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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Bulletin de l'Association Amicale des Anciens et Anciennes Élèves des Sections Normales et de l'École Normale Supérieure de l'Enseignement Technique n° 3

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Texte intégral

(1)

- 3

-J

P

RÈS

L

E

CONGRÈ

Ce Bulletin n° 3, que notre camarade Marcy s'es t ch a rgé 0(> présenter , vous apporte, en plus des information s habituelle", II' compte ren du de notre Congrès de Pâques.

Nous 1emercions vivem en t nos cam arades qui ont assi sté à ce Congrès. lis sont venus plus nom breux que nous ne 1avion: su p-posé et la salle était troppetitepour cont enir un auditoir e a1l 1111é mais attrntif où lesopinion,, tantôtdiver ses et souvent unnuiuie s, ,'exp r imèrent avec franchi se et toujours avec courtoisie.

CeLte assi s tan ce aurait élé enco re plus nombreu se s'i1 a"ui1 Hé possible de teni r notre réunion le lu nd iet si tou s nos cailla -rudes ava ien t pu, à défaut du Bulletin expédié tartli venu -u t, prendre cunna issanca de la ci rc u la ire les informan t dr la dale l't dl' l'heu re de noire Assembl ée. Certaines de ces circ ula ires i"i(> ;-;0111 ('g:ll'('es, d'autres n'onl pas élé commu niqu ées il fou s les cumarades des élnhlissemen ls où e/oles avaient 61 é adressées.

l.o Congrès a conû rrn édans leu rs fonctions certain s mem bre-s du Bureau sorlant , il leu r a adjoint quelques nouv eaux auxi -Iiairo s.Tou s exprime n t à If'U I'S cama rn des leurs très vifs renie r-clemen ts cl leu r donnen t l'as.ur an ce qu'ils s'efînrcerunf (le mériter la coufiance dont ils on t été jugé s dignes.

LE Bl'H EAl".

AUX A I M A EURS DES G OU?ES REGIONAUX

Le,' groupes l'l';:;ionau x pou rrai ent teni eune réu n ion a 'an t la fin dll I'a n n é scolaire aIin d'établ ir une lis te des questi ons sus -ccpl inlcs d'être mises à l'étude. Les an im a teu rs des groupes onvr-rront au ~ccrétai re géné r al un bref comp te rendu de ces réunio us et le Bur eau fera conn a ttre, on octobre , d'ap r ès les . u"''''''"1ions faites, le s prin ci paux probl ème s à étudier lor s des réu n ions préparato ir es au Congrès de Pâques.

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-L'Amieale et la Guerre

(SUITE)

Mol'ls pou» la France : Notre camarade, Mme YCU\'c Caillaul t. née Lehuède {Cee ~1-.:23), mère de quatre enfants, a bien voulu nous ignaler que son mari, Caillault Pierre (Cee 21-23), étai1 cap itaine (e t non lieu len an t); il a trouvé une mort glorieuse à Ravière (Yon ne), au cour' d'une mission et il a obtenu une cital ion à l'ordre de l'Armée ct la Croix de guerre 1939- 19 10.

Disparus :Haurc-P lace n'e st pa revenu. Il aurait été vu pour la dernière fois en Jévricr J945; sa tr ace a été perdue au moment du transfert du camp qui eu t lieu à celle époque. Nous som mes toujour 'ans nouvelle, de Muzetta (~\. 36-38), Cluny et de MJle Weil (39- 41).

Décorés : Lantial '(31-33), à Tours, lieu tenan t d'arti llerie, à reçu la cro ix deguerre 1940 ; SaiJly (A 29-31), organisateur de la Résl stance, croix de guerre 1939-1940, déportéau camp de Bu -chenwa ldet qui occupe présentement d'importantes fonctions r-n Allemag-ne'occu pée , a été décoré de la Légion d'honneur, au 1itrc 1\fJle Weil (39- 41) .

Dérorés : Lantiat (31-33), à Tours, lieu tenan t d'artillerie, à reçu la croix deguerre 1940; Sailly (A 29-31), organisateur de la Bésistance , cr oix de guerre 1939-1940, déporlé au camp de Bu -ch enw ald et qui occupe présentement d'importantes fonctions en Allemagne'occupée, a été décoré de 1a Légion d'honneur, au 1itro militaire; Ferdinand Eveno (Ccc 20- 22) , à l'E.N.P . de Saint-Ouen , a reçu la médaille de la Rési stance com me chef de groupe Lib é-ration-Nord et capitaine F.F.I.

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-La Vie de L'Amieale

~

,

~----_...::--,!/amphi t hé â~ l'e dans leque! nou snou s sommes réuni s menaçait d êt re troppet.i! au fur et à me ure que se présentai ent de nou -veaux arrivan!s. quelques-un s même, intimidés se retirèrr-nt après un coup ?'œil circ u la ire et quelques 'ourir~s au x conna is., ~<Ulces. I~

J;

avaIlbeau coup de jeunes, en f'ait, il n'y avait que <\('S J.e,unes,SI 1CI.n en juge par l'ardeur apportée aux débats.Le" plus s\elles se miren t à trois par tabl e, les plus sou ples s' ins ta llère nt su r les march es. C~rtains occupèr ent le parterrn su r des cha ises, quelques retardataires furent installés cn pénitence derr-i èr e le tableau.

Xou s donno ns ci- dessous la lisl e des pr ésents qui sc son; in scr-its :

~IJ11C S Armand, Dijon.

Bornes, Paris-Abbevil1c. Cha mpe aux , Lyon.

Cou rseaux, Creil. . Cour aria-Sain -Ger m ain.

Hai ssinski, ViIry. Lesbats, Bayonne. Martraire, E.N.S. E.T. Monier, Roubaix . Moreilon, Paris-Poilou. Rivière, Parts-Ganncron.

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Héri >isé, Rouen. Labarraque,Bord eaux .

Lajon,Dorian. Lantiat,Tou rs. Lauré,Voiron. Lebègue , Saint-OueD. Leroy, Courbevo ie. Lesba ts, Bayonn e. Lign on ,Paris,E. N.N. A. Longeot, Cluses.

Maill ard, Egletons. Maingaud, Reims. Marcy, Saint- Ouen. Mennessier , Paris,Aet M. Mersi cr , Cham pagne- s-Seine. Menoux, Paris, rue Boissière. Meunier ,Ve r saill es.

Minier , Montar g-i s. Mon ier,Lille.

Mor ell on, Ministère des c o-lonies.

Pasquet, Saint-Ouen. P'eyr ègne, Paris-Diderot. Poirisa rd, Paris-Dorian. Pou geol, Limoges. Prêt, Rouen. Quilliel, VersaiIles. Ren ièville,Tarb es. Rivollier , Par is-Dor ian.

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Pougeol, Limoges. Prêt, Rou en. Quillict, Versailles. Renièville,Tarb es. . Rivolli er , Paris-Dari an. Rouill on,Paris-Dider ot. Salva ni, Reims.

Suckerman, Paris, rue B oL-sière.

Thom as, Paris-Dider ot. Triclot, E. N. S.E. T. Vaudecranne,Le Mans. Ve rrier,Nogent -sur -~Iarn e. Mlles

Fond, Paris-Yilleneuve, Bessin,Versailles. Félus,Dreux . -Mor eau , Vire. Grafî, Fondar y. Petithor y, Ami en s. Prouhel, Le Havre. Pr ou st , Sotteville. Texie r ,Limoges. Sta pfer , Roub ai x. - 6 M~L Avigna nl , Dori an. Barré, Saint- Maur.

Basquin, Nantes, E. N.N.A. Bazieu,Dou ai.

Biguen et, Saint- Oue n. Blachier, Dijon . • Bonn afous,Pari s,Aet M. Bouguin,Dijon.

Bornes; Paris-Dorian. Bur tel ,Cou r bevo ie. Chev ais, Saint- Ouen. Court G., Pari s E. N.N.A. Court H., Paris-Arago. Crampe, Reims. Crumière,Saint- Ouen. .JJV.1 .l1C ~ , ..l.u..LJ.o,Jl -~ V'"...~~. Burtel, Courbevo ie. Cheva is, Sai n t-Ouen . Court G., Paris E.N.N.A. Cour t H., Paris-Arago. Crampe, Reims. Crumière, Saint-Ouen. Denis. Le Havr e. Douard, Suresnes.

Deveau ,Paris,Cité Un ivors i t. Duron, Montbéliard.

FrilscIl,Ver aille s. Gab orit, Paris-Dorian. GiIle l, E. N. S. E. T. Goda!. Courbevoie.

Compte rendu analy tique Notre Congrès s'es t ou vert Il' 14 avr-il 1946,à 14 heur es 30précises,à l'E. N.S.E.T.. Notre cama -rade Du los,récemm ent pr omu insp ecteur général est appelé à la présidence,ilest assist é de Main gaud (Reims), comm e secré taire

de séance. .

Not r e présiden t exprime tou te sa salisîa ction de voir les anc ie ns élèves réun is aus i nombre ux el il donn e la parole à Gaborit. Celui-ci adresse la bienvenue aux camarades pri son-niers et dép ortés, à M. le Directeur de l'E. N.S.E.T ., à Mme Lecomte , inspec tr ice générale et à Dulos, insp ecteur général, récemm ent nommé; à 1111e Simonin, in pectrice gé -néral e ; à nos camarades Bonnafous et Deveau . Il présen te le

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9 -logue à celu i de chef de travaux des sections indu trielle soi t

créépour les secti ons commerciales. Le même vœuest émis pour 10r Üjue de la xertion B el-de se" variations, innovation s, 'u p -l'Enseignement ménager. pression s, transf orm ati on s. Bien que la sec t ion ait, à ch aq ue Pourl'extension de la scola r ité à l'E. N. S.KT.,quiser a it portée ép oque, produit des maîtres <]ualifiés ct des maîtres de valeur, à trois ans, le Président donne la parole à M. le Directeur de il consi dè re comme indispensable pour l'enseignement du des

-l'KN.S.KT.. }1. Ren au deau l'appelle le s conc lus ions de la Sou s- .sin à l'école que l'épreuve du concours d'entrée soi t maintenue

Com m i sion 'W allon qui reconnaît la nécessité d'une formation et maintenue ave c son niveau ac tu el. Il sou ha ite que viennent du personn el d'enseignem en t technique - on en trouv e r a le à récole tous ceu x qui senten t la vocation d'en eigner san au -texte dans le rapport sus me nt ion né . Les deux premi ère s années l'une différence d'origine. Dulos sou ligne toute l'importance du seraient consacrées à la formation théor ique et professionnelle, .débà t par l'Imp ort an ce de la section Dessin, car ac téristiqu e de la troisième année à la prép aration pédagogique et prat ique. Elle l'Enseignemenl tchniquc,ct qu'i l imp or te de ne pas la isser pér

i-comprendrait en particulier un slage pédagogique de 3 moi l'li ter . La question du ca r ac tè re technique du concours d'entrée avec dr maîtres différent s ; un slage pratiqu e de 3 mois dans ua est reprise par Menoux, il n'en voit pas l'utilité pour la section établissem ent com me rc ial ou industr-iel , un.slage de 3 moi s à com me r ci ale. Ce n'estpas l'avis de Meunier et de Court qui pr é-l'étranger, quelle que so it la section. tendent l'un qu'ell e élim ine Jescan dida ts peu désignés pour l 'en-Ln proj et d'arrêté concerna n t celle 1coisièm e an née fuI remi .seignem en t commercial, l'a u tr e, qu'elle constitue un test d'ori en-l'an dernie r à la Directi on géné r a le de l'Ensei gn em ent lerhnique. talion..\len ouxne re connaîtpasà l'épreuve telle qu'elleestcon çue Il ne ern hle pas que celle-c i ait voulu donner une uite à cette actuellement ce caraclè re d'ori entalion. Prenant la parol e, prop ositi on. Le projel a été repr-is celle année. .\.ucunè nnuvell e ;\1. ltenaudeau montre que le s ép reu ves techniques deviendront n'e st parvenue offici ellem ent au su je t du sor t qui lui ost sou haita bles 101''qu e l'E nsei gn emon t technique aura pris sa place

J'iser-vé. dans la coordination des enseignemen ts et. qu'ilsera enfm reconnu

-'1. Ren aud eau 1raite ens u ite de la vie de l'école. Le recr u te - que la cu lt u r e peut aussi bien s'acqué r ir par la voie technique ment sr fait dans dr meill eures con di t ions que l'an dem ie ]' que par la voie litléraire ou par la voie scien t ifiqu e. Alors, puisque 30 bourse s su ppfémcnta ires ()n t été octro yées,Le recr u - l'Enseignement technique, organisé su ivan t une liaison verticale, tt'me n t de la sect ion Dessin n'estpas favori s épar les Irailements conslituera uneunité.Cependant, ily a lieu , présentement, d'agit' act ue ls com par és aux sala ires de l' indust rie. Pour fa cil ite r le avec prudence dans l'In tr odu cti on des épreuves techniques au re crut em ent, le s élèves brevet és des KN.P. on t él(\ au torisés à con cours d'entrée.Pour clore ce long débat, Peyrègne fait adopter se présente r (rf Bulietin n° 1. p. "7); une sect ion cie pr épa r aiion un VŒU exprimant le désir de voir se multiplier les cent re s de

. . . ' ~ "" - - _. .J • __ ,_ ~~_,,~~ ~ ~,~ nréoaration au conc ours d'entrée.

ment sr fail dans dr meilleure con dit ions que l'an derni er y,u" pu< <u .v .v u. w . ~u~ ~- r r - : -- . • - - - . • pu isquc 30 bourses su pplémc n1aires ont été octroyées. Le recru- l'Enseignement technique, organisé su i van t une liaison verticale, tom ent de la secti on Dessin n'estpas fav ori sé par les trait em ent s constituera une uni té. Cependant, ily a lieu, présentement, d'agir actue ls com parés aux sala ires de l'indu stri e. Pour f'a rilile r le avec prudence dans l'introduction des épreuves techniques au recru tem ent, le s élèves brevet és des KN.P. on t été au tor isés à conco u rs d'entrée. Pourclorece long débat,Peyrègne faitadopter sc présenter (cf Bulletin n° 1, p. "7); une sect ion de pr épur alion un VŒU exprimant Je désir de voir se multiplier les cen tr e s de fonctionne à Diderot et une propagande.p ou r la secti on a été prép aration au conc our s d'entrée.

rai te. Le cliitlre act url des inscripti on s alleint celui de 1939. M. Renaudeau rappelle que l'or ganisa tion d'un baccalauréat :'le pas négli ger un fail nouveau: la disp ariti on du brev e t sU]lé- techniqueindustri el pourles ga r çons a été prévu epour juin 1946. r-ieu r, rempl ac é par le baccal auré at , ou vre au x membres de La Directiondel'Ensei gn em ent supé r ieur est favorable au proj e t. l'En sei gn em enl pr ima.ire tout es les facull és. -'1. Itenaud euu est Des opp os itions se ser a ien t manifesl ées,qui ont retardél'appliea.. partisan de l'ont inuer l'exp éri enc e en cou rs pour le rec ru tenten t l.ion. Cependant, tout espoil' n'est pas perdu, Le Congrès expr i me pendant une période de Ir-oi s ans et de faire créer de nouvc uu x le vœu qu e ce baccalauréat soil organisé le IJlus tôt possible. cen tres de préparation . Du los rem erci e M. Hen au dcau de son Pougeol présente ensuite un rapport venant de Limoges, dem an-oxposé el, sur l'Inler ven tion de Peyr ègne , le Congrès décide de dant, pour les élè ves aya n t éch oué en juinau Brevet com merc ial prot est er éne rg iq ue me n t au p rès de l'Administrati on afin d'ob- deuxième partie, la possibilité de se présenter à nouveau au I,enir que la scolur itéà l'KN.S.KT. soit portée à trois ans . 1ll0Ü; d'octobre suivan t. Après discu ssion, le Congrès demande Dev cau aya nt snu lign r la nécessité de permettre au x candi_ que soitreportée en J947 l'applicationdu Brevet industri et insu r., dats issu s des E.N. primaires de se présenter en sert ion B, ûsa m men t étu dié, que les élève ayan t écho ué au x ép re u ves du :\1. llena ud eau pr éeise qu'i1n'est pas question de 1imilel' la zone Brev et com me rc ia l deuxi èm e pa rtie puissent e représenter en de re crul em ent de la sect ion ; le doubl e accès a été mainl enu octo bre, que les modalités du Brev et com me rc ia l soien t rev isér-.s.

dans le rapport présenl é par Marcy el les rn odal ités du conco u rs Le problème de l'accès à la Direction el à la sou s-Direc tion. d'entr ée actuel ne son t que temporai r es. Le s condili ons fait es provoque de nombreuse s intervention s. Le s un', MIJe Texier, dan s J'industrie aux élè ves sor ta nts des écoles d'arts et ruélicr: Meunier, MoreJlon , Godat ,Bazieu se fondant su r leur expé r ience. élo igne n t ceu x- ci de la sect ion B, il import e que l'Ensei gn em ent demandent Je rélab lissem enl du conco u rs . Selon Peyr ègn e et te chnique organi se, à l'int éri eur même de ses éta bl isse me n ts , quelques autre, le concours ne er a it pas une preuve su ffisan te le recrutement de ses maîtres. Sur une inlerventi on de Meunier des ap tit u des . Cependant les partisans du conc ou rs souligne n t _ _ _ _ _.L\,L>.n~; II~ 1-" "-nnn.l' • i J 'Ilnr <lll ' d .'-~_....&~_ _-..ll.l.I.'JJ'L..l.J.W.!Ii,g l an dida t .à e encher su r uel ues-uns des 1'

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0-- 1 1

-- 1 0

---

---Le Secrétaire de srance, MA[" GAUD.

pUIIenL nOLaOIem ellL SUIl ~l'avall . ~1It: aU!"" " " LVU" o'oc •"'' ' ''-, ',

-clemen tsà ceux quiveul entbien l'aider à faire de notreBulleti n

'Un organ e clair, vivant, document é, qui puisse témoigner de la

qualit é de l'enseign em en t dont nou s nous l'l'cla mons.

Lecture est f'aite d'une pr oposition des anciens élèves de Brest

rela tive à l'accès att cadre supérieur; le Congrès retient l'idée

qu'une priorité soit accordée aux anciens élèves de l'E, N.S.E. T. pour l'acc ès à ce cadre. L'Assemblée fait également sien un vœu émis par les élèves de l'Ecole qui souhaitent pouvoir c

on-er ver l'u sage des locaux où se trouvent présentement installé

leu r "Foyer»,

La séance esl levé e il 19 heures.

La réda cti on du Bulletin accept e avec reconn ai ssan ce toute commu nication originale intér essant la vie des sect ions, l'a

ctua-lité pédagogique et en génér al tout ar ticle suscep t ible de

témoigner de la vitalité de notre Association et de ses adhérents.

Pour éviterun travailaussi fa l.id icux qu'inutile,elle demande

que ces commu n ications soient faites su r des feu illes écrites au. recto seulem ent, Les commu n ica t ions dactylographiées s

im-plifient notablement son travail. Etle adresse tous ses rern

er-clemen ts à ceux qui veu len t bien J'aiderà fair ede notre Bulletin 'Un organ e clair . vivant, docu ment é. qui puisse témoigner de la

qualité de l'ensei gnem ent dont nou s nous réclam ons.

systèmes (concou rs entre les candida ts préalablement admis SUl'

une liste d'aptitude établie largemen t) n'est pas retenue. Meunier

combat la liste d'aptitude préalab le, ce système aggravant

d'après lu i, l'importance de "la cote d'amour», Le Congrès se

rallie alors, dans sa majorité, aux vœux su ivants : rétabliss

e-ment du concou rs dont le s épreu ves sero n t transformée , é

ta-blissement de la note par un Comité élarg i et communication de cette note aux candida ts, stage préalable aupr ès d'un Directeu r.

PourTa sous -D irec tion, on demande que toute publicit é soit

donn ée aux postes vacants. Une proposition de Buiguen et , t

en-dant à exige!' des futurs directeur s un stage préalab le commo

sous -Direc teu r est repoussée.

Pour les foncti ons d'insp ecteU1' d'Enseignem ent technique, Men ous indique que la foncti on est mal définie, que le choix des

insp ecteurs a été fai t d'une mani èr e peu claire, mai s que ce cho ix n'es t pas défini tif. Il fait men tion d'une circ u la ire indi-quant que les insp ecteurs d'Enseignement technique on t le

droit d'insp ecter dans les collèges ,techniques, mais qu'Ils

doivent su rse oir à Jeurs insp ections (rôle pédagogique réduit).

D'après les text es,la hiér archie ser ait la su ivan te : recteur, in

s-pecteur princip al, insp ecteur d'académi e, inspecteur.

Meunier est parti san de la révision des nomin ati ons d'in p

ec-tenrs, il cr it ique un texte récent, prévoyan t le choix d'inspec -tours d'Enseignement technique parmi le diplorn és i sus de certa ine écoles dont le niveau ne semble pas ofîr ir des garan ties

suf fisan tes. D'après Cour t, si les inspe cteurs d'Enseignem ent

technique son t habilités à inspect er les collèges techniques, le

Meurri~r ~st parÙ's~~'de la r6visioÏÏ"des..J'~~-n;iIîà[j'oîl~ 'd'tllsp~ë~ tenrs, il'crit ique un texte récent, pr évoyant le choix d'In sp

ec-feurs d'En eigne men t techniqu e parmi les dipl orn és issu s de

certa ine écoles dontle niveau ne semble pas ofl' r-ir des garan tie,

su f fisantes . D'après Court, si les insp ecteurs d'En seignem ent

technique son t habi1ités à inspecte!' les collèges techniques, le

per sonn el de ces étab lissem enLs risque d'être assimilé il celui

des cen tres d'apprentissag e quant aux traitements. Menoux

affirme que la tâche de l'inspecteu r principa l ne saur ai t sc con -f'ondre avec celle des Inspecteurs génér au x. Mme Martrairc é ta-blit un parallèle en tre le s insp ecteurs prim aire et les insp

ec-Leu rs d'Enseignement te chnique et insis te sur la néces ité de

prévoir une form ati on et un concours pour les inspecteurs

d'Enseignement technique. Le Congr ès s'a rrête alors aux d

éci-sions su iva n tes : les insp ecteurs et in pecteu r s princip au x d

e-vront êtr e désign és parconcou rs el, posséder au moin s la prote s-sora t, Le Congrè s élève une protestation con tre l'ar rêté fixan t

les conditions de recrutem ent de ces insp ecteurs. Il demand e

une révision de la liste établie . Il ne reconnait pas aux insp

ec-teurs le droit d'insp ecter les collèges te chniques. Il demande un tex te définitif sur les foncti ons des in pecteurs princip aux.

Vœu x div er s: Que les agrégés exerçant dan s l'Enseignement

t.echnique jouissent des mêmes avantages que ceux exerçant dans l'Enseign ement secondaire ; suppression de cer tai ns pr

o-ressorats «spéciaux» et notamment ceux d'En sei gnement

ménager; que le maximum des heu r es de service dans l'Ense

i-gneme nt technique soit identique à celui en vigueur dans le

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12

-La Vie des groopes lo

eaux

GROUPE DE REIMS Réunion du 10 mars 1946

SUl' plus de trente anc iens élèves, douz e seulemcnl sont lll' l'-seu ls à cette réu n ion.

Pour le Collège lechnique de jeunes filles : Mme Bourhé; Mme Dujardin, :\111e Benoit.

Pour Je Collège technique de ga rçons : M~1. Cram pe. Arouès, Cona r d, Gi'llet, Lecompte, Maingaud , Remi on, Roger, Salvairc.,

Ces membres regrellenl vivem ent l'absen ce de leu rs ca ma-rades el Jes inciten t unan imem enl à êlr e da ns l' av en i r moins

passifs à l'éga rd de l'Amicale qu i leur permet. de mainten ir cl de dév elopper les liens de cama ra derie formés depuis l'l~ cole­ normale.

On passe ens u ite à la discussi on dl' l'ordre du jou !'.

I. - ORGA:\ISATlO:\ DU CENTRE LOCAL.

:\1. Maingaud qui avait jusqu'I ci assu ré la liaison en lre l'Ecole

e/. Je bureau de l'Amicai e est désign é par l'ensem ble cie ses ca ma ra des pour ass u re r la charge de secré taire local. Mme

Du-jardin l'assi stera dan s se f'onclions cl éla blira la liaison ent re le s deux écoles.

:\1. ~lain gaud qui ava i t jusqu ' ki assu ré la liaison en tre l'Ecole cl, Je bureau de l'Amical e e l désign é pa!' l'en sembl e cie ses camara des pour ass urer la cha rge de secré taire local. Mme nu -jard in l'as.isl e r a dans ses fnn clions cl éla blira la liaison ent re les deux écoles,

~lIe Benui l esl dési gnée pour as su re r le s fon e1ion s de 1['t', -sorier. Elle au ra à recue illir la som me de 100 f'rancs de la pa r i

de cha que membr e de l'Ami cale. (50 fr an cs au 1itre dl? la.

eol isalion annue lle el 50 fran cs pour Ja cons t itu t ion d'u ne cais.e Iocale.)

:\T. Rel or el colle cter a celle somme au près des ca mara de!" du

Collège technique de garço ns.

.\1. Maingau d est délégué pour représenter le C('11lr (' dt' lteims

nu Congrès de l'Amical e qui doit. se tenir à Pari s lors de , vacances de Pâques. Il pourra confier son mandai à un uulre camar ade en cas d'impossibilité.

- 13

-L'admissi on com me membre de l'Associa tion n'aura it pa s

besoin d' êtr e cond il.ion née par une acceptation du bureau, la qual ité d'ancien élève, (même d'un an de présen ce à J'Ecole)

€ta n l su f fisa n le pour celte admis,ion.

III. - ACTION DE L'AMI CALE. - R'ELA'I'I OX AVEC LES SY;\DICAT S . 'l'nul en cherc hanl à défendre les intérêts de l'en sei gn e me nt

techniqu e, l'Amicale , doi l avan t tout avoir pou r but de dével op -per les liensde camarade r ieel d'aide mutuell e en lreses membres

et de défendre le s intérêt s des anc iens élèves.

Son action doit.ètre au tonome. Dan' les relali on s qu'elle peu t

avo ir avec les syn d ica ls, elle ne doit faire preuve d'au cune alt i-tude préf'érentiefle.

Dan s Iou le la mesure du possible son act ion doit appuyer celle des syn dicals.

lY. - RÉORGAl\ISATI O:\ DE JJ' E.N.S.E. T.

Les membres ém e tten t le vœu déjà maintes foi s formulé que les prof'esseut-s de l'enseignemenl tochniqu e soie n l uuiqucmcnt form és pal' l' E, N.S.E. T. dont la rporgan isal ion s'im p ose.

Dans J'allribu t ion des poste s une préférence devr ai t êlro donnée aux anciens élèves et l'Am ical e devrait êt re repr é en tée

au sein des Com missions de nomina tion. Prépara tioti à l'E. N.S.E.T.

La prépara i ion au conc ou rs d'entr ée à l'E.. .S. E. T. est in

suf'-flsarnment organisée. La seclion de Reims prop ose la création {j'une douz aine de cen lres régi on aux dan s les princip al es villes. au .l'in des Commissions de nomin ation.

Préparatum à l'E. N.S. E.T.

La prépara i ion au concours d'entr ée à l'E.:'I.S. E. T. esl ins uf'-ftsa rnment organ isée. La seclion de Rei ms prop ose la création {j'une douz aine de cen t res régiona ux dan s les principal es vi l le»,

Ionctinnnanl dans les E.N.P. ou Collèges lechniques dt' CPS

con tres. LiS élèves seraie n l maîtres Interne ou boursi er s. Ces cen lres sera ien l spéc ialisés dans la pr ép ar alion

tl

uno d.'s

sections de l'Ecole.

Eludes à CE.1\'.S.E. T.

Tou s les memb r es son t. d'a ccord pou r prop oser la prolonga lion

des élu de à trois an .Un exame n de conna issa nces serail pa sé

au bout de deux ans, la lr oisi èm e année élanl réservée il une'

form a Iion péd a gogique cl technique ancl ion née par des épre uves. La rémun éralion des élèves prof esseur s sera it au cours d> la 1rnisi ème année, celle de s pr of esseurs de 6' classe.

Le program m e du conco u r d'ent ré e en sect ion com merciale ne dni ], comp re ndre ni comp la h ili té, ni mathémat iques fln

an-cières.

Il y a lieu égale me n t de prév oi r la Iormal ion spéciale il lE,X. 'S.E. T. des che fs de trav aux.

(7)

- 1 4 - - J 5

-Le Secréta ire,

J1AI:>IGAU'O.

Recrutem ent des Directeurs . ~ La maj orité des membre,' ne

reconnait pas au conco u rs de directi on la val eur su ffisa n te pou r

di cr i rnine r le s cand ida ts plus ap ies 'à exe rce r les ftlnction s d

e-Dire ction.

L'ordre du jou r éta n t épu isé, la séance est lev ée à J2 heurr- -. 'ne prochaine réuni on au ra lieu dan s une quinzaine de jours à

"ne date qui se r a fixée ultirieurement. Elle au ra pour but

de-préparer le Congrès de Pâqu es et se tiendra un soir de la

sema ine au Coll ège techniqu e de jeune s fllles. Présence iud

is-pensable.

avec ;\,[a1'('Y com me rapporteu r, se réun it el abo u tit à un plan

d'en omble. :\L Ren aud eau 1it le rapp or t de :\1ar cy el Ic corn

-menle . . t t 1 . 1

La situ a t ion des agrégé de .l'Entiel gnem~n, CC,llllqu~ es

oxamin ée au cours du commen taire. Ils ne benefi?l~lOl~t pas de

lou s les avan tage accordés il leu r s collègues de 1.En elgnem~nt

,",cconda iro. Le dan ger pour l'Ensei gn e men t techn ique, ~loulll ce le sou ligne, c'est que des pI'OfeStie~i~s l1~utement quali~ICS, que~

que soit leu r attache me n t POUl: 1l~nSCl~,I:emen: ~e:~llu ~ue. qu~

les a accu eilli s et snu vc n t Iorr nés, "ont s éva de r \ CIs Te: lycée où une si tua t ion plus ava n lage utic leur est oITert~. . . .

M. Renau deau sou ha ite quc soit rédu it et strictement limité

l'effectif des classes d'En l>ei gn em en l l héorique. Lc eecrutem en t

GROUPE PARISIEN des professeurs' dev rait pe rm ettre d'en finir avec l'abus d~s

classessu rc hargées qu is·op pose n l., quoiqu'on f~ssc, . à tout trav,a.1l

Réunion du 17 mars 1946 effic ace comme à loul contr ôle sr-rieux. La sllu~ t lOn est

p~IY-Réuni on à l'E.:\1. S. E. T., séance ouverte à 9 heures. i-u lièrement grave dans les classes d'Arts ct Métiers pour 1E

n-M, Bonnafous, Directeur de l'E. N. A.M. de Par is demand e

i~

soigneme nt du français, M. üonau dc au

p~nse

qu~,

même

av

~c

~1

«eux qu i ont la foi amicaliste une active propagande. Le:'! hor ai re réduil, il serai1 possible d'obtenir des r?sultats sa tisfai -obstac les à surmon ter ne manquent pas. Une réunion du gr oupe, sau ts par la lim itation il qui nze du nombre d'élève s de chaqu e c'e st en core du temps dérobé pal' la vie professionnell e à la vie «ou rs.

privé e. Et pourtant, cetle ampu tation aux loisirs, il faut la con- Nos élèves n'on t pa s dl' Ioi si«, l'at elier les l'clicnl : le temps sen ti r. Ne parlon s mêm e pas du plai sir de se ren contrer entre manque pour le travail ])(,l'sonll cl. Un travail collectif', atten t i-camarade s, des nouv elles com m u n iquées, des sou ve nirs évoq ué s, vernent dirigé, vivant ('1 acl if, contrô lé par,u n proresscur ayant. de l'atm osp hère «jeune » de l'E. N,S. E. T, retrouvée. Not re int(.- hien en main sa petite (' qu i pc, assurerait a lous nos l'lèves el

rèt professionnelle plus évide nt est d'assurer la vi1alitéde not re particulièrem ent au Gad'zArt s, la îormation perm ett ant de c on-Amicale.Anciens éèl ves de l'EiN,S,E.T.,nou s somme soiida ires. tinuer à se culti ver par la su ile.La cu lt u re ne sr donne

p

a~,

elle

Des associa t ions voisines sont. devenues nuissant es la nÔ'l'e s'acquier t ; le but de not re cnsc igne men t c'est d'app r end re a nos 1JI1Vti t:'. J~L I!VULl aLlL , l;tHl~ ctllljJUICtLJUll a u x 10 1:' 1[":; , li ïaut la t:û1- ...H" V ... .~-- -- n _ ' - • 1 'J.l__...J_~ 1 1'1' Il L -sen tir . Ne parlon s mêm e pa du plai si r de se ren contr rr entr e manque pour le tra va il pc rsonne l. Un travail colcc"! , auen 1-cama rades, des nouvell es comm u n iquées, des sou ve n irs évoqués, vem ent dirizé vivant et ael if, contrô lé par un prof esseur' ayant de l'atm osph ère «jeune » de J'E. .S.E. T. retro uvée . Xot re inté- hien en main ' sa pet ite équ ipc, assu re ra i1 à lou s nos élèves el rètprof es ionnel Ie plus év iden t est d'assuree la vitalit e' dc not re palticulièrem ent au Gad'zAr ts, la forma tio n perm ettant de con -Amicale.Anciens éèlves de J'E.N, S. E. T.,nou s sommes solida ires. 1inuer àse r-ull. ive r pal' la su ite. La cu lture ne sr donne pa .' elle Des associalions voisines sont devenues puissant es, la nôt r e s'aequier! ; le but de not r e cnsc igneme n t ~'est d'app r endre a nos accroît ra sa for ce et son ray onn em en t dan s la mesu re où chacu n ("Ièves l'utilisati on de s moyen s <,1 des métho des .

d'en tr e nou s appo r te ra un peu de son aclivi lé el où tou,", nou s La direction efficace pour un lei entrat neme nt IÙ'.'I pas po

-enco u ragero ns , an muin s pal' noire présen ce au x réun io ns, lc-. sible avec des elTec tifs nombreux,

plus dévou és de nos cam a ra des . Nou s espéro ns que I'app el do Ga bor-i l, interpr ète du grou pe, Iélici!e J1ar cy ri remercie

M. Bonn af ou s sera enten du . viveme n t M. Renaudeau dont l'exp os éa été écou té avec le plus

Gaborit exp ose un proj et de réorgani sati on du Bu reau. JI grand intér êt. " .. .

demande la dési gnati on dr secré ta i res adjo in ts Jl0Ul' aide r le .\i orcllon abor de ensu ilc la délirato questi on de 11I1";]Jc ct lOn secré ta i re gén ér al donl la lâche esl. lou r de, l'im'ol'pol'illi on de des éta bli semenls d'en sei gn clllcni lechnique par les inspecl.eu rs droit, au Bureau de l'Amica II', cles anima teu rs des g'l'ou pr.s l'('gio- dc l'apprentissag e. En 1er mc s mesurés,il J'app orte le s object ions

naux. Couet intel'"ienl dans le même sens . ' l'ailes à certaines d{>cisio ns eOlH'cm a n t Ics allr lbu l lons

ct

la La création d' une caisse de solidaej1é c;:;[ envisc\g (;e. BOJ'nes compét ence adrnin istrati\'0 des nouv eaux insp cc1cu rs .

propose une colisali on do solidal'ité qui soi1 progn ' ss i"C, la M. Lageyre, Inspecteu r génl' raJ, inlerYient pour faire l'enIHI'

-que tion sera débatlue au Congrès. quel' qu'il n'e st ni dans lc rôle, ni dan s J'.esprit de l'Amical c de

Le groupe parisi en prie (\aborit de vouloil' bien l't'skI' S011 sc mêler à un débat qui oppo~ Ics anCI en s élèves cnl re cux.

candida l au poste de secré lair e gén éral. ~rorellon object e qu'il nc s'as it pas seuleme n t d'an cien s ca ma-M:Bonnafous mel le gr oupe au cou ra n t des proj ets J'ela l.ifs au l'ades de l'Ecole et, su r tou t, quc cc n'est pas à leUl' su je l que lcs

Conseil su pé rieu r de l'Education nationale. Un éch ange de Vue !! ('r'itique s ont été formulées.

a lieu su r les moyens d'a ssurer à J'Ensei gn em ent techni qu e uni' M. Menoùx, Inspecteu r princip al , prend à son lour la parule .

"ie propre. il anime le débat et tient à justifi er devant le gro u pe les mesure'>

M. Henaudeau, Direct eur de l'E. N. S,E.T., IIOUS pa rl e de la de t'Admi nistr a ti on el l' action dcs nou veaux insp cl'l cues. Il

(8)

- 1 7

-rn plus de la colisal.ion, d'un versemen t propo~t ionnel au t~a.­

tr- menl . \{\je Istaz dem and e que de s secours SOIe n t accor dés de

préf' ércn ce sous forme de pr êt d'h onneur.

1

1 6

-B. Rap port ?IIO. /'al et financi er .

seigne me n t technique n'ait pa s été fixé dès le recrut e men t de leur cad re . Il ajo u te que le s nominati on s ne sero n t déûniti v es

qu'apr~ .un stage de deux ans et il voit là une mesure prop r e a

Iranqmll.\ser ceu x qui.manife st èrent quelque inquiétude.

Gaborit, après avo ir rem erci é les mem bres présent lève la

séance à 13 heu r es. '

Le Secr étaire de séance, LAJO::\'.

GROUPE ROUENNAIS

Réunion du 24 mars 1946

La éance est ouverte à 10 h, 50. Sont présent s : Mme, Ga

bo-l'il. Halfaud , Mlles Islaz, Falgui ères, Cazen euve, MM. Pidou x,

Hat eau , Déjax, Héri ssé, Chambard, Perch é, Ouvrier Coque lle, Gaborit ct Rev el. Excu sés : Mme Bertrand et les cam a rades ri,' Che r bo u rg; Mme Foucart, du Collèg e technique de Ca e n, MIll0 l'roust ct les ca m arades de Sotteville-garçons.

Ooquellne8L désign é comme pré.iden t de séance. La parole e,;1 donn ée à Gabor-il, secréta ire géné ral de notre Amicale. Il donne

oou ua issance de l'ordre du jour quiva être mis en discu 'sion en

vue d'une prise de pùsil ion du gr oup e normand au prochain

congrè8 an n uelde Pâques.

J. - QESTI O ' S ll\TÉRIE URE ti .

A. - MOdifi cation des stat u ts.

..OJ. <O- u....•.......u.v... IV 'U.l. U .l.v \.lU .JVU J '-:tU1 vc. ti' olt:; Jill;:) t=1 1 UI:::J \jU ;:,IU1 1 t"11

'ur d'u ne prise de position du gro u pe norm and au prochai u congrès an n ue l de Pâqu es.

1. - QE8TI ONR 1·TÉRIEUn E~.

A. - Modification des statuts ,

Composit ion du Bureau, - On adme t le princi pe de la dési cn u -lion de plusi eur s secréta ires adjo in ts pour seconde r Je secré la ir«

gén(' I'al, ains i qu' u n accro isse me n t du nombre des membres du

BUI'C1lU. don t pourraient obliga to ire me n t faire pariie Jes an ima ., teu rs régiona uxcomme Cha m ba r d, élu àl'unanimit épar le grou pé normand . On sou ha i te égaleme n t y voi r accéder des cam arades qui sc son t signa lés par leu r zèle cf leur dév ou em ent , el Ouvrier propose dl' faire appe l à Mme Blondeau cl à Poindron , de Che r-bourg.Lo gro u pe se pron on ce con t re lanomin ati on d'unprésid en.. 1ifr e pompeux dont n'a que faire noi r e Amicale.

v

ote pal' correspo nda nce , - Le principe en est ad m is afln

d'intér esser au yol e le plus gra nd nombre de cama rades p

os-sib le. mais ce mod e de vole pourra-I -il êlre appliqué dès ccll,'

année, même s'il rsl accep té pa r le prochain congrès'? Dl"';

réserves sont formulées.

Lieu du. Congrès. - On main t ie n t Pa ri s . Les gro u pes rég

io-naux )' en verron t de s délêgués dûm ent man da tés .

n

. -

Q EtiTIOl'S PÉDAGOGIQUES .

a) E .

s.

S. E. T. - Gaborit don n e coI:naissanc~ de s.projets successifs de réforme, sans ces,e mod i fiés, et 9U1 ne sont pas

sans inquiét er nos camarades ancie ns ~tÈ'ves. 1.:ne f.ols de plu~

nou s sou ha it ons voi r alig ner notre ecole sur Sam t -C l? u d .

1rois an née: d'études, deu x an nées pou r pr ép arer ur:e .«llcenc~

1ech n ique» el une 3~ unique ment pédagog iq ue termlllee ~ar le

profe ssorat. Il faudrai t que les prcïesseu rs de la sectio n H Iussenl in iliés au x techniques et pra tiques mod erne s, Com mr.n~

y parvenil' '? Des réserves 'on t f,?rmuté~s quant à l'e~frcacI t,e

d'une 4· année, effec tuée dan s 1mdustne; cet t.e solu t ion est

jugé e insuffi sante. Des stages en usin,es .devraI ent é"'ale mp n t

être prévus pour les prof esseurs de la sectio n A,

Le projet qui consisterait. à donner accès au conco urs ù'N~­

trée à 1;E. N. S.E. T, aux anciens élèv es des cotlèges I~Chl1l ­

ques ct des Ecules nat ionale s professlOnnelles soulève ega le-ment quelque inquiétude.

fJ) Baccalaul'éat technique. - üie n de très prec~s enc ore.

l'our celte année on s'est borné à organ ise r la premr er e parti e

mdusl.ri ell e gar çous. Cet exa me n sera it réserv é aux Jr:e,ll\pu r s

élève s pOUl'o)pu r donner accès à l'ensei gn emenl su pe r reur. c,) Brcrct industriel. national. - On reconna i l un? fois. de fJ) Baccalau réat technique. - Ilien de trè s préc~s encore . l'our cet te année on s'est born é à organ ise r la pre mi ere pat'11 9

industri ell e "'ar çons. Cet exa me n serait ré.ervé au x rr:e.II\PUt"

élèves pou r °lf'u r donner accès à l'ensei gnement supe rIP ur ,

c) Brcrct industriei national. - On reconn a i.t .

:11l?

,f~is..~Ie

plus la néce isité de reva lor ise r cet exa me n, mais 1OI.g~tn ls;l­ tion SUl' le plan nati on al n'est pa s sans présent er de ser-ieuses d ifficultés.

d) Accès cl la direct i on cl li la s~tls-d~l·ert io lt. - .Lon gu e ~is­

cuss ion pour savoir s'il faut maint enir un systè me de list e

d'aplilude ou envis age r Ull.conco u r,s. Mme G~bonl y n:rl ~,Jl

rn prop osant, à la sausr ac u on gén ét- a le, un sys tè:ne qut p~

[-mettrait de bén éficier' des avantag·e.s des deux au ll'es, procéd és ; concours parmi les cand idats CIIO IS IS su r une lisfe dap t i tu de.

c) La question des [nspcci eurs.. - Les circ ulaires,cl, notos

parfoi s contradictoires et les réact.ions nombr euses quel.leB ont

sou levées, son t évo quées, et une di cuss ion s'engage; mais ceuo

fois su r la proposition de nol r e cama r a de Rateau lm-même,

insp ec teu r de l'Enseign em ent technique, la questi on tr?uyc

:lIlC

solu t ion jug ée sat isf a is a n te : les insp ect eurs devraien1 Pt,.1~

recr u tés daI~s les mêm es cond it ions que les direct eurs cl dirc c -Irices. On décid e d'émellre un vœu en ce sens.

La séance est lev ée à 13 h. 30.

(9)

1 9

-IV.

-III. - HOR AInE llEBDO IADAIRE .

Demand en t que l'hor aire hebd oma dai r e des professeurs d'en -seigne me n tgéné ralsoit lemêmeque pour 1s professeurs de lycée

(16heures) cons idérant qu'il s ont autant de.travail que leu rs co l-lègu es du seconda ire.

Une école spécial e a été créée pour former des cadres d'élita

de l'Enseignement technique. Deux concours.difficil es sanc tio n-nent J'entrée et la sortie.

Cette sélection doit être concré tisée par des traitements su pé -rieurs aux autres catégor ies de professeurs de J'Ens eign emen t.

tecOrhn ique, comm, e J'agrégation dans J'Enseignem ent seconda ire . à J'heure actue lle, nous quinoussom mes spécialeme nt d es-tinés à cet en seigne me nt, sommes mis exac temen t sur le mêm e plan que les licen ciés, les ingéni eurs des Arts el Méti ers (ent r és par la petite por te) et les ou vr iers - instr uc teurs et ma îtresses-ouvrièr es recrutés au hasard. Il est temp s que celle si tua tion paradoxale ces e; pour réparerune injustice dontnou s souffrons . nou s nou s opposo ns [orm ellem ent au nivell emen t par la base.

Ilestéviden t qu'une tell e situa ti on ne sau ra itse prolonger sans nuire gravem ent au re crutemen t des pr ofesseur s el, pa r voie dei

consé que nce dir ecte, à la qualité de J'ense ign emen t donné dans nos écoles. De plus en plus celles -ci son t enva h ies par un per -sonne lnon qualifi é.

Si ce vœu n'est pasaccepté, qui va passer au cadre supé rieur "(

Nous savons tous que les in sp ecti ons. bien trop rares souvent, ne favorisent pa touj ou r s les meHleu r s d'en tr a nou s. Et pui.s-qu'il s'agit d'un pour centage, des cas tr ès ép ine ux peuvent S,3 pr ésenter .On peut auss ifacilement imaginer que dans une école où un pou r centage de trois est adm is, on verra pa sel' au cadre supé r ieur : un gadz'ar t et un ouvr ier instruct eur ou, dans une école de filles,un professe ur ti tu laire des deu x par tiesde

profes-sorat, une licenci ée et une maîtr esse ouvrière.

qu1i1

-s'âgi1'

-d'

ün

-

pôurce~tagè,

des cas très épine ux

pe~

\"e~L"~'3

présente r . On peut aussi facilement imaginer que dan s une école où un pourcentage de tro is est adm is, on verra passer au cadre su pér ieur : un gadz'art et un ouv r ier instructeu r ou, dan une école de filles , un pr ofesseur lilu la iredesdeu x par ties de profes -sor a t, une licen ciée et une maîtr esse ouvr ière.

A quoi alor s

a

uront

servi les conco urs pas

és

par -Ms anciens élilèves dve e e l'E,N. S.E.T. ? Quell es quer ell es intestines en perspec -t quell es intri gu es auss i! Que èle s difficul t és pour les dir ec-teurs et dircotrioessi la règle simp leet just e que nous demandons n'est pas app liquée.

Qu'au r ont à object ernos collègues non titulai r es des deu xpa r-ties du pr ofessor a t ?.Qu'ils pa sent les deux parties du profes-sorat, ils seront alors à égali té avec nou s. Lor squ 'il s sont en trés dan s l'En seign emen t techniqu e le cadre supérieur actue l n'ex is-lant pasil élait normal qu'il s aient le même lraitement,faute de quoi ils ne seraien t jamai s venu. Aujourd'h ui la questi on n'est plus la même et doi t être tranc hée dans le sens que nous indi-quons.

/

- 18

-GROUPE DE BREST

Réunion du 4 avril 1946

.rean-vr erre Hl!IVEL.

1. - DElIfAl\D E DE "BULLIIT IM:l».

IL - YOIm COI\CEfU\ ANT LE PASSAGE DA:-I S LI, CADI\ E SUPf;R IE l ï L Puisque trois cadres de lrail em ent sont créés demandent quo soien trema niées lesdispositi ons prévuespou r le pas age au cadre supé rieur de tell e façon :

Que tous les professeurs titul aire s de la 1'" et 2' par t ies du. professorat soient, dès leur entrée en fonction com me protes-seurs, classés dans le cadre supél'ieur .

Presque tous lespr ofesseu rs intér ess és sor ta nt de l'E. N.S. K T.

ou des seclion s assim ilées, ayant sa créat ion, il est Indisp en sab le A.lID.ÉA.':'

mr,; ·W.ur.... _

d

ra

r a i iui . - l...~-----""'.)'..",

-=;a.I;l~J..dL Il est demandé que soient adressés au ta n t de Bulletins que de

pr orosscurs, soit 10 (5 pou r les jeun es filles, 5 pou r les garçons) .

GROUPE DE BREST

Réunion du 4 avril 1946

Etaien t présents lous les profe sours des Collèges l.er,lm!ques de filles et garçons de Brest (anc iens de l'E, N.S.E.T.) ainsi que Mlle la Direclri ce du Col l ège de jeu nes filles, ancienne tech ni-cienne .

abonda mme n t Ileurie de jonquilles, nous attendait, su r une

table dressé e avec un goût parfait, le menu suivant.

Les hors-d'œu vr e de l'E.N.S. E.'1'.

Le rôti amicaliste

Les pommes sautées des Gobelins Le cresson des l'ives du Cailly

La crèm e «Industrie » La mousse «Commerce » Les petits gâteaux techniques

Le moka des arts ménagers Le café de la place d'Italie Le cidre du groupe normatui

Tout le monde fut d'accord pour féli citer cha leure usement

notre exce llen te camarade Jeanne Cazeneuve, gr an de respon

-sable de cel excellent déj euner. Ce banquet fut su iv i d'un bal organi sé avec le conco u rs des anc iennes élèves du Collège tech -nique, et jusqu'au soir régn èrent, pour la plus grande joie

?

3

tou s, la gaîté, l'entrain et la bonne humeur. Nou s regrettons que nos camarades de s au tres villes de Normandie n'aient pu _ même ceux de Sotteville - rép ondre à notre app e l et nous remer cion s les instigateurs de celle réuni on.

(10)

--,-20 - - 2 1

-pondance; mais que l'on s'en lienne à la solu t ion actue lle en ce qu i concer ne le bureau, et le lieu du Congrès gén éral, chaque gr oupem en t régi onal envoyan t toulef ois un délégué à Paris.

30

"Cne résoluti on est adoptée concern ant la fonda ti on à l'A _ socla tion d'une cai se de solidar i té, qui pou rrait être alimentée par une augmentation de la cotisa tion. Le secours qui ser ai l accor dé, et don t le montant er ait fixé par le bure au ne ferait

pas dou ble emploi avec celu i de la Mutuelle Syndicale, mais rep ré en ter a it un gest.e de l'amicale en faveur de ses membres,

.au ,r...t.JI":'·_.•'·~ _

IV. - L'Inspection de l'E. T.

eii'name.n1I.-..!!:é.n,linnJ.-",.•DU

En ce

Il. - Problèm es pédagogiques 10

Le rôle de l'E.N.S.E. T.- Il est reconn u qu'un e as irni.,

lation en tre les professeurs venan t de l'E . N. S. E. T. et le s

moniteurs formés par le E. N. N. A. est manifest em ent impos., sible.

L'assemblée se monIre hostile à l'idée selon laquell e, seuls,

les profes eurs ancien s élèves de l'E. N.S. E. T. pour raien t êlre

tiLularisés dans l'E. T., les autres prof esseurs rest ant simple

-ment profe sseu rs adjoin ts. .

Afin d'augm enter l~ recru tement .de la selJO on B, Chamb os t pr opose de sup prime r, au conco urs d'entrée, l'épr euve de T ech-nologie et de diminuer le niveau de l' éprèu vs de dessin.

Enfln, side élèves des E. N.P. é pré en len l à l'E . N. S. E. T. il e t proposé qu'une moyenne de 15 au diplom e de sor tie soit exigée.

20

Le Baccal auréa t Technique. Nou nou s réjo u isso ns qu'u n baccal auréatplus accessible à nos élèves ait,été.

pl'.Q

f0'f'J'<..c1{lu h lp

nologi e et de diminuer le niveau de l' ép r euve de dess in.

Enfln, i des élèves des E. N.P. e pr ésenl en t à l'E. N.S. E. T.

il est pr oposé qu'une moyenne de 15 au diplome de sor lie soit exigée.

20

Le Baccal au r éa t Technique. Kou nou s réjo u issons qu'u n baccal aur éa t plus accessible à nos élèves ait été créé avec double

option de physique.

III. - Problèm es administrati fs

10 Il est sou ha ité, sur proposition de Paulin, que les pro tes-sours chargés cie cours à l'E. N.S.E. T.aien t à l'école un emp loi du temp s complet. et soien t assim ilés à des prof esseu r s de l'E n-reigne me u t su pé r ieur ;

20

Ilccrulemen t des direc teurs. Nou s regrettons le recrute -ment sur litr e, mais constatons qu'il en esl ainsi dan s les au tre ordres d'en seign ement. Nou sommes obligés, en "f a i t à une cer~

taine a sim ila tion. '

Il e tvivem ent regrett é que le s post es de dire ct eu r soient tr ou

facilemen t confiés aux ancien s élèves de Ar ts et.Métiers.Il n'c; " nullem en t nécessaire d'êt r e techni cien pour être dir ecteu r . ] 1 suffi t, propose Mollon, que le futur direc teu r ras e un stazo aux ateliers, s'il vient de l'Enseignem en t général. Cl

1..- Assembl ée gén érale

10 A J'unani mit é, il est décid é de l'inutil ité de la con li tution

d'un bureau régional;

20 Le Congrès pro 0 e ue soient modifi és les statut de Lb

-V. - DIRECT ION. - INSPECT IO".

Pri ori té .pour les titul~ires des deux partie du professora t pour les listes dedirecti on et pou r les postes d'insp ect eur (toutes catégo ries).

N. B. - Seu le l'Ami cale peut défend re Jes \'ŒUX ci- dessu et c'est pourquoi nou s passons par son intermédi aire.

Le secrétaire de séance,

BESSELAT.

CONGRES REGIONAL DE LYON .

Le Cong rès régional de sAnciens Blèves de l'E. N.S. E. T. s'est réun i à l'E. N.P. «La Mart in ière» à Lyon, le dimanche 7 avril, sous la présidence de Roch. Le Men est secr étair e de séance.

Etaien t présents :

Pou r l'E .N. .A. :Pau lin .

POUl'l'E. N.P. (ga r çons) :Bétrérna, Bou reau , Bou terin, Chai n -Le Congrès régional des Ancien Blèves de l'E. N. S. E. T. s'est

réun i à l'E. N. P. «La Martinière» à Lyon, le dimanc he 7 avril, sous la présid en ce de Roch.Le Men est secr étaire de séance.

Etaien t pr ésents :

Pou r l'E. N. N.A. : Pau lin .

POUl' l'E. . P. (ga r çons) :Bétr érna,Bou reau ,Bouter-in, C ham-bost Jean , Chambost Mich el, Champeaux, Crollet, Legr and, :\la l-ter re, Le Men, Mollon,Roch, Viviand.

POUl' l'E. N. P. (filles) : Mme Pochan, directrice; Mme B

alsul-lier, Mme Bétr éma, Mme Champe aux, Mlle Chanel, :\oIlle Chet ai l,

Mme Crollet, M'IleLamy, Mme Mallerre, Mlle Vigouroux. POUl' l'Ecole de Métier s : Dornic, dir ect eur.

Pou r l'Ecole de Tissage : Poss.

Pour l'E. N. P. de Saint-Etienne : Vallée. POUl' le C. T. de Rive- de- Gier : Beau , Pou t.iguet.

Poehan, retraité; Gabi on, comptable à Andrézieux (Loire). S'étaient excusés : Laurenson, inspecteu r principa l; Orouuu,

insp ecteur départem ental.

Aprè avoir déplor é que nos camarades de l'ex tér ieur n'ai en t pas pu venir plus nombreux,Roch donne lectu r e d'une circu la ire de Gabori t relativ e ;lUX principales questions à mettre à l'étud e. tion aux baccalauréats tech niquos et au x Arts et Méti ers dan.

les Collèges techn iques et E.N.P.

Pour les sessions de baccalauréat te ch n iq ue, assim ilation des professeurs ti tu la ires des deux parties du professor ataux profe s-seurs de lycée pour qu'il n'y ait pas, dès la création de ce dipl

ù-.mes, un ense ignement supposé su périeu r (celu i du Lycée) et UIL

(11)

- 22

-res te en tendu qu'il'fau Ldes inspecteurs pécialiste pour l 'i matièr es techniques.

A l'issue de la réun ion, un cor dial banquet réunit tous no'

camarades à la Martinière des Filles, où, dans le cadre coque!

du réfectoire récemm ent remi s à neuf, et grâce à l'amabil ité de

la Directrice notre camar ade Mme Pochan, de ses co

llabora-trices de

l'

e~seignement

mén ager et de notre cui inier. nou s

,avons pu nous cr oire... raje un is de cinq ans...

Le secréta ire . ROYAt;. ...: 23

-Proj e t de créa t ion de Collèges techniques;

Projet de créati on d'une Ecole hôtelièr e ;

Créati on à Rabat d'une-école du bâtirnen b en octobre procbai-r.

ouver te au x musulman s et eu ro pée ns; .

Développ em ent des sections techniques du Collège de :\[e1'S -Su l tan et créa tion d'une sectio n de dessin app liqué aux arls

fémin ins .

La'prem ière réuni on du gro upe du Mar oc ayant lieu après Il'

congr èsqui s'est tenu à Pari s pendant les vacan ces de Pâques, il

ne peu t être question de prendre po ilion sur les divers points

de l'ord re du jou r proposé à ce congrès.

Le président de séance fait procéder à l' électi on du bureau,

on télu, :Pr ésidentdu gro upe, M.Guérin; secré ta ire,M'.RO~'8U :

tr ésorier, M. Tronchon .

Notre camar ade Corriol, ancien «Cloutier ", qui assis ta it à 1.1

réun ion,nous indi que, au suj et du cadre supé r ieu r, qu'il ne fau t pas espé re r obtenir le pourcentage de 40% que nous ayons demand é.

Etan tdonnée l'he ure tardive, le présid entlève la séance et nOl1.5 convie à boire le pot traditionnel.

Tous les ca mar ades se félicitent de ce ll e première et cor dia le

pi-ise de cont act et décident qu'elle ser a su ivie par d'aut res

réuni ons.

Le Secr étaire de séan ce. LE :.\fEN .

V ..- Questions diverses

1· Accession au «cadre upérieur». iO % enviro n du pers

on-nel de pr ovin ce va passer dans le «cadre supé.r ieur "., .

Si elle ccns titue une fin,nous dépl or ons cette innovation. ~al­

si elle n'est qu'une tactique yndicale pour obten ir une ~l~IJO­ ral iou des traitements, nou s ne pouvons que nous en féliciter.

2· Il est sou haité (uggestion de Paulin) que les élèves de

l'E. ~. S. E. T. soien t cons idéré comme professeurs dès leu r en trée à l'école et touch ent par conséquen t un traiteme n t

Lyon, le 7 avril 1946, Le Président de séance,

ROCH.

GROUPE REGIONAL DU MAROC

Ja .J.JJ Jca...",J.l\..lll,J J.J.v tJ.I.c:; vu...u ..u.....L ...uv ""..L ~ "' '''"' ... ...~...& ..., ... ....... -- --- --

trices de

l'

e~seignement

mén ager el de not r e cu i inier. nous

avons pu nous cr oir e... rajeun is de cinq ans...

......... ........- - - -- -...... ... -- -...--....-...-...... ... ..... ..-- .f"'-...--- -...-...u ... -...&. . . . ..... pr ise de con tact et décident qu'elle sera su ivie par d'au tre

réun ions.

Le secréta ire. ROYAt;, GROUPE REGIONAL DU MAROC

Monsi eur le Directeur,

AUDIENCE DE M. LE DIRECTEUR DE L'ENSEIGNEMENT

TECHNIQUE

M. le Dire cteur de I'Enseuj ne mc u! tecluii q u c a bien ('011 111

accorder une br èv e audien ce aux repr ésen ta nts de noire A 'sor

ia-tion. Notre camar ade Gaborit, secrétaire gén éral. s'y l'si rendu.

accompagné de Biqucnet , Mw'cy, Morellon, 'Quilliet et CL remis

la lettrerelatan t les 'VO"I~X que nous apions form ulés. Nos camu -rades en trouveront le text e ci- après. l\' OUS ne manquerons pas de les tenir au C01t?'cm1de la Sn/le donnée. '

Par is, le 8 mai 1946. GabrielGaborii, Secrétaire généralde l'Associa

-lion Amicale des Anciens élèves de l'E ..\".<,;.

E.

r.

,

à M. le Dire ct eur de fE nseigll(')// e n l

techni que . Réu nion du 13 mai 1946

La première réun ion du groupe s'est Lenue dans un~ sallerlu

petit lycée de Casablanca, aimableme nt mise à notre disposit1(1']

par,;'lIme Ardouvin. . . . , .

Elnien t présents :i\I. Guerm, chef de er vice de1E~lSeJgnem eJl t

technique au far oc; Mme Tr onch on et Mlle Bocab eille, d~l C

ol-lège dl'Mers-Su ltan, Casablan ca: Mme Hoyau ,du Lycéede jeun

»-fille>; de Casablanca; MM. Arthau d, Bernie, Brochet, ühor me ux,

'

F aUJ'p, Hoyau, Maurage, Paret,Tronchon, de l'Ecole industri

eu-et COInmerciale de Casablanca.

La séance est ouverte à 18 heures sous la présidence du ca

ma-rade Par et oLe groupe se réjou i L,de voir à la tête de l'Enseign e-ment technique au Mar oc un ancien de l'E cole. Un échan ge dl'

vue aJieu au sujeL de I'or gani aLion et du développement dl'

l'Ense ignementtechnique au Maroc :

Recrute ment du permonnel parm i les anciens élèves de l'E.X,

S.E.T.; .

Ori en tation à donn er à l'Ecole indust ri elle de Casabl an ca pouT'

tr-ansformat ion en E.N.P. Or ganisa ti on d'un concours d'ent r é> J'a i l'honne u r de signaler à votre bienveilla n te at tentio n Ip'

(12)

- 24

-A. - Vœux relati fs à .l'E.N.S.E.T.

10 L'Assemblée proteste con tre le refus opposé l'an dernier

an

projet de création d'une 3' année d'étu desà l'E. N.S. E.T et, esti -mant cet te réforme indispensa ble, désir e vivement quece projet, récemm ent repris, abou tisse au plus tôt;

20 Elle sou ha ite la création, dans les Ecoles nationa les pr

ofes-sionnelles etlesCollèges techniques,de nouveaux.cen tres depré

-paration aux diver ses sectionsde l'Ecole etplus particu lièrem ent aux sections «CommerceIl et «Des in industrielIl dont le r

ecru-temen t. éta it ce derniers temps en déficit;

3° L'Assemblée, considéra nt qu' il a fallu faire appe l, cet te année, à un nombr e assez import ant de licenciés, sou haite l' ac-croissement dunombre des candidats admis à l'Ecole et l'accr ois-sement du nombre des élève protes eurs adm is à la deux ième partiedu professora t;

4.0 Le Congrès, rèprenan L un vœu déj à ém is l'an dernier,sou

-halte que les élèves professeurs perçoivent un trai temen t eL non

une bourse. En atte n da n t celte réforme, l'Assemblée sou ha ite

(lue les institu teurs entra nt à l'E.N.S.E.T. conserven t le béné -fice de leu r lraüement eL les avan tages qui y sont attachés. Elle fait observer que ce régim e est actuellement app liqué dans le ' E.N.N.A.;

50 Adoptant la motion présent ée par un jeune camar ade do l'Ecole, le congr ès sou h aite que les élèves profes eurs pu issent con tinuer à utilise r les locaux où sc trouve actuellemenL leur «foyerIl.

.~R()VJ:~CDn)Dlé,L.er celLe.jlér ie de vœux conce r n an].l'E, J.S. E.T.,

E.X.N.A.;

50 Adoptant la moti on prés ntée par un jeune camar ade do l'Ecole, le congrès sou ha ite que les élèv e s professeurs pui sent con ti nue r à util iser les locaux où se trouve actuellement leur «foyerIl.

Pour complé ter cet te sér ie de vœux conce r na n t l'E , N. .E. T., je croi devoir vous rapp eler que l'Amicale demande depui s fort longtemp s déj à l'installalion de l'Ecole dan les locaux n ou-veaux et adap tés à se besoin s.Si le transfert de l'Ecole ne peu t s'accomplir , I'accr oissemen l des elIec tifs va rendre nécessaire l'am éna gementdes locaux actuellemen t utilisés.L'Amicale serai l heu r eu se de voir adopt er rapidem ent les solutions convenabl es, Je cro is utile auss i de vous rapp eler le sou ha it déj à exprimé l'an dernier de voir l'E , N.S. E.T. assure r la préparati on p éda-gogique du per sonnel des atelier s. Ces cen tres d'apprenti ssage peu ven t, grâce aux E.N.N.A., a, sure r Je recrutem ent de lem' per sonn el d'atelier ; les Collèges techn iques son t, à l'heu re actuelle, au point de vue du re crutem ent du personnel d'al elier, dans une iLuaLion Inqu iétante. En allendan t que la prépar ati on pédagogique des professeurs techni qu es et professeurs teclmi .. ques adjo in ts soit organisée à l'RN. S.E.'I', un projetdéj à établi J'an derni er , et qui vient d'être repri s, prévoit l'organisa tion d'u n stage pédagog ique à I'EN.S.E.T.pour les ingéni eursd'Arts ct Métier s nomm és profes eurs. L'Amicale souh aite vivem ent , pour octobre procha in, la mise en vigu eur de ces disp osilion s. Je me permets enfin de sou ligner la ituati on fait e aux anciens ,<.X. .E. T ui n'ont u obten ir le rof'essor at Ines

- 25

-deme ure nt pr ofe sseurs adjo in ts pendant tout e leu r carrière. Xe serait - il pas équ ita ble , au moment où de nombreux licen ciés

so

nt

délégu és «professeurs», de pr évoir que le profe

eurs

adjoi n ts,anciens élève de l'E.N.S. E.T.pourra ient être nommés

profe:seur apr ès dix ou quinze ans d'ancienneté et un ou plu-.sie ur rap po r ts d'in pection favor ables ?

B. - Vœu x relat ifs au.x examens de l'Enseignement techniqu e.

10 L'~ s emblée désire que le baccalau réat technique pu isse

-être rap ideme n t mis en vigueur;

2° Elle souhaite que l'applica tion des nouv elles disp osi ti on s con ceJ~nant le B.1. soit ajourn ée à l'année prochain e, que les

mo?alJtés du b.revet comme rc ial 'oien t revi ées, el. qu'en p arti-euhe r une seSSlO n soiLprévu e en ocLobrepourcc dernier brevet;

AC11 VlTES E'l~ ESPOUIS

-

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r-:.:rl /JJ:J\ ~~ ~.

U {

,:,)

(13)

26 - - 2 7

-E.- l'œux diuer .

('t' bullet in. nul re si tu u t ion o

ACTIVITES ET ESPOIRS

ACTIVITES ET ESPOIRS

·_··'-JIIII:J '\'::~:~~

L'A semblée désire

a) Que le maximum de service hebd omad aire des profe seur" des Collèges techniques soit identique à. celu i des profes eur du 2" degr é;

.b) que pour !'a~cessi on .au cadre su périeur une large plac sortfarte, parpri or-it éaux titula ires du pr ofessor a t ;

c) Que les pr ofesseur d'Ense igne ment technique tit u la i res d'une agréga tio n bénéficien t, tant au poin t de vue du'tr a itement qu'au point de vue du maximum des-heures de service d'une sit uat ion idenlique à celle des agrégés de l'Enseign emen t ' seco n-daire ;

d) Que dan s les Ecole nati onales d'Ar ts et Métiers, l'ensei -gnemen t. général, actuelleme n t assuré au moyen de con fé rences

l'asse ' , . .

jHtr:LJ, û 1; j ~.. 0...:

4.v 'Le Congr ès, reprenant un vœu déjà émis l'an derni er, 1'0\1

-haite que Jas ~1V8$ professeursperçoi ven t un traltemeut

et

non une bourse ,nfi: n nttüu l an] celte réf'or-me, l'Assembl ée ouhaile

'

lue

les in:;ljut

-

urs

en ralléa I'E,N,

S.

.

B:,

'1'-

conservent

I

f'

bén é-fi0(; de I<)U1'

L

l'âitÈlll1ent

ct. los'ava utages qui

y

sont attachés, Elte

fait. observ er que ce régune est a('lndlt~ment. appltqué dan" le~

E,N.NA;

fi" Adoptant. la motion yrésentée pur un jeune cam arade (j'1

l'E cole . ]0 congrès sou haiie quo les él èves profe sseur- puissen t

r-outinuor FI. utillscr les loca ux ou se trouve act u ellement, leur

l.!foyer ".

_

.

ROUI' _com

nléte r

ce!le J!é

t'ie de vœu x concernant 1'J<;.K 8. E. 'l'. R :'\. N.A. ;

fi" Adoptant la motion yr('sentée 1J3.1'un jeune camarade ,k

l'Ecole, le congrès sou hafie quo les él èves prof e sseur",puissen t

r-outinucr ft ul iliser les locaux ou e Ir01..1Ye actuel lement leur

HIcver~'.

POUl' compléter cette sér-ie de vœu x concernant I'E .i'Ï.8.E.1'., jr: l'l'O IS devoir YOUS rappeler quo l'Amicale demande depui"

tort longte mps déjà l' in sru lla lion de l'Ecole dan s les locaux 1I0 U -veaux et ada ptés à ses bpSUÜ1S. Si le tr an s îert de l'Ecole ne prut s'accornpllr. l'acor otssem en t de~ p.JJec ltf" \{:1. rendre nécessture

l'am én agem ent des locaux actuellcmc ut ulitis és.L'Am ica le serait

heu r eu se de voir adopter rapidement les solulions convenables. Je crois utile aussi de YOU"; ruppeler le sou hait,déjà exp iimé

l'an dernier de voir 1'.80N. 8.R 'l', us surcr la pr épa ntLiru péda-gugicl' rû du pers onn el des <d*~lj cl'''; , Ces centres d'app r ent is sage

peu\'c u L

gnî.cè

aux E.N.N.J..,

ass

ur er

Je recru tement de leu r

personne l d'al tl\i el'; tes Gullèges techni ques son t, il l' heu re

actue lle, 'Hl point de VU(1 du recrutement du personnel d'a teli e r, dans une siLual.ion inquiétan te, En alil'wJanl qu e la petillal'ation.

p "dagogi.que des pJ'lJfe~tieul'" 1ccllniques el, proresseurs 1edmi..

ques artjnints soit o~";Dni8('e t~ !',K i ' .S,R 'l'.,un pr ojetcl jà étn.hlJ

l'nu derni-J' . d qui viont d'être repris, pr évoi t I'orguuisation

(l'un stage pédagogique 1t],-EX.;:i.E.T. pour les ingénieurs d'..\1'i s

(':'

J1'.~t it:Jr>.

nomm

és

professeurs.

L'Amica le souhaite vivement,

pour octobre prochaiu, la mise en vigueur de.(,'3S dispos .t iou-.

Je me permets enün de.. oul igner la

si

ruaüou

faitn aux aucien-,

_ _~_-",'l",""",\' e,

ct

'KN,R,E. T, 1Di n'ont pu obLf'nit' le Pl'ofé's,-:oral Iors

(14)

~-_....:.._--- 28 - - 2 9

-NECROLOGIE

VISITES ORGANISEES PAR L'ECOLE

VISITES ORGANISEES PAR L'ECOLE

f i

MARIAGES

Pécri er : Central e (Ar ts et Métiers Pari s), 2' B.

vou s prion s sa runu ue, ::;1 uuretueru. lHlpl'ce, ue rruu ver lU J'exp r ession de notre symp a th ie.

.Jonol (I" B), s'es t marié en mars 1946.

Legrand (LI.. 45-47), a épo usé Mlle Bechade en avri l 1946.

Tou s nos vœux aux jeunes épo u x.

NAISSANCES

Pierre, fils de Mour ey (2' Cl. né le 17 avr il 1946.

Telly, deuxième fille d'Ant oine (1" A), née le 30 avr il 1946. Annette , fille de Crumey r oll es (2"A), née le 9 mai 1946.

Féli citation aux heureu x parents.

Nous appren on s le décès de M. Labruni e, professeur agrege

<le mathématiques au Lycée Jânson , che va lier de la Légi on

d'honneur, cr oix de guerre. M. Labrunie était prore seu r cl'

mathématiques à l'E. N. S.E.T. depuis J943 (Sec tion des Arts Ménagers ); ses deuxfils,'Philippe el Claude, âgés de 21et 19 au",

avaient été fus illés par les Allemand s, à la Ferté-Saint-Aub in,

le

.10

juin 1944.

Nous prion s sa famille, si durem ent frappée, de trouver ici

J'exp r essi on de notre sympa th ie.

Févi er: Centrale (Ar ts el.MéLi ers Paris), 2' B.

Mars : Usine des eau x (Sa in t- Mau r), 1" A el 2" Sc. A. ~\f. -Electro- comptabl e,rue Saint-Hon oré, 1" et2"Comm.- Carbon e-Lorraine, à Gennevilli ers ; 1" et 2"Comm.

Mai: ChauIIerie (Ar ts et Métier s), 2' B. - Usine Ren ault. ~l

Billancourt, 1" et 2' Comm . - Coll ège technique Vauban, il

Cou r be vo ie, 1'~et 2' B. - Usines Che na r d et Wal ck er , 1" et 2"B. gne me n ts donnés à rE.::'\. . E. T. Il 'néta it nullem en t questi on

d'organi el' des caba les con tre des pro fes eu rs, mais plus sér ie u -seme n t de. voir comme n t notre for m ati on pourrait être plu' nettem en t orie n tée ver le mond e do la technique et du trav ail afin d'être mieux prépa rés à notre lâch e future. ~ous aVOIl'· présent é le résultat de nos discu ssions sous forme de sugges tions à M. Renaude au, notre directeur, en qui nous som mes tou j ours sû r s de trouver compréhe ns ion et appui et auquel il nous plait d'exprimer ici toute notre reconnai ssance.

Nous n'av on s pas limité notre acti on syn dicale au str ic t

domaine de l'E .N.S.E.T.; nou nou s sommes efforcé d'élargi r nos rapport avec les autr es organ isa tio ns syndica les . Ainsi nou s pr en on s part au x tr avaux de la Commi ssi on des Jeunes de la Féd ér ati on de l'Educa ti on nation ale, région pari si enne, où nou s

retr ouvons le s norm ali en , le jeunes institut eurs el les jeunes

professeurs pour coordon ne r nos effor ts . Nou s avons pris con -1act égal em entavec le s syn d ica ts ouvrie rs el nousavon s parti cipé au x travaux du Congrès de l'Union départementale. C'est

e

n

nous intégrant ainsiplus prof ond ém ent dan s le mouvem en t s yn-dical que nous le compren on s mieux.

Tous le s élèves de l' école se son t attachés à facil iter notre tâche. C'esl grâce au conco u rs de tou s que nous pouvon s. à la foi s, maintenir le s réali ation s de nos préd écesseurs et nou. lancer dan s de nouvell es en trepr ises.

Xou s pren on s tOUj OUl'Sune part très acti ve au x manifestation.' inter-E.:\1.S. : le bal donn é le 16mar s à la rue d' l'lm ,le tournoi d'éch ecs,de brid ge et de ping-ponget lechallenge sport iforga n isé par la Directi on de l'Education physique. Quant aux résult at s de

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lan cer dans de nouvell es en trepr ises.

Nou s prenons tOUjOUl'Sune part très active aux manifestation .' inter-E.N. S. :le bal donné le 16 mars à la rue d'Ulm , le tournoi d'échecs,de bridge et deping-pongetle challenge sportif organisé par la Directi on de I'Education physique. Quant aux résult at s de ces compé tit ions, dison s seuleme n t que les dieux ne furen t pas. touj ours fav orabl es à nos valeureuses équ ipes.

Pour fêt er dign em ent cette an née scola ire et pour en cél ébrer-les principaux événemen ts , nou s avion s projeté d'organ ise r un e-fête où sera it donnée une revu e; ungro u pe denos camarades les plus sp iri tue ls (qu i compre na it même des «scien tifiquesIl) .·e

mil à l'ou vr age et en peu de temps le monument fui ache vé.

ltest ait la réalisation. Tout alla bien , si ce n'est qu'il nou s fut. impossibl e de tr ou ver une salle. Après quinze jour ' de vaines.

recherch es, nou s avons dû abandonner notre proj et. Comme la.

gue r r e de Troie, la fêle de Tech ' n'aura pas lieu. Et tels ces. chef s-d'œuvres oubliés au fond d'un tiroir , la revu e de l'E.~.

S.E.T. risque de-ne jamai s voir le jour.

Les pré ccupa lion s .on t tout au tres, en ce mois de mai à l'écol e. On parle beaucoup de conco u rs et de vacan ces. Pendant que le s uns voient les jours s'envole r avec une rapidité effraya n te el la date fatidique se rapproch er inévit abl em en t, l es-au tres sont dévorés d'impatien ce et pen sent aux (l lendem ain.

qui ch anten t», un stage de quinze jours près de Montpelli er est offert par la Directi on de s Sports à trente garçon s et trente filles de l'école; d'autre part, la Commission des loisirs de la

Figure

tabl e dre ssé e avec un goût parf ait, le menu suivant .
figu rer à côté de collègues émine nts, l'occasi on d'affirmer p ar

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