• Aucun résultat trouvé

Un problème de Laplace non standard en milieu non borné

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Un problème de Laplace non standard en milieu non borné"

Copied!
14
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: inria-00070224

https://hal.inria.fr/inria-00070224

Submitted on 19 May 2006

HAL is a multi-disciplinary open access

archive for the deposit and dissemination of

sci-entific research documents, whether they are

pub-lished or not. The documents may come from

teaching and research institutions in France or

abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents

scientifiques de niveau recherche, publiés ou non,

émanant des établissements d’enseignement et de

recherche français ou étrangers, des laboratoires

publics ou privés.

Un problème de Laplace non standard en milieu non

borné

Sébastien Tordeux

To cite this version:

Sébastien Tordeux. Un problème de Laplace non standard en milieu non borné. [Rapport de recherche]

RR-5799, INRIA. 2006, pp.13. �inria-00070224�

(2)

SN 0249-6399

a p p o r t

d e r e c h e r c h e

TH `EME 4

INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE EN INFORMATIQUE ET EN AUTOMATIQUE

Un probl`eme de Laplace non standard en milieu non

born´e

S´ebastien Tordeux

N

5799

(3)
(4)

Unit´e de recherche INRIA Rocquencourt

Domaine de Voluceau, Rocquencourt, BP 105, 78153 Le Chesnay Cedex (France)

Un probl`

eme de Laplace non standard en milieu non

born´

e

ebastien Tordeux

Th`eme 4 — Simulation et optimisation de syst`emes complexes

Projet POems Rapport de recherche n◦

5799 — Janvier 2006 — 10 pages

R´esum´e :Dans le cadre des probl`emes elliptiques en dimension deux, nous nous int´eressons `a un domaine constitu´e d’un demi-espace connect´e `a une bande infinie. Un r´esultat d’exis-tence et unicit´e est obtenu pour un probl`eme de Laplace inhomog`ene muni de comportements asymptotiques `a l’infini.

Mots-cl´es : Probl`eme de Laplace, domaine non born´e, espaces de Sobolev `a poids.

Projet POems, Batiment 13, INRIA, Domaine de Voluceau - Rocquencourt - B.P. 105, 78153 Le Chesnay Cedex, France

(5)

A non standard Laplace problem in unbounded domain

Abstract: This report deals with an elliptic problem on an unbounded domain Ω, defined as the union of three domains ΩH, ΩI, and ΩS, see equations (1) and (2). One can remark

that ΩH ∪ ΩI is the half space x 6 0, which is unbounded in the two space directions.

The domain ΩS is a horizontal semi infinite tube of width one which is unbounded in the

direction associated to x. The Laplace problem we are interested in is the following: Find u ∈ H1

loc(Ω) satisfying the asymptotic behaviours (5) where uH ∈ Hloc1 (ΩH), uS ∈

H1

loc(ΩS), and the source term f ∈ L2loc(Ω) are given.

There are many articles on the Laplace problem in the literature: see [1, 2, 3, 5], but to our knowledge, there is no result for this specific geometry. Moreover, an additional difficulty is that u has to behave as uH and uS do at infinity, which means that it may be increasing at

infinity. The next theorem is the main result of the paper:

Theorem 1If uH, uS and f satisfy (4), then condition (6) implies that problem (5) has a

unique solution.

The end of the paper is devoted to the proof of this theorem.

The first step consists in associating to u an auxiliary unknown euRdefined by (14) and (15).

The function euR is a solution of the Laplace problem (16), with homogeneous behaviours

and homogeneous source term at infinity and therefore euR is not increasing at infinity.

During the second step, we derive the variational problem (21) for euR, which comes from

characterization of the bounded solutions of the homogeneous Laplace equation in ΩH and

ΩS: lemma 2.1 and 2.2. The variational formulation uses classical weighted Sobolev spaces.

The third step consists in proving that under condition (6), the variational problem for euRis

equivalent to problem (5). One can conclude by showing that the variational problem for euR

is well posed via the Lax-Milgram theorem (the main point is the coercivity result —lemma 4.1— which is based on the Hardy inequality and compactness arguments).

(6)

Un probl`eme de Laplace non standard en milieu non born´e 3

ε

Fig. 1 – Fente mince.

x

y

ρ

θ

Fig. 2 – Le domaine d’´etude.

1

Introduction.

Le type de probl`emes auquel nous nous int´eressons dans cette note intervient naturellement dans l’analyse asymptotique de la propagation d’une onde dans un milieu comportant des fentes minces (le petit param`etre ´etant l’´epaisseur de la fente, c.f. figure 1). Lorsque l’on applique la m´ethode des d´eveloppements asymptotiques raccord´es [6, 4], l’´etude de la zone de jonction entre la fente mince et le reste du milieu de propagation n´ecessite la r´esolution de probl`emes elliptiques non standards en domaine non born´e. Plus pr´ecis´ement, nous nous int´eressons `a des probl`emes de Laplace inhomog`enes dans un domaine canonique Ω en forme de T infini (c.f. figure 2). Pour la suite de l’expos´e, il est utile de d´ecomposer ce domaine en trois zones :

Ω = ΩH∪ ΩI∪ ΩS, (c.f. figure 3). (1)

La zone ΩH est non born´ee dans les deux directions d’espace, ΩS est non born´ee dans la

direction x, et ΩI est une zone interm´ediaire born´ee :

ΩH = ]1; +∞[ρ×]0; π[θ, ΩS = ]0; +∞[x×]−12;12[y, ΩI = ]0; 1[ρ×]0; π[θ. (2)

o`u (ρ, θ) sont les coordonn´ees polaires d´efinies par :

ρ = px2+ y2et θ = arccos(y/px2+ y2) (3)

On consid`ere les probl`emes : ´etant donn´es uH ∈ Hloc1 (ΩH), uS ∈ Hloc1 (ΩS) et f ∈ L2loc(Ω)

tels que        ∆uH = −f, dans ΩH, ∂uH ∂x = 0, en x = 0, ∆uS = −f, dans ΩS, ∂uS ∂y = 0, en y = − 1 2 et y = 12, (4) RR n◦5799

(7)

4 Tordeux

H

S

I Fig. 3 – La partition.

O

Fig.4 – Les ensembles O1 et O2.

on cherche u ∈ H1

loc(Ω) tel que :

  

∆u = −f, dans Ω, ∂u

∂n = 0, sur ∂Ω,

limρ→+∞

h

supθ∈[0;π]u(ρ, θ) − uH(ρ, θ)

i

= 0 dans ΩH, u − uS est born´e dans ΩS.

(5)

Remarque 1 Dans nos applications [6], uH et uS (ainsi que f ) sont connus analytiquement

et ont une croissance polynomiale dans ΩS et ΩH `a l’infini. Il en sera donc de mˆeme pour

la solution u de (5).

L’objet de ce rapport est le r´esultat suivant : Th´eor`eme 1.1 Sous la condition :

Z π 0 ∂uH ∂ρ (1, θ)dθ + Z 1 2 −12 ∂uS ∂x (0, y)dy + Z ΩI f (x, y) dx dy = 0, (6)

le probl`eme (5) admet une unique solution H1

loc(Ω).

Les probl`emes de Laplace en domaine non born´e ont ´et´e ´etudi´es de mani`ere approfondie dans la lit´erature dans le cadre des espaces de Sobolev `a poids (espace vide, demi-espace ou ext´erieur d’un obstacle born´e, se r´ef´erer `a [1, 2, 3, 5]). L’originalit´e du probl´eme 5 vient, d’une part, de la g´eom´etrie du domaine Ω qui connecte deux structures infinies (un demi-espace et une bande infinie). D’autre part, le probl`eme est non homog`ene `a l’infini : des comportements asymptotiques non nuls `a l’infini sont prescrits.

(8)

Un probl`eme de Laplace non standard en milieu non born´e 5

2

Caract´

erisation des solutions born´

ees de l’´

equation de

Laplace homog`

ene dans Ω

H

et Ω

S

`

a l’aide d’espaces de

Sobolev `

a poids.

On pourra trouver les preuves (assez longues mais sans difficult´e) des r´esultats de cette section dans [6]. Elles s’appuient essentiellement sur des techniques de s´eparation de variables en coordonn´ees polaires dans le demi-espace et en coordonn´ees cart´esiennes dans la bande. Pour tout R > 0, introduisons le domaine :

ΩRH = ]1 + R; +∞[ρ×]0; π[θ



Ω1H = ΩH



. (7)

Sur ce domaine, il est classique, lorsque l’on ´etudie les ´equations de Laplace en domaine non born´e, d’introduire les espaces de Sobolev `a poids W1

0(ΩRH) et W01(∆, ΩRH) :    W1 0(ΩRH) = n u ∈ H1 loc(ΩRH) . ∇u ∈ L2(ΩR H) et ρlog (1+ρ)u ∈ L2(Ω R H) o , W1 0(∆, ΩRH) = n u ∈ W1 0(ΩRH) . ∆u = 0 dans ΩR H, ∂u ∂x = 0 en x = 0 o . (8)

Lemme 2.1 Pour tout R > 0, nous avons l’identit´e alg´ebrique suivante :

W1

0(∆, ΩRH) =

n u ∈ H1

loc(ΩRH) / ∆u = 0 dans ΩRH,

∂u ∂x = 0 en x = 0 et u est born´e o . (9) De plus, si u ∈ W1

0(∆, ΩRH), alors u admet une limite uniforme en θ et :

lim ρ→+∞u(ρ, θ) =  Z +∞ 1+R Z π 0 u(ρ, θ) ρ2| log (1 + ρ)|2 ρ dρ dθ . Z +∞ 1+R Z π 0 1 ρ2| log (1 + ρ)|2 ρ dρ dθ  . (10) Pour R > 0, introduisons le domaine :

ΩR S = ]R; +∞[x×]0; 1[y  Ω1S = ΩS  . (11)

Dans ce domaine qui favorise la direction x, il est naturel de d´efinir les espaces de Sobolev `a poids :    W1 0(ΩRS) = n u ∈ L2 loc(ΩRS) . ∇u ∈ L2(ΩR S) et 1+xu ∈ L2(Ω R S) o , W1 0(∆, ΩRS) = n u ∈ H1 loc(Ω R S) . ∆u = 0 dans ΩR S et ∂u ∂y(x, y) = 0 en y = − 1 2 et y = 12 o . (12) Lemme 2.2 Pour tout R > 0, nous avons l’identit´e alg´ebrique suivante :

W01(∆, ΩRS) = n u ∈ Hloc1 (Ω R S) . ∆u = 0 dans ΩRS et ∂u ∂y = 0 en y = − 1 2 et 1 2 et u est born´e o . (13) RR n◦5799

(9)

6 Tordeux

3

Reformulation du probl`

eme.

Etant donn´e R > 0, nous associons `a toute solution u de (5), la nouvelle inconnue euR:

e

uR= u − χR

H uH dans ΩH, ueR = u dans ΩI, ueR = u − χRS uS dans ΩS. (14)

o`u χR

H : ΩH→ C et χRS : ΩS→ C deux fonctions de troncature de classe C∞ qui v´erifient :

   χR H(r, θ) = χRH(r), χRH(r) = 0 si 1 6 r 6 1 + R/2, χRH(r) = 1 si 1 + R 6 r, χR S(x, y) = χRS(x), χRS(x) = 0 si 0 6 x 6 R/2, χRS(x) = 1 si R 6 x, (15) Il est clair que la recherche de u est ´equivalente `a la recherche de euR ∈ H, solution du

probl`eme suivant (le cadre fonctionnel est sugg´er´e par les lemmes 2.1 et 2.2) : ∆euR = − efR, dans Ω, ∂euR

∂n = 0, dans ∂Ω, ρ→+∞lim eu

R(ρ, θ) = 0, (16)

avec efRla fonction L2(Ω) `a support compact (notons que efRest nul dans ΩR

H et ΩRS) d´efinie

par : e

fR = f + ∆[χ

HuH] dans ΩH, feR = f dans ΩI, feR = f + ∆[χSuS] dans ΩS (17)

et H l’espace de Hilbert :    H = H1 loc(Ω) ∩ W01(ΩH) ∩ W01(ΩS), (u, v)H = (u; v)H1(Ω I)+ (u; v)W01(ΩH)+ (u; v)W01(ΩS), (18) o`u nous avons not´e :

           (u; v)W1 0(ΩH) = Z ΩH ∇u(ρ, θ)∇v(ρ, θ) + Z ΩH u(ρ, θ) v(ρ, θ) ρ2| log (1 + ρ)|2 ρ dρ dθ, (u; v)W1 0(ΩS) = Z ΩS ∇u(x, y)∇v(x, y) + Z ΩS u(x, y) v(x, y) (1 + x)2 dx dy. (19)

En utilisant d’une part la formule de Green et la densit´e de H dans H1(Ω) (voir [6]) et

d’autre part le lemme 2.1, on d´eduit de (16) que : Z Ω∇e uR∇v = Z Ω e fRv, ∀v ∈ H et Z ΩR H e uR(ρ, θ) ρ2| log (1 + ρ)|2ρ dρ dθ = 0. (20)

En cons´equence, euR∈ H est tel que pour tout v dans H :

Z Ω∇e uR∇v + h Z ΩR H e uR(ρ, θ) ρ2| log (1 + ρ)|2ρ dρ dθ i h Z ΩR H v(ρ, θ) ρ2| log (1 + ρ)|2ρ dρ dθ i = Z Ω e fRv. (21) INRIA

(10)

Un probl`eme de Laplace non standard en milieu non born´e 7

Lemme 3.1 Sous la condition (6), le probl`eme (16) est ´equivalent au probl`eme (21).

Preuve. Il nous suffit de montrer que toute solution de (16) est solution de (21). On re-marque d’abord que la condition (6) ´equivaut au fait que la fonction efRest d’int´egrale nulle

sur Ω. Si nous choisissons alors v = 1 ∈ H dans (21), il vient : Z ΩR H e uR(ρ, θ) ρ2| log (1 + ρ)|2 ρ dρ dθ = 0. (22)

A l’aide des techniques variationnelles classiques, pour v ∈ H, nous tirons les deux premi`eres ´equations de (16). Il ne reste plus qu’`a appliquer le lemme 2.1 pour d´eduire de (22) la derni`ere ´equation de (16).

4

emonstration du r´

esultat d’existence et unicit´

e.

Pour appliquer le th´eor`eme de Lax-Milgram `a (21), le seul point d´elicat est la coercivit´e : Lemma 4.1 Il existe une constante C > 0 telle que pour tout u ∈ H :

kukH 6 C h k∇ukL2(Ω) + Z ΩR H u(ρ, θ) ρ2| log (1 + ρ)|2 ρ dρ dθ i. (23) Preuve. Nous nous appuyons sur des in´egalit´es classiques de type Poincar´e-Hardy (voir [3]) : ( ∀uH ∈ W1 0(ΩH) / uH(1, θ) = 0, ∀θ ∈ [0; π], kuHkW1 0(ΩH) 6 C k∇u Hk L2(Ω H), ∀uS ∈ W1 0(ΩS) / uS(0, y) = 0, ∀y ∈ [−21;12], kuSkW1 0(ΩS) 6 C k∇u Sk L2(Ω S) (24) Nous faisons un raisonnement par l’absurde. Nous supposons qu’il existe une suite un∈ H

telle que kunkH = 1, k∇unkL2(Ω)→ 0 et Z ΩR H un(ρ, θ) ρ2| log (1 + ρ)|2 ρ dρ dθ → 0 pour n → +∞. (25) Comme un est born´ee dans H, nous pouvons en extraire une sous-suite faiblement

conver-gente, sa limite faible u v´erifiant : ∇u = 0, dans Ω (a) et

Z

ΩR

H

u(ρ, θ)

ρ2| log (1 + ρ)|2 ρ dρ dθ = 0 (b). (26)

Comme le gradient de u est nul au sens des distributions, u est constant et par cons´equent d’apr`es (26,b) nul.

(11)

8 Tordeux

Par compacit´e, u converge vers 0 dans H1de tout ouvert born´e inclus dans Ω. (R)

Nous introduisons alors deux ouverts born´es O1= B1∩ Ω et O2= B2∩ Ω o`u B1et B2sont

les boules ouvertes de rayons 2 et 3 centr´ees en l’origine. De plus, soit χ une fonction de classe C∞telle que :

χ = 1 dans O1 et χ = 0 hors de O2. (27)

Par in´egalit´e triangulaire, il vient :

kunkH 6 kχ unkH + k(1 − χ) unkH . (28)

Comme χ un est `a support inclus dans O2, nous avons :

kχ unkH 6 C kχ unkH1(O

2) 6 C kunkH1(O2) → 0. (see (R)) (29) De mˆeme, le support de 1 − χ est inclus dans ΩH∪ ΩS

k(1 − χ) unkH 6 k(1 − χ) unkW1

0(ΩH) + k(1 − χ) unkW01(ΩS). (30) Il nous suffit alors d’appliquer (24)

k(1 − χ) unkH 6 C  k∇[(1 − χ)un]kL2(Ω H) + k∇[(1 − χ)un]kL2(ΩS)  (31) et de remarquer que ∇(1 − χ) est `a support dans O2 pour obtenir :

k(1 − χ) unkH 6 C  k∇(1 − χ)kL∞ (O2) kunkL2(O2) + k1 − χkL∞(Ω)k∇unkL2(Ω)  . (32) D’o`u, il vient : k(1 − χ) unkH 6 C  kunkL2(O 2) + k∇unkL2(Ω)  → 0. (see (25) and (R)) (33) De (29) et (33), nous tirons la convergence forte de undans H vers 0, ce qui contredit (25).

ef´

erences

[1] C. Amrouche , V. Girault, J. Giroire, Weighted Sobolev spaces for Laplace’s equation in Rn, J. Math. Pures Appl. 73 (1994) 579-606.

[2] T. Z. Boulmezaoud, Espaces de Sobolev avec poids pour l’´equation de Laplace dans le demi-espace, C. R. Acad. Sci. Paris, Ser. I, Math´ematique, Volume 328, Num´ero 3 (1999) 221-226.

[3] J. Giroire, Etude de quelques probl`emes aux limites ext´erieurs et r´esolution par ´equations int´egrales, th`ese d’´etat de l’universit´e de Pierre et Marie Curie, septembre (1987).

(12)

Un probl`eme de Laplace non standard en milieu non born´e 9

[4] A. M. Il’in, Matching of asymptotic expansions of solutions of boundary value problems, Translations of Mathematical Monographs, Volume 102, Translated from the Russian by V. Minachin, American Mathematical Society, (1992).

[5] M. N. Le Roux, R´esolution num´erique du probl`eme de potentiel dans le plan par une m´ethode variationnelle d’´el´ements finis, Th`ese de troisi`eme cycle de l’universit´e de Rennes, octobre (1974).

[6] S. Tordeux, M´ethodes asymptotiques pour la propagation des ondes dans les milieux comportant des fentes, Th`ese de doctorat de l’universit´e de Versailles, (2004).

(13)

10 Tordeux

(14)

Unit´e de recherche INRIA Rocquencourt

Domaine de Voluceau - Rocquencourt - BP 105 - 78153 Le Chesnay Cedex (France)

Unit´e de recherche INRIA Lorraine : LORIA, Technopˆole de Nancy-Brabois - Campus scientifique 615, rue du Jardin Botanique - BP 101 - 54602 Villers-l`es-Nancy Cedex (France)

Unit´e de recherche INRIA Rennes : IRISA, Campus universitaire de Beaulieu - 35042 Rennes Cedex (France) Unit´e de recherche INRIA Rhˆone-Alpes : 655, avenue de l’Europe - 38330 Montbonnot-St-Martin (France) Unit´e de recherche INRIA Sophia Antipolis : 2004, route des Lucioles - BP 93 - 06902 Sophia Antipolis Cedex (France)

´ Editeur

INRIA - Domaine de Voluceau - Rocquencourt, BP 105 - 78153 Le Chesnay Cedex (France)

http://www.inria.fr ISSN 0249-6399

Figure

Fig. 4 – Les ensembles O 1

Références

Documents relatifs

Dans [DL20], Deschamps et Legrand montrent que, si H est un corps de dimension finie sur son centre h, le probl`eme inverse de Galois sur H admet une r´eponse positive

Comme choisir un radar en bande X pour étudier la couche limite en ciel clair permet d'étudier également les précipitations dans la couche limite, nous avons abordé dans le chapitre

visualisation avec la seconde configuration, est représenté figure 6. Avec ce type de visualisations, la hauteur du pied de Mach a pu être mesurée dans les deux configurations.

L’objectif de cette communication est de pr´ esenter les premiers r´ esultats issus de l’application d’une analyse de sensibilit´ e globale au domaine de la propagation d’ondes

La difficult´e r´eside ailleurs : l’´etude et la mise en oeuvre de ce proc´ed´e n’ont ´et´e effectu´ees que dans un contexte de propagation et de description du sous-sol

Le modèle sphérique ne permet pas de décrire les effets non linéaires en champ proche, qui se propagent très au-del8 de la distance de Rayleigh si N n'est pas trop grand /4/..

La mise en oeuvre d'une méthode semi-numérique pour connaitre le champ de propagation linéaire harmonique dans un milieu anisotrope verticalement a servi, dans ce papier, à

Recent works (see, e.g., [5,6,7,8,9,10,11,12]) in signal processing and automatic control yield quite efficient estimation techniques, which are non-asymptotic and do not