Topologie des (M-2) Courbes réelles symétriques
Texte intégral
Documents relatifs
On remarque que dans l’équation, x et y sont toujours
finition précédente correspondent deux courbes (M) admettant (0) pour lieu de leurs centres de courbure, et telle que les droites O.M joignant deux points
Nous reprenons maintenant la construction de la décomposition canonique du complé- mentaire d'un entrelacs algébrique en réunion de variétés de Seifert à partir de la
, K.. SUR LES SURFACES .ET LES COURBES TÉTRAÉDRALES SYMÉTRIQUES. Les surfaces définies par cette équation jouissent, relativement à leurs plans tan- gents, d'une
Si, par exemple, on cherche les courbes dont le cercle oscula- teur a son centre sur une courbe donnée, on trouvera bien encore l'ensemble des cercles ayant leur centre sur la
Le rayon de courbure, en un point quelconque, d'une courbe triangulaire symétrique d^ exposant n, est dans un rapport constant, égala —^—' avec le rayon de courbure, au même point,
Nous pouvons démontrer ce théorème de deux manières : le nombre cherché est en effet égal, d'une part, au nombre des points de contact avec ( p , q) des surfaces parallèles à
La droite qui joint M au point d^ intersection de me avec Ox coupe en to la parallèle menée par c à Oy; la parallèle à Ox menée par w rencontre en K la normale en M à (M);