• Aucun résultat trouvé

ARTheque - STEF - ENS Cachan | Histoire d'un « détournement de logiciel ». Pour une observation ethno-technologique et pédagogique des pratiques autour d'un média neuf dans une formation par alternance pour adultes

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "ARTheque - STEF - ENS Cachan | Histoire d'un « détournement de logiciel ». Pour une observation ethno-technologique et pédagogique des pratiques autour d'un média neuf dans une formation par alternance pour adultes"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

HISTOIRE D’UN DÉTOURNEMENT DE LOGICIEL : pour une

observation ethnotechnologique et pédagogique des pratiques autour

d’un média neuf dans une formation par alternance pour adultes

Céline DUBOIS-HÉRON, Jean-Marie MOËS

Centre National Pédagogique des M.F.R., Chaingy

MOTS-CLÉS : E-GROUP - INFORMATION - COMMUNICATION –

PARADOXES DE LA COMMUNICATION

RÉSUMÉ : L'observation de la mise en place d'un logiciel collaboratif dans le cadre d'une formation

par alternance pour adultes permet d'identifier les stratégies d'appropriation d'un outil par les apprenants. Cet article vise à expliciter, en utilisant les notions d'information, de communication et de paradoxe comment l'actorialité de chacun se construit, comment chacun passe d'une logique d'utilisateur à une logique d'usager.

SUMMARY : The observation of the installation of collaborative software within the framework of an

alternated training session for adults makes it possible to identify the strategies of appropriation of a tool by learners. This article aims at clarifying, by using the concepts of information, communication and paradox, how one's sense of self evolves, how every-one passes from a user logic to a logic of user.

(2)

1. INTRODUCTION

En développant une nouvelle ingénierie de formation1 par alternance, le Centre National Pédagogique des M.F.R. de Chaingy (45) en partenariat avec la faculté de Sport et de l'Education Physique d'Orléans (45) ont introduit une structure d'accueil et d'échange virtuelle basée sur Internet, dans la boîte à outil de l'apprenant. Ceci, à l'aide d'un logiciel collaboratif (service eGroupsTM du portail internet Yahoo!TM) qui devait permettre à chacun des membres du groupe de rester en contact pendant le temps de travail sur site professionnel et de valoriser, par ce biais, les périodes de formation en entreprise. De plus, les membres de l'équipe supposaient que cet outil permettrait à chaque stagiaire de devenir personne-ressource pour l'ensemble de la communauté ainsi décrétée.

Le fonctionnement de ce service est le suivant : le groupe de stagiaires en formation (20 étudiants), les deux coordinateurs du groupe et quelques enseignants intervenant dans cette licence ont la possibilité de correspondre, via des messages, des forums, la mise à disposition de bibliothèques de fichiers et la consultation de panneaux d'affichage électroniques, avec avertisseurs automatique, lors de la mise à disposition de nouveaux documents.

Le choix de ce type de service particulier reposait sur les observations suivantes :

• Il ne requérait aucun investissement lourd, tant pour les animateurs que pour les participants, et son mode de fonctionnement en autorisait l'usage à partir de n'importe quel ordinateur relié à internet. Sa flexibilité et sa confidentialité permettaient d'espérer une prise en main et une adhésion rapide à ce nouveau vecteur de communication.

• Ce type d'outil, basé sur Internet et reposant sur une mutualisation des savoirs et des productions, connaissait une popularité croissante et semblait alors promis à un bel avenir.

L'environnement de ce groupe de discussion est plutôt privé. En effet, pour participer aux échanges, il faut avoir préalablement répondu à une invitation à y participer, avec cependant la possibilité de le quitter à tout instant, sur simple demande2. Initialement le souhait ou l'intention des coordinateurs du groupe était de créer, par cet outil, une dynamique communicationnelle favorisant une logique d'apprentissage qui ne serait ni hiérarchique, ni descendante. Et les premiers échanges avaient permis de faire émerger les signes apparents d'une communauté virtuelle. Médiatisation électronique de récits d'observations, partage sans distance de documents, échange asynchrone de réactions et de commentaires, …, ont vu le jour, quoique modestement au regard de nos attentes ; cependant, nous pressentions que cet outil allait également permettre le développement de relations dont le virtuel n'aurait été qu'un vecteur.

Le premier détournement opéré par les utilisateurs résidait dans l'envoi de mails évoluant rapidement vers des contenus à caractère plutôt informationnel. C'est en tous les cas ce que nous avons pu repérer par une première lecture superficielle des données : les messages évoquaient majoritairement des besoins de régulation, de synchronisation, davantage attachés à l'environnement général de la formation - voire à l'usage de l'outil logiciel - qu'à ses contenus et ses attendus. Un regard plus attentif des contenus de message a montré cependant combien ces derniers permettaient à chacun de rentrer dans

1

Licence Sciences et Techniques des Activités physiques et Sportives (S.T.A.P.S) par alternance.

2

(3)

une dynamique communicationnelle non décrétée a priori par un tiers. Ce deuxième détournement a également été initié par les utilisateurs. C'est l'histoire de l'enchevêtrement de ce double détournement que nous souhaitons ici décrire. Notre problématique portant tout à la fois sur les notions d'information et de communication, nous allons maintenant en dessiner les contours, sur un double plan pédagogique et ethnotechnologique.

2. INFORMATION ET COMMUNICATION

2.1 La notion d'information

Dans le dictionnaire de l'Education, deux acceptions du mot nous sont données :

"Contenu de l'action d'informer ou la notion d'information implique seulement l'idée de la transmission efficace d'un message d'un émetteur vers un ou plusieurs récepteurs. La problématique de l'information est donc plus logique (informatique) que psychologique".

"Donné produit par tout système émettant des variations repérables par un récepteur. Elle est identifiable quand le récepteur peut l'interpréter en fonction d'un code qu'il connaît, elle est mesurable statistiquement en bits ou hartley".

Globalement on peut dire que l'information "apparaît comme une donnée extérieure au sujet" (Legroux, 1981, p. 109), elle est quantifiable, mesurable.

2.2 La notion de communication

Elle introduit la notion de relation et est dans une logique d'auto-référentiation. Les deux acceptions données par le dictionnaire de l'Education sont :

1 - "Transmission d'information : ensemble de processus physiques et psychologiques par lesquels une ou plusieurs personnes (l'émetteur) se trouvent mises en relation avec une ou plusieurs personnes (le récepteur) en vue d'atteindre certains objectifs utilisant un canal".

2 - "Processus complexe et temporel, spontanément et (ou) méthodiquement établi entre deux ou plusieurs personnes et visant un échange d'information entre les différents partenaires du système ou du quasi-système ainsi constitué, mettant en jeu simultanément, et de façon intriquée, des aspects cognitifs, affectifs, conatifs, conscients et (ou) inconscients, implicites et (ou) explicites, univoques et (ou) équivoques".

2.3 Problématique

Une problématique commune de recherche, construite sur site de formation, constitue l'axe principal de cette formation incluant cette dernière dans une pédagogie de l'alternance de type intégrative. La mise en place de cet outil devait permettre à chaque étudiant de faire émerger, durant les périodes en établissement scolaire, les difficultés, questionnements rencontrés sur le terrain. Chaque acteur (enseignants, étudiants) devenait alors personne-ressource installant la relation dans le cadre de la réciprocité des savoirs et du partage du pouvoir de former.

(4)

Notre problématique est donc d'identifier, dans les contenus des messages, la logique informationnelle et/ou communicationnelle qui s'installe. Notre hypothèse de départ est la suivante : si les messages émis dépassent le niveau informationnel et s'inscrivent dans une logique communicationnelle, il y a une interaction forte entre les contenus de formation et les individus, nous permettant de penser que l'outil est facteur d'apprentissage. Par ailleurs, les connaissances acquises, par le biais de cet apprentissage expérientiel, formalisés sur Internet, discutés par le groupe, s'inscrivent dans une logique de production de savoirs bien plus riche que la seule confrontation que l'on peut avoir avec son milieu personnel.

3. CONTENU DES MESSAGES : INFORMATION ET/OU COMMUNICATION

3.1 Méthodologie utilisée

Nous avons choisi de travailler sur une séquence thématique. Le choix d'un thème nous permet de fonder une cohérence quant à l'objet des échanges et de travailler tant sur l'unité de communication (le message), que sur l'interaction (série de messages échangés par les individus). Un travail d'histoire a mobilisé l'ensemble des utilisateurs pendant presque cinq mois (le premier message est daté du 13 juillet 2000 et le dernier du 7 décembre 2000 c'est à dire 4 jours avant un regroupement sur site de formation. Dans l'entre-deux, une autre session avait eu lieu en octobre 2000). Sur cette thématique, 20 messages ont été émis par 10 personnes différentes.

Pour construire notre réflexion, nous avons choisi d'utiliser les propositions axiomatiques de la communication humaine suggérées par l'école de Palo Alto et plus particulièrement par Watzlawick, Beavin et D. Jackson (p.45-69). Construites à des fins thérapeutiques, elles permettent aussi de modéliser une logique de la communication "normale" transposable à notre sujet d'étude. Cependant, il convient ici de préciser que dans le cadre de l'école de Palo Alto, la communication décryptée n'est pas médiée par un outil. Elle se déroule dans le face(s) à face(s) présentiel (ou sur du "discours sur") ce qui n'est évidemment pas le cas de notre travail. Le choix de cette transposition méthodologique nous invite à poser deux postulats : le premier, par le choix même de l'outil, suggère que les messages émis sont de l'ordre de la communication et le second, incite à situer la communication médiée dans le champ de la communication générale.

3.2 Communication et/ou information au travers de l'étude de la séquence "histoire"

Si la communication permet la transmission d'informations, elle induit aussi un comportement, une relation entre les partenaires permettant ainsi, dans et par la relation à l'autre (interrelation), de parvenir à une conscience de soi via l'autre. Dans le cadre de la communication, la redondance de mots, d'idées, les petits mots de recadrage de l'interlocuteur ("hm, hm", "oui"...), la gestuelle… sont autant d'indices permettant de décrypter la nature de la relation. L'absence de redondance, de gestuelle… dans l'ensemble des messages écrits pourrait nous inciter à penser qu'il y a un lissage de la communication sans réelle prise de parole en "tu" et en "je"3 et donc que l'ensemble des mails sont de nature

3

Où, dans la dynamique du dialogue, la parole en "je" et "tu" contribue, entre autre, à l'auto-référentiation du système relationnel.

(5)

informationnelle. Nous allons discuter cette hypothèse autour de quelques messages en explicitant auparavant notre titre "détournement de logiciel". Les intentions pédagogiques de départ étaient de développer, via l'outil, une logique d'apprentissage avec primat de la communication. Le premier détour que nous avons observé est le suivant : à la lecture des messages, nous avions le sentiment que nous étions dans une logique de transmission d'informations avec primat de l'information.

3.3 De l'information pour de l'information : 1er détour

Nous avons choisi de travailler autour des deux aspects de la communication (indice4 et ordre5) définis par Watzlawick (p. 49) qui nous semble poser les différences entre information et communication. Nous ne posons pas là la disjonction totale entre information et communication – en effet, "on ne peut pas de pas communiquer" (p. 46). C'est plutôt le primat de l'information que nous cherchons ici à débusquer. Nous pouvons observer les situations suivantes :

• Dans le contenu des messages des coordinateurs, on note une invitation à l'organisation même d'une collaboration. De façon assez paradoxale, il se trouve que le statut même des coordinateurs du groupe en posant la nature de la relation a exacerbé la portée des contenus des messages. La nature de cette relation étant posée et peu discutable dans la temporalité et l'espace de l'eGroup, le contenu des messages a pris, dès lors, une importance considérable. Cette dernière a obligé assez rapidement les coordinateurs à faire preuve d'une grande prudence dans la rédaction de leurs écrits.

A contrario, la nature de la relation dans les messages des stagiaires semble second. Sur la

thématique "histoire" les messages semblent être, à première vue, de la transmission d'information ("je

travaille sur le dossier histoire que j'espère boucler pour le 10 septembre", "j'ai bien reçu ton dossier (histoire) mais j'ai un problème technique : je n'arrive pas à le sortir… Peu importe, il m'a beaucoup apporté"…). L'injonction qui nous était faite de transmettre des informations "sérieuses"

ajoutée à la lecture superficielle des messages, nous faisaient constater - lors de nos debriefings - que finalement, "il ne se passait pas grand chose sur le mail" ou, qu'en tous les cas, l'aspect collaboratif ne se construisait pas vraiment. Nous proposions un outil de communication et les étudiants nous répondaient par de l'information. Or, en deuxième lecture, en nous situant au niveau de la métacommunication6, nous nous sommes aperçus que ces messages étaient des invitations à la construction d'une relation, d'une part avec les coordinateurs et d'autre part avec les autres utilisateurs. Au-delà, les entretiens avec les participants nous faisaient découvrir l'existence d'inquiétudes réelles quant aux finalités de l'outil, des questionnements reposant essentiellement sur une méconnaissance supposée ou une absence avérée de maîtrise des outils mis à leur disposition. Les membres du groupe s'inquiétaient notamment du respect du caractère privé des messages échangés, ainsi que du caractère légal de certaines demandes "officielles" de production de documents, qui ne leur auraient été transmises que par le biais de cet outil. Plus encore, les quelques membres qui ne disposaient pas ou très peu de possibilité d'accès à un ordinateur, s'interrogeaient sur la pertinence même de la démarche.

4

Transmission d'information, "ce terme est synonyme de contenu de message" (p.49).

5

"Désigne la manière dont on doit entendre le message, et donc en fin de compte la relation entre les partenaires" (p.49).

6

(6)

3.4 De l'information pour de la communication : 2e détour

Pour éclairer ce détour nous avons choisi trois messages consécutifs qui font part à l'ensemble du groupe de la collaboration engagée entre deux stagiaires sur ce dossier "histoire". "X" adresse son message à "Y", à l'intérieur du groupe de discussion, pour le remercier de son envoi de dossier, lui demander des précisions sur le plan. "Y" à son tour adresse son message à "X" lui proposant des informations bibliographiques et une communication, finalement disponible pour le groupe entier, de son plan. Cette double communication permet de poser une amorce de la relation, vite reprise en écho par un troisième discutant qui propose à tous une bourse d'échange. Cette idée d'une base de données collectives ne verra pas le jour mais amorcera des relations d'échange à deux avec d'autres outil de communication (téléphone, courrier…). Il semblerait donc, au regard de ces seuls échanges de mails, que l'enjeu même de ces messages, au delà de leurs contenus, soit la construction d'une interrelation difficilement envisageable sur le mail, du moins en l'espèce. Cette interrelation ne peut se réaliser qu'ailleurs, plaçant du coup, et de façon plutôt paradoxale, la relation, par le biais de la métacommunication, comme élément majeur. Ainsi, l'outil informationnel devient outil de communication, amorce d'une communication plus intime, renvoyant au rang de fantasmes les idées de réciprocité totale et de communication groupale médiée.

La synthèse de notre travail se fera autour de trois paradoxes que l'enchevêtrement des notions d'information et de communication a fait émerger.

4. SYNTHÈSE

Le premier paradoxe pointé est que la plupart des messages ne "disent pas ce qu'ils disent" : pour les coordinateurs, message communicationnel avec en fait primat de la transmission de l'information sur la communication ; pour les stagiaires, message informationnel avec primat de la communication sur la transmission d'information. Cela demande aux différents utilisateurs d'avoir une lecture assez décentrée du message, une aptitude à métacommuniquer pour ne pas être contaminé, par exemple, par le contenu du message. Ainsi, lors d'entretiens, certains membres de groupe de discussion nous ont fait part de leurs difficultés à participer aux échanges parce qu'ils leur semblaient que les questions qu'ils avaient à poser étaient sans intérêt, banales ou montreraient, à l'équipe enseignante mais aussi à leurs collègues de promotion, les faiblesses de leurs travaux. Le second paradoxe, découlant du premier, nous montre combien finalement un outil qui est fondamentalement pensé comme collaboratif peut devenir un outil renforçant la compétitivité. Enfin, il semble que nous cherchions au travers de cet outil à rompre l'isolement de chacun pendant les périodes d'inter-session. Paradoxalement il nous semble que c'est bien l'inverse qui se dessine. L'écrit des coordinateurs devient source de préoccupations, celui des collègues renvoie à ses propres difficultés, incompétences, difficilement formalisables sur le net.

(7)

5. CONCLUSION

Nous terminerons cette contribution par l'énonciation d'un nouveau paradoxe. Finalement, eu égard aux intentions initiales de l'équipe d'enseignants, "l'outil a fonctionné parce qu'il n'a pas fonctionné" renvoyant ainsi un processus technique et pédagogique plutôt désincarné (l'équipe pédagogique propose un outil de communication pour que les étudiants communiquent) vers un processus anthropologique (l'information servant de médiateur à la mise en place d'une communication incarnée). C'est bien l'usager qui détient la clé de l'évolution de ce que Perriault nomme "la logique d'usage". Cela nous renvoie à nous interroger sur le chemin emprunté par tout outillage, par toute méthode – qu'elle soit didactique ou pédagogique - jusqu'à l'apprenant. La route n'est sans doute pas directe ce qui suggérerait que la pertinence de la méthode est contenue dans elle-même ou en tous les cas que l'effet produit la cause. Sa pertinence et sa raison d'être tient sans doute davantage au fait que le sujet lui résiste, qu'il la trivialise, permettant ainsi à chacun de construire tant ses méthodes d'apprentissage que ses apprentissages.

BIBLIOGRAPHIE

MIALARET G. (ss la dir.), Dictionnaire de l'éducation, Paris : Presses Universitaires France, pp.255-256, 1979.

LEGROUX J., De l'information à la connaissance, Maurecourt : Mésonance, 1981, n°1-IV.

WATZLAWICK P., BEAVIN J., HELMICK D, JACKSON D., Une logique de communication, Paris : Seuil pour la traduction française, 1972, titre original : Pragmatics of Human Communication. LERBET-SÉRÉNI F., Les régulations de la relation pédagogique, Paris : L'Harmattan, 1997.

PERRIAULT J., La logique de l'usage, Essai sur les machines à communiquer, Paris : Éditions Flammarion, 1989.

Références

Documents relatifs

Le concept de la consultation d’anesthésie de demain, et donc de la télémédecine doit avoir pour but d’apporter une aide et une simplification à cet acte, sans dégrader

Les résultats de cette étude de cas, impliquant 835 travailleurs du domaine des soins à domicile, indiquent que choisir une approche de marché pour res-

[r]

Ainsi, dans l’hyper-inflammation, la toxicité de l’oxygène n’est pas la même que celle qui se produi- rait chez un sujet sain n’ayant pas exprimé ces systèmes de défense.

3% Je ne m’investis pas dans mon travail et je ne cherche plus de reconnaissance Je m’investis ‘‘normalement’’ et je ne cherche pas, ou plus, de reconnaissance Je

Tous les personnels du service participant à la réception et à la régulation des appels doivent faire preuve d’une parfaite rigueur dans la qualité de leurs..

une opération telle que pour la série de coefficients transformés par l'opération en question, le point P reste encore le seul point singulier sur le cercle de convergence de rayon

Dans une certaine mesure, dit Hutchins, en considérant le groupe comme un système cognitif, l’organisation sociale peut être vue comme une forme