Figure 27. Analyses de la prolifération et la migration cellulaire au niveau de l'épithélium intestinal des souris Fï//i«eCre;5#«prfa'°*^''°*^ et
VillineCrtlSmadS^''^'^''^
Analyses en prolifération et migration cellulaire effectuées par un marquage au
BrdU dans les animaux VillmeCxQ-,Bmprld°^'^°^ et VillineCxQ-,Smad5^°^'^°^. La
muqueuse du jéjimum des souris VillineCxQ-,Bmprlc^°^'^°^ démontre une dérégulation
dans la migration ainsi que la prolifération cellulaire. Une dérégulation de la migration
cellulaire est aussi observée dans les souris VillineCxQ-,Smad5^°^'^°^. Les essais en
prolifération cellulaire ont été effectués par injection péritonéale de BrdU 90 minutes avant le sacrifice (A, B, C et D). Les cellules prolifératives marquées au BrdU (vert) sont retrouvées au bas des cryptes dans les animaux contrôles (A et C). Il y a une augmentation significative dans le nombre et la localisation des cellules prolifératives
dans les souris VillineCxQ\Bmprld°^'^°'^ (B) alors qu'aucune augmentation significative
n'est décelée dans les souris VillineCxQ-^mad5^°^'^°^ (D). Les essais en migration ont
nécessité l'injection intra-péritonale de BrdU 48 heures avant le sacrifice des animaux (E, F, G et H). L'évaluation de la migration épithéliale intestinale a été déterminée par la mesure de la distance parcourue par le front des cellules en migration (vert) dans les souris contrôles ainsi que les animaux mutants. H y a ime augmentation du taux de migration dans les souris mutantes (flèches rouges). Les cellules en migration sont retrouvées dans le dernier tiers supérieur de la vUlosité chez nos deux modèles de souris mutantes (F, H) en comparaison à la moitié de la villosité chez nos souris contrôles. (E,
G).