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Faculté de philo ; novembre 1965

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FACULTE DE PHILO: Bulletin de la semaine du

8

Novembre.

AVIS AUX Ili!T-!;R.I:3S·~S (Auditeurs assidus de '1Chez Mi ville11 )

Tous les étudiants désireux d' assister

à

l 'enregistrement

de

1

1 émission 11chez Miville11 snt priés

de donner leur nom au président de leur cl asse. L' enregi stre.:ien t aura lieu le

26

nov.

1

1

.

JO

hre. Il est

à

noter que nous ne pouvons accepter qu 'un nombre l imité d12.tudioots, soit environ

25

.

Les 11mordusn devrai ent donc se hâter et s1inscrlre le plus tôt possibl e.·

Ronald Ri cher, B .PH .I

C~mité des affaires sociales.

Enfin, le jour vient 01) nous aurons

à

notre disposition

l e moyen de nous faire entendre: nous pourrms parler, puisque cel a nous inco.11be, comme nous devo"îs le faire . Une revue de phil0-soohie va sortir de nos mains co·ninunes .

Mon intention n 'est pas de vous faire l 'histoire de nos prétentions

à

un tel droit; nous sentons tous plus ou moins les raisons -iui nous motivent et nous poussent

à

poser ce geste . C' est maintenant u__ri fait acquis, nous avons 11notre11 revue. '~u1 al

­

lons-nous en falre?

Je vous dirai d'abord que 1 1 étape importante de l a créa

-tion d'une revue, c'est la formation d'une équipe responsable: je n 'ai eu aucune difficulté

à

denicher quelqu'un pour assurer la mi se en page (André Boullane, B.Ph.I), pas plus de difficulté

pour le poste de rédacteur en chef -(Marie- José Daoust, B .Ph.II);

et c'est

à

peine si j'ai eu

à

cnercher pour découvrir qu'un troi

-sième compère ebait prêt

à

se porter garant du comite de lecture

Jean-Paul Brodeur, B.Ph.II) . Il reste un poste

à

combler, d'une très grande importance: il concerne la distribution de la revue dans notre nilieu universitaire et

à

l 1ext;.;rieur. J' ambitionne ,

11ailleurs, de découvrir un

responsable avant l ongtemps (tout

aépend de vous,

à

la limite) . ·

Une fois l ' équipe formée , nous projetons une date pour la

publ ication du premier num·:iro: nous voulons que l a revue soit lancée officiellement en décembre. Il importe d 1 autant pl us que

chacu..'î effectue des f ouil 1 es dans ses no'.l1hreuse s 11paperas ses 11 pour qu' il nous prooose au plus tôt un ou plusieurs textes pour

ce premier num0ro. Il faudrait que toute la redaction soit défi -nitive des le 2--,S-nove~bre: cessons de lambinert

Reconnaissons tous que la revue nous apoartient et fai•

sons-en notre affaire. Si vraiment il y a "des philosophes sur le ca·npus11

, qu'ils fassent jour sur leurs entreprises et '--lu'ils les

(2)

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vos textes pour le premier numéro: la revue ne co~ptant que 24

pages (format

6;

1x911 ) ,

il est fort possible que tous ne soient

pas publiés dès le début. Nous nous efforcerons pour répondre

aux exigences du Pli lieu philosophique, dans la mesure où ses

be-soins se feront sentir. Nous vous montrons notre intérêt, prouvez...

nous le vôtre en r·épondant en grand nombre

à

1 1 appel que nous

lançons.

Robert Nadeau,

Directeur de la revue.

N.B. Les textes proposés pourront être re~is

à

la rédactrice en

chef au local S200 ou au directeur lui-même au même endroit,

aux heures de cours (tous le matin) .

ACTUALI TS D>~S PROBL FCM ~S PLA TONI CI ':;:;N S

"La dégénérescence des formes poli tiques

a été le premier comme elle sera le

dernier sujet de la méditation

plato-n i c i eplato-nplato-n e " ( 1 )

Aux 11

événements intolérablesn qui motivèrent Platon

à

:JOrter une ''extrême attention11 (Lettre

VII, J24d) aux affaires

y,:iubliques, nous pouvons accoler certaines dominantes de la vie pc

-litique canadienne en cette oériode électorale. 1

rhucydide

quo-tidien, Le Devoir pullule de scandales, de d0missions, de

polémi-'!.ues, de révélations, de procès en instsnce, de manifestes et de

lancements de pamphlets. cordonnier mal chaussé, le Ministère de

la Justice est contam:J.né; des candidats attendent les jugements

de leurs procès; les dès sont pipés, les conventions sont

souf-fl ées.

Les maximes des 8ssembl8es él ectorales sont ''celles dont

l a multitude fait profession les jours où elle se masse et fait

bloc11

• (Rép .439a) i:!:t cominent se masse-t-elle? "A mesure que les

manifestants s'eornilaieri.t, l i t téralement, au bas de l'escalier,

ils se regroupaient, essouffles, en beJle colère, les cheveux en

cha:naille, criant

à

l'l.misson ••. n(2) S'ajoutent les chefs de

cla11ue~'1Ceux-ci

éta1ent une quara..YJ.ta~ne Deut-être, gueul ards au

possible, mais ils ne narvinrent pas

à

entBrrer l3s orateurs. Un

chahut classique •.. il Au-dessus, dans 1 1 organisation; le

fier-à-bras: ;'Ses coups de noings portaient. Il se·11bl8it prendr0 un

grand plaisir

à

frar;per le plus fort possible. Blond, cheveux

courts, le visage reolet, yeux froids, ne manifestant aucune

émotion, i l était de toutes les bagarres.11 ~t le cadre de

la mo

-saique :;1Dès avant sept

heures, de nombreux agents circulaient

dans le vaste terrain avoisinant 1 1 immeuble et guettaient toutes

(1) L. Brunschivg, L'actualité des oroblèmes platoniciens, conf.

du Centre universitaire m3diterranèen ae Nice,

Herman, 1937

(4)

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les issues~( •.• ) Plus de 50 policiers de la ville, et

60

agents

de sécurité Ph:Ulips, en un.iforme-•.• Plusieurs autres at:Sents

étaient en civil, tandis que 2S autres, postés

à

l'école de la

poli ce, étaient prêts

à

in ter venir

à

1 a moindre alerte. Un panier

à

salade attend8it dans l'ombre· ••. " C'est LA G.R.A.'-JDT-<; BET~ qui se

meut comme la par&~ècie ciliée dans l'inconscient des gestes et

des paroles; c'est l'enfant sur lequel l'orateur ;:iol i t ique du

Gorgias (')02a) se penche. ;'Exactement comme si., faisant l'él~vage

d' un animal de grande taille et vigoureux, on s'instruisait

à

fond de 8e s :rioeurs et de ses penci:lan ts; de 1U el côté on doit s 1 a~

pr ocher de lu1 et en 1uel endroit en doit le toucher;( ..• ) quel s

sons i l fait entendre habituellement, en relation chaque fois

avec une circonstan.ce d1::terminée, et quels sont ceux, invarsement,

qui dans une autre bouche l 1aJJaisent ou le mettent en fureur •.• ;'

(Rép ·4-9Jab) -. La srande bête d(;cide en fin de compte; elle sait

1u1 on laflatte, 1u' on lui en conte; on sait aussi, 11'1.ue co11me

pour commencer, ce sont des contes que nous disons aux petits

enfar1ts"(Rép .. J77a), qu' on do5..t la flatter, lui faire des promes

-ses.

Platon a da ronger son frein à la vue des attroupe:rients

autour des Sophistes de l ' époque; on peut le voir ajuster sa toge

et partir en disant :11 • • • nous sommes, nous aucres hunaL1s,

une

e s0èc e apnr J voi sée d 1 animal, et il existe, sel on moi, une chas se

aux hommes '1

• (Sophiste, 222c) Hèal Pell etier rigole un peu des

techniques de chasse: 1

' ::<;t iuand on en tr·ai t en groupe, on se faisait

annoncer p8r quel q;r es clochettes de bazar, plutôt que ,)ar un

'Tiagnifique écoss25s jouant de la cornemuse ..• : ou plutôt --1_Ue par

un. corps de 20 clajrons et 12 majorettes .•. 11

B:Len cotés aussi les harangues, les finesses, l es jon.gle

-ries verbales, l'anod]n monté en é~ingle, les intsrprètations,

les attaques{ les réponses du suppose tac au tac, les ultimatums

de Victoria a Sydney, du Centre Paul Sauv~

à

l 'arena Maurice

-Richard. Platon, qu'avais-tu prévu pour nous:" •.• Ces finesses-là,

i l convient plutôt

à

un so~histe de s1y adonner, :nais non pas

à

un ho:m.r1e que 1 1 H~tat juge digne d 1 être

à

sa t2te 11 (Lacl1è s, l 97e).

<luant

à

la charge pe"suasive concentrée dans la r éponse à l 1ul ti

-ms.tum, elle ca,)italise

A

chaque 1'.llOt. Platon, en se grattant la

rosette, s 1 était de-nandé: .ine faut-il pas alors --:1.ue nous 1 1 ins

-truisio.1.s au l ieu de l'insulter?·' (Lachès, l C))a) Peut-être Diogène

Laerce dit-il quelque nart 1ue Pl aton aurait ensui ce Laisser

to:nber:"Ouais,; . Toujours est-il que l:J flrotagoras demande si c'est

mê:ne chose de 11 se réunir entre soi

o our s 1 entretenir" et 11 p arl er

comme un orateur devant 11 J\ssen1blée du Peuole11

• (336b)

Si l es i'événements intolérablesir et l a Grande B'."'._._; sont

actuels la hantise de l 'idéal l ' est tout autant. Claude Ryan a

ce ton,'ces termes, cet esnoir malgré-tout de Platon: '1L1électeur,

dans sa SAGESSE, SAURA DL)C ~hN .~R ces no:ns (de candidats valables)

et leur ACCORDER l a 118C0Nl\TAISSJ'N CE ... 11 On va même jusqu' a parl er

d 'un PA.KL'ï_;l\HNT IDEAL :"Parmi l es 1,011 candidats qui brigueront l es suffrages

à

l ' el ection du

8

novembre, il s 'en tr ouve naturel

-lement( l ) un gr and nombre quiont beaucoup de valeur •.• S'ils_ .

étaient tous èlus, ils formeraient l 18MBRYOF d'un parlei~er;t ideaL

Hélas, plusieurs seront la:issés pour comote . . . Les qualites de

(6)

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politique, humilité, nouvelle vague, formation universitaire . . .

11L'Age d'or véritable11 (Lettre Vll, J24d) est pour

demain ou tro~ loin dans le passé; demain s ' il est

l'aboutisse-ment final des erreurs et expériences; hier, comme le père que

nous ne connaissons Das nour n'avoir que le fils ou le rejeton.

La dégénérescence dégénérerait f aute d'un fondement de la forme

poli tique non fondalble comme le père irrétrouvable. N'Y a-t-il

pas lieu d'associer un aristocratiPme social

à

une theorie des

for~es suoérieures •.•

?

~t si la 0ensée est dialecti~ue, POL~MI­

-'iU~~ (re: sophistique, campagne électorale, Quartier-Latin),

si le consentement ne tombe sur aucune proposition universelle

logi~ue ou affective ou logique affective, l'actualité des

problèmes Dlatoniciens ne crie-t-elle pRs l'inactualité des

voies platoniciennes? Prochain pa~ier.

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CHRISTIANISME ET COMMUNISME{ II

2- LtEGLISE, LA

RELIGION;

ET

LTHISTOIRE.

On rencontre

quelquefois

des

gens

qui, désireux de

sauvegar-der la foi religieuse contre ses

ennemis

réels ou imaginaires, font

_

plus de tort que de bien

à

l'avance~ent

de la religion •

.

Prennant

~el­

le.-ci p•ur une

entité

intemporelle, ils la fixent dans des inst

.

i

tu-tions et des règlements quTils sTefforceront de conserver immuables •

.

Ceci

a

..

en

effet

donné toute sa force

à 1

TEglise catholique dura

'

nt le

"Moyen-Age". Porteuse de la civilisation et aussi d'une rêvélation

qu'aucun homme n'aurait pu inventer,

elle

marque un bris avec les

conceptions

pa~ennes

sur l'homme et l'axistence, Sans la religion

chrétienne, on ne peut qu'imaginer le sort de lThumanité après les

invas

i

ons des barbares, qui auraient sûrement fait recùler le progrès

de la civilisation. Il était nécessaire d

tructeur8et

e

s'opposer

au

courant

des-en

ceci le rôle dTavant-garde qe l'Eglise naissante

triom-pha.

Le calme se

rétabli~sant,

durant ce quron appelle injustement

le

·

"Moyen-Age" (ce terme apparaissant

pour

la

prémière

fois vers 1450),

l '

·

Eglise s'organise hiérarchiquement, éduque les peuples, étend

par-tout où

elle

peut son influence en pénétrant dans lTactivité sociale

des hommes,

enfin elle

se donne une langue pour exprimer sa pensée,

le scolasticisme. La religion chrétienne

est

devenue 1 TEglise établié

·

.

C'était l'époque où les chefs dTEtats respectaient lTautorité du

'

Pa-pe,

ou du moins

acèeptaiBnt

les conséquences de leur insoumission.

L'Eglise symbolisait la

préSEice

de Dieu sur la terre

et

la religion

à

laquelle tous ap

ry

artenaient intégrait lTindividu

à

la société, de

sorte que si le représentant de Dieu déclarait tel roi ou

empereur

indigne,

alors

la

société

dans

son ensemble

refusait de lui obéir.

.

La fin du

"I

v

loyen-Age

11

est marquée

par un sentimant d

r

indé

·

-pendance

à

lTégard de toute

autorité;

les causes de ce fait sont

trop nombreuses

et

ne peuvent

etrB

traitées dans ce bref

essai.

On

appelle

"Renaissanceî'

la pérd.iode des

entreprises

individuelles dans

toutes les sphères d'activité:

en

philosophie on cherche alors

à

trouver un critère subjectif de la certitude, puisqu'on s'était

mis

à

douter de la capacité de l'intelligence finie

à

atteindre Dieu.

Entretemps, l'Eglise tâcha de s'accaparer des fruits du nouvel

es-prit: on introduisit le faste dans la liturgie,

on envoya

des

missi-onnaires avec les

explorateurs,

on realisa la séparation de la

philo-sophie

et

de la théologie

et

la religion devint un des éléments

di-vins dans l'homme, car lThomrne

peut aussi

sTélever

à

Dieu par la vie

civile

(~ox

populi,

vox Dei"), ou par lTétude

de

la nature,

etc.,

Il

est

intéressant de noter

que

Thomasso Campanella

(1568-1639)

qui fait

partie

de la Contre-Réforme catholique,

affirma,

avant

Descart~s,

que

la connaissance des choses divines ne s'obtenait ni par le syllogisme

ni

par

l'Autorité,

mais par

la

certitude de

la consciente présente

à

elle-même. Mais

un

autre signe

des temps fut la condamnation des

11

er-reurs11

de Galilée. L'Eglise faisait des concessions

à

l

1

Histoire, mais

elle

était trop conservatrice pour

être

conséquente

avec elle-même.

Certes,

ce n'est pas la religion qu'il faut blâmer,

mais

l'Eglis~

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craigant de se polluer, refuse de suivre la marche inéluctable de

l'histoire.

Les faiblesses de

l'Eglise

comm

encent

à

se faire

sentir.

Si

le

dogme est brillamment

formulé

au Concile de Trente

(1545-1567),

l'organisation

int

erne de l

1

Eglisedeneure sensiblement

la

même qu'au

nMoyen-Age", et son emprise

sur la vie

sociale et

intellectuelle

des

pays

d'Europe entravera desormais

le

progrès de celle-ci. Dans

la ·

crainte de perdre de

som influence

auprès de

l'aristocratie régnante

et dans celle de voir

réapparaître une

nouvelle

11

Réforme Protestante,

L'Eglise devient intolérante

et elle acquiert une

valeur

politique

dont la

doté

le

Concile de

Trente.

C'est en partie

à

cause de

cette

domination

que

le

mouvement de la

libre-pensée

a secoué

la France

au

XVIIIe

siècle. La

misère morale et économique que

la

monarchie

abso-lue

avait apportée

à

la

France ne disposait

pas favorablement le

peu-ple accablé;

ne sachant pas

qui ou quoi blâmèr,

les

philosophes ont

tour-à

tour attaqué ce qui

leur

semblait

le

plus

vulnérable

et

ils

rê-vèrent

à

toutes sortes d'utopies pour l'avenir.

Une

chose

cependant

était

cert~ine:

on

trouvait

que

l'Eglise retardait le

développement

de

la nation, de

l'humanité

même, par sa haine de

tout ce

qui est

nouveau. On

tâcha

alors de montrer comment

~a

religion est

étrangè-re

à

l'homme

rationnel, et que l'âge des

Lumières doit prouver

qu'a-vec

la science on

peut

répondre

~

toutes les

questions

.

Le fait

est

que

le

régime

féodal,

avec ses multiples

restrictions

à

la liberté

individuelle, son injustice

inevitable

puisque basé sur

une somme

de privilèges

partagés

entre quelques

familles

seulemen

t,

était

de

-venu

identifié

à

l'Eglise,

qui ne faisait pas grand'chose

pour s'en

dégager,

Même dans

le

clergé, certains

prêtres issus

de

familles

no-bles se voyaient

décerner les hauts

postes,

tandis

que

la

majorité

du

cler~é

subissait le

sort

des humbles.

Ce

contexte nous

aide ma

in-tenant

a

comprendre le

célèbre "ec

l'inf"

de Voltaire

.

Le cvi de

ba-taille ne

visait

pas

la

religion proprement dite, mais seulement

les

cadres

surannés

de l'Eglise,

Mais

il

est évi4ent

que dans le

cl

i

mat

préré~olutionnaire,

la

confusion des

esp~its ·identifiait

Eglise

et

religion, comme

elle a identifié

régime féodal

et Eglise,

La

Révolu

-tion Erançaise a ouvert

les portes

à

la démocratie: ce

f~t

une

perte considérable pour l'Eglise,

qui conservait

une

mentaJité et

des

structures féodales

dans un monde qui

changeait

ses cadres

plùs-subitement qu'Elle.

Mais c'est

aussi

ia

chance pour Elle de

renaî-tre

et d'avancer

plus sfirement

que

la société

qu

1

Elle a quittée

.

L'époque

dans

laquelle

nous

vivons verra

probablement

la

tran-sition

à

ce nouvel

âge,

caractérisé par la

participation

laique de

plus

en

plus

grande aux affaires

de l'Eglise

en

ce qui concerne la

dif-fusion de la

~ensée

de l'Eglise

sur

les problèmes

concrets auxquels

doivent

faire

face l'individu, la societé, les

états, Afin

de

préci-ser ce point,

il serait bon de

commencer par

s'interroger sur ce qu'est

la

religion

.

Beaucoup

l'acceptent,

beaucoup

la

nient, beaucoup sont

indifférents.

Maip

je ne

sa

is

pas

si

ceux qui la nient

ou

sont

indif-férents, ne sont pas un

peu malhonnêtes.

On

ne tranche

pas la

questi-on en

l'acceptant

aveuglément

non

plus,

La religion

dépasse

toute

-finiti0m

que

l'on

peut en donner, et c'est pourquoi

je

me contentera

i

de dire

que

la religion

c'est

la

profondeur de

l'âme humaine, un

ab

-solu que

l'on trouve

en

nous

et qui

nous

invite

à

depasser

notre

(12)

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(13)

.,

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D

humaine.

Notre condition est de naître

r

e

ligieux. On n'a pas besoin

d'enseigner la religi9n: si

elle est au programme des écoles, c'est

afin de

donner un

cadre normatif

aux

jeunes

esprits. afin qu

1

ils

ne

se

sur~rennent

pas du

désordre

qui

les

entoure, lorsqu'ils se

met-tront

a

réfléchir. Le véritable

élan

religieux

qui

vient du fond de

l

1

âme,

et

qui demeure toujours sans réponse,

se

trouve

partiellemnt

reproduit

par

les réponses securisantes

que

la religion

institutiona-lisée donne

à

1

1

inquiétude

perpétuelle de

l'homme.

Je ne cher

\

ae

~as

la religion là

se trouvent des temples,

comme le ferait un archéologue,

mais dans

la conscience humaine

insa-tisfaite de son sort

et

qui

essaie de

la changer. La religion, c'est

ce qui

~ousse

les hommes

à

vivre ensemble,

à

se

sacri~ier

sans

récom-penses, c'est le contentement

que procure

une vie

morale,

c'est la

conscience de notre finitude face

à

l

1

absurde d'un

monde

qui ne veut

pas de nous. Selon

moi,

la vraie religion

est

autant nécessaire

au-jourd'hui qu'elle l'était aux siècles des invasions barbares.

Et

les

nouveaux barbares, ce sont les techniciens de la

science,

irréligieu-se

et

inhumaine, qui réussissent

à

faire oublier

à

la société

que

le

problème, c'est l'homme

et

SGS

inquiétudes

fondamentales. La

soluti-on

adoptée

par le XXe

siècle, est

le refus de la r8ligion qui "

po-se

des

problèmes sans les résoudre'';

d'où

l'engouement pour la

scic~­

ce

matérialiste. On

a remplcé la

vertu d'espérance

pour une vie

meil-leure, par l'espoir

de

remplacer l

1

homme

par

la

:...; ·~·J\i:1e.

Je ne

dis

pas que l'Eglise

et

la religion qu'elle perp8tue

est

prête

à

affron-ter

sa

mission: j'ai déjà

mentionné

les

problèmes

d

1

ordre

hiérarchi-que

qui

démeurent

à

résoudre.

Quant aux problèmes

du

dogme

religieux,

il

me paraît essentiel

d'envisager le

monde actuel et

ses

transforma-tions,

tel

qu'il se

présente,

si l'Eglise veut aboir une influence

réelle sur lui. Il lui incombe donc

de

reformuler les verités de la

foi dans un nouveau langage

et

de les adapter

aux

besoins

de

la

soci-été

iinustrielle.

Sinon la cupidité

de~

hoffilî1es refusera totalement

d'entendre ses accents,

et

ils se réfugieront

dans

l'égoisme

destruc-teur.

Comme

préparation au

travail d

1

édification du catholicisme

vivant, il faudra tenir compte

de

plusieurs

voies

d'approche,

puis-que nous vivoms dans un

monde

divisé.

On devra

réinterpreter

objec-tivement la phrase de

Marx, parmi celles qui

snnt les plus

incompri-ses,

mal

apprises, réfutées,

approuvées, condamnées, fameuses,

mal

faméBs, diffamées,

et

j'en

passe:

11

La religion, c

1

est llopium du

peuple.n Voici un bel

exemple

pour différencier les

gens

fuonnêtes des

malhonnêtes,

dont les

arrières-pensées

·---~~paraissent

dans le

dé-goût qu

1

ils

feignent en répétant ces

paroles,

La

pensée

de

Marx,

con-tenue dans la ncritigue de la philosophie du droit

_

de Hegellî, fournit

des indications

pr~cieuses

pour

la régénération

de

la religion,

et

son influence a

été

présente

dans

l'élaboration

de maints

schèmes du

Concile Vatican II (en particulier le schème no.13).

Je

reproduis

ici le

texte d

1

a

été

tiré la

phrase

cités

plus

haut:

"

La

détresse

religieuse

est, pour

une

part,

l'expression

de

la

détresse réelle et,

pour une

autre,

la

)rotestation

contre 1,

~6tresse

réelle. La religion

est

le

soupir

de la créature opprimée,

1

1

âme d'un

monde sans coeur,

comme

elle est

l

1

esprit de

conditio~s

so-ciales d

1

où l'esprit

est exclu.

Elle

est

l

1

opium du

peuple.n Qu'on

(14)

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mette le terme de

11

péché

orig

in

e

l

11

e

t on

A.

un tEJCt

e

de St.Augustinl

Tant que l'esprit

est exclu

de

la

vie

e

n

société, la

reli

gion

a son

droit

d

'

1 êt~e.

A

u

XXe

siècl

e

,

nous n'avons ni esprit,

ni reli

gion

!

Le te te

.

de

Ma

rx

correspond

à

la pensée

chrétienne qui a élaboré

le

thème

de la souffrance

humaine et

lui

a donnt

une

source d'espoir

.

Pour

Marx,

la

sociéte sans classes,

l

a

HCommunion

de

s

Saints

11

est

la

source

d'espoir. D'autres

rapproche

m

ents sont

encore

possibles

entre

marxisme

et catholicisme.

Cependant,

je crois

que

la religion n'est

pas

une

étape qui

sera

remplcé, comme le

pensent

Comte

et Marx, au moment

où la

socie-té

aura

atteind son

idéal.

Car, si

p

r

ésentement

,

l'~ustice

sociale

est ce

qui conditionne la for

ma

tion

de

l'es

pr

it reli

g

ieux, celui-

c

i

en

dem

eure indépendant qu'en

à

sa

nature propre. La majorité des

hom-mes a

besoin de la religion non 3eulement pour représenter

mythique-ment

les conditions sociales (comme

affirme Marx)

,

mais

aussi,

et

c'est le point le

D

lus important, la reli

g

ion sert à imager la tot

a

-lité de la condition

humaine,qui est

foncière

me

nt injuste.

Ainsi, rien

ne

nous empêche d'imaginer que

dans la

n

sociét

é

sahs classes

11,

J_a

religion continue de

re

mp

lir

son rôle,

si

,

n

écessa

ire

à

la vie

indivi-duelle<

mais avec

un contenu

beaucoup plus pur. (

On n'a qu'à

se

ré-férer a

l'expérience

des Soviets,quimt

eté

obligé,de

réouvrir les

églises

en

1958).

En conclusion, j'espère

avoir été

clair

da

ns cet

essai, qui

ne

prétend

pas

à

la certitude

sur

tous les

points. Je sais que

l'his-toire est beaucoup

p

lus compliquée que cela

et

qu~une nn~ly0e

plus

complète

de

questions

étudiées

pourrait donner

des résultats

diver-

·

ge

nts.

Peu

importe; l'im

p

ortant

est

de se

donner

un

champ d'action

et

de l'élucider le

plus qu'on peut,

et

ensuite

de

suivre

le

mouve-ment

de l'histoire

q

ui

se passe

d

urant notre

vie.

Bref,il

est

défen-du de

faire

le

mort devant

le

monde qui a besoin

de nos talents.

(16)

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