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Comptabilité départementale agricole et fonctions de production

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Comptabilité départementale agricole et fonctions de

production

Francois Bonnieux, Pierre Rainelli

To cite this version:

Francois Bonnieux, Pierre Rainelli. Comptabilité départementale agricole et fonctions de

produc-tion. Les comptabilités économiques régionales et la connaissance des régions, May 1985, Montpellier,

France. �hal-01594087�

(2)

1

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I.rc.n.~

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RENi\!ES

24 FE V 1986

cëiNëMlE RURALE

BIBLIOTHÈQUE

...

les

cahiers de

ZeCO/lOmte

MERIDIONALE

Numéro

7bis

ACTES DU COLLOQUE

LES

COMPTABILITES

ECONOMIQUES REGIONALES

ET

LA

CONNAISSANCE DES REGIONS

Deuxième partie

23-24 Mai

1985

MONTPELLIER

CENTRE REGIONAL DE LA PRODUCTIVITE ET DES ETUDES ECONOMIOUES

(3)

Montpellier 23-24 Hai 1985

Colloque sur LES COMPTABILITES

~CONOMIQUES

REGIONALES

ET LA CONNAISSANCE DES REGIONS

COMPTABILITE DKPAIlTKKKRTALE ACR.ICOLE KT FONCTIONS DE PRODUCTION

F. Bonnieux, P. Rainell!

INRA - EconomIe - Rennes

Reposant

sur un schêma

th~orIque

reconnu,

les

comptes

nationaux ont en contre-partie une exIstence réelle.

La situatIon

difficile

des

comptabllités

économiques

régionale~

tlent

â

l'absence

d'un

projet

théorique

sous-jacent

admIs

par

tous.

A

défaut d'un tel projet, la justification de comptes régionaux peut

apparattre

él

travers

la problématique sous-tendant leur

élabora-tion.

Pour ce qui nous concerne nous voudrions

tenter d'apporter

une

r~ponse

personnelle

él

la question: une comptabilité

départe-mentale agricole, pourquoi faire

?

En premier lieu, il convient de remarquer que la

dimen-sion spatiale en agriculture a un autre contenu que dans les

acti-vités industrielles, A l'exception des branches directement

li~es

él

une exploitation minUre ou

él

une infrastructure part1culUre.

En effet, l'agriculture est encore

tr~s déterminée par les

condI-tions

agro-pédologiques

locales.

Les

facteurs

naturels

et

les

structures

agraires

déterminent

en grande

partie

la

nature des

productions. De ce fait,

la diversité spatiale trouve sa

traduc-tion dans les systêmes de productraduc-tion, ceux-ci étant entendus comme

(4)

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cela 011 a traveUU il partir des doculDenls llllernea dt! l'l.N.S.E.E.

ayant servi 1 l'élaboration dtl9 "sérles lUcro-éconolliques de 1959 ;1

La ptoduction finale eut dlcoGlpollée en 16 pOli tell

corres-pondant A la nomenclature utiUsée danll les pubHcations du SCI:-:ES il

savoir

Production vêgêtale Production 8ni~alc

En ce qui concerne 1", production finale départe.entale

1962-1969 le calcul s'appuie lIur lell co~pte~ r6S10naux 1962-1967 de

J. Oua set en base 1962 et sur les co~pteldépartementaux 1967, 1968

et 1969 en buse 62 du 50:~:S. Pour la décontraction de~ rfaultatll

régionaux 62-67 on a eu recours aux premlêres Eyalustions des

productions agricoles finales effectuées depula 1962-63 pllr les

services dépsrtelllelltaux de Statlatlque Agricole, ainlli qu'aux Et.tl'!

VI. La disposition de deux lDOdes d'évaluation pour 1967 a per.ls

d'éviter les ruptures de s~ries.

Entretien des billlllli!lllS Autrel b1enl

Si l'on excepte le poste "autrel productions anl.ales" on

peut penser que le8 évaluationl de production finsle départelllent.Le

ont un sens.

L.'introduction de 1. TVA 1 pilrtir de 1968 .oulhe

quel-quel difficultés maia seule"ent pour la productIon, puisque Ica

consoQlll8t1ons interllfd1atrel sont toujours évaluées au. prix

ef[ec-tifs payés par les agriculteurl, dOllc TVA. co.priae. Clobalellent,

l'analyse des rfsultata dEparte"entaux et lIurtout leur 'volutton

Dans le calcul des consolDlUtions intermédiaires

départe-mentalea le lIi!lIe schEma général a été Ilulvi sau[ que Les eUs de

décontraction régionale 1962-67 de Ounct n'ont paa été utl1laéea

pour l'enselllbie des 10 postes. Pour le8 engt"ala, l u aU1Ients du

bEtail et lei produitl de traitement nous avons déter1liné de.

coef-ficients départelllentaux dlrecteltlent rt:prenant certainl IlOdes de

calcula testEs lors des travaux de cOlllptabilit( rl8ionilLe asricole bretonne. Pour le poste auttes blens on 8 tantBt pratlquE la

décon-traction dIrecte, tantat repr18 les coefficIents régionaux de

Ousset compUtEs par une décontracton intra-rligionale. L.I quallt'

deI EvaluatIons dEpartelllentalea dei "autre. bIens" elt 'vide_ent

sujette 1 caution de IIlllDe que "autrel aervlceaR

• Pour l'entretien

dea bltilllent.a lei eltl1118t10ns ne lont pa. non plu. trll ftable ••

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lous-totaL lDécunhatlon } sous-total chllcgell 80illales

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Po_es de terre Orge

Total dea c~rêaIel

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Pour les consommations inteflllédluiru la reconltltution

d'une série natIonale 62-69 ho~oglne avec lei totaux nationaux

"nouvelle série" 8 nécl!sslt' un travail d'adaptation qui nous a

conduit

a

la noltlenclature en 10 postel ci-de8110us :

Produita prétroliers

Service des an1l:1311s-111écsnicien8 Alimenta du blitlill ServlCèll de santé Engrah l'arschlmh: Autres servicel Electricité

'" L.ea cOlDptea en "nouvelle Il rIe" 1962-1969 faita avec l'aide du

SCEJ::S devraient être tutligrlics prochalllenlCnt danll

ta

bao(IUe de

don-nêcs AGRIS'fAT.

(6)

et les c01lparailjonS dans l'espace lllOntrellt que les agrfgat8 totaull: (production finale, consOllllllations interllllidlllires et valeur ajoutée) soot significati[s.

12. l.'lnvellltisseIllent agriculc dfpartelllental.

A l'heure actuelle ii n'exLate pas l propreTlent Ilarler

d'ivaluetions dfparte~ent81es des investi.se~e"ts agricoles. On

dLspose d'eatlll8tiona des alllorthee"enta ajricoLea depuLs 1910 aftn

de paner du rhultat brut d'exploitatlOn au rhultat net. 11

a'agit en fait d'une départelllcntalisatlon des a~ort1aaelllenta

'latio-naux calculés par l'INSEE. Elle est baaée aur un systêllle d'indica-leura relatlfa au capital net.

En vue de dhpoaer de donnée a aur le capital

dêparte-llIental et de chtffres d'alllortisselllent scrrant de plus près la

réa-Hté a'ographique i l importe de construire des sériel! annuelles

d'invelltlsaeTlent partlcultlrement lonjues. Au moins égales

a

la

durée de vie des biens augmentée de la pérlode aur laquelle lea

cOlllptea sonl établiS 1 Cecl est vraI, du laOlnl en théorle, car 11

elt possIble de co.bl,ner une approche type inventaire penunent

aVldc une esthlstion ponctuelle utillsant la structure par Ige des

biens. En fait les proballl~sdiffèrent aelon le type

d'inve8tiaee-lIIent consldêrê.

l'our le matérlel, les achat1\ départementaux en neuf

peuvent être appréhendés

a

l'aide de la subventIon sur le ~atériel

instaurée en 1954. On liait que cette subventlon a disparu IIvec la

~(;lll!raihationde la TVA. Hals il p.artir du WOlllcnt où cldlle-cl a

[ait l'objet d'un reTlbourljelllent, lors de l'acllutsltion de IDachllles

agrIcoles, on peut utlllier ce type de ren8etgnelllent pour

,,~con8-50

tituer la valeur des achats. Ces ~lélllents, lubvention et TVA,

peuvent ~tre considérês plutôt COlllllle des c1~8 de vent ilatlo(1 du

poate matériel de la FHCF nationale, qu'en valeur absolue.

La dHflculté dana ce dO'181ne tlellt aux flux

interdépar-telllentaux de matérlel d'occaslon. A défaut d'une connalRlance

précIse de cell mouvements une indlcatlon sérIeuse de leur

lllllpor-tance 'peut ~tre obtenue I)ar l'étude du parc des lracleurs. En

cor~parant lell flux il neuf CUlIIulCis aur unI! IICirlode aalle~ longue avec

le parc réel on fait apparattre la situatlon propre 1 chaque

dépar-tement. A un aolde positif, plus de paac.hlnes en thêode qu'en

réalité, correspond une sltuat10n ell:portatrlce, et lnversement.

Un tel travail a déj~ lité effectué en CUllulant en valeur

toutes les entrfes du tracteur de 1950 Il 1962. L'application de

taux de dépréciatIon donne pour 1962 une vaieur résIduelle

thêorl-que de l'ensc_ble du parc. Pour cette date on dIspose de l'enquête

Ill(!canlsatlon donnant la pyrallllde deI; âges des tracteurs, alnsl que

leur puhsance. En utillsant le même systêllle de prlx et de dépr~­

clatlon que pour le calcul thliorlq ....e. on obtIent \.Ille valeur

"réelleM

• Le rapprochelGent entre les deux chlffreil donne une

apprti-ciaton de l'l~portance1Il0yenne entre 195U et 1962 des flux de

trac-teurs. SIon fait l'hypothi!se que ceux-cl sont reptisent8tlfll de

l'en8C-lD.ble du lllachinlaJae on dtspose ainal de pOIsIb1l1té de redres-selllent dei achatl en neuf.

Ce genre de calcul devra être recondult aur d'autre"

pêrlodeil. Cecl est envila8ttable en se centrant sur l!HO oi) le SCEt:5

a falt une exploitatlon du flchler d'lmœ8trlculatlon des tracteurl

et lur 198) oil un volet de l'cnqullte EPEXA recense les tracteurs

alnsi qUI le~ lIlotoculteurll et 1II0to-faucheu~tlll.

(7)

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(anll!e 1960)

OIYMtêWl!8 Cl/l. KIL SAU!l.

Cel! utlos ont une certaine diaperaion 4 l'intE.rieur des

aY9L~ll1e8 touLl!fola les IDoyennes sont 81gn1ficstlvelllent dl(fE.rentes COlllllle le IllOntreot dey analyyes de varIance. Les réllultat9 du tableau l pernettent donc une caract~rIsatlonex-post des systi!,lIIes. On les clAssera donc selon le niveau d'utll1sation de conso_ations lntenlléd.lulre8, de capltal et de terre par unit~ de travalL

Par ellellple les deux systèllles qui dhposent des plus grandes 8ullcrflcles (cérl!slcs, grandea cultures et bovin yiande) s'opposent quant {lUX vsIeurs des deux autres ratios. L'util18l1tion de conllOllllDlltlonll Inierruédillires perraet de dilltinguer III syathle hors-sol dhl llyat~lDes il base dt; cultures pérennes, aSIler. l>roche par al Ll<.!ura quant aux diaponibll1lê6 en tern:, Le 6ySIl!me légullles-fruiI8-horticuLtur<.! et le syat~lIle vln s'opposent netUfient lorsqu'on cOlllbine le prefllcr et le troislË!llIe ratio. 11 surfit de r,lppnrtcr l'u(ll11""tlon de consolllmations illterlllédlalres il la !'uper{lcl~, l'Ill <1 un tlll'Port éU ...t; pour le prelllicr syst.:'lIIc (124) et un r.Jpport Inférlcur Il III looycline nationale (94) pour le second. Saml COlftlllent.cr (1""'l:llltll&~ c~ tableau on peut. cunsidérer qu'Il fournit ulle bonll~ carllctérltllltion Jet! sYlIt.:!lDe6 de product1on.

"

La typOlogie fourllit Ilus:tl une grille de lecture de l'e(flCüclté de l'd&rlclllture. Le.u résultats économiques étant

~Ilprécléll pdr la productlon (Initie. (N') on a consldéré les Ilroduc-tlYltés partielles lDOyennes par système pour chacun des facteurs (tableau 2). De plus on {I eu recours il la productivité apparente du

travail obtenue. tln calculltnt la Videur ajoutée brute par unité de travuJi (VA/L). Cc nipilort préslHlte l'avantage de se rapprocher d'une notton de reyenu du travail agricole.

Tableau 2. Productivités partielles par sYSti!:1De (France entlère 100, annl.\e 1980)

_::=~-~~~s

N'ICI t'F/K pdl PIo"/C:A(] UAl,

Les proJuctiYltêlll partlelles Illoyennes se révèlent signi-ficativement: différentea. Ll!urs yaleurll perlIIettent donc une carac-térisation des sY'talIIe. de production. Il cet Egard la (or te utili-sat 10n d' ull flilcteu~ de product Lon n' i ..pl ique pas obllgat.ol relllent une productivité partielle faible, comme le montre le cas du 8yst~­ Ille céréales grandes culture •• Celui-ci utilise beaucoup de conso..-mations lnter1ll~dlaires et obtient une productivitE aasez élevée pour ce hcteur. Elle est li l'lnyene très fa lb le dana le syat:~me hors 1I0L S''''n tenir 4 un .eul facteur, cOl1lllle l'ont trop souvent

(9)

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(11)

REFEKENCI~S Bl8L lOCRAPtllQUES

LE NEVE"tl IlJ:.S HI-;N,u.:ES N":-;IIlF.NT~; In:S 1.1 REL:ION!;

DE 1'1l0(;1{A~lMJ:: rIlANCI\ 1SES :-liR I.A l'ERlUVI: 1962-198J

LIée. 81, 49 p.

Tallur B., 197ij ; "I::tudè de 1 'aKrlc:ulturè rE~lonalefr<ln1;l&1se par

une U1{;thod~de classLflc:atlon autolllatlquc" iRISA-Rennes,

publ1c:atlon Inlèrne nOlOl, )4 p.

On ne saurait souligner l',lnterèt ~e ~lsposerau niveau régional ~e

sérJ.es oe revenu!> oes ménages suffl.samment longues pour pouvoir

effeCtuer des analyses econometriques el des travaux de modélisatJ.on

régJ.onale. Pour les années 1962

a

197), les comptes régionaux des

roénages en Dase 1962 ~e la compldDl11té nationale ont été régulièrement

publiés dans les Collections dé l'I.N.S.E,E., serie R. Ils sont caarés

sur les comptes d'exploitation et d·afiectatl.on ~es ménages dont ,lIs

sont la régionalisat1on poste par poste. Or le pas~age ~e la Dase 1962

a

la Dase 19'/1 qui

a

conduJ.t

a

la fois

a

des cllallgements de Dase et ~e

concepts a enlratné des ruptures dans les serles statistl.ques des

COmpll.!S natJ.onauy-. La H'tropolall.On ~e cc~ dernlcrs en base 1971

)usqu'<I l'ann"'t: 1959 il p",rmi!> l.h: reméd.er J ce~ rUpture!> statistique!,..

Par contre ,)11 Illve.. u le':1iOIl"l aucune ll:tropolat.ioll n'a été cfleCtu(;c

)U~qu'<'prér.<.;fll. Le!. Compl"!"' 1<'<IJOnaUX dU rl'Vl:llU CI ...!. ménages n'ont. ClIJ

publlê!; .. l a fOl~ àdns la bdse 196~! t.'t ~ctllS la bd!ie 1911 que pour

l'année 1'1'/3. Pour les annues 197) l't 1914, Ils sont publles

conformément aux lIIl!!tllodes et aux (;valuat.ons de la case 19"11 de la

cOmptabl11té nalionale. Ce t.ravail de reglollallSation poste par poste

des comptes nùtionaux est apparu trop lourd pour la dlVision ~es étUdes

régionales dl:! l'l.tl.S.E.E .. C'est pourquOl l.1epuls 1975 les comples

régionaux des nlt!nagcs ne sont plus publles en tant que tels. Seule

flgur~ ddns les StntJ.Stlque!> t:l Indicateurs des Ht!glons Françaises {les

Colll'c~ions de l'I.ll.5,E.E., sérl.e RI une estimat.lon du "revenu lo:.al

consolidé" Cles mena'Jes resident.b décomposé en clnq postes prlncJ.paux:

les sil1aJ.r(Jb. 1er. prestatJ.ons !:ooclalt,s, l'excèCent DrUt ~'explOltdt.lon

agrlcole. l'excedent brut ~'explOJ.tation non agr.cole et les autre~

revenUli.

('. Pot1J'l1t'II.

(:.A.M.A. - C.N.H.S.

C'est. pour (hsposer cie sér.1es longueG et. homogènes évaluées drlns la

base 19"11 de la co~ptabl.llt~nationale que nous avons rétropolè sur la

période 1962-1972 les cinq principales composantes du revenu total

consoll.de. Pout'" des contraintes ~e temps, nous avons exclu c1e remonter

aux données primaires qUi ont servi ott l·élaOOratl.on ~es comptes. Nous

n'avons utilJ.sé que les données estimées par l'I.N.5.E.E. en base 1962.

in us a.nd the E.K, Chri8tenllen l..R, 19]3 ; "The translog function

substitution oC equipment, lltructurea, and labor lIanufllclurlng 1929-68".

départelllentauJl

tableauJl - soumis pour publication.

Ounel J •• 197J. "Les cOlllptea rEgion8ux de l'agrlculture de 1962.

1967". Collection de l'iNSEf!:, Rl3.

I\eboul C•• 1976. "Hode de produetlon et aystèmes de culture et

d'Elevage". Eeonorllle Rurale n-112. p.SS-6S.

Stepha.n J.H., Colonnier R., 1981 i "Eatllllation des allort1&aelllenta

d~panelllo!ntiluxde l'ligrlculture" - SCEES - série 5 1\-3S, Journal of Econollletrics VoL 1 p. 81-114.

80nnleux F., Raln~ll1 P" 1984. "Crol88ance et splclaL18ll.tlon de

l'agrLculture fran1;3llle de 1962 ~ 1981".

Colloque I\EA - ASKDLF, PoltleU 16 p.

Caves 0.- W" Chrl11ll:nllcn L.-R., 1980. "Hultilateral com~rl8on9

of output, 1nl)ut, ami productlvlty ulling aupeclatlve

lndex nU18beu". Univerlllty of IH8con81n, Social 5yatefllll

Reltearc\l InslLtute, Workllhop Series 8008. 31 p,

t'ouet J ... Bonnieux F., \l.atnelU P•• 19~5. "Les comptes

1962-1969 en nouvelle aérie". 2S p. + Berndt

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60

Le revenu total consolidé corre~ponda une évaluatlon en base 19"11

conforme au concept ~'opérations de la base 1911, mais appll.qué au

concept ~'agent ménage ~e la base 1962. Il OSt l'équivalent c1u revenu

total c1es ménages en base 1962 (qui est le total ~es "essources ~u

compte l.1'af~ectation). Il peut être évalué au niveau national en

prenant le total ~es .essources du compte de revenu des ménages (hors

entrepreneurs indl.vl.~uels) auquel on ajoute l'excédent brut

d'exploJ.lalion ~es t::ntrepreneurs 1.lldividucl5i et auquel on retranclle:

(12)

..

TABLE DES MATIERES

Avant-propos . . . • . . . • . . . • . . . • . . . • .

COlllpt@ rendu du colloqu~- tLJ. HOUTOT-MANE~TEOlt D. PUECH.... 3

I~re PARtIE - LA DE~~NOE D'INFOR}tATIONS COMPTABLES DE LA PART

DES UTILISATEURS REGIONAUX ET LOCAUX .•.• ,... 13

Les COlllptes régionaux de l'r.N'.S.E.E. - J.P. BLANDINIERES 15

Intérêt et limites des agrégats économiques régionaux

M. N'EeRE...

47

La. région espace pertinent? L. LAURENT. ••••.. ••••• .•.••• 69

Essai de définition des demandes de comptes économiques

régionault - G. SA.." MARTINO... 82 Quelle information pour le ConseU Régioual ?

-D. FRANCOIS • . . • . . . . • . . • • • . . . • • • • • . . . • • . ·•••···•• •• ·•· 107

Ile PARTIE - lA SITUATION ACTUELLE DES COMPTABILItES

ECO~OHIQUES RECIONALES ...•... ··· 11ï

Les comprabilités économiques régionales dans les pays

dl! la C.E.E. - R. SALVAt. Il9

La iaisabilité des comptes régionaux des administrations publiques centrales - J. OUSSET... 147

~lultireg1onalaccounts and :nodels in the United States

(13)

TAKLE DES HATfERES

Pagea

Ille PAK1'JE - tA PEI:TlNENCE DES COtII'TAlnl.ITES ECONOI1JQlJES FACE

A LA DECJ::NTRAI.ISATfON... 93

Espace, t~rrltojre8{ot comptaLilités régionalt:s

C. LACOUR... 9S

Paged

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C. CASTELNAU . . . • . . . .

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Ile PARTIE - LA SITUATION ACTUELLE DES COMPTABILITES

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H. PARELLADA . . . • . . . • • • . . . • • • . . . • Quelques aspects de l'information statistique régionale

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Informations comptables et évaJuation économique et sociale des projets régJonaux - H. GARRAllE . . . . • . . . .

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La diversification des comptes établis à des niveHUX

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