COMMISSION ULV.L'{'-'''' ET DE LA TECHNOLOGIE
1
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IQUES
1
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CEDEX 12 ,25.25 46.01 . 2.21 41.SOMMAIRE
Hommage au Président LAGARRIGUE
Présentation
- Généralisation de l'expérimentation de l'initiation
SC:Letlt],Il.que et technique en classe de 4e - année 1974/75
-p3
2ème partie - Compte-rendu du stage de Sèvres (6 au Il Mai 1974)- 1. Astronomie - 2. Electronique - 3. Chimie
- 4. Les liaisons interdisciplinaires - 5. mathématique - technologie - 6. Liaison biologie - sciences physiques - 7. Le travail par objectifs
- 8. Note de lecture - L'Evaluation en éducation.
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CO.LiE~gules Universitaires chargés par des
- Liste des documents du G.T.C.R.E.P. des membres du G.T.C.R.E.P.
le G.T.C.R.E.P. de coordonner l'expérimentation des
modules de 4e et 3e.
f
13
Âu DdMnt où le Groupe de Travail achevait la prfparation de ce bulletin,
nous avons
tOUIappris le dfcis du Professeur A. LAGARRIGUE, Prfaident de
la Commission de R'novation de l'Enseignement des Sciences Physiques et de
la
Technologie •
• 'e.t difficile de pouvoir exprimer ici ce que nous avons ressenti face
l cette disparition brutale. Les orientationa du Groupe de Travail qui le
sont concrftisfe. dan. le. modules 4ême-3ime, et plus rfcemment au niveau
6ime-5~
ftaient entiêrement approuvfes, soutenues, encouragfes par
A. LAGARRIGUE. Sans lui, le travail qui est prfsentf plus loin n'aurait
vraisemblablement pas vu le jour.
NOus perdona aussi quelqu'un avec qui, pour ma part, un clt.at de grande
confiance rfciproque et
d'amiti~avait pu peu,l peu s'ftablir.
Le meilleur hommage que nous puissions dfsormais lui rendre
eat
de cont~dans la mime direction grâce l la contribution de toua.
QueaGD
~.,.iaa.
aind âtre menfe l son terme.
G. DEU.COtI
Avec mettre l la Rél00,ration de l' personnes exp~rimentation8 les de ~UWLUA.trateurl•• en en ellt l 8a ann~e Ce fut l ' et
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Automati~me le nombre d'éliv~1 ne
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que limité à la des
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techno-du du l des élèves
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actuellement le module dans leur classe ; sans autre à celle sera donnée au premier 2 et un ou telle Le une et compreSSetlr), et un second pour la
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DEUXIEME PARTIE
COMPTE - RENDU DU STAGE DE SEVRES
1 - ASTRONOMIE - SCIENCE DE L'UNIVERS - • DELACOTE - Mlle BARBOUX)
La motivation des élèves de 4e pour l'astrol~mieest très élevée. C'est la science qui vient en deuxième position sur une échelle d!intérêt,
immédiatement après la zoologie, selon un questionnaire remplis par 800 élèves du 1er cycle. Les connaissances de départ sont en général faibles, éparses et hétéroclites. Un élève pourra ignorer l'origine des phases de la Lune mais saura qu'il n'y a pas de champ magnétique sur la Lune ... ··
tout en ignorant ce qu'est un champ magnétique.
C'est évidemment un thème où l'aspect technologique est a priori très faible. Il peut néanmoins servir de point de départ pour l'étude d'un objet technique - comme par exemple la lunette d'observation - et encore mieux pour sa réalisation. Ce sera donc l'approche scientif1que qui ici sera privilégiée.
Il s'agit a priori d'un problème global qu'il faut conserver comme tel. C'est de l'Univers qu'il est question de sa structure et de son évolution. Un des objectifs sera donc de familiariser les élèves avec le décor, la sclne de l'Univers, les divers corps célestes, la matière dans l'espace et les dimensions de cet espace et ce qu'on en observe.
Cet aspect est essentiel, il y a risque,sinon,de se limiter au système pla-nétaire ou même au système Terre-Lune, ou tout simplement à ce qu'on peut observer à l'oeil nu de notre Terre ce qui n'apporterait qu'une vue très li-mitée. Ceci correspondra à l'objectif de prise de conscience de la richesse, de la beauté, de la diversité et des dimensions de l'Univers. (cf. diapo. SEVPEN).
Il s'agit ensuite d'un domaine où l'observation joue un rôle fondamental. Observation du soleil de son mouvement à diverses époques de l'année (en relation avec la géographie, l'histoire ••• pour les cadrans solaires et la mesure du temps) mais aussi l'observation du ciel nocturne, des etoiles de leur organisation, de leurs mouvements apparents, des pla-nètes, de la lune (également visible de jour l certaines époqees-·). Un autre grand objectif sera donc de développer le goût et le sens de l'observation, ce qui ne va pas ours sans difficultés en particulier dans les cieux brumeux des villes du Nord de la France •..
Il s'agit aussi d'une quest à plusieurs moments nécessite une démarche scientifique pour parvenir à des éléments de réponse. Comment fait-on pour mesurer la distance Terre-Lune par exemple ? pour connaître la température superficielle du soleil? La simulation en laboratoire, la moaélisation, l'emplo1 en situation réelle sont de~spects de cette
mé-thode scient Un ectif sera donc de permettre à l'élève de mettre en oeuvre relevant de la méthode scientifique.
C'est peut physique est une l'Univers a jectif sera donc
aussi un domaine scientifique très ancien - ou l'aspect his-considérable - et très moderne dans la mesure où l'astro-science en plein développement et que la connaissance de
prodigieusement au cours de cas dernières années. Un ob-de permettre à l'élève ob-de s cette science dans son passé
et dans
d'une
du présent sur l'emploi
les documents remis aux élèves.
où la science de
l'es-Terre, de sa géologie par exemple~{mais lanetes), où les mathématiques jouent un rôle
des de 10 mais aussi
etc ••. ) où une coordination avec
Les une
tl:1emes, d'autres
très diverses. Certains
aux élèves étant donné la floraison
à leurs élèves. élève recents sur à base ticles En tous les rassemble des une du c I l est donc à en fonc
di ffêrente.s metnodes pédagogiques et
ique pédagogique et de
de base,
I l ne s' du manuel rassemblant les connaissances
d'applications. I l faut sur II ou III). aussl. que etc ••. sera
pêdagogaque , le temps passé
nature des quatrièmes
n'a pas un caractère 1 • Les expériences
d'étude sont nombreux pour que le professeur
~vu~~~vu de l' élèves notamment.
de "sens îb i-' se de contact est alors faite montrant des planètes, des étoiles, des
dans l'émission TV,RTS sur
seront apportéesnodu1e
thèmes proposés ~ont destinés
des élèves, et aussi à
leure compréhension. Ils sont
de les s Le module à l'ast:rono!lue 'une nebu,le~us,es. des fusent. Le au cours du aux nêce s sa i.r e s à leur au nombre de Les
- I 'obse ...'<>f"i,-."n du et nocturne.
- l'étude du système solaiLe, l'examen de documents
planètes.
- l'organisation de l'TTn;"""?,,, gravitation
leur
avec des mesures de distances, sur la lune, les
un aperçu sur la informat10ns sur les étoiles,
L'
thèmes peut qu' entre eux. du variable d'une tousà chacun de ces grands classe à l'autre. Il est cependant
indis-et qu'un équilivre soit conservé
pour chacun de ces thèmes
?
les po"'... .., ...,"'-'" 1 - L ob ser-vat
l.1
Il est apparu au cours servation diurne ut pour
- aux dans le les cond l'observat ....u ...spens ab l e la : heure,
, notamment d'observations répétées nécessité de noter avec précision
- aux
",,,, ... v,,- .. par un astre construction par
à l'''' ..a.., ...ssement de la trajec-enreg1strement.
Tout sous le
C'est une bonne prepfal~al[1iDn au module. L'étude
en lè avec d'autres ets.
professeur. être menée
tes aux professeurs enreg1strer. L'appareil,
ru-opaque cylindrique intérieooc, contre la paroi 1osenS1ble. On oriente convenablement
on observe la sont proposées ; "construction" ou il un ballon pastilles autocollantes est sur la fin de du d'ombres à une sphérique convenablement de façon que l'ombre de la
U1meut:al,re, est dont le couvercle latérale on On trajecto dessin de
Ces est
avant tout les
est .2
Si
solut
.
Enfluorescente
phot.cg r aphique s lumière nocturne. sera en classe. s réalisée modes de
étudier les (" s phèr e aussi l'occas1on la rotat s 'S8lVE!nt:" 2 - Le • C'est observent conse 2. 1 L chez les élèves. seront donc Elle est un li l'aide d'une mètre ; Les de diamètre vue. mesures cm - D'aul:res methode s , de cons ...>.uu...c> proposer en 2. pour ce l'actual
cas. Nous nous con-ce domaine de donner organigramme est il suggère les dif-les dans tel module, parties au Impose r un différemment, les développer plus ou tenterons donc pour montrer ce qui l'organigramme qui est proposé aux d'ailleurs proposé pour chacune des férentes voies possibles sans
LA LUNE
ir de
l'infor-sur notre satellite.
cette ion pour
les intéres ier que léi la terre.
Ut de
formuler des
sent. Ils savent en Lune tourne autour de Carte HALLWAG
sur la Lune
ion d'un modèle dans le Soleil-Terre f pour
les de la Lune.
ec erc es 1 10-graphiques, de documents, etc .•• sur certains aspect mentionnés.
Lien avec la Géologie de 4ème
Recensement par le dessin des des
Lien avec l'histoire de 4ème
Lecture de la sé~uence des phases lunaires sur un calendrier ou rapport d'observation.
de la de ours la Déduction du sens de rotat
Déduct Lune sur
Etudes de documents
...- - - , . - - - . i U
photos sur la Lunelphases, carte lunaire. Exercice éventuel sur
l~s phases d'autres .planètes comme
'i1
Les élèves sont invi~és à faire des lectures sur les autres planètes. On pourra répondre à leurs questions. Quelques documents sont proposés. Un planétaire peut être const et utilisé pour programmer des observations.
3 - Lbrganisation de l'Univers
3.1. La gravitation Les élèves posent souvent cette quest Pourquoi ça tourne 1 On essaye donc de comprendre la nature des lois qui régissent notre Univers. Des expér qualitatives très simples permettent de montrer que pour obtenir un mouvement autre que rectiligne uniforme,
doit y avoir interaction.
Une manipulat est
mouvement de chute à la surface de la vement des tes est un phênomène
illustrer cette , sans doute
que l'on le plus
pour mettre en évidence la nature du Terre.
On
montre ensuite que le mou-de type. Des films existent pour pour des élèves de 4ème : mais, sans ambition excessive. 3.2. Les étoiles, leur On commence par le soleil. Des
documents photographiques sont mis à ion des élèves. Ils montrent les taches solaires. L'étude de leur permet des notions sur la nature gazeuse du soleil, sa rotation. Une expérience de spectroscopie est faite grâce à un réseau monté sur un tube de carton. Chaque groupe d'élèves possède ainsi un spectroscope simpl • l' • On examine
l'as-du spectre cont que donne une à en de
la température du (on peut sous volter volonté la lampe). Ceci
permet d'introduire la not de de du soleil. On peut
également montrer comment un spectre de en fonction de
l'élément émetteur et illustrer un composition des
étoiles. Des lectures sur leur vie, leur proposées aux élèves.
LES MOYENS
que
La description celles qui sont
possibles montre que le matériel U~kkLO'~ est très simple et dans l'ensemble peu coûteux. Pour l'expérimentation il a été entièrement fourni aux professeurs. Beaucoup de choses fabriquées très facilement. Les documents , les itives, les réseaux pour la spectros-copie, les appareils pour l'étude de la chute des corps sont plus difficiles à se procurer. Le groupe de travail fournir à ce sujet les indications com-plémentaires.
2)
Les documents sont fournis aux professeurs. Ils se présentent sous forme de fascicules. Pour chacun d'eux et par et ils proposent
- un a été plus haut).
- des s possibles, en nombre assez grand
Lorsque l'actuel met en vedette un document est envoyé aux professeurs pour qu'ils élèves : exemple la comète Kohoutek.
d'astronomie un répondre à leurs
Pour l l' de l'enseignement du module, les
professeurs ont également fait passer un questionnaire standard en début
et en de module (voir d'Astronomie 1974).
Voici une liste des documents liés par le Groupe de Travail.
-
Le mouvement du soleil-
Le ciel étoilé-
La mesure des distances en As-
La Lune et le système-
La gravitat - Les- Une comète pour le Nouvel An - Rapport de préexpérimentat
- Nuffield Astrunomie (Traduction d'un ouvrage anglais) Quelques ouvrages ou documents utilisés
- Des Astres, de la Vie et des Hommes {Seui JASTROW - Voir l'TT_:··_- s (Payot ) H. ROHR
- Papa, dis-moi ce qu'est l'Astronomie? (Ophrys) J.C. PECKER
de l'année (Société Astronomique de France) - Revue l et
- Cartes Hal • A la
(Hachette), Les Etoiles, la Lune, le Système de l'espace.
iel BOURGE.
OFRATEME (commander au La Terre vue du Ciel 16l)
Le monde des astres et des les .V. 162) sur bande magnét
" '... u ..."';:» réal
de 27 obtenir une cop 2 émissions
(magnétoscope) des s par la R.T.S. (OFRATEME) sur les modules d'Astronomie et d'Electron1que. Il convient d'envoyer
vierge au resoonsa.ble des émissions de technologie - On
une bande
de l'OFRATEME rue de la - MONTROUGE.
- Bulletin de llA.P.B.G.
1 )
avec les photographies des phases de la lune et de res. (les clichés originaux peuvent êtreExemple : 5 Etaolissement : WASQUEHAL (Nord)
Séance de travail nO 5 (2 heures) Thème: LA LUNE
Sujet et forme de l'act Durée Commentaires
10
l - nt:VLJ..l:lt:.Ut:l:l UU::;t:.lVi;1LJ..UU::;
, nous reconstituons un ~let. Pour
n'ont eu lieu que penu,.t( uue sema
iquer davantage l'intérêt de ces observations
pas habitués à avoir des activités gratuites
ement que peu d'élèves savent communiquer leurs rection). Aucun n' dessiné les taches sombres observations).
de faits et raisonnent parfaitement. Une la Vie, la conquête spatiale les anime. 1
- 1/4 pensent que la lune est une étoile ou pourrait l' • Certains
que c'est une planète parce qu'on parle d'elle comme étant une planète bitée, ou parce que des hommes ont marché dessus. Unëlève invoque le phéno-mène de l'éclipse. Il faut leur suggérer un schéma.
ho.ouzon ..;;;;:..ri 0 0.... lune
~ <S)
Les élèves connaissent passion pour l'existence de - Pour ce groupe pas de prob
d'autres groupes les observat Il aura fallu peut
et surtout les élèves ne sont e). Il faut remarquer observations (date, heure, sur la lune (imprécision des
10
10
10 mn
?
Les elèves dessinent au tableau leurs observations.
I I
-I -I - •
IV -
J:.LUUt: ut:::; PUi;10t:151 - Ombre de la Terre ? 2 - Modèle
30 - La matié des élèves doute mais aucun argumente la forme du terminateur aux
quartiers. Les élèves ne sont visiblement pas habitués à trouver eux-mêmes les réponses aux questions.
ab
-- Le modèle est compris sans difficulté et manipulé sans erreur. 13 élèves sur 14 dessinent mal le terminateur. Le problème des éclipses est soulevé.
c- Sens?
Temps pour parcourir l'orbite.
- Aucune erreur : Le calcul de la période est plus laborieux. Un élève dessine
au tableau • et
41
•
Un camarade indique comment reconnaître ... premierquartier
4
dernier quartier. La lune etait visible la veille (10 élèves l'ont observé et tous déclarent que c'était un premier croissant)Les élèves se servent de leurs observations et du calendrier
20
No>
de n'avait et apI la le pouce mais dès qu rapidement l'lllAjJ.l.u.I. ....t:ll..l..UU verra-t on - un un de la
du jeu de la ronde pour élèves trouvent la .
- La Lune bonnes
le les heures de et de
s ont quelques
groupe y est parvenu tous
Avec d autres classes
une et au 1 au mur. N ~
I I de
donner aux ~lavee un l'''A1M:ft.1.n
lee ou lei
du dispositif',
l
la cozmaie-l la possibilit~de d~'Dneret des
Pour cela, dans cette T l A r t l A de P.l.u.i.I.J,lJII,l...I.UU scientifique et teebniqae, DeUS menons de front : un d~but df exp&-!mtntale,
l'intro-u vl~..I.Y'UIIll d' d' 'lectroniqUG, la~.
d~couverte et la . Ce travail,_n~
sur
plusieurs sur cel~ du
scienti-ou du , aupeDteMl·int~rêt
de l' pour tous 1'~l~e
l
le eoçrendreet un autre prob1~.
les
prl!l.tJLqule POsI9H>le, lell la pour que le est
à
la des en séEwc:es de eta,c1..1 UJ..l:> • Les '"1" montènt
ont d'f'ini eux~s
ma:niJpWla1:;ioJn au moment
'l'I'I''nj;)l''i·.A'I'I.T.!I'!.
n
alors lespour la
c01'lPr~-et .donne au
! . !
établiue-dans d'autres pays,
et intéressant de âgés et un matériel les élèves
particulière-leurs découvertes à faire apparaître les actuelles. 1.2 ment donc cipe les D'autre peuvent sont revues passer dans
psychologue, avec la participa-rédaction des semblent satisfaits montage dont le fonctionne-peu osent le modifier et aux élèves des maquettes de prin-les • Ils ajustent ensuite,
à l' isation découverte.
que nous avons introduit ainsi ne des notions. Celles-ci les • Elles doivent
1.3
Si
la
deux heures les
texte que dans l'ordre
alimentées des
obser-IV.~U'~~'~ une directrice Tech.nolog1e. Les
6
élèveslors
présentés aux élèves dans tra-lors de d'Etudes d garçons et premiers des venant de jours. en mesure~ cand a retenue, d'information 8 des leçons, ils sont -' ;::;:: "'.- "'- une démarche
péda-signifié que dans leur
leur appar-qu'
3 seront tota-contenu,. De leur • Jo. sera noter oeuvre. un des dans la pour
de
à un
une et ~ le
donner aux cet
les entourent. Cette que l'on assigner
aux ~lèves
des questions nrévoit pas exactement
objectifs
~LŒ• •~ vers ces
objec-sur finalit~ II::I.CI].I..I.. Ce en une mise du ce de envoyer
et
est
est
courant
pour bloc + et en deux. de posit avec un reste du C~~~U~L a avec le t alterna-est pos alternat ou un courant
recenser l
31
par du ma1:êriel du de de la de par de~recher-1'3
passer il
et l'ampLLLL~:.t.etlL, les élèves montent une le condensateur est un petit accumulateur.
du et que dans une partie
dans un sens 1 un autre instant pour eux très utiles.
- La
En
I h en un
le courant peu ln"eI'se. Les nombres en sens 1 l'entrée courant de 1 du courant alternatif en Le feu
En
am:plU::lCl:ltl!~Ur, le montaRede cerratnes ...,nn'.. ;;.<;....&'"
la de
dans le montage précédent fréquence. l'orare en radiodiffusion car
permet aux élèves an précisant les rôles outant des
en
passer entre antenne et terre avec le
que de
Le
Les élèves
connues les unes aux autres. La
CRJ:MIIQUE:S - REACTIONS
(M. BOUlDON)
du de
Le
des
part i.e r ressent. en 1973. stage
L~LLe~. C'est cette
été en 1 tels et le contenu 1- Le est en Ii l de la méthode • La méthode d'approche - la - la la - la
Au
module sont montrées les diverses approchesavec retour de l'une des
la courantet aux
'"
vers par la d'ex-un li1adl!l.pt:e donnêe aux aux et leur et du prlofE~linleUlr. Une partieaJLe
1
-les
:2
-et
ccnst.a tuëe de en aglcaLlon perpétuelle
Cette {eJ~~~r].erlCE!Sde diffusion, etarement dune
3 - Les
Cette un corps pur ?en contact des particules
semestre , à telle lentes -inq?Ol~ta,nce que le et un attache du et les
WJU!UUL~ Largement ex:pélri'lllletLté:e en et
31
2 - La En temps. Il une leçon. Un professeurs.le des des molécules prend beaucoup de
les gaz et non pas les traiter à part dans semble être souhaité par certains
3e majeure.
contenu de cette a été conservé sans modification
des aux élèves sont souhaités ainsi concevoir des petits livres donnant connexes susceptibles d'intéresser les la de réaliser des films courts }- Les documents d' acccmpagnement
par les seurs. On une ouverture sur des élèves. On a
et des
ou comme
précédents, nous essayé de proposer un certain • A des essais qui ont été faits WUULLLÇO pour essayer de les adapter aux objectifs
2- Dans les nombre de ceux-ci ont à évaluer. décembre d'am:lée En cette IJUYtf.L4UO::: et
74~ semble se qu'un enseignement de t dans les classes de 6e et
Le module, dans cette en
UIJLL4UC nouvelle, de et Se.
des adaptations
6
Nous pensons consacrer 6
séances de en classe de Sème. Nous proposons donc 1 avant et
38
(prendre des
la composition est donn~e).
tttuan'ts d' un m~lange.
DéICai:ltSttion - Filtration - ~langes
d abord de l'~bullition d'Ui:l
et de temp~rature d'~bul1ition nu. de
a
l' - ona
l' decorps pur pour
- une est par un
...,...".., ... Ci) •
- une ch~il.n~;er d' de transformations
de
conat.a tuëe de part:lC\11E!8 pes,an1:es. Mol~cules. Ordre de
- Une
(les un
est un ensemble de nombre d
toutes identiques
iser diverses réact qu'au cours d'Ui:le
disparaissent et de particules
le module
.
LeOn l
not en Se qu'Ui:le eap~ce
toutes les 80nt pour l conservent sana au
En
contenu cette entre coursproposer !cn par modèles très
et ' ... a ..., . . , effet thyndaJlI} •
EN RESUME
de 6e les élèves une chimique
de changement d'état, les -En par un ensemble de couleur, odeur, )
-Eu
encomme étant une transformat des des nouvelles apparaissent
les
-Au
et les sur les atomes :
IV - LES LIAISONS IN'l'ERDISCIPLINAnœS
(J
.L. MARTINAND)
RAPPORT
INTRODUCTION
Le liaisons interdisciplinaires, du point de vue péda-gogique, se présente essentiellement ainsi: comment articuler l'unit' souhaitable de la des enfants avec l'approfondissement des disciplines.
Pr'ciser le vocabulaire
être d'finie comme un ensemble de savoirs ou d'activit's poss'dant une certaine unit', d'ailleurs r'elle ou suppos'e.
Cette unit' recouvre souvent une liaison objective entre les 'l~nts de la discipline, une CO'llllUIlaut' dl'objectifs, une similitude des œthodes de
d'couverte ou 0
dêcoupage en disciplines a toujours un caract~re relatif
dans la plupart des
PU.1.l:Iqu'on .,...'"
cU.scl.pu.nes sont
li des redistributions. aux mathiém.!!ti.qtlLeS, ou au double a.pect
gélOm~!tI~ie. En fait, ne se d6finiuent
dêt.ernri.nent; ré,cil?rC)'tleulent, par diff'renciaticm. et se que ces conceptuelle donnent li la - s dl bien Songeons li la , un moment physique et de la
- ainsi, les sciences le sont peu li peu d'tachées de la philosophie : calcul et g'oœtrie, puis et œcanique, chaleur, etc. Cette constitution progres-sive s'est faite en etant la philosophie, ce qui a conduit au culte positivilte du "fsit scient porteur d'une v'rit' êvi.dente , Les disciplines apparaissent comme des donn'es li priori, ne posant aucune questiOn: c'est pourtant li de l'effort de connaissance se heurtant li la r'alit' que se fixent et se transforment l' de r~gles m'thodolo~iques comme la structure
sa stabilité.
pas par opposition.
- Cette du contexte culturel et social ;
traditions et leur pays:
l'or-ganisation de l'un:ivE~rElité, de la recherche, de l' expliquent la permanence
ou l' de 1 et ou histoire et
g'ographie en France, pays étrangers.
s'établir entre disciplines, sur d'éternel, (Piaget) ne serait n'ont s'ignorent. ou moins de l'information réciproque ce est simple ajustement pénétration, échange réciproque,
s'établissent à de (ajus-méthodologie ; or-une de selon un reste on en cause, ou et êt ou de la recherche. totale, la des or si les sans à de te:ment ou souvent leur pour mettre v ...l!) ...ç de en place d'authentiques • Nous en LALIlI'U" de n'a aucune de cadres
des adultes, cons-pose le problè:me difficile de
des disciplines à
appamtt.on de cel' ..",-r" et la structurat donnée par une
"uce,.Lve à cette
enfants la 1er ce que 11"'...' ...e èlèDent:al.re en ou centres d' Conment réal ec et aux à la '1 : la par
43
les est à suspecte, se révélant toujours
ar-sofutIon ne
la
le
cas supelrfild.e1.1e. Encore une foi8 spécification progressive paillaer que la
le probl~me est de réaliser et Il'articulation réciproque des actifs
du système éducatif.
: s ' e s t vrai par exemple, selon Piaget, des abstractions réflé~issantes,
nartir de l'âction, alors que les sciences dei ob~et8 ne faut pas se masquer ls triple originé des difficultés
universitaires, liées à la recherche, donne du , à le répartition des disciplines elles-COlltenu L~i~UJlLJ"U~W~L un aspect étriqué, parcellaire et figé.
de sa propre discipline, par rapport aux percées LLI~Lt;UU.~ nouvelles d à une autre, empêche de partir d'une
pour pouvoir reconnaître au niveau d'une
sc IentLfIque authentique, donc formatrice, et ce qui par de - l e à la
ro
raatuoa n'est là - le mall1qule que les - le malrlqu:e qu' faut mathémat avant de débuter la physique 1et est du de l'approfon-donner toute sa richesse. I l s'agit
et qui
les des enfants une
et de coIlcel~t8 ca"rac:térilluult de
dans l '~~IP,l;lli. remarques
le cadre offert par l'
et un aux Sciences de pensée I.LqUC,holant et dans comment technique, rallsemblant 1 "'''1'''''.''''''''''ions aux des activités fondamentaux. en I l de la de
cher
les d'att propres à
...~...'"' d'étonnement, dés de cher-on retrouve les est la de aux et
de la science est le du passage i
et l' de la réalité. De la à à des il la des cette il l' se fonde t dans de demande un de d on les en relat des sens avec la • Dans le but humains, toute du de avec en preuve, ne une dissociée
tata bruts et des de
VOC80UU1J.rc, de la
du SU1,pOIse aux
dont
i'
<:>o.;''iUJ.1:$oum dans le de donner de
surtout au stade de l' de ne pas
, la de "''l::J.J.'''I:$~'''''', Hommes
jouent chacuns leur ; ne pas amener les enfants il
donnerait à l' un
l "approche paaaêes , des
est la de donnent dans avec une sêl)ar~es. Bn mesure où cont ect s un
46
essent et aut.re Il est de de tout la j'''''''-if' i<> ou de d'un texte, de passage la lecture ou deux fonet relatiion d'une une t ou d' d'ext:rrÜner le passage des de dun de textes lÜlgU.i8ticiuE~a.Lu ou pr·étE!ndlues d pas d'aborder avec lades l
'interdis-à l'école
êli~D!nt:ai.re, l en p. INRDP, 1913.
nouvelle, sous la direction de L
fonctLUI~~:LLC pour l'école
cours
les
mes
ne
en aucun cas
dl
111
1enselt>1e
es d
1 a s t r o n o m l e , ~~:~va'ila examiné
ces
asses.
comme
fde
~~~~ets ,
plus
modes-uque ce triP/ail
_1Fnn,T.cd i e des
program-le affirat10n
.,
le s'imposait, le
i1'''IUI='"1 du
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xantil1 ne
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11og1 e .
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existaDtl pour favoriser structure rendent difficile un
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1l'",..."...""
rilloJlut:ion d'un tel prob!" ne peut le faire rapi-paue dalhable : la d'finition c01llllU'l'1e d' ob] ec:ti.h peu no111b1~eu:x ritaJll_,allllel _1"''''''' c!oolrdi.na:tlon mais en
d un
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en
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1
r-fai re) et des
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Hsêe.
• Nuff1,eld -
Introduc-disPonibles au Groupe
de n ...-r·ptions
une
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d
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ce sens.
dêpou111er dans leurs
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en fin
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cours
syrlth~ISE!Stdes
111ses
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rt~~ncire
1
Quatre questions :
ce progrUille.
nrti~rl_li\II?
C i r e
que
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sat:1s'fa1re les.oesoins
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êe pour savoir
rê~f)ndlre 1
1a question du :
COIlllenccms sO'Jlyerlt au yelU
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NORMAL DISTRIBUTIœ AND PI.01WHLITY lHTUITIVE
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COlilŒLA~rION CŒnICIEH'I: COMPUTATION
COlilŒLA~~ION CŒnICIEH'I: WHY IT1S COMPU'l'BD AS IT IS
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. C. R. LP.Univers
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- G. DElACOTE).
- anglais)
"'" 81 .... MEMBRES DU GROUPE ..M. DELACOTE du Groupe 'Mine PRIOU 'Mine RENAULT 'Mine de POMPERY Docw.nentaliste OFFSET