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La carrière antique des Brégines à Béziers (34) et l’emploi de son matériau en sculpture, <i>in</i> Hélène Aurigny et Vassiliki Gaggadis-Robin éditrices

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Academic year: 2021

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Submitted on 15 Jan 2021

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La carrière antique des Brégines à Béziers (34) et

l’emploi de son matériau en sculpture, in Hélène

Aurigny et Vassiliki Gaggadis-Robin éditrices

Elian Gomez

To cite this version:

Elian Gomez. La carrière antique des Brégines à Béziers (34) et l’emploi de son matériau en sculpture, in Hélène Aurigny et Vassiliki Gaggadis-Robin éditrices. Nouvelles recherches sur la sculpture en calcaire en Méditerranée : journée d’études du 19 juin 2018, programme de recherche sculpture antique de la Méditerranée, Centre Camille Jullian (UMR 7299), 2020, Aix-en-Provence, France. pp.121-129. �hal-03078631�

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NOUVELLES RECHERCHES

SUR LA SCULPTURE EN CALCAIRE

EN MÉDITERRANÉE

Hélène AURIGNY et Vassiliki GAGGADIS-ROBIN

Éditrices

Journée d’études du 19 juin 2018

Programme de recherche : Sculpture antique de la Méditerranée CENTRE CAMILLE JULLIAN

Aix-en-Provence

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Sommaire

Hélène Aurigny

et

Vassiliki Gaggadis-Robin

Introduction ...

5

Antoine Hermary

La place des œuvres en calcaire dans les études

sur les sculptures du monde méditerranéen antique ... 9

Mireille Vacca-Goutoulli

L’approvisionnement des matériaux de la sculpture en calcaire à Marseille dans l’Antiquité :

l’origine et la pertinence de ce choix à travers l’étude des caractéristiques physiques des différents calcaires régionaux. Leur interprétation dans le rendu plastique de l’œuvre ... 15

Philippe Mellinand

, avec la collaboration de Elsa Frangin, Françoise Paone, Elsa Sagetat-Basseuil,

Nadine Scherrer, Mireille Vacca-Goutoulli et Christophe Voyez

La carrière de calcaire du boulevard de la Corderie à Marseille ... 43

Laura Rohaut, Philippe Bromblet

Sculpter le calcaire à Marseille dans l’Antiquité :

Les naïskoi de la rue Négrel et la « stèle d’Attis » ... 53

Manuel Moliner

À propos de deux blocs en calcaire rose décorés

retrouvés en remploi rue Malaval à Marseille ... 67

Vassiliki Gaggadis-Robin

Les sculptures de Marseille en pierre de La Couronne et autres calcaires ... 87

Yvon Lemoine

La sculpture romaine en matériaux locaux de la cité de Forum Julii (Fréjus, Var) ... 105

Elian Gomez

La carrière antique des Brégines à Béziers (34)

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La carrière antique des Brégines à Béziers (34)

et l’emploi de son matériau en sculpture

Elian Gomez

a

Résumé : Depuis de nombreuses décennies, l’examen pétrographique des blocs antiques du Biterrois avait mis en évidence l’origine locale du calcaire et

précisé son secteur d’extraction du lieu-dit Les Brégines. Or, la continuité de l’exploitation de ces bancs durant le Moyen Âge et la période moderne a réduit la probabilité de retrouver les plus anciens fronts de taille. Récemment, grâce à un diagnostic d’archéologie préventive, une carrière antique a été mise au jour sur une surface d’un peu plus d’un hectare. Son exploitation débute au cours de la période tardo-républicaine et servait principalement à l’extraction de blocs monumentaux. Des fronts de taille, des zones de travail, les sols de la carrière et de très évidentes traces d’outils ont été découverts ainsi que son chemin de desserte. Ce matériau a également servi à la sculpture sous ses formes les plus diverses (opus vittatum, dalles d’aqueducs, chapiteaux, colonnes, haut et bas-reliefs, autels, mausolées, sarcophages, bornes milliaires…).

Mots clés : Béziers, Les Brégines, carrière, bloc monumental, chapiteau, chemin, sculpture, époque tardo-républicaine, Haut-Empire romain.

Le secteur de Béziers se caractérise par des formations géologiques relativement récentes, post-éocènes, où dominent les dépôts du Quaternaire. À ce titre, les matériaux rocheux accessibles sont peu fréquents et consistent essentiellement en des bancs limités de calcaires à Chlamys tournali (au sud de la cité, lieu-dit Les Brégines), de calcaires lacustres de Nissan (Oligocène supérieur, en marge méridionale des Brégines) et de calcaires gris du Jurassique supérieur (au sud des Brégines, en limite communale avec Vendres)1. Le calcaire tertiaire à Chlamys tournali représente à la fois le gisement le plus étendu

des trois calcaires précités et aussi le plus proche de la ville (2  km au sud). Cela explique, au moins en partie, que son exploitation ait été préférée, toutes périodes confondues. En effet, dès le premier âge du fer, on retrouve à Béziers ce type de calcaire comme matériau privilégié pour la construction et l’artisanat. À partir de la période romaine, l'édification en pierre de la parure monumentale de la cité (Colonia Urbs Julia

Baeterrae) implique alors une exploitation soutenue de cette

ressource, mais il a fallu attendre ces dernières années pour que la première carrière antique soit mise au jour.

La carrière antique des Brégines a été découverte à l'occasion d'un diagnostic d'archéologie préventive, mené en 2012 par le service archéologique municipal de Béziers (fig.  1), qui traitait une surface totale de 47 hectares2. Une zone de carrière a Service archéologique municipal de Béziers, elian.gomez@ville-beziers.fr. 1 BRGM 2001.

2 Gomez 2019.

occupe la partie sud-ouest de l'emprise diagnostiquée, sur une surface d'environ 1,2 hectares, mais sa continuité vers le sud et l'ouest (au-delà des limites du diagnostic) est envisagée. La carrière antique y occupe la majeure partie de la surface (le tiers oriental ayant été exploité aux xviiie-xixe siècles) (fig. 2).

Elle se caractérise par des fronts de taille verticaux dont l’un atteint 4,2 m de hauteur. La présence de diaclases explique son abandon.

Les traces d'outils y sont extrêmement nettes (fig. 3) et il convient d'identifier l'escoude, vraisemblablement sans dent (ou à dents très peu marquées), d'une trentaine de mm de large. Par ailleurs, une extrémité d'escoude a été retrouvée fichée dans un front de taille (fig. 4). Les rainures créées par l'escoude sont ici obliques de 45o en moyenne et « dansantes ».

De petites tranchées de havage sont très nettes dans les angles rentrants des fronts de taille afin d'assurer le détachement des blocs (fig. 5). À leur base, on peut également déceler des dépressions provoquées par l'enfoncement des coins (fig. 6). Les canaux laissés par le travail de havage mesurent 18 à 20 mm de large au minimum. Ils permettent de circonscrire le volume de chaque bloc extrait dont les dimensions moyennes sont de 140 cm de long, 80 cm de large et 62 cm de haut. À côté de ce module monumental récurrent, un autre plus imposant encore est attesté : 210 cm de long, 70 cm de large et 70 cm de haut. Les blocs monumentaux extraits et laissés in situ sont nombreux. Nous en avons retrouvé près d'une centaine, abandonnés à cause

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Fig. 1 : Localisation du diagnostic des Brégines (tracé rouge) et de la cité antique de Béziers (tracé jaune) sur fond SIG Ville de Béziers

(cliché D. Gleizes)

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de leurs défauts : calcaire parfois trop grossier (fig. 7), angles cassés, fond évidé dû à une fracturation incontrôlée (fig. 8), etc. Certains d'entre eux ont été réutilisés sur place pour limiter les aires de travail et contenir les volumineux déblais de déchets de taille (fig. 9). Un chapiteau abandonné en cours de finition à cause d'un défaut de la pierre (petite diaclase) a également été retrouvé sur le sol de la carrière (fig. 10). Dans les niveaux de fonctionnement de la carrière, les mobiliers étaient peu nombreux mais tous s'accordent sur une tranche chronologique tardo-républicaine et alto-impériale. Cette datation est également confirmée par la typologie des traces d'escoudes que Jean-Claude Bessac a bien voulu authentifier. Nous l'en remercions vivement. Enfin, on signalera que le remblaiement des zones exploitées est intervenu assez tôt puisqu’au-dessus de 2 à 3 m de déchets de taille qui recouvrent le sol de la carrière, on trouve une occupation structurée des vie-viie siècles. Au nord-ouest de la carrière,

un chemin rectiligne antique prend la direction de la cité. Les puissantes recharges dont il a fait l'objet, de manière

répétée et relativement soignée, n'ont pas suffi à empêcher la création d'ornières de charrois. Même si le lien strict entre le chemin et la carrière n'est pas assuré, on peut envisager, compte tenu de son emplacement, de sa direction et de sa mise en œuvre conséquente, qu'il desservait la zone d'exploitation et garantissait l'acheminement des blocs vers la ville et la voie Domitienne (500 m au nord-ouest). Ce chemin desservait aussi un établissement rural antique limitrophe (fig. 2) dont les fondations - vraisemblablement associables à celles d'un chai viticole - utilisaient des blocs monumentaux pour asseoir bassins, fouloir et pressoir.

L’emploi du calcaire des Brégines en

sculpture

Outre l’emploi principal du calcaire des Brégines pour les constructions antiques déjà évoquées (fondations puissantes de chais, parure monumentale de la cité y compris en opus vittatum comme c’est le cas pour les arènes

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Fig. 6 : Vue sur les marques de coins au sol de la carrière (cliché E. Gomez, SAM Béziers) Fig. 4 : Vue sur la pointe d’escoude fichée dans un front 

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et le théâtre3), on trouve de gros modules pour la mise

en œuvre d’un passage à gué du fleuve Orb à l’entrée de la ville4 et d’aqueducs (aux lieux-dits Les Fangasses5,

Mercorent6, Le Pansieyrou7 et en centre-ville8). Dans le

cas de Mercorent, le canal de l’aqueduc antique était en béton banché et seules les dalles de couvertures employaient le calcaire coquillier des Brégines. Aux Fangasses, l’aqueduc alimentait un vaste coursier de moulin hydraulique bâti au moyen de blocs calcaires monumentaux. Sur le secteur de La Courondelle, la fouille d’un puits du Haut-Empire a permis de retrouver sa margelle constituée de l’assemblage de deux blocs monumentaux9. De nombreuses pièces

architecturales antiques taillées dans le calcaire des Brégines ont été retrouvées en ville depuis le xixe siècle à la faveur de grands travaux (démolition

des remparts médiévaux qui remployaient beaucoup de lapidaire antique, création des réseaux d’égouts, multiples percées haussmanniennes, urbanisation de nouveaux quartiers…) : chapiteaux ioniques (fig. 11) et corinthiens, colonnes, tambours, colonnes à demi-engagées (fig. 12), clef de voûte figurée (fig. 13), frontons, etc.

De très nombreux éléments lapidaires de mausolées (fig. 14), de stèles (fig. 15) et de sarcophages (fig. 16) partagent également la même origine pétrographique. Malgré le manque de finesse du grain, certaines pièces sont bien ouvragées, qu’il s’agisse des bas et hauts-reliefs, de la statuaire (par exemple, une très

3 Ginouvez 1999 et Macario 2017. 4 Ugolini, Olive 2012. 5 Gomez 2010. 6 Gomez 2007. 7 Andrieu 1990. 8 Gomez 2003. 9 Gomez à paraître.

Fig. 7 : Exemple de bloc monumental abandonné à cause de l’imperfection de son calcaire (cliché E. Gomez, SAM Béziers)

Fig. 8 : Exemple de bloc monumental abandonné à cause d’une fracturation incontrôlée (cliché E. Gomez, SAM Béziers)

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belle patte de lion ou de griffon retrouvée au cours de la fouille de l’îlot des Chaudronniers et qui ornait peut-être le théâtre), des inscriptions (fig. 17), des détails architecturaux… Il convient également de mentionner les autels antiques du Plateau des Poètes (autel aux Digènes, aux Menmandutes, à Ricoria, à Mars, fig. 18) et enfin des bornes miliaires (fig. 19) qui jalonnaient la voie Domitienne (bornes de Tibère, de Claude, puis de Tetricus). À partir de la phase tardo-antique, les productions originales paraissent limitées tandis que se développent les remplois de pièces alto-impériales, parfois réinscrites sur une autre face. Toutefois, l’activité des carriers se maintient sur le secteur de Béziers au moins pour la construction et pour la confection de sarcophages.

Fig. 11 : Chapiteau ionique, conservé au musée

du Biterrois (cliché E. Gomez, SAM Béziers)

Fig. 12 : Exemple de bloc architectural antique, conservé au musée

du Biterrois (cliché E. Gomez, SAM Béziers)

Fig. 10 : Chapiteau abandonné en cours d’exécution

(cliché E. Gomez, SAM Béziers)

Fig. 13 : Clé de voûte figurée, conservée au musée du Biterrois

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Fig. 17 : Exemple d’inscription antique sur bloc en calcaire des Brégines, conservé au musée du Biterrois

(cliché E. Gomez, SAM Béziers)

Fig. 14 : Exemple de bloc sculpté issu d’un mausolée, conservé au

musée du Biterrois (cliché E. Gomez, SAM Béziers)

Fig. 15 : Exemple de stèle funéraire conservée au musée du

Biterrois (cliché E. Gomez, SAM Béziers)

Fig. 16 : Exemple de sarcophage conservé au musée du Biterrois

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Fig. 18 : Exemple d’autel à Mars (92 x 40 x 36 cm) conservé au musée

du Biterrois (cliché E. Gomez, SAM Béziers)

Fig. 19 : Borne milliaire de Claude, an 47 (138 x 62 cm), conservée au

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Conclusion

Pressentie de longue date, une carrière antique au lieu-dit Les Brégines vient enfin d’être mise en évidence sur une surface minimale de 1,2 hectare. Elle se matérialise par des fronts de taille où les traces d’outils sont particulièrement nettes et où les empreintes des blocs monumentaux extraits témoignent de l’intensité de l’activité et de l’uniformité des modules. Accessoirement, d’autres pièces ont été produites (chapiteau). De nombreux blocs ont été abandonnés sur place, soit que leur extraction les ait endommagés, soit que leurs défauts (grossièreté des fossiles, diaclases…) les aient exclus du négoce. Ces derniers ont été remployés pour sécuriser les espaces de travail, notamment en servant de barrière aux volumineux déchets de taille. Au fur et à mesure de la progression de la carrière, les secteurs dont l’exploitation se terminait ont été remblayés à l’aide des déblais de taille. Ils forment une couche épaisse de 2 à 3 m en moyenne au sommet de laquelle s’ajoutent des colluvions. Au-dessus de ces derniers, une occupation alto-médiévale (vie-viie siècles) est attestée. Manifestement, le charroi des

blocs empruntait le chemin antique rectiligne que nous avons pu fouiller au nord-ouest de la carrière, vers la ville et la voie Domitienne.

L’emploi de ce matériau pour la sculpture antique en Biterrois s’avère diversifié : il sert pour la construction (en grands, moyens et petits modules), l’artisanat, l’alimentation en eau, la décoration, le bornage des voies, la statuaire, les cultes et le domaine funéraire.

Bibliographie

Andrieu 1990  : J.-L. Andrieu, Béziers, l’aqueduc romain, Annales littéraires de l’université de Besançon, 406, Besançon.

BRGM 2001 : Bureau de recherches géologiques et minières, Carte

géologique de la France à 1:50 000. 1039, Béziers, Orléans.

Ginouvez 1999  : O. Ginouvez, Les anciennes arènes  : nouvelles

informations sur l’amphithéâtre romain et son devenir dans le courant du Moyen Âge, Afan, déposé au Service régional de l’archéologie

Occitanie (antenne Montpellier).

Gomez 2003  : E.  Gomez, Rue de la République à Béziers, rapport

final d’observations et de sondage archéologique, 2 vol., Service

archéologique municipal de Béziers, déposé au Service régional de l’archéologie Occitanie (antenne Montpellier).

Gomez 2007 : E. Gomez, ZAC de Mercorent à Béziers, rapport final de

diagnostic archéologique, déposé au Service régional de l’archéologie

Occitanie (antenne Montpellier).

Gomez 2010 : E. Gomez, Les Fangasses à Béziers, rapport final de diagnostic

archéologique, déposé au Service régional de l’archéologie Occitanie

(antenne Montpellier).

Gomez 2019 : E. Gomez, ZAC Puech de Fonseranes à Béziers, rapport

final de diagnostic archéologique, Service archéologique municipal

de Béziers, déposé au Service régional de l’archéologie Occitanie (antenne Montpellier).

Gomez à paraître : E. Gomez, D. Gleize, B. Morhain, J.-P. Cros, La

Courondelle 3, rapport de fouille archéologique préventive, Service

archéologique municipal de Béziers, à déposer au Service régional de l’archéologie Occitanie (antenne Montpellier).

Macario 2017 : R. Macario, Îlot des Chaudronniers à Béziers, rapport de

fouille archéologique préventive, Hadès, déposé au Service régional de

l’archéologie Occitanie (antenne Montpellier).

Ugolini, Olive 2012 : D. Ugolini et C. Olive, Béziers, Carte archéologique de la Gaule, 34/4, Paris.

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Références

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