0 1 1 0
38 • Les gens dont 101 qualités protassionnellos na sont PlU reconnues aont eaux qui
n'ont pas su niclamer pour tes faire reçonnaltre 0 1 1 0
40 • La pl~ des gens qui ont réuui dans !~Jura examens da sélection devraient