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Le contact des langues et des cultures dans une Classe de FLE

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

UNIVERSITE ABDELHAMID IBN BADIS MOSTAGANEM Faculté des langues étrangères

Département de langue française

MEMOIRE

EN VUE DE L’OBTENTION DU DIPLOME DE MASTER ACADEMIQUE

Filière : LANGUE FRANCAISE. Spécialité : LANGUE ET CULTURE

Intitulé

Le contact des langues et des cultures dans une

Classe de FLE

Cas de la 4ème année moyenne.

Réalisé par : Dirigé par :

ZERARI Khawla M. BELLATRECH Houari

Année universitaire

2019/2020

(2)

REMERCIEMENTS

Je tiens à remercier exceptionnellement mon cher professeur et encadreur Mr.

BELATRACHE Houari pour son soutien permanent et ses recommandations qu’il ma fait.

Je remercier aussi mes enseignants de la faculté des lettres et des langues département des

Lettres et des langues françaises pour leur encouragement et soutien moral.

De même je tiens à remercier mes amis et collègues.

Enfin, j’adresse mes remerciements à ma famille qui a fait tout pour me mettre dans des Bonnes dispositions afin que je puisse accomplir ce travail.

Je remercier également tous ce qui de prés ou de loin m’ont apporté leur soutien. Qu’ils Trouvent ici ma profonde reconnaissance.

(3)

« L’amour est un sacrement qui doit être pris à genoux » Oscar Wild

Je dédie ce modeste travail :

A la personne la plus patiente et la plus géniale au monde qui a sacrifié pour nous assurer une bonne éducation. Ma Mère, mon inspiration, mon ange sur terre, ma raison de vivre et

de rire, c’est celle qui donnerait sa vie pour moi ….JE T’AIME MA PRINCESSE

A mon deuxième ange sur terre ; mon père pour m’avoir soutenu et encouragée de poursuivre mes études, de ne jamais abandonner, ni lâcher-prise. Mon père qui a toujours

Su engorger mes lacunes …. JE T’AIME MON ROI

A ma grande sœur, mon idole, ma conseillère, NOURELHOUDA, qui était toujours à mes cotés pour me soutenir et m’encourager avec ses paroles et qui a une place instinctive dans

mon cœur.

A ma deuxième famille qui était toujours avec moi avec leur courage et soutien la famille de mon mari BENNOUHE et mon futur mari BENNOUH Read.

A mes chères frères SID ALI et SALAH EDDINE que je les aime énormément, que dieu les protège.

A toutes mes amies que j’aime tellement AMINA, IKRAM, CHAHINEZ. A toute la famille ZERARI et MOUALID.

A tous ceux qui m’aiment et ceux que j’aime

A toutes les personnes qui m’ont aidé pour mener à bien ce mémoire A l’âme de ma chère grande mère

(4)

Table des matières

Remerciement Dédicace

Introduction Générale ………..…01

PREMIERE PARTIE : Cadrage théorique……… CHAPITRE 01 : LANGUE ET CULTURE ……… 1-CONCEPTS CLES A DEFINIR:... 08

1.1.LA CULTURE ... 08

1-1-1 Les composantes de la culture ... 09

1.2.LA LANGUE : ... 10

2-LE RAPPORT ENTRE LA LANGUE ET LA CULTURE ... 11

3-LES COMPOSANTES DE LA NOTION CULTURELLE ... 11

3.1-LA COMPOSANTE TRANSCULTURELLE ... 11

3.2.LA COMPOSANTE METACULTURELLEJ ... 11

3.3.LA COMPOSANTE INTERCULTURELLE ... 12

3.4.LA COMPOSANTE PLURICULTURELLE ... 12

4-1- L’OBJECTIF DE L’ENSEIGNEMENT DU FLE DANS LE CYCLE MOYEN ... 13

5 - LA LANGUE ET LA CULTURE DANS UNE CLASSE DE FLE ... 14

6- L’APPRENANT ENTRE LA CULTURE ETRANGERE ET SA PROPRE CULTURE .. 16

1-1REFERENTIEL GENERAL DES PROGRAMMES : ... 16

CONCLUSION ...17

CHAPITRE 02 : L'ENSEIGNANT / LE ROLE DE L'ENSEIGNANT ……… 1-français au cycle moyen ………...19

2- L’ENSEIGNANT / LE ROLE DE L’ENSEIGNANT (FORMATEUR ET PASSEUR CULTUREL) ... 20

(5)

CHAPITRE 01 : PHASE METHODOLOGIQUE ……… METHODOLOGIE DE LA MEMOIRE : ... 27 1-TYPEDEL’ETUDE ... 27 2-POPULATIONDEL’ETUDE ... 27 3-OUTILDEL’ETUDE: ... 27 4-LEQUESTIONNAIRE: ... 27

5-LESLIMITESETCONTRAINTEDEL’ETUDE: ... 28

CHAPITRE 02 : PHASE EMPIRIQUE ………… ……… 1-ANALYSE ET INTERPRETATIONDES DONNEES ET DES RESULTAS ... 30

1-LE CORPUS ... 30

2-. ANALYSE LES REPONSES DES ENSEIGNANTS :... 33

3-INTERPRETATION POUR LES REPONSES DES ENSEIGNANTS ... 33

4-ANALYSE LES REPONSES DES APPRENANTS : ... 33

5-INTERPRETATION LES REPONSES DES APPRENANTS : ... 37

SYNTHES ……….…38

CONCLUSION ……….…39

(6)

Introduction GENERALE

Introduction

L’importance de l’apprentissage des langues étrangères n’est plus à prouver. De nous jours, il devient une exigence sine qua non dans un monde qui s’ouvre de plus en plus sur la mondialisation, les nouvelles technologies et les relations internationales. En prenant en compte de telles considérations, il est nécessaire que l’enseignement / apprentissage des langues étrangères devrait s’appuyer sur une démarche visant l’objectif de socialisation et d’éveil à l’ouverture et la familiarisation avec d’autres perceptions du monde et d’autres cultures.

Dans la didactique des langues étrangères, l’apprentissage de la culture et de la langue cible n’a pas toujours été considéré comme important. C’est seulement au milieu des années 1960 sous l’essor du concept * compétence communicative * que la compétence culturelle commence à être prise en compte au même titre que la compétence linguistique.

Il était admis que pour être complète, une compétence communicative doit inclure une compétence culturelle. Cela veut dire que pour bien communiquer en langue étrangère, l’apprenant doit connaitre la culture, le pays et l’environnement ou la langue cible est parlée, dans le sens ou la compétence culturelle est indissociable de la compétence communicative.

Ainsi, la compétence culturelle se définit comme le savoir relatif aux modes de vie, aux schémas, aux valeurs et à croyances différentes du groupe linguistique.

Apprendre et maitriser par la suite une langue étrangère permet aussi de réfléchir au sens des mots et de confronter les valeurs, les gestes, les codes, etc.., que l’on vous à inculqués aux valeurs. Gestes, codes, dans une autre culture.

L’apprentissage des langues est une école de la tolérance. Selon THOLLIEZ, d’autres ont développé des solutions totalement différentes des nôtres aux problèmes quotidiens. Nous apprenons à réfléchir à nos propres comportements, à remettre en cause soit notre admiration spontanée, soit notre aversion pour telle ou telle autre culture. Il est intellectuellement très enrichissant de saisir les réalités différentes qui peuvent se cacher derrière les mots.

(7)

CHOIXDUTHEME

Mon thème c’est le contact des langues et des cultures au sein d’une classe du FLE Durant mon expérience dans l’enseignement dans le collège d’OULED MEALLAH.

J’ai remarqué le grand nombre d’unités liées à la culture ; apprendre une langue étrangère c’est ouvrir la porte à des nouvelles expériences et à des nouvelles cultures ; qui permettent de s’intégrer dans un monde en plein évolution.

Et c’est pour cette raison que j’ai choisi ce thème afin d’apporter éclaircissements, que j’espère seront bénéfiques par le biais de ce modeste travail de fin d’études.

(8)

Introduction GENERALE

PROBLEMATIQUE

Dans l’enseignement du français langue étrangère, il semblerait normal que l’accent soit placé sur l’apprentissage de la langue en premier lieu. Il nous parait donc important de rappeler les relations étroites que celle-ci entretient avec la culture.

Le défi culturel est d’enseigner la langue et sa culture et de montrer comment la culture des apprenants entre en interaction avec une culture toute autre en tenant compte des divergences culturelles.

Donc comment en peut s’opère cette interaction entre la culture française et la culture de l’apprenant algérien et est-ce que en peut trouver des points similaires entre les deux cultures pour faciliter le processus d’enseignement apprentissage et pour permettre mieux communiquer avec cette langue ?

(9)

HYPOTHESES

Plusieurs hypothèses peuvent êtres émises, pour l’objectif de notre étude, nous en retiendrons deux :

Les pratiques enseignantes de la langue n’ont aucune influence sur la compétence culturelle dans l’enseignement apprentissage dans une classe de FLE.

Les pratiques enseignantes de la langue influencent positivement la compétence culturelle.

(10)

Introduction GENERALE

OBJECTIFS

Les objectifs visés à travers cette recherche sont :

Sensibilisation des enseignants de français à apprendre conscience de l’importance de la dimension culturelle en classe de FLE au cycle moyen et d’attirer leurs attentions sur l’absence d’une stratégie pour faire avancer et développer l’enseignement apprentissage de celle-ci.

Clarifier la position de la compétence culturelle dans une classe de

FLE cycle moyen 4ème année.

Exhorter les enseignants à enseigner les compétences culturelles, car apprendre une langue étrangère signifie à apprendre sa culture.

Dégager les différentes dimensions culturelles présentées par le manuel scolaire de 4ème année moyen.

(11)
(12)

CHAPITRE

01

(13)

DEFINITIONS DES CONCEPTS

1-Concepts clés à définir:

1.1. La culture

L’UNESCO définit la culture comme étant : « Dans son sens le plus large, est considéré

comme l’ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et lettres, et les modes de vie, les droits fondamentaux de l’être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances »1. En d’autres termes, la culture peut être définie comme un

ensemble lié de manières de penser, de sentir et d’agir plus ou moins formalisées qui, étant apprises er partagées par une pluralité de personnes, servent, d’une manière à la fois objective et symbolique, à constituer ces personnes en une collectivité particulière et distincte.

Ses caractéristiques principales, sont

La culture s’adresse à toute activité humaine, elle est action vécu par les personnes (penser, sentir, agir).

Elle est formalisée (plus ou moins) à travers des codes de lois, formules rituelles, cérémonies, connaissances scientifiques, technologie, théologie, mais aussi à des degrés divers, les arts, le droit coutumier, les règles de politesse…

Elle est partagée par une pluralité de personnes : manière de penser, sentir, agir, considérées comme idéales ou normales.

Elle s’acquiert de différents modes et mécanismes d’apprentissage.

Elle contribuer à constituer une collectivité de manière à la fois objective et symbolique.

Elle forme un « ensemble lié », elle est un système dont les éléments constitutifs sont unis dans une cohérence, ressentie subjectivement par les membres d’une société.

1

-(M .THEBERGE op.cit.p268).

(14)

Chapitre01

langue et culture

Certains estiment que la culture serait inégalement distribuée : en ce sens, certaines personnes auraient de la culture tandis que d’autre n’en auraient pas ou peut. Or, la culture est inhérente à chaque groupe humain, elle est donc chargée d’une forte connotation

ethnocentriste. Ce qui constitue la culture pour un groupe humain n’est pas nécessairement le même pour un autre groupe et réciproquement.

1-1-1 Les composantes de la culture

Il est important de clarifier de plus la notion de la culture dans notre recherche en citant deux composantes fondamentales :

La culture cultivée :

La notion de la culture cultivée ou la culture cultivée ou la culture savante à été

développé à travers le temps. Ce développement a connu certain élargissement accompagnée plus de précision en parallèle avec la prise de conscience de l’importance de la culture dans l’accomplissement, plus ou moins, réussie de l’acte communicatif. Pour le célèbre Robert GALISSON, ce concept est vu comme : « la conception plus ancienne de la culture en

classe de FLE. Elle englobe le domaine de ’’Belles-Lettres’. Cette culture correspond à des savoirs concernant davantage de littéraire, considéré comme la source de tout savoir, les grands événements, les réalisations artistiques, etc. Elle essentiellement transmise par les institutions éducatives. Pour être la seule présente dans les classes des langues depuis longtemps ».1

La culture anthropologique ou partagée

Cette deuxième partie de la culture touche beaucoup plus la conduite d’un individu

appartenant à un groupe social. « La culture anthropologique gouverne la plupart des attitudes,

des comportements des représentations et des habitudes des locuteurs. Elle correspond à la manière dont les indigènes ’’voient le monde ’’ ». De ce fait, louis PORCHER souligne

l’importance de cette culture dans les processus d’enseignement / apprentissage de FLE, car : «

Ce sont les pratiques culturelles qui marquent les comportements et les conduites des individus. La présentation de ces pratiques dans la classe

1

- Robert GALISSON.

(15)

Permet à l’apprenant de prendre conscience de la relativité de ses habitudes et de ses pratiques, c’est-à-dire que sa représentation et sa vision du monde n’est qu’une parmi d’autres. L’enseignement de la langue pourra alors être une initiation à la tolérance et à l’acception de la différence. Par rapport à la culture cultivée, cette composante de la culture à été depuis toujours marginalisée. Elle n’a pénétré les cours de FLE qu’au milieu des années quatre-vingt. Seule la culture savante est considérée comme représentation de la culture nationale. Ces dernières années, tout converge pour affirmer que la culture

anthropologique est incontournable dans l’acquisition d’une compétence culturelle, dans la mesure où elle offre aux apprenants étrangers assez d’informations sur les indigènes, qui seront utiles en cas de contact direct avec eux ».1

1.2. La langue :

Selon SAUSSURE la langue est « un système de signes exprimant des idées, et par là,

comparables à l’écriture, à l’alphabet ».2

Du point de vue didactique, la langue se définit comme « un objet d’enseignement

apprentissage composé d’un idiome et d’une culture »3.De ce fait, nous pouvons dire que la

langue et la culture sont considérées comme un couple indissociable, on ne peut jamais les séparer, car c’est à travers la langue qu’on découvre les diversités et les richesses

culturelles d’une société.

Dés que les premières réflexions sur la didactique du FLE, il est admis que la culture et la langue sont liées. Louis porcher signale que dans le principe épistémologique, langue et culture sont indissociables, elles ne peuvent exister indépendamment les uns des autres, «

toute langue véhicule avec elle est à la fois la productrice et le produit ».4 affirme

PORCHER (1995). Toutefois, dans les faits pédagogiques, il n’en va pas toujours ainsi, l’enseignement de la culture, qui accompagne et complète l’enseignement linguistique, soulève beaucoup de difficultés.

1

- louis PORCHER. P53.

2

- SAUSSURE.

3

- (Jean pierre Cuq et Isabelle).

4

- PORCHER (1995).

(16)

Chapitre01

langue et culture

2-Le rapport entre la langue et la culture

On a constaté la définition de chaque concept, ainsi toutes langues est porteuse d’une culture et nous ne la dissocions. En réalité la langue véhicule et transmet par l’arbitraire de son lexique, les schémas culturels du groupe qui la parle et de sa syntaxe, elle représente également le moyen utilisé par l’individu pour exprimer ses pratiques culturelles et

sociales, ainsi que sa vision du monde à partir des mots chargés de comportements sociaux et de valeurs.

Donc la langue est le transport des comportements, des arts, des rites, des mythes et de la littéraire, de ce fait nous ne pouvons pas enseigner ou parler une langue étrangère sans exposer sa culture.

La culture représente un style originale qui partage à travers : la langue-les croyances-les costumes l’art…etc. Elle est considérer comme un apprentissage des modèles de conduites d’intègre d’individu dès l’enfance et qui permet de s’intégrer dans une société donnée.

Enfin, nous avons réfléchir que la langue et la culture sont deux notions liés, la première étant le véhicule pour arriver à la deuxième.

3-Les composantes de la notion culturelle

3.1-La composante transculturelle

Est la capacité de saisir et de comprendre des univers de vie individuels dans une situation donnée et par rapport à des contextes différents. Elle concerne la reconnaissance des valeurs universelles, spécialement dans les grands contextes classiques. Elle présuppose un fond commun à toute l’humanité malgré les différences culturelles. Elle est la « capacité à retrouver, dans les grands textes classiques, sous la diversité des manifestations culturelles. »

3.2. La composante métaculturelle

C’est l’ensemble des connaissances que l’apprenant acquiert sur la culture cible en travaillent avec des documents authentique. Ces connaissances rendent possibles la réflexion et la comparaison entre la culture cible et la culture origine. Elle est la « capacité à mobiliser les connaissances culturelles acquise et extraire de novelles connaissance culturelles à propos à partir de documents authentiques représentatifs de la culture étrangère, consultés en

classe ou chez soi ».

(17)

3.3. La composante interculturelle

C’est la rencontre entre deux modes de vie (cultures), qui suppose un contact et un échange réciproque entre eux. Elle est la « capacité à gérer les phénomènes de contact entre cultures différents lorsque l’on communique avec des étrangères dans le cadre de rencontres ponctuelles. D’échanges, de voyages ou de séjours touristiques, en particulier en repérant les incompréhensions causées par ses représentations préalables de la culture de l’autre, et les mécompréhensions causées par les interprétations faites sur la base de son propre référentiel culturel ».

3.4. La composante pluriculturelle

C’est la compétence à communiquer langagièrement et à interagir culturellement d’un acteur social qui possède la maitrise de plusieurs langues et l’expérience de plusieurs cultures à des degrés divers. La composante pluriculturelle concerne la capacité d’être compétent dans plusieurs cultures et la « capacité à gérer culturellement le vivre ensemble.

4 -

L’enseignement des langues au cycle moyen et les finalités de l’éducation

Le système éducatif algérien a reconnu une refonte y compris le programme de français pour le cycle moyen. Les finalités de l’enseignement du français ne peuvent se dissocier des finalités de l’ensemble du système éducatif. La loi d’orientation sur l’Education Nationale (n°08-04 du 23 janvier 2008) définit dans les termes suivants les finalités de l’éducation :

« l’école algérienne a pour vocation de former un citoyen doté de repères nationaux

Incontestables, profondément attaché aux valeurs du peuple algériens, capable de

comprendre le monde qui l’entoure, de s’y adapter et d’agir sur lui et en mesure de s’ouvrir sur la civilisation universelle ».1

De ce fait, l’école qui assure les fonctions d’instruction, de socialisation et de

qualification doit notamment « permettre la maitrise d’au moins deux langues étrangères et

tant qu’ouverture sur le monde moyen d’accès à la documentation et aux échanges avec les cultures et les civilisations étrangères ».

L’énonce des finalités de l’enseignement des langues étrangères permet en matière de politique éducative, de définir les objectifs généraux de cet enseignement en ces termes.

1

- La loi d’orientation sur l’Education Nationale (n°08-04 du 23 janvier 2008). 12

(18)

Chapitre01

langue et culture

« L’enseignement /apprentissage des langues étrangères doit permettre aux élèves algériens

D’accéder directement aux connaissances universelles, se s’ouvrir à d’autres cultures (…) les Langues étrangères sont enseignées en tant qu’outil de communication permettant l’accès

direct à la pensé universelle en suscitant des interactions fécondes avec les langues et cultures nationales. Elles contribuent à la formation intellectuelle, culturelle et technique et

permettant d’élever le niveau de compétitive dans le monde économique ».1

Ces derniers objectifs révèlent clairement l’importance accordée à l’objectif culturel. La familiarisation avec les autres cultures francophones ne peut être réalisé que si l’apprenant est exposé à ces différents cultures. Donc l’enseignement du FLE vise à faire de l’apprenant un citoyen responsable et actif au sein de la société, de part les connaissances qu’il aura à acquérir sur le monde, sur sa diversité et son évolution. Vu les objectifs signalés au programme, l’enseignement/ apprentissage du FLE donne à l’apprenant la possibilité

d’accéder à d’autres usages, à d’autres modes de vie, à d’autres valeurs et à d’autres cultures. Il cultive la tolérance et la paix dans la mesure où il prépare l’apprenant à admettre et à respecter les différences.

4-1- l’objectif de l’enseignement du FLE dans le cycle moyen

L’enseignement du français à des finalités qui se différent d’un cycle à un autre. Le cycle moyen en Algérie est un parcours de 4ans d’études ou les objectifs sont variés d’une année à une autre qui se résume à développer des compétences…à partir des différents textes : argumentatif, narratif, descriptif, ou, explicatif. Et les reformules et produire des différents cours. Ainsi, rédiger les différents types des textes comme il est dans le document

d’accompagnement au programme de langue française 4ème année moyenne AM.

« Au terme du cycle moyen, dans le respect des valeurs et par la mise en œuvre de

compétence transversales, l’élève est capable de comprendre/ produire des textes oraux et Écrits relevant de l’explicatif, du prescriptif, du narratif, et de l’argumentatif et ce,

en adéquation avec la situation de communication ».

Et pour l’objectif principal en 4ème année moyenne cherche à installer des compétences argumentatives à l’oral et à l’écrit. Aussi, à la fin de cette étape, l’élève doit être capable de produire des énonces et des textes afin de exprimer ses opinions et convaincre l’autre.

1

- La loi d’orientation sur l’Education Nationale (n°08-04 du 23 janvier 2008). 13

(19)

5

- La langue et la culture dans une classe de FLE

Pour J. DUVERGER. « Parler la langue de l’autre, c’est déjà accepter l’autre avec ses

différences, ses caractéristiques, c’est le comprendre dans ses valeurs de types affectif ou intellectuel, dans ses relations à la nature, à l’amour, à la nourriture ou à la logique ».1

La langue est un moyen de communication et de transmission de connaissances, elle constitue aussi un élément déterminant de l’identité culturelle pour un individu ou par un groupe. L’apprentissage de la langue ne va pas sans la culture, de ce fait, les deux éléments (langue / culture) sont indissociables. En classe, la culture est enseignée en parallèle avec la langue, c’est-à-dire est une partie intégrale de la langue et sa structure.

ZARAT dit que « la classe de langue a été définie comme le lieu ou s’enseignait plus

une technicité linguistique que la relation à l’autre ».2 Dans une classe de langue, la finalité

de l’enseignement (langue/culture) est de faire acquérir à l’apprenant une compétence linguistique et la culture cible au même temps.

Aujourd’hui, l’enseignant dans une classe de langue prend un rôle très important dans l’éducation de la culture c’est un bon médiateur, il cherche toujours les moyes et les procédés qui redent la culture enseignable.

En bref, on peut résumer l’enseignement de la culture dans les points suivants :  Toute culture est enseignée au début d’un apprentissage de la langue étrangère,

afin que éviter les faux points de vue d’une culture. 

 On ne peut pas enseigner la culture comme une manifestation de la langue, c’est une partie qui à intégré dans la pédagogie.

 A travers l’apprentissage de la culture, on cherche comment découvre la nouvelle culture.

 La culture est abordée de manière implicite dans les classes de langues, donc c’est l’apprenant d’approfondir son apprentissage.

 Un apprenant doit s’adapter au répertoire linguistique complexe d’un bilingue. 

 L’ouverture sue le monde, invitée les apprenants à arriver à élargir leur vision sur le monde extérieur et connaitre les autres civilisations.

1

- J. DUVERGER.

2

- ZARAT.

(20)

Chapitre01

langue et culture

 Les connaissances de la culture de l’autre permettent l’apprenant de découvrir

la différence et la ressemblance entre les cultures. 

 Identifier l’autre culture dans l’éducation permet à la composition au futur d’un citoyen peut coexister avec des idées et des croyances variante. 

 Aider les apprenants à saisir les fonctionnements des interférences interculturelles. 

 Permettre à l’apprenant de chercher des idées a propos la culture à partir de ce qu’il entendu, ou de ce qu’il a lu.

 Valoriser la diversification des langues à l’école.

L’enseignent de langue il est un intermédiaire au service de l’accès à la culture qu’elles véhiculent dans un monde sans frontière. La classe de langue c’est un lieu privilégie du contact interculturel.

Pendant le processus de l’enseignement/ apprentissage du FLE, l’apprenant apprend des systèmes linguistiques différents, qui sont sa langue source, et la langue qu’il est en train d’apprendre ou la langue cible, ce qui permet la mise en contact de deux langues et par conséquent de deux cultures.

La culture de l’apprenant est davantage prise en compte et valorisée, elle est la base sur laquelle se construit l’apprentissage d’une nouvelle culture. Pour MYRIAM DENIS : « le cours de langue constitue un moment privilégié qui permet à

l’apprenant de découvrir d’autres perceptions et classifications de réalité, d’autres valeurs, d’autres modes de vie, Bref apprendre une langue étrangère, cela signifie entrer en contact avec une nouvelle culture ».1

Une définition de la culture qui est nécessaire dans ce processus, cette définition nous amène à réfléchir sur les représentations que l’apprenant se fait de la langue étrangère, les préjugés et les stéréotypes en tant qu’éléments importants dans l’acquisition de compétence interculturelle.

1

- MYRIAM DENIS.

(21)

6- l’apprenant entre la culture étrangère et sa propre culture

Connaitre les règles d’une langue (le lexique, la syntaxe et la grammaire) cela ne veut pas dire qu’ils permettent une communication parfaite. Pour communiquer et s’exprimer d’une manière idéale, la culture impose son existence est une constituante essentielle. Donc la langue et la culture soit inséparables dans l’enseignement/apprentissage d’une langue étrangère.

« L’apprenant d’une deuxième langue (ou langue étrangère) et d’une deuxième culture(ou

culture étrangère) ne perd pas la compétence qu’il a dans sa langue et sa culture maternelle. Et la nouvelle compétence en cours d’acquisition n’est pas non plus totalement indépendante De la précédente. L’apprenant n’acquiert pas deux façons étrangères d’agir

et de communiquer. Il devient plurilingue et apprend l’inter-culturalité. Les compétences linguistiques et culturelles relatives à chaque langue sont

modifiées par les connaissances de l’autre et contribuent à la prise de conscience, aux habilités et aux savoir-faire interculturels. Elles permettent à

l’individu de développer une personnalité plus riche et plus complexe et d’accroitre à apprendre d’autre langue étrangère et à savoir à des

expériences culturelles nouvelles. ».1

Le français langue étrangère prendre en considération les liens qui existent entre l’apprentissage d’une langue et la culture d’origine de l’apprenant. De cette coïncidence, la culture ne doit pas devenu les sens traditionnel du terme (littéraire, civilisation,

historique, quotidien : les pratiques culturelles communes exposes dans les appartenances les plus quotidiens de la vie sociale.

1

-(Cadre européen, introduction).

(22)

Chapitre01

langue et culture

CONCLUSION

Dans ce chapitre on a traité les notions et concepts clés qui sont nécessaire dans l’enseignement-apprentissage de la dimension culturelle et on a met l’accent sur

l’enseignement des langues étrangères au cycle moyen et la place de la langue française au dessous.

Donc la classe est inévitablement l’espace ou se croisent et s’interférent plusieurs cultures, ce qui conduit généralement à des conflits, des malentendus, des

incompréhensions, à une méfiance de l’autre et aussi aux problèmes de représentations.

Les enseignants doivent tout mettre en œuvre pour que l’apprenant vois différents culture sous un angle positif et enrichissant, pour interagir et avoir des relations

interculturelles avec l’autre. Sans bien sur autant lui faire abandonner ses valeurs, ses principes et ses repères culturels. En effet, c’est ce qui constitue l’un des objectifs de tout enseignement/ apprentissage d’une langue étrangère : prendre conscience tout d’abord de sa propre culture, la respecter pour pouvoir accepter, reconnaitre la culture de l’autre et

s’ouvrir à lui.

(23)

CHAPITRE

02

L’ENSEIGNANT

LE

ROLE

DE

L’ENSEIGNANT

(24)

Chapitre02

L’enseignant/ Le rôle de l’enseignant

INTRODUCTION

L’institution scolaire est considérée comme un lieu de formation du bon citoyen et la langue française « langue étrangère » est considérée en Algérie comme étant la langue de prestige et de la réussite professionnelle. Il est souligné dans les instructions officielles que «

le français définis comme moyen d’ouverture sur le monde extérieur doit permettre à la fois l’accès à une documentation scientifique d’une part mais aussi le développement des échanges entre les civilisations et la compréhension mutuelle entre les peuples ».

Garantir la communication en français dont l’apprenant doit maitriser les fonctionnements est objectif primordial annoncé dans les programmes scolaires « (…) apprendre à communiquer dans cette langue pour établir des échanges discursifs et interactifs »

Il est essentiel de considéré les enseignants comme des acteurs d’importance dans l’enseignement/ apprentissage du FLE. Ils ont un impact à plusieurs niveaux, notamment celui de leur investissement dans une relation humaine avec leurs élèves et surtout en faveur de ceux qui éprouvent des difficultés personnelles et scolaire ainsi que dans l’établissement d’une relation dont l’objectif serait une action complémentaire avec les parents de leurs apprenants qui est très important.

La relation enseignant-apprenant occupe une place centrale dans la réussite des apprenants. Ces derniers voient en cette relation en cette relation une condition de réussite de leur projet d’étude. Cette relation est d’autant plus déterminante que les apprenants ont besoin de soutien dans leur recherche d’autonomie. Ils considèrent que les enseignants représentent l’élément déterminant mis à contribution par le système dans l’atteindre de leur objectif.

Dans ce cas précis, l’enseignant doit lui-même avoir cette identité culturelle ouverte sue les autres cultures. La culture française en l’occurrence. Il devra susciter chez ses apprenants le besoin de connaitre cette culture à travers l’apprentissage de sa langue afin de pouvoir se trouver lui-même à travers la découverte de l’autre, d’accepter et de respecter l’autre et vice-versa.

(25)

1 - Le français au cycle moyen

Le français en tant que matière enseignée au cycle moyen, jouit d’une place très

importante. Il est considéré parmi les matières essentielles. On lui accorde un volume horaire de 5 heures de rattrapage par semaine pour les 4 niveaux. Pour l’évaluation sommative du français, les élèves doivent passer trois examens dans chaque trimestre : deux devoirs et une composition, quant aux coefficients :

1 pour la première année.

2 pour la deuxième et la troisième année. 

3 pour la quatrième année.

Le nouveau programme de français pour le cycle moyen s’inscrit dans le cadre de la refonte du système éducatif. Les finalités de l’enseignement du français ne peuvent se dissocier des finalités de l’ensemble du système éducatif.

La loi d’Orientation sue l’Education Nationale (n°08-04 du 23 janvier 2008) définit dans les termes suivants les finalités de l’éducation :

« L’école algérienne a pour vocation de former un citoyen doté de repères

nationaux incontestables, profondément attaché aux valeurs du peuple algérien, capable de comprendre le monde qui l’entoure, de s’y adapter er d’agir sur lui et en mesure de s’ouvrir sur la civilisation universelle ».1

A ce titre, l’école qui assure les fonctions d’instruction, de socialisation er de qualification doit « permettre la maitrise d’au moins deux langues étrangères en tant

qu’ouverture sur le monde et moyen d’accès à la documentation et aux échanges avec les cultures et les civilisations étrangères ».2

L’énonce des finalités de l’enseignement des langues étrangères permet, en matière de politique éducative, de définir les objectifs généraux de cet enseignement en ces terme.

« L’enseignement/ apprentissage des langues étrangères doit permettre aux élèves algériens d’accéder directement aux connaissances universelles, de s’ouvrir à d’autres cultures (…) les langues étrangères sont enseignés en tant qu’outil de communication

permettant l’accès direct à la pensée universelle en suscitant les interactions

1

- La loi d’Orientation sue l’Education Nationale (n°08-04 du 23 janvier 2008).

2

- La loi d’Orientation sue l’Education Nationale (n°08-04 du 23 janvier 2008). 19

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Chapitre02

L’enseignant/ Le rôle de l’enseignant

Fécondes avec les langues et cultures nationales. Elles contribuent à la formation

intellectuelle, culturelle et technique et permettant d’élever le niveau de compétitivité dans le monde économique »1.

1-1 Référentiel Général des programmes :

Ces derniers objectifs révèlent clairement l’importance accordée à l’objectif culturel. La familiarisation avec les autres cultures francophones ne peut être réalisée que si

l’apprenant est exposé à ces différentes cultures. Donc, l’enseignement du FLE vise à faire de l’apprenant un citoyen responsable et actif au sein de la société, de la part les connaissances qu’il aura à acquérir sur le monde, sur sa diversité et son évolution.

Vu les objectifs signalé au programme, l’enseignement/ apprentissage du FLE donne à l’apprenant la possibilité d’accéder à d’autres usages, à d’autres modes de vie ; à d’autres valeurs et à d’autres cultures. Il cultive la tolérance et la paix dans la mesure où il prépare l’apprenant à admettre et à respecter les différences.

2

-

l’enseignant / le rôle de l’enseignant (formateur et passeur culturel)

Le besoin fondamental d’un apprenant de la langue est de connaitre la culture véhiculée par cette langue et sa propre culture. L’enseignant, vecteur de connaissance est considéré, sur le plan didactique comme donneur de connaissances linguistiques et culturelles ; voire

communicative. Il transmet au cours de son organisation de la classe le savoir aux apprenants tout en suivant la réaction des étudiants pour leur apprentissage afin d’élever leur niveau linguistique et leur niveau communicatif. Ce contact interculturel permet de découvrir sa personnalité à travers l’autre.

La didactique du FLE s’efforce de préparer l’apprenant à des interactions multiples et à prendre conscience de l’existence d’autres groupes sociaux et cultures. Voulant lui faire acquérir des compétences interculturelles, elle le prépare à des interactions multiples.

Le travail intellectuel mis en œuvre dans l’acte d’enseigner passe par le rôle et l’usage du texte ; outil didactique sur lequel repose toute démarche pédagogique et toute approche

1

- cf. Référentiel Général des programmes.

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Didactique. Il constitue es réfracte les cultures éducatives permettant un accès aux variables anthropologiques dont on ne soupçonne pas toujours l’amplitude.

L’enseignant de langue, partenaire essentiel dans la formation, il est responsable de l’enrichissement culturel de ses apprenants. Il ne doit pas enseigner uniquement l’aspect linguistique de la langue mais aussi à prendre compte de l’aspect culturel afin qu’il puisse revivre l’interculturel dans la classe de langue qui est un champ optimal et de préparer l’apprenant à la découverte et l’ouverture à d’autres cultures pour que cet apprenant acquière des compétences lui permettent de se situer dans une situation donnée de communication en dehors du contexte scolaire.

Pour cela il doit être armé es disposé de panoplies didactiques ainsi que des savoirs encyclopédiques et surtout d’esprit de tolérance, d’ouverture et d’acceptation de toute nouvelle culture.

T .BOUEGERREA souligne que : « l’enseignant doit avoir présent à l’esprit que des

résistances psychologique inséparables de connotation religieuse ou coloniale peuvent parasiter la réception de son cours chez certains apprenants. ».1

L’enseignant intervient par le rôle qui consiste à aider les apprenants durant leur processus d’apprentissage. Il dirige sa classe

3

- l’enseignant : entre formateur et passeur culturel

De même que l’on parle « d’apprenant » et opposition à élèves. Certains didacticiens parlent « preneur » à la place « d’enseigner » pour mener l’accent sur le rôle de praticien de l’enseignant par opposition à technicien de la langue ou de la didactique. Plusieurs rôles sont confiés à l’enseignant, on parle d’enseignant-négociateur, d’enseignant-évaluateur,

d’enseignant-animateur, enseignants-psychologue, enseignant-guide, et on parle d’enseignant passeur culturel.

Il s’agit là d’un ancien mot qui correspondait au moyen âge à celui qui fait franchir un obstacle, et en particulier un fleuve. Personnage de conte ou de mythologie, il embarque le voyageur vers des rives inconnues. On connait aussi le « passeur » qui fait franchir les frontières. C’est probablement à un voyage que nous devons inviter les apprenants à

participer. Non un voyage sans retour, mais un voyage qui peut transformer celui qui accepte

1

- T .BOUEGERREA .

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Chapitre02

L’enseignant/ Le rôle de l’enseignant

L’offre du guide, si toutefois il ne se contente pas d’un rôle passif. Si l’enseignant aide à effectuer ce voyage il devient donc ce passeur vers une culture. Une culture dans laquelle lui-même se doit d’être plongé, le cours de langue étrangère doit être une opportunité continuelle d’aller plus loin. Il se devra d’être un passeur « cultivé » s’il veut être « culturel ».

Le cours de langue constitue un moment privilégie qui permet à l’apprenant de découvrir d’autres perceptions de la réalité, d’autres valeurs, d’autres modes de vie. En effet, apprendre une langue étrangère, signifie entrer en contact en contact avec une nouvelle culture, sur cette idées affirme G.DENIS : « la langue a en effet, une double fonction : elle est un instrument

de communication entre les individus d’une même communauté linguistique et un support culturel au sens large qui englobe, entre autres éléments, (…) ».1

La prise en compte de la culture dans l’enseignement/ apprentissage du FLE est primordiale, non seulement pour communiquer efficacement, mais aussi parce qu’elle

représente le respect des valeurs de l’autre et la lute contre la xénophobie et l’ethnocentrisme, éviter les préjugés et les discriminations qui sont devenus, plus que jamais la préoccupation des pédagogues et des acteurs de l’éducation. Les enseignants se trouvent parfois démunis pour adapter leur méthode d’enseignement à la prise en compte de la culture.

4

-

La place de linter-culturalité dans l’apprentissage de FLE chez les apprenants de 4ème année moyenne

L’enseignement d’une langue étrangère nécessite la prise en considération de son caractère culturel, ce dernier se transforme au service de la compétence communicative et collabore par la même occasion à progresser la compétence interculturelle chez les apprenants.

C’est de cette perception nous partons pour essayer et tenter de définir les deux compétences culturelle et interculturelle en mettant en évidence leur importance dans l’enseignement du FLE.

Les différentes définitions des compétences culturelles et interculturelles marquent des réalités distinctes : pour certains didacticiens, les compétences culturelles et interculturelles recouvrent des domaines différents, tandis que pour d’autres ces deux compétences sont des synonymes.

1

- G.DENIS.

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Dans cette seconde impression, la nomenclature de « compétence culturelle » symbolise la nation qui englobe tout ce qui intéresse au culturel. PUREN pense que la compétence culturelle est une « définition par extension » et comprend 23 différentes composantes, dont font nécessairement parties les composantes interculturelles et pluriculturelles.

Tout apprentissage d’une langue étrangère se donne comme premier objectif la capacité de communiquer dans des situations concrètes en société, la compétence linguistique en dépit de son importance, n’est pas convenable dans une perception de communication. La conférence de langue constitue, dans ce sens, une source d’échange et d’interaction pour les apprenants quand ils sont amenés à reconnaitre et interpréter des attitudes et des comportements langagières et la gestuelle de leurs interlocuteurs plus leurs références culturelles ?

« Le cours de langue constitue un moment privilégie à l’apprenant qui permet à l’apprenant de

découvrir d’autres perceptions et classifications de la réalité, d’autres valeurs, d’autres modes de vie(…) Bref, apprendre une langue étrangère, cela signifie entre en contact avec

Une nouvelle culture ».1

Le concept d’interculturel prend un lancement important en s’intégrant davantage à la didactique des langues étrangères, il suscite la coexistence de deux systèmes de références culturelles et de deux visions du monde distincts sur bien des points. En ce sens acquérir une compétence interculturelle fait partie du déroulement de nationalisation et de construction de l’identité personnelle sociale et culturelle des individus qui sont affrontés à l’altérite et à la diversité culturelle dans leur communication.

Apprendre une langue étrangère en découvrant ses références culturelles est l’occasion pour l’apprenant d’objectiver les principes qui les régissent et de relativiser ses propres valeurs, ceci le prépare et le forme pour vivre en harmonie avec les locuteurs natifs de la langue qu’il apprend et lui ménage des situations ambigües avec l’autre en société.

Apprendre une langue :

1

- PUREN.

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Chapitre02

L’enseignant/ Le rôle de l’enseignant

« C’est être capable de percevoir les systèmes de classement à l’aide desquels

fonctionne une communauté sociale et par conséquence, d’anticiper, dans une situation

Donnée, ce qui va se passer » (Denis, 2000 : 62)

Plus précisément dit, quelles attitudes il s’applique d’avoir pour prolonger un lien convenable avec les responsables de la situation.

(31)
(32)

CHAPITRE

01

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Méthodologie de la mémoire :

1- TYPE DE L’ETUDE

On a réalisé une étude descriptive analytique pour répondre à notre question principale qui est : « Comment en peut s’opère cette interaction entre

la culture et la langue de l’apprenant et est-ce que en peut trouver des points similaires entre les deux derniers pour faciliter le processus d’enseignement apprentissage et pour permettre mieux communiquer

avec cette langue. »

2- POPULATION DE L’ETUDE

La population ciblé est composé à la fois des apprenants qui étudient à collège LAZEM MOUHAMED à OULED MEALLAH

3- OUTIL DE L’ETUDE :

Afin de pouvoir répondre à nos hypothèses, on a choisi d’élaborer un questionnaire comme outil de recherche :

On a choisi le questionnaire car est un outil sure, il préserve l anonymat et moins coteaux.

Un questionnaire adressé aux enseignants.

Un questionnaire adressé aux apprenants de 4ème année moyenne.

4- LE QUESTIONNAIRE :

Une série de question écrite de manière méthodique. C’est une classification logique d’intense, de critère bien définis, sur un sujet bien cerné, pour obtenir une réponse précise.

Il nous a semblé que le questionnaire pourrait être un outil important dans notre étude parce qu’il va nous donner des renseignements cible

(34)

Chapitre01

Phase Méthodologique

L’enquête est combinée de deux formes de questions :

Les questions fermées : se sont des réponses limitées par OUI ou NON.

Les questions ouvertes : annonce le thème sans offrir de réponse, le répondant formule sa réponse.

5- LES LIMITES ET CONTRAINTE DE L’ETUDE :

Certains éléments n’ont pas répondus a notre questions vue leur perturbation de idées.

La majorité des enseignants disent que le programme touche la culture.

Pourquoi les classe de 4ème année ? Le choix que nous portions sur l’étude de la compétence culturelle en quatrième année moyenne se justifie par le fait que celle-ci est une année de formation, l’élève est sanctionné par le Brevet d’Enseignement Moyen (BEM).

Autrement dit, elle est une année qui parachève le cycle moyen qui constitue la dernière phase de l’enseignement de base, et a pour but de préparer les apprenants à l’accès au secondaire. En effet chaque élève est appelé d’avoir certains compétences culturelles lui permettant de poursuivre ses études et s’orienter vers l’enseignement secondaire, ce qui nous incite à s’interroger sur la culture que les apprenants ont acquis pendant l’apprentissage du FLE.

Pour avoir une idée sur la prise en charge et l’accord entre la langue et la culture dans une classe de FLE au cycle moyen en premier lieu. Et en deuxième lieu, pour connaitre les avis des enseignants en ce qui concerne l’utilisé d’enseigner la culture, les difficultés qui peuvent gêner cette tache et surtout leurs propositions comment enseigner celle-ci. On a proposé pour eux un questionnaire ou la réponse est facultative pour chaque question.

Autrement dit, ce questionnaire se compose de cinq questions ouvertes visant l’état des lieux et trois questions fermées les représentations des enseignants vis-à-vis l’accorde entre la langue et la culture dans une classe de 4ème année moyenne.

(35)

CHAPITRE02

(36)

Chapitre 02

Phase empirique

1-ANALYSE ET INTERPRETATIONDES DONNEES ET DES RESULTAS

1-Le corpus

Nous avons porté notre choix sur collège LAZAM Mohammed à ouled meallah wilaya de Mostaganem.

Nous avons opté dans notre recherche pour le palier du moyen : niveau 4ème année moyenne.

Les exemplaires distribués aux enseignants sont de nombre quatre, on a récupérer quatre. Le tableau (1)

Questionnaires Questionnaire Questionnaire

Distribués Récupérer Analysés

Nombre 04 04 04

2-. Analyse les réponses des enseignants :

Question ouverte N° 01 :

Est-ce que le manuel scolaire proche de la société des apprenants ?

L’objectif de cette question est de connaitre si le manuel scolaire contient des notions proches à la société des élèves.

Le tableau (2) ci-dessous résume les réponses récoltées.

Nombre Oui Non Sans réponse

04 04 00 00

(37)

Commentaire :

Ont a remarqué que les quartes enseignants disent que oui le manuel scolaire proche de la société des apprenants.

Question ouverte N° 02 :

Est-il facile d’enseigner la langue sans tenir compte la culture qu’elle véhicule ?

L’objectif de cette question est pour connaitre si facile d’enseigner une langue étrangère avec sa culture.

Le tableau (3) ci-dessous résume les réponses récoltées.

Nombre Oui Non Sans réponse

04 01 03 00

Commentaire :

Permit les quatre enseignants interrogés, trois ont dit que ce n’est pas facile d’enseigner une langue étrangère avec sa culture car il ya beaucoup de manque dans les outils

pédagogiques et les moyennes utilisées.

Un enseignant dit que c’est facile si ont fait des efforts personnels pour créer des nouveaux outils pédagogiques.

Question ouverte N° 03 :

Est qu’il ya une équivalence entre l’enseignement de la culture en classe de

FLE et le programme actuel ?

L’objectif de cette question est pour connaitre l’accord entre le contenu du programme et la culture partagée.

Le tableau(4) ci-dessous résume les réponses récoltées.

Nombre Oui Non Sans réponse

04 04 00 00

(38)

Chapitre 02

Phase empirique

Commentaire :

On à constaté que tout les enseignants sont d’accord avec cette question et que le programme de 4ème année contient des signes culturelles.

Question fermée N° 01 :

Qu’elle place occupe la culture dans le manuel scolaire de 4ème année moyenne ?

L’objectif de cette question est pour confirmé est ce que les enseignants savent ce qui concerne la dimension culturelle dans le manuel scolaire de la classe de FLE 4ème année moyenne.

Le tableau(5) ci-dessous résume les réponses récoltées.

Nombre Répondants Répondants au Répondants Sans réponse

sujet hors sujet

04 03 03 00 01

Commentaire :

On a remarqué que permit tout les enseignants il ya un enseignant qui n’a pas répondit dés tout sur cette question, les trois autres réponses contiennent des propositions claire et précise et qu’ils sont relation avec la question proposée.

Question fermée N° 02 :

D’après vous qu’elle l’utilité d’enseigner la culture dans une classe de FLE ?

Le but de cette question est pour savoir est-ce que les enseignants de français sont-ils vraiment conscients de l’importance de la culture dans le processus programme actuel et pour l’éducation des élèves ; l’ouverture et le développement de leurs esprits et surtout le renforcement du coté socioculturel.

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Le tableau(6) ci-dessous résume les réponses récoltées.

Nombre Répondants Répondants au Répondants Sans réponse

sujet hors sujet

04 04 04 00 00

Commentaire :

On a constaté que les enseignants qui ont essayé de répondre a cette question sont quatre ; en générale enseigner la culture dans une classe de FLE c’est pour l’ouverture et le

développement de leurs esprit et surtout le renforcement du coté socioculturel.

3-Interprétation pour les réponses des enseignants

On constate que la plupart des enseignants de français au collège LAZAM Mohammed prennent en considération vraiment en charge la relation entre la langue et la dimension culturelle dans leurs classes. A travers leurs réponses, on peut dire qu’ils sont, tout à fait, intéressés et assez conscients de l’importance et de l’utilité de la culture dans le

développement des esprits des élèves et l’ouverture du monde dans leurs éducations générale. Malgré les difficultés dans certains points de rôle et le manque de courage et conseilles à le coté des inspecteurs de spécialité.

4

-

Analyse les réponses des apprenants :

Les exemplaires distribués aux enseignants sont de nombre trente, on a récupérer trente questionnaires.

Question fermée N° 01 :

Pourquoi vous apprenez le français ?

L’objectif de cette question c’est pour connaitre l’avis des apprenants.

(40)

Chapitre 02

Phase empirique

Le tableau (1) ci-dessous résume les réponses des apprenants.

Nombre Répondants Répondants au Répondants Sans réponse

sujet hors sujet

30 29 16 13 01

Commentaire :

On remarque permit trente élèves, seulement un apprenant qui n’a pas répondu sur cette question et treize autres répondent hors sujet.

Question fermée N° 02 :

Aime-vous cette langue ?

Le but pour cette question c’est de connaitre l’avis des élèves sur la langue française.

Le tableau (2) ci-dessous résume les réponses des apprenants.

Nombre Réponse par oui Réponse par non Sans réponse

30 18 12 00

Commentaire :

Dix huit élèves aiment la langue française, et deuze autres apprenants n’aiment pas cette dernière.

Question fermée N° 03 :

le français est-il facile ou difficile à apprendre ?

L’objectif de cette question c’est pour connaitre si la langue française est facile ou bien difficile à apprendre.

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Le tableau(3) ci-dessous résume les réponses des apprenants.

Nombre Réponse par oui Réponse par non Sans réponse

30 10 20 00

Commentaire :

Pour cette question la majorité des apprenants de la classe de 4ème année disent que c’est difficile à apprendre cette langue car elle contienne beaucoup d’expressions difficiles.

Question fermée

N° 04

:

Parlez-vous le français toujours à l’intérieur et l’extérieur de la classe ?

L’objectif de cette question est de connaitre le niveau de communication de chaque élève à l’intérieur ainsi que à l’extérieur de la classe.

Le tableau(4) : ci-dessous résume les réponses récoltées par les apprenants.

Nombre Réponse par oui Réponse par non sans réponse

28 10 18 02

Commentaire :

Dix huit élèves ne parlent pas le français ni à l’extérieur ainsi que l’intérieur de la classe et ça renvoi à plusieurs causes comme la timidité et

Le non courage, dix élève sont répondit par oui grâce a son entourage familial et deux autres questionnaire sans réponse.

(42)

Chapitre 02

Phase empirique

Question fermée N° 05 :

Trouvez-vous que le contenu de vos livres contient des traces culturelles importantes ?

L’objectif de cette question est de connaitre si les élèves sont des idées sur le contenu des livres de leur programme.

Le tableau (5) : ci-dessous résume les réponses récoltées par les élèves :

Nombre Réponse par oui Réponse par non Sans réponse

28 05 20 03

Commentaire :

Donc les apprenants interrogés répondent qu’ils ne peuvent pas repérer et connaitre les faits culturels véhiculés par le français parce qu’ils n’ont aucune idées sur la culture française, ses modes de vie, les traditions… ils ne comprennent pas le sens des mots qui portent ces faits culturels. Mais ils affirment qu’ils ont la curiosité de connaitre l’autre et de découvrir ses aspects culturels.

Question fermée N° 6 :

Cette question c’est la suite de l’avant dernière : si oui pouvez-vous les repérer ?

Le but de cette question c’est si les élèves peuvent repérer des modèles des traces culturelles.

Le tableau (6) : ci-dessous résume les réponses récoltées.

Nombre Réponse par oui Réponse par non Sans réponse

28 18 07 03

(43)

Commentaire :

Donc la majorité des élèves sont repèrent beaucoup des traces culturelles avec les pages et détaillé et autre sept apprenants ne répond pas a cette question et trois réponses non terminer.

5-Interprétation les réponses des apprenants :

On a constaté que les apprenants repèrent beaucoup des traces et des indices culturels et qui sont concerné par la culture. Et pour cela pour enseigner une langue étrangère dans une classe de FLE il faut avoir sa culture car les deux se complètent.

(44)

Chapitre 02

Phase empirique

Synthèse

Sur la base des résultats de notre questionnaire pour les enseignants, nous pouvons dresser les points suivants :

Selon notre échantillon la majorité des réponses récoltées font ressortir que les

enseignants ont une vision positive sur l’enseignement d’une langue étrangère et sa culture. Ils connaissent la valeur de la relation entre la langue et la culture et la place primordiale de la compétence culturelle dans une classe du FLE.

Les enseignants affirment que les apprenants s’intéressent à l’apprentissage de la langue française, le plus souvent pour des objectifs purement scolaires. Tandis que, FLE parce qu’ils trouvent des difficultés face à leurs apprenants.

Les apprenants ont participé activement aux réponses de questionnaire

Donc, la relation intime entre la langue et la culture pousse de réfléchir comment l’acquisition d’une compétence culturelle peut influencer les apprenants de 4ème année moyenne, en leur donnant l’esprit à voir le monde qui leur entoure à travers le FLE.

Nous sommes parvenues à déduire que, la réussite de l’enseignement d’une dimension culturelle en classe de langue étrangère dépend nécessairement de l’enseignant, de ses connaissances et ses compétences pour introduire à chaque occasion un savoir relatif à la culture de l’autre, qui est adéquat avec les objectifs fixés afin de sensibiliser l’importance d’une compétence culturelle dans l’apprentissage d’une langue étrangère, et mettre en valeur ces connaissances dans les échanges et la découverte de soi et de l’autre.

Alors nous pouvons dire que la culture et la langue se sont deux objets inséparables et que la compétence culturelle est omniprésente dans les pratiques enseignantes dans une classe de FLE.

Dans l’apprentissage de FLE, la culture et la langue sont interdépendants. Elles s’influencent l’une pour l’autre.

(45)

CONCLUSION

Cette recherche avait pour objectif de cerner la relation entre la langue et la culture et son rôle dans l’acquisition de la compétence interculturel à travers la communication. Il était également dans toutes les séances programmées dans l’enseignement/ apprentissage de FLE pour les classes de 4ème année moyenne.

Ce travail se compose de deux parties (théoriques et pratiques). La première partie était réservée aux définitions des concepts associés au thème du travail. Le cadre pratique s’est focalisé sur deux points essentiels : l’analyse des résultats des enseignants et des apprenants.

La langue et indissociable de la culture. En effet toute langue véhicule et transmet à travers ses lexiques, ses syntaxes, ses principes des schèmes culturels.

A ce effet, l’enseignement/ apprentissage des langues et des cultures étrangères sont étroitement liés du fait que la langue reflète la culture d’une société donnée, et la

culture compte parmi les composantes de la langue d’où l’apprentissage d’une langue doit comprendre une dimension culturelle.

Pour assurer une meilleure qualité des apprentissages, il est important de connaitre les buts d’engagement de l’apprenant ainsi que les contextes qui influencent ses valeurs.

La sélection des stratégies d’enseignement et d’apprentissage sera mieux adaptée et l’impact sera pour l’élève de même que pour l’enseignant. C’est pourquoi, pour mieux assurer l’orientation de l’action pédagogique, il faut en général avoir une idée du niveau de maitrise déjà atteint. Nous pouvons également s’intéresse aux processus d’apprentissage, aux méthodes de travail, aux attitudes de l’apprenant à son insertion dans le groupe, autrement dit à tous les aspects cognitifs, affectifs, relationnels, matériels de la situation didactique.

On peut aider un apprenant à progresser en l’impliquant dans une tâche motivante, mobilisatrice à ses moyens. Toutes ces actions permettent aux apprenants de s’ouvrir sur l’autre à l’aide de la rencontre avec sa langue et sa culture pour découvrir les différences et les divergences explicites et implicites dans la langue et ses comportements.

Lors du contact avec l’autre, les apprenants peuvent acquérir certaines attitudes pour se situer dans cette situation de communication. Cette compréhension mutuelle constitue l’un des principes fondamentaux de l’éducation interculturelle. Elle installe chez

l’apprenant un climat de réconciliation, d’ouverture et de tolérance.

(46)

Chapitre 02

Phase empirique

Enfin, on peut dire que ce travail nous à aidé à émanciper l’aspect culturel dans les classes de FLE et son intégration. Nous avons insisté sur le fait qu’un recours la culture essentiel pour un apprenant d’une langue étrangère et surtout pour les enseignants de langues

étrangères. Nous espérons que les résultats de ce travail puissent être utiles à la formation de futurs enseignants de FLE. Ce parcours leur permettrait, également, de s’ouvrir sur le monde et de faire découvrir aux apprenants l’étendu de la richesse culturelle.

(47)

QUESTIONNAIRE D’ENQUETE A L’INTENTION DES APPRENANTS

1. SEXE

...

2. Pourquoi vous apprenez le français ?

……… ……… 3. Aimez – vous cette langue ?

……… 4. Le français facile ou bien difficile à apprendre ?

……….. 5. Trouvez vous que les contenus d’apprentissage qui comportent des traces

culturelles sont importants ?

………. 6. Si oui, pouvez-vous les repérer ?

……… 7. Êtes-vous d’accord à découvrir la culture des autres pays étrangers ?

……… Pourquoi ……… 8. Vous préférez étudiez la culture ou bien la langue ?

………..

Et pourquoi ……….

Merci beaucoup

(48)

ANNEXES

QUESTIONNAIRE D’ENQUETE A L’INTENTION DES ENSEIGNANTS *Merci infiniment d’avoir me répondre à mes questions *

1. SEXE : ………..

2. L’expérience dans le domaine :……….. 3. Diplôme obtenu : ……….

4. Est-ce que le manuel scolaire proche de la société des apprenants ? ………. 5. Est-ce que c’est facile d’enseigner la langue sans tenir compte la

culture qu’elle véhicule ?

………

6. Est-ce qu’il ya une équivalence entre l’enseignement de la culture et de la Langue en classe de la 4ème année moyenne ?

……… 7. Qu’elle place occupe la culture dans le manuel scolaire de 4ème

année moyenne ?

……… 8. D’après vous qu’elle l’utilité d’enseigner la culture dans une classe de

FLE ?

……….

*Merci pour votre coopération *

(49)

REFERENCES

BIBLIOGRAPHIQUES

Dictionnaires et Ouvrages

Larousse, Paris 1973.

Paul Robert, dictionnaire le Robert, France 1951.

Jean-Pierre Cuq, Dictionnaire de didactique de français langue étrangère et seconde. Paris, CLE international, 2003.

Ouvrages

Jean-Pierre Cuq et Isabelle Gruca, Cours de didactique du français

langue étrangère et seconde, Paris 2008.

Treville et Duquette, enseigner le vocabulaire en classe de langue.

Paris, 1996

Marque Blancpain et Andre Reboulett, Une langue : Le français

Aujourd’hui dans le monde, France 1976.

PENDAUX M. les activités d’apprentissage en classe de FLE, éd.

Hachette, Paris, 1988.

Conseil de l’Europe, 2001 cadre européen commun de Références

pour les langues : apprendre, enseigner, évaluer.

DAKHIA Abdelouaheb, contact des langues et inter culturalité, 2006.



Revues

Hachette/ Larousse, le français dans le monde, 1973.

Hachette/ Larousse, le français dans le monde ; environnement et

enseignement du français, Paris 1982.

Dialogues et cultures n°44,2000.

Le français dans le monde, n°316, CLE international, Paris, 2002.

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