Prise en charge actuelle des syndromes myélodysplasiques
Texte intégral
Figure
Documents relatifs
• Bilan en cours de traitement : réaliser un examen clinique (poids taille TA), un bilan biologique avec une glycémie à jeun, un bilan lipidique (triglycérides, cholestérol
• chez les patients présentant un tableau de pneumopathie clinique ou radiologique et /ou des signes de gravité, un traitement par oseltamivir ou zanamivir doit être débuté au
Nous rapportons les résultats à plus long terme de l'étude MEDALIST (NCT02631070), une étude de phase 3 évaluant l'ef fi cacité et la sécurité du luspatercept chez des
Si les facteurs déterminants de la prise en charge sont nombreux, les médecins généralistes expriment peu leurs difficultés, que ce soit au travers du Focus group ou des
Le romiplostim, administré en sous-cutané, a montré son efficacité dans 2 études portant sur des patients atteints de SMD de faible risque (12, 13) avec l’ob- tention
L’indication d’une allogreff e chez des patients atteints de SMD doit prendre en considération 2 risques : celui de décès toxique chez ceux dont le SMD serait peu évolutif et
Le score IPSS (International Prognostic Scoring System) a longtemps été le score pronostique de référence des syndromes myélodysplasiques (SMD).. Il est aujourd’hui
Hormis CBL , ubiquitine ligase impliquée dans la signa- lisation des récepteurs cytokiniques, qui rejoint JAK2 et les gènes RAS dans une famille de mutations fréquentes