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Étude du concept visuel de la spécialité pharmaceutique : son impact sur la prescription médicale

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Étude du concept visuel de la spécialité pharmaceutique :

son impact sur la prescription médicale

Christian Hubert

To cite this version:

Christian Hubert. Étude du concept visuel de la spécialité pharmaceutique : son impact sur la pre-scription médicale. Sciences pharmaceutiques. 1988. �dumas-01762125�

(2)

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Code de la Propriété Intellectuelle. articles L 335.2- L 335.10

http://www.cfcopies.com/juridique/droit-auteur

(3)

~---~---ANNEE 1988

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UNIVERSITE JOSEPH FOURIER GRENOBLE 1

UFR DE PHARMACIE

Domaine de la Merci 38700 - LA TRONCHE

N° D'ORDRE

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4

"=/-ETUDE DU CONCEPT VISUEL DE LA SPECIALITE PHARMACEUTIQUE SON IMPACT SUR LA PRESCRIPTION MEDICALE

T H E S E

Présentée à l'Université JOSEPH FOURIER GRENOBLE 1

Pour obtenir le grade de DOCTEUR EN PHARMACIE

par : Christian HUBERT

Soutenue publiquement le 29 juin 1988 devant M. le Professeur A. BOUCHERLE, Mme M. DELETRAZ-DELPORTE, Mme 1. MEYLAN, M. J.P. VICARIO, Président du jury Maître de conférences Pharmacien huspitalier Maître de -conférences

(4)

ANNEE 1988

UNIVERSITE JOSEPH FOURIER GRENOBLE I

UFR DE PHARMACIE

Domaine de la Merci 38700 - LA TRONCHE

N° D'ORDRE ETUDE DU CONCEPT VISUEL DE LA SPECIALITE PHARMACEUTIQUE

SON IMPACT SUR LA PRESCRIPTION MEDICALE

Ill llll Ill l

li

1111111111111111

T H E S E

115 005641 0

Présentée à l'Université JOSEPH FOURIER GRENOBLE I

Pour obtenir le grade de DOCTEUR EN PHARMACIE

par : Christian HUBERT

Soutenue publiquement le 29 Juin 1988 devant : M. le Professeur A. BOUCHERLE, Mme M. DELETRAZ-DELPORTE, Mme I. MEYLAN, M. J.P. VICARIO, Président du jury Maître de conférences Pharmacien hospitalier Maître de conférences

(5)

2

-REMERCIEMENTS

Nous tenons à remercier les membres du jury d'avoir accepté de juger ce travail.

Qu'ils soient assurés de notre profonde gratitude.

11 faut souligner, d'autre part, la souriante

amabilité de Madame MEYLAN et la remercier pour l'accueil sympathique qu'elle nous a réservé à chacune de nos sollicitations.

Enfin nous tenons à remercier tout particulièrement

Madame DELATRAZ-DELPORTE qui, par ses conseils

avisés, son dynamisme et sa constante disponibilité nous a permis de conduire ce travail.

(6)

3

-Nous tenons à exprimer nos remerciements à toutes les personnes qui

ont bien voulu nous apporter leur concours en nous faisant bénéficier de leurs conseils et de leurs compétences.

- M. J.L. BOIMOND Université de Savoie ANNECY

M. D. CHASSIGNOLE Laboratoire OBERVAL

- Mme CIVEL Laboratoire BRISTOL

- M. JALLIFFIER VERNE Laboratoire FOURNIER

- M. H. KINDLER Liaison Internationale

- Mme B. KLEB Cornac Production

- M. LEFEVRE Laboratoire SYNTEX

- Mme LIQUARD Laboratoire LAFON

- Mme MIGNOT Scorpion Communication

- Mme NORTH Direction de la Pharmacie et du Médicament

- Mlle PERBET Laboratoire GLAXO

- M. M. VIONNET Société MARTINI-GENEVE

Nous remercions également les laboratoires qui ont gracieusement accepté de nous communiquer leurs documentations.

- AMPHAR - ROLLAND - ARDIX - BEECHAM - SEVIGNE - BESINS - ISCOVESCO - BEYTOUT - CIBA - GEIGY - CLIN MIDY - DUPHAR - HOUDE - JANSSEN - LEDERLE - MERCK - CLEVENOT

- MERCK SHARP + DOHME-CHIBRET

- MERREL DOW - NATIVELLE

(7)

4

-- ROCHE

- ROGER BELLON

- ROUSSEL

- SARGET

- SCHERING

- SEARLE

- SPECIA

- SYNTHELABO

- THERAPLIX

- UPJOHN

- UPSA

- WELLCOME

- WYETH - BYLA

- ZYMA

(8)

5

-PLAN

****

INTRODUCTION

I - ASPECTS LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES DE LA PUBLICITE MEDICALE

I. 1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. l. 7. 1.8. Historique Législation

Démarche afférente au dépôt préalable de diffusion Octroi de l'autorisation préalable de diffusion Sanctions et pénalités

Interdictions 1.6.1.

1.6. 2. Thèmes interdits Autres interdits Les dérapages

Conclusion

Il - ETUDE DU CONCEPT VISUEL DE LA SPECIALITE PHARMACEUTIQUE 11.1.

11.2. 11.3. 11.4.

Visuels de rappel

Visuels dits "d'information" Origine de l'échantillon Etude de 1' image 11.4.1. 11.4.2. 11.4.3. 11.4.4.

Le distinguo entre photo et dessin Le rapport image/texte (1/T)

11.4.2.1.

11.4.2.2. 1/T 1/T

<

>

0 0

Le distinguo entre couleur et noir et blanc L'utilisation de la couleur

11.4.4.1. 11.4.4.2. 11.4.4.3.

Les couleurs et leur correspon-dance

La classification des couleurs Le phénomène des contrastes si-multanés 11.4.5. La stratégie de communication 11.4.5.1. 11.4.5.2. 11.4.5.3. 11.4.5.4. 11.4.5.5. 11.4.5.6.

Communication par la cause Communication par le produit Communication par le résultat Communication par la cause et le

résultat

La stratégie n'est pas le message Principaux axes de communication

page 7 9 10 11 13 14 14 15 15 16 19 19 20 21 21 24 25 25 33 33 33 33 42 42 48 49 52 52 54 56 58 61 61

(9)

11.4.6. 11.4.7. 11.4.8. 11.5. Etude du 11.5.1. 11.5.2. 11.5.3. 11.5.4. 11.5.5. 6 -La notion de mouvement La notion d'animation

11.4.7.1. Synergie entre la position et le regard

11.4.7.2. Complémentarité entre animation et mouvement

11.4.7.3. Animation non exploitée La notion de mémorisation

texte

Mots pleins - Mots outils Relation spécialité - slogan Spécificité du slogan Position du slogan Conclusion 64 67 70 70 73 76 76 76 78 80 85 89

Ill - ETUDE PRATIQUE 91

92 92 111.1. 111.2. CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE ANNEXES Réalisation du questionnaire

Analyse en composantes principales

111.2.1. Méthodologie 93

111.2.2. Principe d'interprétation 93

111.2.3. Analyse de 5 questions issues du

question-naire 95 111.2.3.1. Question n° 9 111.2.3.2. Question n° 12 111.2.3.3. Questions n° 13 et n° 14 111.2.3.4. Question n° 15

---95 98 100 102 104 106 110

(10)

7

(11)

8

-Dix années depuis l'exaltation de la découverte jusqu'au

condition-nement final La molécule impersonnelle est devenue un médicament

à part entière.

Comment réussir l'intégration de ce nouveau venu dans un arsenal thérapeutique déjà bien établi?

Comment proner la notion d'efficacité sans amoindrir compétitivité et rentabilité si ce n'est par l'adjonction d'une information très orientée.

Mais encore faut-il, pour que l'objectif soit atteint, que le geste thérapeutique débouche sur la prescription qui entraînera à son tour une délivrance pharmaceutique.

Affichage, spots télévisés, représentation médicale, vidéos, dossiers

médicaux, presse autant de moyens de communication utilisés par

les laboratoires pharmaceutiques pour "lancer" un produit.

Pour la réalisation de cette étude il nous a fallu choisir le support publicitaire, identique pour tous, alliant une audience quotidienne à une fréquence et une diffusion élevée.

En fonction des paramètres établis ci-dessus nous avons donc essayé de porter une vision objective sur la presse médicale spécialisée.

(12)

9

-1ère PARTIE

ASPECTS LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES

DE LA

(13)

10

-1.1 - Historique

Nous n'aborderons que les principales êtapes de la rêglementation de la publicitê.

- Avant 1941 absence de lêgislation

Loi du 11 septembre 1941 tien de la publicitê

Titre Ill consacrê à la

rêglementa-- Institution du Code de la Santê Publique

t

t

Dêcret du 5 octobre 1953 Dêcret du 26 novembre 1956

Partie lêgislative Partie rêglementaire

- Abrogation de la loi par ordonnance (fêvrier 1954) - Absence de textes d'application jusqu'au

Dêcret du 14 mars 1963

t

Dêcret du 24 mai 1968

t

Dêcret du 24 août 1976

t

Dêcret du 23 septembre 1987

(14)

11

-1.2 - Législation

La publicité médicale est soumise à l'article L-551 du Code de la Santé publique.

"Art. L-551 - La publicité concernant les médicaments et les établis-sements pharmaceutiques n'est autorisée que dans les conditions fixées par un décret en conseil d'état". (1)

La publicité des spécialités pharmaceutiques destinées aux personens appelées à prescrire ou délivrer ces médicaments ou à les utiliser dans l'exercice de leur art est régie par le décret 87-772 du 23 septembre 1987 qui institue le contrôle a posteriori.

"Art. 5052 La publicité régie par la présente section* n'est

pas soumise à autorisation. Elle doit être adaptée à ses

destinatai-res". (2)

La publicité doit être conforme au résumé des caractéristiques

prévu à l'article R.5128-1 et doit faire connaître un certain nombre

de mentions définies par l'article 5052-1. "Art.

doit a) le

5128-1 Toute demande d'autorisation de mise sur le marché

être adressée au ministère chargé de la Santé. Elle mentionne: nom et l'adresse du responsable de la mise sur le marché et, lorsque celui-ci ne fabrique pas la spécialité pharmaceutique, le nom et l'adresse du fabricant;

b) le dénomination spéciale du médicament, qui doit être un nom de fantaisie ou une dénomination commune assortie d'une marque ou du nom du fabricant, ou encore la dénomination scientifique usuelle d'une marque ou du nom du fabricant;

* Section Ill du chapitre IV du titre 1er du livre V du Code de la Santé Publique.

(15)

12

-c) la composition intégrale du médicament soit par unité de prise, soit par unité de poids ou de volume, énoncée en termes usuels

à l'exclusion des formules chimiques brutes, avec recours à la

dénomination commune internationale des composants, chaque fois que celle-ci a été recommandée par l'Organisation Mondiale de la Santé;

d) les indications thérapeutiques proposées, contre-indications

et effets secondaires; e) la posologie usuelle;

f) la durée de conservation proposée". "Art.

doit

5052-·1 pour

être conforme au

les spécialités pharmaceutiques, la publicité résumé des caractéristiques de médicament prévu à l'article R.5128-1 ainsi qu'au~ mentions exigées par la législation sociale.

Elle doit faire connaître

1°) La dénomination spéciale du médicament prévue à l'article L.601 du Code de la Santé Publique;

20) Le nom ou la raison la mise sur le marché ou, le

sociale et cas échéant,

l'adresse du responsable de du fabricant;

pouvant être utilisées en thérapeutique;

30) La ou les formes pharmaceutiques

4°) La formule avec les dénominations communes et les doses des principes actifs;

5°) Le classement de la spécialité au regard du régime des substances vénéneuses;

6°) Le ou les numéros d'identification administrative de la spécia-lité;

7°) La ou les propriétés pharmacologiques essentielles;

8°) Les indications thérapeutiques et les contre-indications éventuel-les, fixées par l'autorisation de mise sur le marché et toute autre décision ministérielle ultérieure les concernant;

(16)

13

-10°) Les effets indésirables ou accessoires et les interactions éventuelles en cas d'utilisation avec d'autres médicaments ou certains aliments ;

11°) Les précautions particulières d'emploi, et, s'il y a lieu,

celles à prendre en cas d'emploi prolongé

12°) Toutes autres mentions imposées, le cas échéant, par

l'autorisa-tion de mise sur le marché ;

130) La situation de la spécialité au regard des législations sociales

14°) Le prix limite de vente lorsqu'un tel prix est fixé en applica-tion des lois et réglements en vigueur.

La publicité doit également faire connaître, le cas échéant a) L'indication des phénomènes toxiques et des accidents d'intolérance possibles;

b) Les risques d'accoutumance et de dépendance ;

c) Le mode de surveillance du malade pour déceler les accidents éventuels". (1)

1.3 - Démarche afférente au dépôt préalable de diffusion

Les dossiers doivent être a~ressés au ministère des affaires sociales et de la solidarité nationale (Direction de la pharmacie et du médicament - Bureau PH7)

Ils comprennent essentiellement

une lettre de demande en double exemplaire, signée du pharmacien responsable précisant:

* Le nom de la spécialité

*

Le support envisagé

* Le nom et l'adresse du laboratoire

L'autorisation de mise sur le marché (A.M.M.) et ses rectificatifs éventuels en double exemplaire

- 40 exemplaires du projet de publicité - une maquette du document définitif

un chèque de 1 000,00 F à l'ordre

n° 87-773 du 23 septembre 1987). (3) (4)

(17)

14

-1.4 - Octroi de l'autorisation préalable de diffusion L'autorisation

limitée à la

du dossier

a priori. ( 6)

préalable de diffusion est accordée pour une durée durée de la validité de l'A.M.M. et ce dès le dépôt puisque l'administration n'exerce plus de contrôle

1.5 - Sanctions et pénalités

Les sanctions sont définies par l'article R.5054-2.

Lorsque la publicité n'est pas soumise à autorisation, le ministre chargé de la Santé peut, après avis de la commission (composition

p. 14 bis), en cas d'inobservations des dispositions applicables

a) Mettre en garde le responsable de la mise sur le marché ;

b) Le mettre en demeure de modifier une campagne publicitaire dans un délai déterminé

c) Interdire la poursuite de la diffusion ;

d) Interdire la poursuite de la diffusion par les memes moyens ou les moyens équivalents d'un rectificatif approuvé par la

commis-sion, soit l'envoi de lettres rectificatives aux destinataires

de la publicité et ce aux frais de l'établissement. Le ministre peut rendre ces mesures publiques.

Les mesures prévues aux c) et d) ci-dessus ne peuvent être prises qu'après que l'intéressé ait été avisé et, s'il le désire, entendu par la commission.

En cas d'urgence, le ministre peut suspendre, sans consultation préalable de la comm1ss1on et pour une durée de trois mois au plus, la diffusion d'une publicité manifestement contraire aux dispositions applicables.

(18)

14 bis

-COMMISSION DE CONTROLE DE LA PUBLICITE

- Le directeur de la pharmacje et du médicament ou son représentant - Le directeur général de la santé ou son représentant

- Le directeur général de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes ou son représentant

- Le directeur général de l'industrie ou son représentant - 1 membre de l'ordre des pharmaciens

- 1 membre de l'ordre des médecins

2 représentants des organismes représentatifs de fabricants de pro-duits pharmaceutiques

1 représentant des organismes de consommateurs faisant partie du conseil national de la consommation

- 2 personnalités compétentes en matière de publicité - 1 médecin omni-praticien

- 1 pharmacien d'officine

- 1 membre de l'académie nationale de médecine - 1 membre de l'académie nationale de pharmacie

(19)

15

-La commission doit être sa1s1e dans ce délai". (2)

Les pénalités sont édictées par l'article L.556 de la loin° 72-7 du 3 janvier 1972.

"Art. L.556 Toute infraction aux dispositions des articles L.551

et L.552 et des textes pris pour leur application sera punie d'une

amende de 5.000,00 F à 30.000,00 F et, en cas de récidive, d'une

amende de 50.000,00 F à 200.000,00 F. (1) 1.6 - Les interdictions

Outre les lois et les décrets ayant trait à la publicité médicale, les visuels publicitaires se doivent de respecter certaines règles contrôle de la publicité pour les édictées par la commission de

médicaments, en mai 1983. (5) (13)

Ces règles peuvent rentrer dans le cadre de l'article R.5045-1 "La publicité ne doit pas porter atteinte à la protection de la

santé pub 1 i que". ( 1)

Dans le respect de la santé publique, certains slogans, thèmes, personnages sont interdits.

1.6.1. - Thèmes interdits

*

Les slogans basés sur l'efficacité, la sécurité d'emploi d'un

médi-cament

*

Les arguments écologiques soulignant l'origine naturelle d'un

médicament

*

Les arguments tirés du volume des ventes tant en France qu'à

l'étranger

(20)

16

-*

Les mises en page et composition publicitaires destinées à évoquer

la couveture d'un magazine ou de toute autre publication connue

*

L'utilisation ou la mise en scène de personnages célèbres ou

politiques (photos p. 17 et 18)

*

La relation entre l'amaigrissement et la bonne apparence avec

une spécialité laxative

* Les argumentaires axés sur la force, la puissance et/ou la rapidité

d'action des antibiotiques I.6.2 - Autres interdits

*

L'utilisation d'une langue étrangère (loi 75-1349 du 31

décem-bre 1975)

*

Toute allusion à la phytothérapie pour les spécialités laxatives

à base de plante

*

Toute référence "au prix du médicament de l'année" décerné dans

le cadre du MEDEC

* Toute publicité comparative (Article 422 du code pénal) sauf

si l'étude est conduite en tenant compte d'un parallèle pharmacolo-gique

*

Toute publicité de rappel visuel à l'exception de la campagne

de lancement d'un nouveau médicament

(21)

Risque

cardio,..

vasculaire

accru

chezle

pléthorique

J

1

HTA

ALDACTONE75

Antihypertenseur

du pléthorique

ALDACTONE75

-- Spironolactone -- -

---ALDACTQNE 75

maîtrise la tension artérielle sans libérer les facteurs

de risques métaboliques : sucre rn, acide urique

(2J,

cholestérol

(3J.

Aldactone 75. Forme et présentation Comprimés pelliculés. boite de 20 Composition Spirono lacto ne microfine 0.075 g lsoit 1.5 g par boite). Excipient q.s. pour un comprimé Aldactone 50 Forme et présentauon Comprimés enrobés. boite de 20.Composition Spirono lacto ne microfine0.05 gt soit I gpa rboîtel . Excipient q s pou r un comprimé. ProRriétés : Aldactoneest un antagoniste spécifique de l'aldostéronequ1 agit sur différents récepteurs extra-rénaux et sur le tube rénal conto urné distal . au lieu d 'action de l'aldostérone. Indicatio ns: 1 Diagnostic et traitement de l'hyperaldostéronisme primaire / Hyperaldostéronisme réactionnel à la thérapeutique cliurétique classique / Hypertension artérielle essentielle / Etat œdémateux pouvant s'acco mpagner d'hyperaldostéronisme secondaire œ dème et asci te de l'insuffisance cardiaque / Ascite cirrhotique / Syndrome néph rotiq ue / Œdème cyclique idiopathique Contre-indications / Hype rsensibilité a la spi ro no lactone / Insuffisances rénales aiguès tanuries. dysfon ctio n rénale â évo lution rapide / Hyperk aliêmie Stade termin al de l'insuffisance hépatique Précautions Par son action sur l'éq uilibre ioniq ue de la cellule myocardi q ue. la spiro no lactone diminue la toxicité des glucosides digitaliq ues Prudence chez la femme enceinte et la femme en période d'allai-tement L'administratio n d e supplêments potassiques o u d 'autres agents 'epargneurs de potassium est d éconsei llée. car elle peut induire une hype1kalié111ie La surveillance de lïonogrammc sanguin et urinaire, un IJildn rénfil et hépatique sont indispensables chez les malades à haut risque Aldactone potentialise l'action des autre;s substances anti hypertensives Des interactions médicamenteuses sont possibles tœstro progestatifs faib lement dosés par exemple). Actions ind ési rables Elles sont rares et réversibles à l'arrêt du traitement. Cliniquement . gynécomasties. somnolence.

into lérances digestives. éruptions cutanées, impuissance. troubles des règles. Bio logiquement. Aldactone peut aggraver rhyperazotémie. Posologie . Aldactone 7 5 Traitement de l'hyperaldostéronisme primaire· le traitement usuel est de 4 comprimés par iou r Les doses seront adaptées en fonction de la réponse / Hypertensio n artérielle essentielle 1 comprimé par jour / Insuffisance cardiaque . 1 â 2 comprimés pa r ;ou r en dose d'entretien / Ascite cirrho-tique traitement d 'attaque l à 4 comprimés par iour Traitement d 'entretien I à 2 comprimés par jour Dans les deux cas les doses seront adaptées a la répo nse diurétique et au bilan électrolytique du malade Prescription déconseillée chez le ci rrh o tique quand la natrémie est inférieure à 125 mEq / Syndro mes néphrotiques I a 2 comprimés par jour Posologie enfant 2 mg/kg.li en moyenne Aldactone 50 Traitement de rhyperaldos téronîsme primaire · 1e traitement usuel est de 6 comprimés par jour Les doses seront adaptées en fonction de la réponse / Hypertension artérielle essentielle 1 à

2 comprimés par jour / Insuffisance cardiaque 1 à 3 comprimés par jour en dose d'entretien / Ascite cirrh o tique Traitement d 'attaque · 4 à 6 comprimés par jour Traitement d 'entretien 1 à 3 comprimés par jou r Dans les deux cas les doses seront adaptées à la réponse diurétique et au bilan électrolytique du malade. Prescripti on déconseillée chez le cirrh o tique quand la natrémie eSt inférieure a 125 mEq / Syndromes néphrotiq ues . là 3 comprimés par jou r Posologie enfant · 2 mg/kg.li en moyenne Surdosagg : / Symptô mes un surdosage aigu peut provoquer une somnolence. des nausées et vomissements. des diarrhées. Les cas d 'hyponatrémie o u d'hyperkaliémie sont rares / Trai tement lavage gastriq ue. Corriger les variations éventuelles des électroly tes. Aldactone 75 ·Tableau C -A.M.M 126.079 9-Commercialiséen 19&6 Prix:65.00F + 0,45 FS.H.PRemb.5 .5 à 70%-Collectivitês-Coûtderunitédeprise: 3.25 F Aldacto ne 50 : Tableau C- A M.M 321 824 .8-Commercialisé depuis 1963 . Prix 4 3.30 F + 0.4 5 FS.H.P Remb .S.S. à 70 %-Collectivitês-Coûtde l'unité de prise : 2. 17 F Po ur info rmation plus détaillée. cf Dictio nnaire des Spécialités o u s'adresser au Département Médical des Laborato ires SEARLE. Labo ratoi res SEA RLE Périsud - 7 bd Romain-Ro lland 92128 Mo ntro uge- Tél. : 40.02 .78.00.

m SCHERSTEN B et Coll

dlnlcal and blochemlcal effects of splronolactone admlnlstered once dally ln primary hypertension Hypertensk>n 2 ~ 672-679 Sept -Oct. 1980

!21 ROOS I C

Changes ln lntrarenal uric acld handtln& du ring chronk splronolactone treatment ln patients wîth essential hypertensl0'1 Nephron n 20Q-m 11182 ;;:; 0 z " V, > ~ Ql

(22)

Rapidité et vigilance

Formes et présentations: - Corn·

primés (blancs) sécables dosés à 60 mg de lerfenodine. Boite de 14 comprimés. - Suspension buvable

dosee à 30 mg de terlénodine por cuillère-mesure de 5 ml. Flocon de 120 ml de suspension buvable. Propriétés : Antihistaminique sélectif agissant sur les récepteurs H1 périphériques, dénué d'effets secondaires sédatifs el olropiniques

oux doses thérapeutiques. Indications : l. Traitement symptomatique de manifestations allergiques diverses : - rhinite spasmodique, rhinite allergique, périodique (rhume des foins, pollinose aiguë) ou apériodique (rhinite peronnuelle) -conjonctivite allergique, rhinoconjonctivite · urticoire -œdème de Quincke (en dehors du traitement d'urgence du choc onophyloclique). 2. Troitment odjuvont symplomolique des affections dermatologiques prurigineuses (eczémas, prurigos...) Contre-indications: Hypersensibilité à ce médicomenl. le comprimé est réservé à l'enfant de plus de 12 ans. Au-dessous de 12 ons, utiliser lo suspension buvable. Nepos uliliserchez l'enfant de moins de 3 ons. Précoutions d'emploi: Grossesse: Aucun effet tératogène n'o été mis en évidence chez l'animal. Ces données ne permettent pos d'anticiper un effet molformolif dons l'espèce humaine. Allaitement : En l'absence d'information sur le possoge dons le lait maternel, l'utilisation n'est pas recommandée pendent l'olloilemenl. Effets indésirables: Il n'o été qu'exceplionnellemenl signalé des effets indésirables à type de céphalées, troubles digestifs mineurs ou rosh allergiques. Les cos signalés de somnolence

a

ou de bouche sèche sont

extrê-mement rares. Au cours des études contrôlées, leur fréquence

est comparable à celle observée sous placebo. Posologie : Comprimés : Adultes el enfants ou-dessus de 12 ons : l comprimé matin el soir. Coût du lroilemenl journalier : 3,59 F. Suspension buvable: Chez l'enfant, la posologie usuelle est d'environ 2 mg/kg/jour en deux prises: - Enfant de 3 à 6ons (poids corporel inférieur à 20 kg) l /2 cuillère-mesure ( 15 mg) malin el soir. Coût du troi-lemenl journalier : 0,62 F. · Enfant de 7 à 12 ons (poidscorporel supéiieurà 20 kg) l cuillère-mesure (30 mg) matin el soir Coût du lroilemenl journalier: 1,23 F. -Adultes el enfants de plus de 12 ons : 2 cuillères-mesure (60 mg) malin el soir. Coût du lroitemenl journalier : 2,47 F. Surdosage : Au cours des études cliniques, des doses uniques de 600 mg ( 10 fois la dose usuelle) chez des adultes ont été bien tolérées. A l'étranger, un cos a été signalé, chez une femme de 16 ans qui a absorbé 1500 mg de terfénodine (25 comprimés). Un lavage gastrique a été pratiqué une heure après. Il n'o été noté aucun symlôme particulier en dehors d'une diminution de lo pression artérielle de 110/60 à 90/50 mmHg deux heures après l'admission. AMM 322 389-3 (comprimés); Année de commercialisation: 1982. AMM 327 021-4 (suspension buvable) ; Année de commercialisation : 1984. Prix public : 25,10 F (comprimés)· 14,80 F (suspension buvable). Remboursé S.S. à

70%. Collectivités. Merrell Dow Fronce S.A. 45/49, rue de Villiers 92203 Neuilly s/Seine Cédex - Tél. ( l) 47:58.12.63.

ANTIHISTAMINIQUE D'EXPERIENCE MONDIALE

CX) CX) ;}_ u ëi ~ 0 N >-::; i3 0

(23)

19

-1.7 - Les dérapages

Malgré la législation en vigueur, nous assitons à des dérapages d'autant plus spectaculaires qu'ils sont peu fréquents.

EX

La terfénadine et le plus médiatique des coureurs automobiles

A. PROST. (Photo p. 18)

Comment une te Ile "coqui Ile" peut-e Ile passer inaperçue au m veau

de l'administration?

Car meme en admettant que l'on ne reconnaisse pas Alain Prost, le nom cousu sur la combinaison devrait faire penser à une personnali-té plus ou moins connue. Qui peut se permettre une campagne publici-taire de cette envergure au vu des sanctions prévues par l'article L.556?

Certainement publ ici taire

pas plus

les petits faible et

laboratoires qui disposent d'un budget qui ne peuvent prendre le risque d'un écart quel qu'il soit.

1.8 - Conclusion

Le décret du 23 septembre 1987 apporte incontestablement une grande marge de manoeuvre et d'initiative en matière de publicité destinée

au corps médical en contrepartie, l'on ne peut méconnaître que

cette liberté s'accompagne d'une relative "insécurité" juridique pour les émetteurs de messages, laquelle ne sera levée qu'à la lumière des avis émis par la commission. (6)

(24)

20

-2ème PARTIE

ETUDE OU CONCEPT VISUEL

DE LA

(25)

21

-La plupart des laboratoires pharmaceutiques utilisent la publicité pour faire connaître ou rappeler aux prescripteurs l'existence de leurs spécialités.

L'absence de publicité sur un marché concurrentiel toujours plus important entraîne une stagnation des prescriptions puis une baisse brutale des ventes, la période de latence s'étalant généralement sur une période de deux ans. (8)

Notre étude nous a amené à étudier

tous ne seront pas reproduits. Seuls travail.

159 visuels (annexe 1) mais 39 visuels figurent dans ce Une liste récapitulative figure en annexe 2 (par ordre d'apparition dans le texte).

Les visuels publicitaires de la presse médicale peuvent être répartis en deux grandes catégories (10) (8) :

- Les visuels de rappel

- Les visuels dits "d'information" 11.1 - Les visuels de rappel

Ils sont constitués par une image choc avec un texte simplifié composé du nom de la spécilité accompagne ou non d'une indication thérapeutique.

Ex VOLDAL* anti-inflammatoire (photo p. 83)

CATAPRESSAN* H.T.A. (photo non publiée) SARGENOR* (photo p. 22)

Il faut noter que la publicité de rappel au sens propre du terme est interdite en France. Il s'agit ici de visuels comportant tous les mentions obligatoires imposées par la législation française.

11.2 - Les visuels dits "d'information"

Pour ces derniers l'interpellation du prescripteur se fait par le texte et l'image.

Ex T.A.O.* Défendez leur peau (photo p. 23)

(26)

,

FORME I Soluté buvable PRESENTATION , coffret de 20 ampoules buvables autocassables de 10 ml. COMPOSITION , L-ospartole del-arglnlne (D.C.I.) ,

10 g par 100 ml. l g pa, ampoule. 20 g par coffret. P-hydroxybenzoot es de méthyle et propyle , 0,1 g par 100 ml. 0.01 g par ampoule. 0.20 g par coffret. Excipient , saccharose, arôme abricot. caramel. eau potable Q.S. Choque ampoule de SARGENORcontlenl 2 g d e saccharose. PROPRIETES , Antiasthénique , apport d 'acides aminés. INDICATIONS , Proposé dons le traitement symptoma tique de l'asthénie fonc tio nnelle. PRECAUTIONS

D'EM-PLOI , A l'usage des diabétiques , c haque ampoule contient 2gdesucre.MODE D'EMD'EM-PLOI & POSOLOGIE , Comme pour tout lroltemenl antiasthénique,

la prescription sera de courte durée. Posologie usuelle •• Adultes , 2ou Jompoulespar jour, par c ure. ô prendre dans un p eu d 'eau de préférence avant les repas. Coat de traitement Journalier , de 2,72 F ô 4,08 F • Enfants de plus d e JO mois , 1/20 2ampoules par Jour selonl'Oge. Cool de traitement

journa-~ de 0.68 F ô 2.72 F. Visa N ~ommerclalisé depuis 1965. Prix , 27,20 F - Remb. Sée. Soc. ô 40%.

(27)

DÉFENDEZ LEUR PEAU .

.-\ ~TlllltlTIQI .E 11E 1.,\ F:\M l t. LE m::-'.\1:\l' IHILIDES. l ~ ·:~'!:lt 1'.'\~ [.\FECTIOSS O.R.L.. IIBtî'.\1..ï[{lPlï.,\1( IS:\IHE:.. !°'Tt 1'.\1:\TI l l.tl(; IQL"ES. tTT:\S"ÉES. (iESI -TA LES. E\ l':\lfflt 'l ' l.JEll l' HtlST:\Tll)l ' E:-i . tlS!'iEl'SES. .\ 1; E H'.\IE~ S l·:SSIII L ES. l'/WP II YI.AX IE J fE l.:\ '.\\ Ê SI:,/ · (;rn: .'\ '.\1~:\IStitl{ Cll)l E:,,; l' II EZ ].E:,,; !°'l',JET:,,; t 'tlST,\lTS. 1·1tl'.\ll ••l'H ll l' IIYL AXIE [)ES HE l .lll 'TE:,;

nt-: IL\ . .-\ t 'tiSTH I·: 1:-.ï1h ATtoss : - A1.1.1-:11t,1 E \ LA

TIH 1u:A:--111 1'.\1n·1'.0: - A:,,;st 11 1.-,Tt11:,.; At·x .. ,u 'Al.t •ï !>ES \"..\S111 l 1SSTIHCTElïb l1E J.'Ellt;11T l 1E !"-Eltil.E. \'.t rrA'.\\ .\ IEST Ell li lll:-\:\11\E ET !1lll\"ll ]l(JE1! 1it l'L\ '.\llSE . ({ ·~: ISTEH:\ i"Tlt1:,.;:,; '.\I ÉJ ll( ' A'.\ IE\TU !'iES.)

EFFETS l '.'\ !1 ~:S IH:\HLES . ~IASIFE!°'T.-\Tlt 1;\:-, t l ·T.-\ s ~:Es .. ,U.t:f{(;[wt ·t::-- \f,;\1Ft:s1xn11ss n1t;1-::-;T1n::-;. :,..,, L·st:i:::--. , ·0.\11:--:-.nn ::,..·T:-;. 1,1..\IHHn:E:-- 1 IÉ l'A TITE!- 1" ll il\.E:-.rXnlJl"b ui-:n:H:-. I BLE:-i. u~n:I' THl ;\ ;\ Fl.1.ES:-il I.E !' Ill 1t1t IT t::-;T l·T1 1.1 :--t: SEI ï .. PRt~ t":\ L"Th• ;'\S l•.Dll'I.U l Es l ":\S P E T H:\lTE.\! t:;\T l'IHlL0\1;É .\l llEl..l.llE i <l .hll HSET 11l".\l'l.1St1IJI (ifE t: 1.t: n '. 1-:. Il. LST t 11,q.11.1.Ë m: :"l "lln:11.1.r.n 1..-\ Fl)StT[!l\ 1rt:1 ·AT1lJl E ET 1: t: n11.1 T1, ,, m::-, T IL\S!°' ·\\IIS .. \:--b ET 1,·1\TEHH11\ll'IH: J.F. TH.\ITDIE;'\l :-.1

1."11:,.. \ "ll;\ ST:\Tt. l ";\E .·\ 1:rt~H.-\THlS 111-::-, Tt::'-TS FUS (" Tlll;\SEt.:-- l·:s H.-\J:-,1)\ [IE l. El.l.\ ll S :\ll US EXT H.-\ Ht'.S.-\1.E 111n: t ll).\11 S.-\STF.. 11. ;\0!·:ST l'.-\ S st:n:SS:\J RE m: .\ l()l)[F[EH 1.:\ 1'0:-i()J.Ot;IE ES l":\S ll0

[S"SUT[ S:\Sn: ,n :s,,1.E . 11. EST IH:l"fl.\1.\1:\S [ll~ [)t "T lLI SEH 1. .. , THn 1.Ç::\;'\ Jltl .\\ Yt lSE An:1 · /'Hl Ht:sn: n 11-: z u: ;\tll"n:.-\l :,..t: ET:--t1rrt ll"Tl.E l'Hhl :\Tl ï n: \E l'A:--.·\[1.\\1\[ STllE!\ 1·11t:z 1 . .-\ 1-"E.\l .\!I·: :\Ll.:\IT.-,:--n:. l:,..Tt:11

:\ 1 "T lt IS:" .\11·'. i Hl .-\.\IESH:t ·:-.1·'.~. t 'E .\IÇ:J11t .-\.\\E ST At7in1ESTE U'.:-.T.-\l ' X :-;ËIIH)l ES JIETllt:1ll'I I YLLISE ET Ill·: 1 :\IUI.\ ZÉ l'IS!·: !':\H l;\TEHF1·:1n:sn: !.OH~ li\' .\IÇ:T.-\ llll l.l:--.\!!·: 1n: 1· .. \T[l)l E :\ S:--111 1Ç: :\ l "X IESTHn l'llU1a:sT .. \TIF!°' .\ \ l!°'ËE t 'tl'\TH:\l El'Tl\'E. l E .\IËl 1] 1·,\.\\EST EST S I !°'l El'Tl\11.E HE F.\\ 11111~EH LA :-.l'i! n ::,..n~ ll0

llTk1n: PE TYl'E t Hlll.E:--T:\THJ\T lh:s PHSEIH .-\T ii 1\:, l •E l'll l:::,..11\lk ., E:-. 11·1:,,.1 1th111 : 11:,.. T ËTÉ H.-\l'Ptl!ffËES .-\l'llb E.\11'1.PI -.. l.\1l "I.T.-\:-.:f:E JIE

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IJÉll l\"t=S \ '.-\St1CW0:STHI C l'E L HS DE 1:EHGOT JJE SE Jf:l.E. 11E n : 1.1.ES ASSllCl ATJC)'.'/S J)t lJH:ST ?:'rnE

i:: , ·1T(:Es . Post n .0<; 11-: · T.A.O. !iOO EN t·o.\ lP Hl.\1ÉS • :\Ill 1:n:s"°j::T 1;1us 11s ESF:\STS: ES .,111n::-.:s- E 2 ,\ ·l t·n .\11 '111.\t (::-. Pt: T.-\.0.5 0 0 l':\ILIOl 'Il E:'\ l >El .\ nt THtllS 1'111~ 1·:S ËQ1 "11 •1ST.-\ S T l·'.S. P ll ,\T [Ql ·E.\11·:;'\T ].ClHS 11·1sn:cT1t1S S ,\]1; 1·~:s ~ ('0.\\l 'Hl .\l (:s JIE

T.:\.0. :)0() Al PETIT [1Ç:.IITSEII. 2 t "0.\1/ 'IH.\IÇ:s T.f\.l ). :J(l(I ,\\ . [JÎ:,.:E I!. ( 't 1f"T .JI H '11 '.\:\ I.IEH t,1 · THAI ri-:, 11-:sT: m : 8, 11 F .~ lli,22 F T...-U). E'.\ s 1 :-.l'E\ s1ns Ill Y ·\111.E · • .Ju "S ES ESF:\STS f'.T ESFA ;\T!',

J ~À i l'l .lLLt lŒ ·.\ll-'.St'JIEl'AH5 1{1; .fOlï!E S l'111

SES l~Ql' llllSTA'.\'TE S. ( 't J\"T.f()l "l!S ,\l .11·:H: Ill-: J /i:J F

.\: t.07 F (1 n 11.U:1n: ., 1t: S tïn: :~:) O.,!( ;). Prn :sEs T.-\TIOS : TA.U. :)(1(1 1-:S 1 'Cl.\ll'l!l.\1ËS: {"().\1] '111.\1~::-.

CoNTRE LES INFECTIONS CUTANÉES

~~\' lln BF:s s ~'.<"A llt.t:S !>OSÉ ES,\:) ()() .\1(; 11·ou :At',;· [11 1;\1\'( ·JsE s o t·s FllH.\l E m: T 1<01.f:A N IHl.\l\T I NE.

IIOÎTE J)E 1 n. P111x : li-1 /JO + 0,-15 SHP S.S. 70 1\t\, · ('111.l.f:lTl\lTf: - T \111.L\C A ,\.:11.~1. :J I 9.134.8

-T.:-\.( ). 250 Sl "Sl'E SS ](lS IH '\ ':\111.E · T HO l. t ·\'.'/!JC IMY -4 I.\E ~H ASTIT (: F:tJlï\-4;AI.E SH'. À:) .\11; 11·01.1:AS · IHl.\1,11;\E 11:\SE l'.-\H J ()I} .\Il., Fl. ,\l<•S IJE80 .\Il. {s111T I li 1·tï1.tJ:1u:s ., 11-:s tïn: ). P111x · -19,20 +

01-l;) SII J> S.S.70 1!111 ('t)l.J.EITI\TI"(: T .,ll l.l:Al'A -:\.\ 1 ~1. ;\~~.ï:lli.li.

Marque de Pf1 2er Co rpo rati on

1.,\ 11( llLIT< !llffS ,If n ·l ï êl\ 111.

l 1 11\'E 1,t::,,. \lrnssnxs H-12li0 Fin::--sEs.

(28)

24

-De nombreux critères régissent la conception d'un page publicitaire. Tous ne peuvent pas être abordés.

Certains trop techniques, comme l'étude de la forme et de la contre forme, demanderaient une connaissance approfondie dans ce domai-ne. ( 10)

D'autres, parce la psychologie

qu'ils font appel à des mécanismes mettant en jeu personnelle de l'observateur ne peuvent en aucun cas servir de référence universelle.

C'est pour cette raison que nous laisserons de côté la classification

qui consiste à diviser la publicité en cinq grands axes (7) :

Publicité persuasive - Publicité sympatique - PublÏcité suggestive - Publicité projective - Publicité mécaniste

Nous avons donc sélectionné des paramètres plus simples mais ne faisant intervenir aucune interprétation personnelle et permettant une exploitation chiffrée.

11 s'agit de critères utilisés pour des produits de consommation

courante que nous avons adaptés aux spécialités pharmaceutiques selon deux axes : l'image et le texte. (10) (11)

11.3 - Origine de l'échantillon

Au départ, et pour définir de façon rigoureuse cette étude, nous avions décidé de répertorier toutes les pages publicitaires parues dans un périodique d'audience élevée (La Revue du Praticien) pendant une période de un an.

(29)

25

-Malheureusement, nous nous sommes vite aperçu,

avec d'autres revues que le volume publicitaire

par comparaison de ce quotidien était réduit et répétitif, et ne permettait pas de mener une étude

à grande échelle.

Pour obtenir un échantillon significatif nous avons élargi nos recherches à de nombreuses revues médicales cédées par des praticiens ou provenant de documentation personnelle et ce, pendant une période s'étalant de juin 1986 à septembre 1987.

Dans un premier temps, nous avons pu recueillir 331 visuels différents qui ont été répertoriés selon 4 grands critères : couleur, noir et blanc, photo, dessin. Cette première sélection était destinée

à donner une estimation.

Dans un deuxième temps, les visuels ont été classés par activité thérapeutique, puis les groupes les plus représentatifs quantitative-ment ont été réunis en quatre grands thèmes :

- Douleur

- Maladies cardio-vasculaires - Antibiotiques

- Pathologie du système nerveux

pour former un échantillon de 159 pages publicitaires sur lequel nous allons réaliser ce travail.

11.4 - Etude de l'image

11.4.1 - Le distinguo entre photo et dessin

Si l'on se réfère à l'ouvrage de Joannis (11) la photo représente

(30)

26

-Notre analyse nous fournit les résultats suivants

Nature de l'illustration Fréquence 1 %

--- _____ I __ _

Photo Dessin HN TOTAL. 184 1 1 55,6 1 141 1 42,6 1 6 1 1,8

===========!=======

331 1

I

100 % 1

Excepté 1,8 % de visules hors norme (HN) faisant appel à un compromis

entre photo et dessin (ex. VOLTARENE 50*), nous n'observons pas

l'écart signalé par JOANNIS.

Dans le domaine médical, dessins et photos offrent les possibilités d'une illustration à peu près équivalentes.

Outre la question financière, le choix semble porter sur certains critères.

Le dessin, sous forme de bandes dessinées ou de page pleine, sera utilisé lorsque l'on aura choisi entre trois objectifs

. remettre au goût du jour une spécialité ancienne

(31)

1/

/

CARLYTENE

Moxisylyte

Forme et présentation : Comprimés non sécables blancs (boite de 32). Composition: Mox1sylyte (D.C.I.) ou chlorhydrate de 6-acétoxy-thymoxyéthyl-dimélhylamine : , par comprimé : 30 mg , par boite de 32 : 960 mg. Excipient - Noyau : lactose. sucre glace amylacé, amidon, talc, stéarate de Mg. - Enrobage : gomme laque, colophane, térébenthine, talc, amidon, gélatine, sucre. cire blanche, oxyde de titane (E 171). q.s.p. 1 comprimé de 250 mg. Propriétés : Alpha-bloquant ; s'oppose compélilivemenl aux effets de la noradrénaline sur les récepteurs alpha-adrénergiques. Indications : Proposé dans t) , troubles psycho- comportementaux de la sénescence, , troubles cochléo-veslibulaires : vertiges el bourdonnements d'oreille d'origine vasculaire, • déficits carculatoires rétiniens. 2) • certains troubles circulatoires des extrémités ou

acrosyndromes. N.B. Cette i~dication est proposée à partir d'essais cliniques el para-cliniques non contrôlés. 3) , perturbations vasculaires du début de la ménopause.

Précautions : CARLYTENE n'étant pas un antlhypertenseur, il ne peul éviter le traitement

de l'hypertension artérielle elle-même. Par mesure cje prudence, il y a lieu d'éviter l'association des 1.M.A.O. à CARLYTENE. Effets indési-rables : Rares intolérances gastriques. Mode d'emploi et posologie : 1 à 2 comprimés trois fois par jour, lors des repas. Coût du traitement journalier : 2,44 F à 4,88 F. Visa NL 2.073. Commercialisé de-puis 1965. Prix : 26,00 F (32 comprimés). Remb. Sée. Soc. à 40 %. Collectivités.

LABORATOIRES DEDIEU S.A.

Avenue Président-J.F. Kennedy

(32)

28

-exploiter le créneau de la nouveauté tout en donnant une identité

à la spécialité

Ex. : LIPANTHYL 300* (photo non publiée) EFFERALGAN CODEINE* (photo p. 29) MOSCONTIN* (photo p. 30)

Pour ce dernier exemple la difficulté du sujet a sans doute restreint le problème du choix.

. contourner la difficulté de réalisation de la photographie . Le principal inconvénient du dessin publicitaire médical réside dans son absence de réalisme et son manque de vivacité

Ex. : CIPRALAN* (photo p. 74)

SURGAM ORL* (photo non publiée)

Une exception cependant EFFERALGAN-CODEINE* (photo p. 29) et son illustration hyper-réaliste.

Pour rendre un visuel réaliste, plus chaleureux, plus humain, il est préférable q'utiliser les photographies. Malheureusement celles-ci manquent souvent d'originalité, et la plupart du temps ne confèrent pas d'identité au produit

Ex. VIBRAMYCINE* "c1est l'hiver" (photo p. 31)

RULID* (photo p. 32) Illustrations sans rapport apparent

avec la spécialité PRESTOLE* (photo non publiée)

Par contre quand l'adaptation est bonne, la photo est supérieure au dessin.

Ex. : T. A. 0. * "défendez leur peau" ( photo p. 23) SARGENOR* (photo p. 22)

(33)

son administration pendant la lactation. Effets 1ndés1-rables : on attribue au paracétamol quelques rares éruptio ns cutanées à type d'urt1ca1re bénigne. Toute réaction allergique commande l'arrêt du traitement.

Exceptionnels cas de thrombopénies cités dans la littérature 1nternat1onale. Effets indésirables de la codéine et ses sels: constipation; ver·t1ges; somnolence ; nausées et vomissements; ces 1nc1dents peuvent être notés même à faibles doses chez certains sujets sens1bil1sés. Mode d'emploi et posolog,g: adultes à partir de 15 ans : 1 à 2 com primés selon la sévérité de la douleur. 1 à 3 fors par JOUr, dans un grand verre d'eau. Coût du traitement journalier: 1.02 à 6,11 F. Les prises doivent être espa-cées d'au morns 4 heures. Surdosage :· Le paracétamol en surdosage massif provo-. que une cytolyse hépatique susceptible d'aboutir à une nécrose complète et 1rré-vers1ble. Les signes se manifestent généralement dans les 24 premières l,eures. (paracétamol-codéine)

Forme et présentation : boîte de 2 tubes de 8 comprimés effervescents blancs. Compos1t1on: paracétamol 500 mg et phosphate de codéine 30 mg par comprimé. Excipient q.s.p. un comprimé de 4 g environ. Propriétés : antalgique puissant et rapide : association d'un antalgique périphérique. le paracétamol et d'un antalgique central, la codéine. lnd,cat,ons : traitement symptomatique des affections doulou-reuses. Contre-1nd1cat1ons : hypersensibilité au paracétamol et/ou à la codéine. Insuffisance hépato-cellulaire. Mise en garde : l'usage prolongé de fortes doses de codéine peut conduire à un état de dépendance. Ne pas utiliser dans les affections chroniques des vrnes aériennes. Précautions d'emp.!Q!_: · Surveillez par principe la fonction rénale en cas d'administration prolongée ou d'insuffisance rénale, bien qu'aucune néphrotox1c1té due au paracétamol n'ait été montrée chez l'homme dans les cond1t1ons normales d'emploi · Chez l'insuffisant resp1ratrnre chronique. la codéine peut entraîner une broncho-constrict1on et une dépression resp1ratrnre • L'absorption d'alcool pendant le traitement est déconseillée en raisori de la présence de codéine • Risque de somnolence chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines en raison de la présence de

codéine · En cas de régime désodé ou hyposodé. tenir compte de la

$

teneur en sodium d'Efferalgan codéine. soit 460 mg de sodium (20 mEq)

par comprimé · En raison de la teneur en principes actifs. ne pas administrer

Le traitement étiologique doit être entrepris dans les heures qui suivent l'ab-sorption. Toute notion d'1ntox1cation a1gue impose un transfert 1mmédrat en m1l1eu spéc1alrsé. Les signes biologiques d'atteinte hépatique _peuvent apparaître plus tardivement. · La codéine en surdosage. surtout chez l'enfant. provoque: somnolence. myosis. laryngospasme pouvant entraîner un arrêt respiratoire. Tableau A. AMM : 328 394-9. Mis sur le marché en 1986. Prix: 16,30 F + SHP. Remb. Sée. Soc. à 70 %. Coll. Laboratorres UPSA 128. rue Danton 92500 Rue1I-Malma1son - Tél. : (1) 47.49.05.00 - Visa 88U189PM. ce produit avant l'âge de 15 ans. · Par prudence. 11 est préférable de ne pas UPSA

(34)

UNE PRISE

TOUTES LES

12 HEURES

Sulfate de Morphine D Cl FORM E PH ARMACEUTIQUE : Comprimé enrobé à libération prolongée. COMPOSITION : Quantité de principe ac11l : MOSCONTIN 10 mg : par comprimé . 10 mg ; par boite de 14 comprimés 140 mg . par boite de 70 comprimés . 0.7 g. MOSCONTIN 30 mg par comprimé . 30 mg ; par boite de 14 comprimés . 420 mg ; par boite de 70 comprimés 2. 1 g. MOSCONTIN 60 mg : par comprimé . 60 mg : par boite de 14 comprimés . 840 mg . par boite de 70 com-p rimés 4,2 g. MOSCONTIN 100 mg com-par comcom-primé : 100 mg : com-par boite de 14 comcom-pnmés 1 400 mg : com-par boite de 70 comcom-pnmés : 7,0 g. Excicom-p1en1qscom-p 1 comcom-priméÇe 155 mg. Comcom-pQs1tionquahta tive de l'exc1com-p1en1 Lactose anhydre. hydroxyéthyl-c ellulose. alhydroxyéthyl-cool hydroxyéthyl-célostéarylique. stéarate de magnésium, talhydroxyéthyl-c. hydroxypropylméthyl hydroxyéthyl-cellulose. éthylhydroxyéthyl-cellulose. phlalate d'éthyle. méthanol, hydroxyéthyl-colorant. SORT OU MEDICAMENT : Forme â libération prolongée permettant une admm1strat1on orale b1quo!id1enne PROPRIÉTES PH ARM ACOLOGIQUES : Analgésique central 1 1. - Ac11on sur te système nerveux central : La mdrphine est dotée d'une action analgésique. elle agit sur le comportemen! psychomoteur selon les doses elle provo-que séda11on ( > 1 cg) ou parfois exc1tat1on ( < 1 cg). A doses fortes . supérieures aux doses analgésiques. elle entraine somnolence et sommeil : Elle a une action psychodysleptique caractérisée par l'appar111on d'un étal euphonque voile dysphor1-que C'est une substance 1ox1comanogène entrainant des phénomènes de tolérance ei de dépendance physidysphor1-que el psychidysphor1-que. Sur les centres respiratoires. la morphine exerce. dès la dose lhérapeutidysphor1-que. une action dépressive Elle déprime les centres Je la toux et agi! sur le centre du vomissement (â faible dose et chez les su1ets n'ayant jamais reçu de morphine, elle a un effet émétisant. A doses plus fortes el avec répéll!ion des admmistrations. elle a une action anuém~t1que) la mor-phme provoque enl1n un myosis d'origcne centrale. bon signe d'mtox1cat1on chronique. 1.2. Act tan sur le muscle lisse : l a morphine diminue le tonus et le pérJstallisme des libres longitudinales et augmente le tonus des fibres circulaires. ce qu1 pro-voque un spasme des sphincter s (pylore. valvule 1léo caecale. sphmcter ar:ial, sphmcler d'Oddi, sphincter vésical). l a traduc11on clinique de celle action es1 l'appari11on d'une constipation. une augmentation de la pression dans les canaux b1ha1res. la créauon de spasmes au niveau des voies urinaires INDICATIONS THERAPEUTIQUES : Douleurs chroniques intenses et/ou rebelles aux autres anlalg1ques. en parllculler douleurs d'origine cancéreuse. CON TRE-INDICATIONS : - insuffi-sance resp1rato1re - syndrome abdominal aigu d'ét1ologce non connue. - insuffiinsuffi-sance hépato-cellulaire grave. - traumatismes crâniens el hypertension cntracrâmenne, - état convuts1I, - mtoxica11on alcoohque a1guê et delmum tremens. - enrants de moins de 30 mois. - traitement par les !MAO. MISE EN GARDE : l a morphine est un s1upéftant pouvant entrainer une toxicomanie : dépendance physique et psychique ainsi que tolérance (accoulUmance) se développent â la swte d'adm1mstrat1ons répétées l 'arrêt brutal du traitement prolon.gé entraine un syndrome de sevrage. PRÊCAUTIONS D' EMPLOI : Utiliser avec précau1ion - chez le vieillard, - en c.as d'insulftsance hépatique .et/ou rénale. • hypothyro1d1e. • insulfisance surrénal1enne • choc • risque de rétenuon urinaue en cas de pathologie uréuo-prostatique. Grossesse En raison du passage trans-placenta1re rapide. - au cours du travail, - ne pas utiliser ce produit durant la 2e partie du travail (au-delà de 11-5 cm de d1lata11on du col), ei en cas de prématurué car risque de dépression resp1rato1re seconda 1re néo-natale. - en cas de 1ox1comanre chez la mère . syndrome de pr1vat,on chez le nouveau-né avec convulsions. 1rnlab1l1té. vom1sse-ments. lé!hahté accrue. EFFETS SUR LA CAPACITÉ DE CONDU IRE DES VÉHICULES OU D'UTILISER DES MACHINES : En 1a1son de la baisse de vigilance induite par ce méd1cament. l'at1en11on est at11rée sur les risques de conduire un véhi-cule et d"ut1hser une machine INTERACTIONS M EDICAMENTEUSES ET AUTRES INTERACTIONS : - Tra11ement par les IMAO(cl contre-1nd1cat1ons) des accidents sévères voire monels onl été observés lors de rassociat1on avec la péth1-d1ne On ignore si ces réac11ons peuvent survenir avec les autres analgésiques centraux. Par prudence, il convient de ménage, un inlervalle libre de 15 jours après l'arrêt des IMAO, avant d'administrer un analgésique morphinique. - Dépresseurs du système nerveux central et antidépresseurs tncycllques · po1enliahsat1on avec risque de surdosage EFFETS INOÊSIRABLES : l es ellets les plus communs. aux doses habituelles sont nausées. cons11patlon. conlusion et occas1onne1lement vomrssement. On peut également noter sédation ou exc1tat1on (plus spécialement chez le vieillard. avec délire et halluc1na11ons) Augmentation de la p1ess1on 1ntracrâmenne. pouvanl aggraver des troubles cérébraux existants Augmenta lion de la pressron dans la voie b111aire pnnc1pale. Rétention urmaue en cas d'adénome prostauque ou de sténose urétrale. Une dépression resp1rato11e modérée ex,sle même aux doses thérapeutiques En cas de surdosage (cf ). elle peut être sévère. grave. voire mortelle Dépendance physique et psychique. Elle peut appa,aitre après adm1mstrat1on de doses thérapeullques. pendant t à 2 semaines. des cas de dépendance ont pu être observés après 2 à 3 jours seulemen t Syndrome de privation Il surv,em quelques heures après l'arrêt d'un traitement prolongé et a11e1nt un maximum entre ta 36 e1 72e heure. On observe bâillements. mydr1ase. larmo1emen1, rhino,rhée, éternuement. contractions musculaires. cëphalées, asthénie. sudation. anxiété. 1rritab1hté. 1nsomme. ag1ta11on. ano1ex1e. nausée. vom1ssemen1. perte de poids. diarrhée. déshydra1a11on. douleurs des membres. crampes abdominales et musculaires, 1achycard1e, polypnée. hyperthermie. hypertension. POSOLOGIE ET MODE D'ADM IN ISTRATION : les comprimés doivent être avalés sans être croqués Chez l"adulle la posologie préconisée est de I comprimé 2 fois par jour à 12 heures d'intervalle l a posologie varie selon la sévérité des douleurs el les traite· ments analgésiques antér1euremen1 reçus par le malade En cas de douleurs pers1s1an1es ou d'accoutumance â la morphine. la posologie des comprimés peul être augmentée en prescrivam les comprimés à 10 mg, 30 mg, 60 mg et 100 mg en une seule prise diversement associés les uns aux autres ou non. pour obtenir le soulagement désiré Chez les patients recevant au préalable une mo,phine "per os·· â libéra\lon 1mméd1a1e. la posologie quot1d1enne de MOSCONTIN sera inchangée mais répanie en 2 prises â 12 heures d'intervalle Pour les patients auparavant sous traitement de morphine par voie parentérale. la posologie doit êtrA suffisamment augmentée pour compenser tou te d1minut1on de reflet analgésique du produit, due â

l'adm1rnstra1ton par voie orale. l 'augmentation de la posologie peut vaner de 50 pour cenl â 100 pour cent. le dosage se Ier a ind1v1duellement en fonction de chaque

Avenue Président J.-F. Kennedy B.P. 100 .

33701 MERIGNAC CEDEX

patient. SURDOSAG E : Symptômes dêpress1on respiratoire. myosis extrême. hypotension. hypothermie. coma Conduites d'urgence 1 · Aêanimat1on cardia· respira101re en service spécialisé. 2 Tra11emen1 spéci11que par les ant1morph1mques la dépression respiratoire peul être levée par . • la nalorph1ne . 5 à 10 mg IM ou IV en cas de choc. répétée toutes les 15 mmutes Jusqu'à une dose de 40 mg. • la naloxonP(NAACAN) 400 microgrammes 1V répétée toutes les 2 à 5 mn s1 nécessaire (0,4 â 4 mg en doses Ir actionnées). Préca ; Qn chez les sujels dépendants des morphinom1mét1ques une injection de naloxone â dose trop élevée peul Provoquer un syndrome de manque. Chez ces su1ets la nd1oxone don être 1njectêe â doses progressives Tableau 8 MOSCONTIN 10 mg A.MM 328 697 1 (14 comprimés bruns) PRIX 32.00 F + $HP, CT J 4.57 F. 555 594 9 (70 comprimés bruns) (Modèle hôpital) MOSCONTl{'J 30 mg A M M 328 698.8 ( 14 comprimés violets) PRIX 74,80 F + SHP. CTJ . 10,68 F. 555 595 5 (70 comp11més violets) (Modèle hôpital). MOSCONTIN 60 mg A. M.M 328 699.4 (14 comprimés orange) PRIX 155,50 F + SHP, CT J 22.21 F. 555 596 1 (70 comprimés orange) (Modèle hôpllal) MOSCONTIN 100 mg. A.M M 328 700 2 (14 comprimés gris) PRIX 230,40 F + SHP. CTJ 32.91 F. 555 597 8 (70 comprimês gris)(Modèle hôpital) Mis sur le marchê en 1987 Remboursé SS et Collect1v1tés.

(35)

Gest

l'hiver.

Antibiotique de la famille des tétracyclines.

Indications : limitées aux infections :\ germes sensibles dans leurs manifestations respiratoires. génilO- urinaires. systémiques et oph-talmologiques. Acné. Contre-indications : Allergie aux antibioti-ques de la famille des létracrclines. Enfa111 de moins de Sans (risque de coloration permane111e des dems et d'hypoplasie de l'émail demaire). Femme enceinte ou allaitant (risque d·anomalie du bourgeon demaire ou de dyschromie dentaire chez renfant). Précautions: Risque de photosensibilisation : éviter rexposition directe aux U.V. pendant le traitement et arrèter le traitement en cas d°apparition d°érythème. Prendre la doxycrclinc au cours d'un repas afin d'éviter d'éventuels accidents digestifs et à distance des anti-acides et des sels de fer (2 heu-res). Interactions médicamenteuses : Les préparations à base de gel ct·alumine et de sels de fer. de calcium ou de magnésium diminuent l'absorption de la doxvcycline. Effets indésirables : Dyschromie Mntaire. hypoplasie de rémail lors d°administration chez 1·enfan1 de moins de 8 ans. Troubles digestifs (nausée. épigastralgie, diarrhée. candidose ana-génitale, anorexie. glossite. emérocolite). Réactions allergiques (urticaire. rash. prurit, œdème de Quincke, réaction anaphylactique, purpura rhumatoïde. péricardite, exacerbation d'un lupus érythémateux préexistant). Réactions de photosensibilisation. Des cas de troubles hématologiques ont été décrits lors de traitements

~*VIB

par les tétracyclines (anémie hémolytique, thrombocytopénie, neu-tropénie·, eosinophilie). Une hyperazotémie extra-rénale, en relation avec un effet anti-anabolique et pouvant être majorée par l'association avec les diurétiques, a été signalée avec les tétracyclines. Ceci 1i'a pas été observé avec la doxvcycline. Mode d'emploi - Posologie :

Prendre les comprimés au milieu d'un repas, soit tels quels avec un verre d'eau, soit délayés. Adulte - poids supérieur à 60 kg : 200 mg/jour en I prise. - poids inférieur à 60 kg : 200 mg le I" jour, puis 100 mg/jour. En cas d'irritation gastrique, absorber les comprimés avec du lait. Cas particuliers: • gonococcies aiguës : Homme adulte : 300 mg le l" jour. puis 200 mg pendant 2 à 4 jours, ou traitenient-minute de 500 mg ou de 2 doses de 300 mg, à t heure d'intervalle. Femme adulte : 200 mg/jour. • syphilis primaire et secondaire : 300 mg/jour pendant au moins 10 jours. • urétrite non compliquée. endocervicite. rectite à Chlamydia: 200 mg/jour. pendant au moins 10 jours. • acné: 100 mg/jour pendant 10-15 jours, puis 100 mg wus les deux jours. Enfants de plus de 8 ans: 4 mg/kg/jour. Boîte de 5 compri-més dosés à 100 mg de doxycycline sous fonne de monohydrate. TABLEAU A. PRIX : 27,40 F + SHP. Coût du traitement journalier: pour

200 mg : 11,14 F. A.M.M. 3249970 - 1985. Mise sur le Marché en décembre 1985. Remb. S. S. à 70°0 - Collect.

Laboratoires PFIZER

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doxycycline

00 00 ..- 1-"' "' 00

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1

COMPRIMÉ MAT IN

ET

SOIR

Présentation et composition : Bo Île cil' 10 romprimésenrobés. dosés à 150 mgde rox ithrom)·fine par('omprimé. Propriété : Ani ibiolique sPmi·S)'nthétique de la famille des maerolides. Indications : Chez l'adulie: • infections à gennes sensibles dans les manifestai ions O. R.L. , bronrho-pulmonaires, génitales (à ( 'exception des gonor·o('C"ies). r·utan(•es; • prophylaxie de la méningite à méningoroque rhez les sujets ron1ac1s. Contre-indications : • Allergie aux marrolicles • Association aux alcaloïdrs rnso-const riC"t eurs de ( 'ergot de seigle. Précautions : • En cas d'insuffisance hépatique. l 'administration de la roxithrom)·C"ine n ·est pas recommandée : si elle est nécessaire. ellcjust ilïe alors une SlllYeillance ré•gulièrr des tests hépatiques et éventuellement une réduction de posologie • Grossesse: les résuliats des ét udes réa lisées rhez l'animal n'ont pas mis en él'idenrc cl'c!Tet tératogène. En 1 'ahsenc·e de données rliniques, ces résultats expérimentaux ne laissent pas préjuger un effet malf'ormatif dans 1 ·espère humaine • Allaitement (le passage clans le lait est I rès faible). Interactions médicamenteuses :

Associations mnt re-indiquées al'CC les produits à base de cléri1·és 111so-eons1ricteurs de l'ergot de seigle • Associations sous surl'eillanC"e al'er la bromoniptine et la C"irlosporine. Effets indésirables: • ~lanifestat ions digestil'es: nausées. l'Omissements, gastralgies, diarrhée • Manifestations cutanées allergiques • Augmentation transitoire possible des transa minases ASAT-ALAT pournnt aboutir exC"eptionnellement à une hépa tite cholestatique. Mode d'emploi et posologie: Aclult.c: :JOO mg par jour, soit I comprime\

matin Pl soir, de préférenee arn nt les repas. Coût du traitementjournalier : 2:3, î5 I'. Surdosage: Chez lerhien, après admin istration peros d'une dose uni

D,ouss

EL

que de ~000 mg/ kg. ont été obse1Yés: vomissement s abonda nts, diarrhée. apathie et diminution de l'activité motrice. Conduite en cas de surclosnge: 1\:

lavage gastrique et traitement symptomatique (il n'existe pas d ·antidote spécifique) . Tableau A -A.M. M. 329.038.1 (1986) · Prix : 118,30 F (Sepl. 1987) ; S. H.P .. A (10 comprimés) . ~lis sur te marché en 1987 · Remb. Sée- SOC'. à 7011 0 · Agréé aux co tlert. Pour une information rom piète, cf monographie Vidal.

(37)

33

-11.4.2 - Le rapport image/ texte 11.4.2.1

1/T

>

0 Nous retrouvons ce rapport chaque fois que le lecteur doit être marqué par une image forte.

Cette catégorie regroupe la majorité des visuels. Parmi les plus marquants il faut citer :

- SARGENOR* (photo p. 22)

- EFFERALGAN-CODElNE* (photo p. 29).

11.4.2.2

1/T

<

0 Dans ce cas de figure, la démonstration par le texte se fait au détriment de l'image avec plus ou moins de succès.

Ex. : SECTRAL 400* visa ·PM 280 S 287* (photo non publiée) FLUDEX* visa PM 427 T 288 (photo non publiée)

SURVECTOR* visa PM 411 T 288 (photo non publiée)

Cette technique est souvent utilisée lors du lancement des molécules originales

Ex. : IMOVANE* (photo p. 34)

AUGMENTIN* (photo non publiée)

OLMIFON* : phase de lancement avec inversion du rapport en phase de rappel (photos p. 35 et 36).

11.4.3 - Le distinguo entre couleur et noir et blanc

La tendance actuelle pour le noir et blanc (cf. campagnes pour le Printemps, les

ROC* ... ) ne semble puisqu'une majorité

sous-vêtements masculins DIM*, les laboratoires pas affecter les visuels publicitaires médicaux de ceux-ci sont polychromes comme le précise * Les trois premiers chiffres correspondent au nurnero d'enregistrement

administratif.

La lettre centrale correspond à l'année d'octroi (S pour 85,

T pour 86).

Les trois derniers chiffres représentent le terme de la période de validité (ex. : 287 : 2ème trimestre 1987).

(38)

Imovane:

Le

retour au sommeil

réparateur.

~

Imovane inaugure une

nouvelle famille chimique d 'hyp-notiques, les cyclopyrrolones, issue de la Recherche Rhône-Poulenc Santé. Imovane respecte les phases profondes du sommeil. Imovane permet au malade une récupération particulièrement effi-cace de la fatigue de la veille: la qualité de la nuit est garante de la qualité du jour.

FORME ET PRÉSENTATIONS:Comprimé blanc pel-liculé dosé à 7,5 mg de zopiclone (OC!)- Exci-pient q.s. Boîte de 5 comprimés - A.M.M. 328.498.9 -Plix 7.40F. + 0.45. Boîte de 20com-primés -A.M.M. 327.420.6-Prtx 27,00F. + 0,45. Tableau A- S.S. 70% - Collectivités. PROPRIÉ-TÉS: Hypnotique à action rapide. appartenant

à une nouvelle famille chimique.celle des cyclo-pyrrolones. bien que pharmacologiquemem assi-milable à la classe des benzodiazépines. Imo-vane augmente la durée et améliore la qualité du sommeil. diminue le nombre d'éveils noc-rumes et de réveils précoces. INDICATION: Insom-nies. CONTRE-INDICATIONS: Allergie connue à

la zopiclone. Insuffisance respiratoire décom-pensée. Dans l'état actuel des connaissances. Imovane ne doit pas être administré aux enfants de moins de 15 ans. MISE EN GARDE: Comme pour tout hypnotique. la durée du traitement ne doit pas être prolongée. Un syndrome de

théraPl.lJt

46-52. rue Alben. 75640 Paris Cedex 13

sevrage peut survenir à l'arrêt bru[?! d"un trai-tement prolongé. surtout à des doses élevées. Dans de telles situations. il est recommandé. par prudence. de réduire progressivement les doses. ou en cas d'arrêt brutal. de surveiller attentive-ment le malade.PRÉCAUTIONS D'EMPLOI:. Gros-sesse:bien qu'aucun effet tératogène ou embryo-toxique n'ait été mis en évidence chez trois espèces animales. par mesure de précaution (comme pour tout nouveau médicament). il est recommandé de ne pas utiliser ce produit chez la femme enceinte. · Allaitement: prescription non recommandée. · Myasthénie: surveillance accrue. • Insuffisance respiratoire modérée: adapter la posologie. · L'absorption simultanée de boissons alcoolisées est formellement décon-seillée. • Insuffisance hépatique sévère: il peut être nécessaire d'adapter la posologie.· L'at-tention est attirée.notamment chez les conduc-teurs de véhicules. et les utilisaconduc-teurs de machi-nes. sur les risques de somnolence résiduelle diurne. INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES: • Synergie additive:avec les dépresseurs neu-romusculaires et les dépresseurs centraux. • Le

risque d'apparition de syndrome de sevrage est majoré. par ! 'association de benzodiazépines prescrites comme anxiolytiques ou comme hyp-notiques. EFFETS INDÉSIRABLES: • En rapport avec la dose et la

· che; hypotonie musculaire; amnésie antéro-grade; sensations ébrieuses; chez certains sujets. réactions paradoxales à type d'irritabilité. agres-sivité. subexcitation. syndrome de confusion onirique; céphalées. asthénie. A l'arrêt brutal d'un traitement prolongé. un syndrome de sevrage peut intervenir (sa survenue serait en principe rapide. compte tenu de la demi-vie courte de la zopiclone) avec:· possibilité d'incidents mineurs: irritabilité; anxiété; myalgies; tremblements; rebond d'insomnies et cauchemars; nausées et vomissements. • et. exceptionnellement. d'in-cidents majeurs (parfois après quelques jours. généralement précédés de symptômes mineurs): convulsions isolées; état de mal myoclonique avec syndrome confusionnel. MODE D'EMPLOI ET POSOLOGIE: Adulte: Posologie usuelle: 7,5 mg, soit I comprimé. au moment du cou-cher. Sujet âgé: Commencer le traitement par 3;75 mg. soit 1/2 comprimé. au moment du coucher et, si nécessaire, passer à 7,5 mg. soit I comprimé. Insuffisant hépatique: La dose de 3. 75 mg. soit I /2 comprimé au mo-ment du coucher est recommandée. CTJ, 0,69

à l,57F. SURDOSAGE: Sommeil très profond, voire comateux. selon la quantité ingérée. Trai-tement symptomatique en milieu spécialisé.

Visa PM 265 U 289 sensibilité indivi-duelle du patient: somnolence diurne résiduelle; amer-rume buccale.

sé-cheresse de la bou-

Imovan

~ RHÔNE ·POULENC

ONE •

ournée 1

Références

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