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ARTheque - STEF - ENS Cachan | L'imaginaire au coeur de la recherche en biologie

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Academic year: 2021

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L'IMAGINAIRE AU COEUR DE

LA RECHERCHE EN BIOLOGIE

Pierre CLEMENT

L.I.R.D.I.S. et L.A.R.M.U.R.A.L., Université Lyon 1

MOTSCLES : IMAGINAIRE BILOGIE EUGENISME PROTECTION VOYEURISME -ANIMISME

RESUME: L'imaginaire du chercheur en biologie est exploré dans les dimensions qui caractérisent le plus la biologie par rapportàd'autres sciences: continuité matière-vie; jeux sur la mort et immortalité, manipulation du vivant et de sa diversité, ou sa protection.

SUMMARY : The biologist 's imaginary is explored in the most significant biological fields in relation to other sciences: matter-life continuity, research on death and irnmortality, experiments on live world and its diversity, or its protection.

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1. INTRODUCTION

Depuis 1968 au moins, l'image du scientifique s'est modifiée: toute une littérature (cf. par exemple Labo-Contestation nOl, 1970) a osé parler des fantasmes du chercheur où s'entremêlent soif de connaître et soif d'être connu, la seconde supplantant bien souvent la première. L'ethnologie sociologique a, depuis, décrit plus en détail ces stratégies individuelles et de groupes qui structurent la production scientifique dans nos pays développés(LATOURetWOOLGAR,1988;LATOUR,1989). Comme celui de tout chercheur, l'imaginaire du biologiste est peuplé d'ambitions plus ou moins avouées, de désirs et projets pour défendre et étendre son territoire, écarter ou distancer les concurrents, convaincre de sa valeur ses pairs et autres juges.

Mais je voudrais surtout évoquer ici ce qui différencie un biologiste d'un autre chercheur, tenter de cerner les imaginaires qui fleurissent plus au coeur de la biologie qu'en pratiquant d'autres sciences. Imaginaires parfois moteurs de la recherche, mais qui recèlent aussi mille pièges.

2. QUAND LA MATIERE DEVIENT VIE

Je ne suis ni physicien, ni chimiste, et ma conception de la matière est sans doute naïve. La matière que je peux manipuler me semble régie par des lois physiques finalement simples et pour l'essentiel connues. Bien sûr, il y a place pour rêver le Cosmos et l'Univers en expansion, ou encore l'infiniment petit, ces quarks et autres particules (imaginaires?) qui mobilisent des centaines de chercheurs et des montagnes. Mais, en bon biologiste, la matière m'intéresse surtout quand elle est ajustée en ensembles auto-reproductibles dont la complexité me fascine parce qu'elle est potentiellement immortelle et parce qu'elle est porteuse de diversifications aussi multiples qu'irréversibles: bref, en un mot, quand la matière devient "vivante".

Certains physiciens, tel PRIGOGINE,ont injecté le temps irréversible dans la complexité physique(PRIGOGINEetSTENGERS, 1979); maisils'agit plus d'analogies avec le vivant que de mécanismes physiques qui fonderaient directement les propriétés du vivant (CLEMENT, 1988). Dans ce langage, le vivant est une structure dissipative, puisant en permanence dans son environnement énergie et matière pour se maintenir en état stationnaire.

Deux types de définitions du vivant me semblent plus pertinentes encore. En tant que système auto-organisationel, "auto-poïétique" selon la défmition qu'en donneVARELA(1989). Et en tant que "noeud de temps divers", pour citer Michel Serres qui insiste: " (...) nous ne comprenons rien au vivant sans penser le temps. Un vivant se fait de temps (...)."

Comment la matière, qui a pu atteindre une telle perfection de complexité, est source d'imaginaires multiples, mythiques et scientifiques:

- soit focalisés sur l'origine ou les origines du vivant, les premières molécules capables d'auto-reproduction, d'auto-organisation, d'auto-complexification: soupes prébiotiques et éléments déchaînés, ...

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- soit focalisés sur le rêve réductionniste d'expliquer toutes les propriétés du vivant à partir de celles des molécules qui le constituent; positivisme nourri de matérialisme, mais pas uniquement comme en témoigne le postulat deTEll..HARD DE CHARDIN(chaque molécule serait porteuse de ce qui n'émerge que lors de leur assemblage, un peu de trace de Dieu, d'esprit humain).

De tout temps, la complexité des êtres vivants a été si fascinante qu'ils ont été désignés comme l'oeuvre des dieux dans les mythes et religions, même quand Dieu les crée à partir de la matière inerte. La science exclue bien sûr, actuellement, l'hypothèse Dieu de sa démarche, mais les mystères du vivant demeurent, et les imaginaires aussi, même chez les chercheurs en biologie.

3. ENTRE LA MORT ET L'IMMORTALITE

La vie est fondamentalement indissociable de l'immortalité(CLEMENT, 1988) : quand une bactérie, ou une cellule, se divise pour en donner deux, elle ne meurt pas, elle ne vieillit pas: elle se multiplie, identique à elle-même, tant que son environnement le permet. Et c'est cet environnement indispensable qui est porteur de mort : aléas climatiques, épuisement des ressources, empoisonnements, ...

L'autre fondement de la vie, face à cet environnement menaçant, est l'erreur dans cette auto-reproduction : la mutation. N'existent plus que les formes potentiellement immortelles qui sont résistantes aux aléas meurtriers de l'environnement

C'est ainsi que le vivant ruse en permanence avec la mort, c'estàdire avec son environnement, en combinant immortalité et erreurs, donc adaptations et diversifications. Jusqu'à l'invention de corps animaux ou végétaux mieux adaptés, plus performants sur l'environnement, mais mortels, reléguant l'immortalité aux gamètes (et aussi à la culture).

Contrôler l'immortalité et la diversification du vivant est au coeur de l'imaginaire du biologiste, autour de pratiques qui cristallisent bien des fantasmes; je ne prendrai que quelques exemples:

- le clonage: il joue sur l'immortalité fondatrice qui continue à caractériser toute cellule. Je peux mourir mais certaines de mes cellules, mises en culture, me survivront, porteuses de tout mon génome. Et le clonage fonctionne déjà pour les roses et les orchidées; mais aussi pour les vaches et les chevaux(àpartir des cellules dissociées d'une blastula). Demain, il est loin d'être impossible que l'on sache cloner une cellule de mon foie, en lui donnant les conditions de développement d'une cellule oeuf, en lui permettant donc de devenir un organisme humain qui aura mon génome; or mon seul foie contient plus de six cent milliards d'hépatocytes...

- les manipulations génétiques: elles jouent sur le contrôle volontaire des mutations, ces erreurs qui ont permis l'adaptation des êtres vivants à des environnements naturels spécifiques. L'imaginaire des biologistes est aujourd'hui de les adapter de force à un environnement humain: des bactéries manipulées fabriquent ainsi de l'insuline dont elles n'ont nul besoin, mais nous oui. La mutation n'est plus erreur aléatoire, et l'homme devient maître de l'environnement qui sélectionne.

- réduire ou sauver la diversité actuelle des êtres vivants : les monocultures d'espèces végétales sélectionnées par des biologistes envahissent la planète, provoquant la disparition

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d'espèces locales traditionnellement utilisées; la même dynamique concerne les animaux d'élevage. En même temps, d'autres biologistes constatent la raréfaction des espèces animales et végétales sauvages dans les paysages domestiqués et pollués par l'homme. L'imaginaire est alors de protéger et de conserver: banques de gènes, d'espèces, parcs naturels et zoos ou jardins pour sauver des espèces en voie de disparition, ...

De ces exemples, il ressort que l'imaginaire des chercheurs en biologie ne peut exister sans référencesàd'autres instances que la biologie. Deux tendances opposées peuvent être dégagées:

1/

Les imaginaires qui sont aujourd'hui au service du productivisme, et qui flinent aussi avec un désir de pouvoir sans contrôle sur le monde. Ils sont source d'un certain dynamisme, celui du "progrès"; mais leurs dangers évidents sont l'eugénisme et une dégradation irréversible de la planète et de ses populations animales et végétales.

2/ Les imaginaires qui sont plus respectueux du vivant et de ses complexités et diversités ; plus conservateurs, ils sont aussi plusàl'écoute de considérations bio-éthiques et écologiques. Ils impliquent d'autres regards au cours des recherches menées, quel que soit le niveau du vivant étudié; mais aussi d'autres priorités de recherche, voire d'autres choix de société. Dans ce sens, ils sont porteurs eux aussi de dynamisme, d'une autre vision de ce que pourrait être le progrès.

Le biologiste reste écartelé entre deux types d'imaginaires antagonistes : celui de la contemplation émerveillée d'un vivant à protéger et à comprendre par de patientes observations respectueuses, et celui de l'intervention plus violente, qui ultracentrifuge, manipule les gènes ou le système nerveux, agence et utilise le vivant selon sa volonté.

Laligne de démarcation entre ces deux tendances traverse sans doute chaque chercheur. Quel biologiste n'est pas fasciné par la complexité du vivant qu'il étudie si patiemment? Mais il veut aussi être efficace dans ses recherches, ce qui suppose certaines violences sur ce vivant qu'il étudie, et des perspectives nécessairement liées au simple projet de trouver des salaires et crédits, conclure des contrats, faire carrière.

4. LE VOYEURISME PASSIONNE DU BIOLOGISTE

l'ai passé 25 ans de ma vie àobserver régulièrement des Rotifères: à la loupe ou au microscope, directement ou sur des films. 25 ans de voyeurisme puisqu'ils (ou plutôt elles, car les Rotifères sont des femelles transparentes et parthénogénétiques, donc vierges!elles peuplent les planctons d'eau douce, et leur parthénogenèse étant mitotique, elles constituent des clones naturels ... d'où mon intérêt pour elles) donc puisqu'elles n'ont jamais "su" que je les observais. Une telle fréquentation assidue ne peut pas ne pas faire travailler l'imaginaire du chercheur, qu'il se l'avoue ou non. Et même si les publications scientifiques mettent comme il se doit l'objet d'étudeàdistance, uniquement cadré par des considérations théoriques, le quotidien de la recherche est bien autre: plaisirs esthétiques, projections, dialogues, rêves...

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amoureux: il lemimequandilen parle, et n'en parle jamais n'importe comment

Bien sûr, cet animal, c'est la carrière scientifique du biologiste : l'un est souvent associéà l'autre, et réciproquement. L'animal est "docile" s'il permet l'obtention de résultats espérés, maisil peut être "rebelle" s'il oblige le chercheur à changer de méthodes ou d'hypothèses. Cet imaginaire est sans doute communàtoutes les sciences expérimentales. Et il est plus développé en biologie,àcause de l'imprévisibilité si fréquente de l'être vivant qui favorise sa personnification; sans parler d'autres analogies, réelles ou fantasmées, avec une personne humaine.

Dans notre culture, les animaux sont humanisés: des fables de la FontaineàMickey Mouse ou Maya l'abeille, en passant par les nounours de notre enfance. Chaque animal, dans nombre de civilisations, est synonyme de sentiments, de symboles, de rites.Leregard du scientifique ne peut fairefide ces représentations qui nourrissent souvent la relation complexe qu'il entretient avec "son" animal.Ledanger est donc permanent de prêter àl'animaldes réactions humaines qui sont loin d'être les siennes propres. Ce danger est particulièrement présent en éthologie, comme en témoignent certains aspects des monographies de FABRE ou de MAETERLINCK sur des insectes.

n

est en effet très difficile de concevoir ce qu'est l'univers propre de chaque animal, l'Umwelt défmi parVONUEXKUll.. Et encore plus difficile de comprendre, à chaque instant de l'observation, qu'on établit une relation RI avec le comportement étudié qui est lui-même une relation R2 entre l'animal et son propre environnement (GAllO, 1988).

L'imaginaire d'un biologiste est structuré par ses limites perceptives humaines. Comment se représenter l'univers coloré d'une abeille dont on sait qu'elle perçoit l'ultra-violet et la lumière polarisée? et l'univers d'un animal qui voit trèsmalmais se dirige aux odeurs, notammentàcelles de phéromones que nous ne percevons pas du tout?

Lapersonnification de l'objet vivant étudié ne se limite pas aux animaux. Nombre de textes rédigés par d'éminents scientifiques, surtout des traités ou des articles de vulgarisation, donnent visage humainàdes cellules, ou encore, comme dans le dessin animé

"n

était une fois...la vie", diffusé par FR3 l'an dernier, aux enzymes et molécules, en même temps qu'à certaines cellules ou fonctions, alors que d'autres éléments intracellulaires forment des décors (lETU, 1989). Même le cytologiste DE DUVE,dans son traité sur la cellule, a représenté des molécules sous forme de silhouettes humaines présentant plus ou moins d'affmités entre elles après avoir été mises en contact autour d'un enzyme-décor.

L'imaginaire d'un chercheur en biologie est donc nourri par sa passion voyeurlste qui favorise l'humanisation du vivant observé.

n

peut en nourrir le quotidien de sa vie de chercheur, mais savoir ensuite prendre des distances lors de ses publications scientifiques; mais ce n'est pas toujours le cas. De plus, pour conceptualiser et décrire son objet d'études, il ne dispose en général que d'un vocabulaire chargé de sens anthropocentré.

Cest ainsi que le "transfert d'affinités" entre molécules fait rêverDE DUVE.Mais c'est aussi ainsi que le scientifique propose des descriptions et métaphores qui disent toujours plus que ce qu'il aurait voulu en principe dire. Et que ces métaphores sont ensuite largement reprises dans la vulgarisation scientifique: qu'il s'agisse de la cellule-usine décrite parJ.de Rosnay, ou du gène égoïste proposé par Dawkins et les sociobiologistes.

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5. IMAGINER TOUT VIVANT A L'INTERSECTION DE TEMPS DISTINCTS

C'est sans doute à cet égard que l'imaginaire du biologiste est le plus riche, car il doit en pennanence jongler avec des échelles de temps différentes qui ont toutes leur pertinence par rapportà ce qu'il étudie.

Ainsi, certaines des espèces décrites, voire ramenées lors d'expéditions scientifiques du siècle dernier, ont aujourd'hui disparu. Et les bactéries sur lesquelles travaillent les chercheurs d'un laboratoire médical seront-elles demain résistantesàl'antibiotique qu'ils fabriquent aujourd'hui? ce ne seront plus les mêmes. Ces successions irréversibles de populations et d'espèces, qui constituent la micro- et la macro-évolution, renvoientàdes durées plus ou moins longues, jusqu'aux temps géologiques des plus anciens fossiles. L'histoire humaine, celle de nos populations et civilisations, n'est qu'une partie infime de cette rnicro-évolution qui dure depuis l'apparition de l'espèce humaine et sa préhistoire. L'origine de l'homme, elle, relève de périodes précédentes, et de la macro-évolution.

Tout autre est le temps de l'histoire individuelle, de l'embryogenèse au vieillissement en passant par l'ontogenèse. C'est le temps de mon organisme, de ses apprentissages, de ses comportements et productions.

Ce temps est rythmé par les années, les saisons, les cycles lunaires, les jours et les nuits, les heures de repas et de jeûne...

Tout autre aussi est le temps immédiat, celui durant lequel je réagisàune situation précise, mobilisant mes différents types de mémoire, avec des enchaînements mentaux où s'articulent automatismes et interactions avec l'environnement.

Mais plus nombreux encore deviennent ces temps de référence si je m'intéresse à chaque élément de mon corps: à la durée de vie de chacune de mes cellules, du neurone qui naît et meurt avec moi, jusqu'à l'entérocyte qui ne vit pas plus de 48 heures; si je m'intéresse aux durées des mécanismes physiologiques qui régissent mes organes et cellules: rythmes cardiaques ou respiratoires, temps de latence dans la perception ou dans la contraction musculaire. Durées plus courtes pour la perméabilité membranaire, la propagation de l'influx nerveux, le cycle de Krebs.

Bien sûr, selon le problème qu'il se pose, chaque biologiste choisit d'abord ses échelles de temps. Mais le même fait ne peut souvent être réduit àl'une de ces échelles : l'étude d'un comportement, par exemple, renvoie àplusieurs systèmes de causalité (les quatre "pourquoi" formulés par TINBERGEN, 1963) : causalité immédiate

=

en relation avec les événements qui déclenchent le comportement; mais aussi ontogénétique=expression d'empreintes et apprentissages individuels; phylogénétique enfin=expression des adaptations de l'espèce; sans oublier la fonction de ce comportement

=

la dimension sociale qu'il exprime et qu'il renforce.

Alors que toute sa vie de recherches est une patiente approche des "comment", l'imaginaire du biologiste reste obsédé par la question des "pourquoi".

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5.

BIBLIOGRAPHIE

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