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Avec qui se marient les paysans ?

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Avec qui se marient les paysans ?

Guenhaël Jegouzo, Bernard Roze

To cite this version:

Guenhaël Jegouzo, Bernard Roze. Avec qui se marient les paysans ?. [Rapport de recherche] INRA SAE2. 1977, 10 p. �hal-02319377�

(2)

I.N.R.A. - RENNES

3

I

JÂil.

1$92

BIBLIOTHËûUE

fMAA

guenhaël

jégouzo

avec

la collaboration de bernard

roze

mai

1977

INSTI'I'T]1' NATIONAL DE T,A RECHERCHE AGRONOMIQUE

Ststion d'Economie Rurale

65,

rue

de

Saint.

Brieuc

gbO4Z

RENNES

C.EDEX

954

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DOCUlt]lE]{TATOt'l ÉCOt,lO1TllIE RURATE REI,II'IES

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*015706*

ii l i '1 ,l il

(3)

cé11bat des paysans * conduit à être attentif à f'évolutlon des

mariages en agriculture. Sachant, par allleurs, que le mariage contribue à reproduire les 1négaI1tés de patrlmolne économlque

et cu1turel, iI est particulièrement utile de connaitre gui sont 1es beaux-parents des gaysans qui se marient et quelle est la position sociale individuelle de leur épouse.

Malgré ses lirnites, la statistigue annuelle des maria-ges, gue I'I.N.S.E.E. étab1j.t à partir'de 1'état ci-vil, permet de penser que la répartition des épouses dragriculteurs selon leur origine sociale ou leur position sociale a connu certains

changements importanÈs depuJ-s quelques années. Ainsl Ia propor-tion des conjointes qui déclarent au moment du mariage exercer un métier non agricole est passée drenviron 15 t en f959-f960 à

environ 55 B en L973-1974. Le fait que les agrlcul-teurs se

ma-rient de plus en plus souvent avec des ferunes gui, du fait de

leur naissance ou de leur profession, sont de milieu non ag:ricole, aura vraisemblablement des conséquences sociologigues lmportantes,

consêguences gul ne seront pas les rnêmes selon que les nouvelles épouses sont nées ou ont travaillé au bas, au mllieu ou en hâut

de la hiérarchie sociale.

t On peut se reporÈer sur ce point aw deux articles suivants t

- G. Jégouzo, I-,'ar[tr)leut du célibat chez les agrj.culteurs, Economie et

Std-tistlque, no34, mai 1972, pp.!3-22 ;

: G- Jégouzo et J.L. Brângreon, Célibat paysan et pauvreté,

tique, n'58, juillet-août 1974, pp-3-13.

(4)

Statis-2.

La stalistique des mariages sel-on la catégorie sociale, que lrI.N,S.E.E' établit chague année Par dépouillement des re-gistres de 1'état civil, fournit des é1éments de réponse à Ia question de savoir qui se marie avec les paysans. La guaLitê de I'information est liée au degré d'exactltude et de Précislon des déclarations fai'tes en mairie. Les mariages en m1lieu agri-col-e sant réPartis en mariages d'agriculteurs exPloitanté (f)

(chefs d'exploitation ou aides familLaux) et mariages de

sal-a-riés agriéoIes i mais aucune autre distinction socio-économique

n'étant faite blen que les exploitants agricoles occupent des

positions sociales très diverses, i1 n'est pas possible d'étudier les conditj.ons de mariage dans les différentes straLes Paysannes.

En outre, iI ne faut Pas perdre de vue dans lrinterPrêtation

que la catégorie socio-professionnelle individuelle déclarée est celle occupée au moment du mariagê i orr un changement de métier peut se produire aPrès, ce qui peut arriver à des agriculteurs dont les épouses ne veulenÈ pas être agricultrices.

L'exploitation annuelle de l.'ëtat civil permet tout au

moins de déterminer dans guelle mesure il y a une êvolution

géné-rale de 1a répartition des épouses de paysans selon 1a profession de leur père et selon Leur propre professlon. Traditionnellement les agriculteurs se mariaient, dans une forte majorité de cas, avec des fil1es d'agrlculteurs (2) , gui étalent elles-mêmes actives agricoles. Quten est-il art cours de la période récente, dans I'ensemble de 1'agriculture françaiee (3) ? Certains changementË

importants se sont produits en peu d'années. Sl plus de Ia moit!é

tinsépouses dragriculteurs sont encore d'origine agricole, par

contre plus de ra moitié exercent dorénavant un rnétier non agrl-coLe au monent du marlage.

l. P us de 1a moltié des t d'ori

3. 1e i ; i 1

CePendant, parmi les filles de paysans qui se sont

mariées entre 1969 et 1974, la Proportion de celles qui ont épousé un paysan n'a pas cessé de décliner: el1e est Passée

de 17,5 t en r959 à 15,9 t en 1970, 15,3 B en 1971, 14,i *

en 1972, 14,6 ? en 1973 et 13,4 t en 1974. La tendance esÈ

la rnême pour fes mariages de filles d'agriculteurs avec un

salarié agricole, à I'exception de 1974 (3,5 *, 3'4 *' 2'9 \, 2,2 * 2,2 2,3,3 t). Cêci contribue à souligner Iri'mportance considérable que continue à avoir I'exode agricole des filles de paysans. I1 y a là à 1a fois une cause et un effet de fa diminution de 1a population employée en agricultule.

Les agriculteurs exploiÈants se marient encore,

néac-moj.ns, dans un peu plus de la moitié des cas avec des filles d'agriculteurs exploitants et de salar!és agricoles (57 t en 1974 ; figure l.) bien que 1'hornogamie sociale soit devenue

à Ia campagne beaucoup moins forte gue par Ie passé. En 1974,

Le tiers environ (34 *) des mariages d'agriculteurs ont eu

lieu avec des filles d'origine non agricole ; la catégorie du père n'a pas été déclarée dans 9 t des cas.

I1 pourraLt sembler quiiJ. y ait eu augmentation dans

1e temps du recrutement d'épouses hors de 1'agriculture {l}.

En réallté, Ie nombre de fernmes d'origine non agricole qui se

sont mariées avec des paysans a diminué entre I970 (4 959 cas) eE 1974 (3 930 cas). Quant à ]a probabillté pour une femrie

d'orlgine non agrlcole dtépouser solt un agricultcur soit un

salarié agricole, elle a peu varié au cours des années

rôcen-Tir-lrrr abrégcr nous dirons mariages dragrlcurteurs ou narrages de paysans. (2) Pour les résultats de ]renquête Emplor- faite IEr r,r.N.s.E.E. ên 1953,

""it.ll!ip. .ætobre-décetrùre

(5)

Fj-gure I évolution récente de I'origine sociale des épouses

d'agriculteurs exploitants (années de marlage :1959 à 1974)

tes et n'a été que de 2 t environ. À titre de comparaison, et malgré ta différence dans les champs de poPulations concernées,

quelle était la situation en 1953 pour Irensemble des femmes

mariées ? La proportion drépouses d'origine non agricole

ma-riées à un agriculteur ou à un saLarlé agrlcole varialt entre 3 g (cas des filles d'employés) et l0 t (cas des filles d'indus-triels ou de professj-ons libérales).

S'il y a eu refus accru des filles de paysans

d'être-femmes de paysans, Ie recrutement d'épouses hors du mllieu agrl-cole a .l-ui aussi baissé par raPPort à 1a première moitlé du

20ème sLèc1e, ce gui a contribué à faire beaucoup iliminuer le

nombre de nari-ages de paysans.

Au vu de leur répartition selon la profession de Leur père, i1 pourrait sembler que les épouses dtagriculteurs nées

hors rle 1a campagne aient particulièrement souvent une origine sociale modeste : à peu près Ia moitié sont filles d'ouvriers ou d'employés (tableau I). Mais la comparaison avec lrensemble

des filles drorlgine nor agricole qui se sont mariées entre I969 et 1974 indique que si les épouses de paysans ont parfois

une r:rigine soclale plus basse (avec proportionnellement molns de filles de cadres supérieurs, de cadres moyens et plus de

filles d'ouvriers non qualifiés), i1 nren est pas toujours ainsi (plus de fill-es de patrons du comrnerce et de f,industrie). En fait, Ia comparalson n'est pas totalement posstble car

rela-tivement nombreux sont les pères des épouses gui, étant à 1a

retraite lors du mariage de leurs filles, sont classés comme

inactifs et, de ce fait, pour beaucoup (et davantage pour les

épouses de paysans que pour 1es autres), l,origlne est

lndéter-minée.

ORIGINE ÀGRICOLE ORIGINE

(trÈre agliculteur exploltanÈ NON

ou salarié agrlcole ou ÀcRIcoLE

50r ORIGINE l.roN PRECISEE 7969 1970 197 1 1972 1973 1974 0 100 r lableau I câtégorie socio-professionnel le du père :

1'origine sociale des fiIles diorigine non agricole ayant épousé un agriculteur exploilant entre I969

et !974 ; comparaison avec 1'ensemble des filles

d'origine non agricole qui se sont mariées entre

1969 et 1974. industriel ou gros profession 1ibérale supérieur cadre moyen artisan ou petit enployé ouvrier qualifié mal tre O.S. ou manoeuvre

épouses total

des

filles

dr

4-eg::991

'nombre B \ qui

teurs rigine

non ag;icole se sont mariées

t

650 2,4

r,6 I t 79 r 159 3 455 2 6b / 4,4 4,3 r2,9

I0,l

7,5 715 b,B

rl,8

4

7t8

5

266 289 732

6

625 commerçant ou cadre commerçant ou contre-'? E r9,8 23 L7 ,5,4 pcrsonnel de service âutre actif inactif (a)

total des fil-Les d.origine non

ag r i cole lr5 JrJ 17,3 I,l 24,8 26 760 I 00

(a anciens loitants et salariés a I Ie.s exclus

(6)

'i

6

non agr

I1 semble que ce solt 1à une tendance tôute récente'

Le changement est Particullèrement rapide conrme 1'lndique la figure 2.

Figure 2 * d'actlves non agricoles Parnl les fernmes gul

épousent un agriculteur exPloitant'

\ 1959 1960 1969 19?0 7971 7972 1973 1974 50r -1... r.. 40t 30c 20 1 16

Selon les déclarations faitès à l'état clvil, les

femmes quj. se marient âvec les Paysans sont de moins en nolns

souvent inactives (48,9 t en 1959, 26,2 I en 1974). L'augmen-tatlon de J.a proportion de celles qui ont une activlté non

agrlcole est Iiée non seulement à cette balsse de Ia Part des

lnactlves (l) mais à la diminution de la part des actlves agri-coles (tableau 2).

On ne connait Pas lrorigine sociale de ces épouses

d'agrlculteurs qui exercent un métier non agricole- cornme }eul

nombre est supérleur à celui des femmes d'origine non agricole qui ont épousé un paysan, on Peut en déduire gue certaines sont

nées à Ia terre. II y aurait ainsi chez les filles de paysans

des "retours à la terre' ]1és au rnariage. Sont-ils de plus en

plus fréquents ? Comme Ia statistlque drétat civll ne les éva1ue

pas, on ne peut pas établlr de tendance sore.

(1) 11 est à peu près certain qu'ue grande partie des épouses qui étaient

précédement classées Inactives, travaillalent en réalité dans I'exploi-tâticn agricole de leurs parents. Il est en effet blen connu gue bj.en des

fæs de I'agriculture ont eu tendance à ne pas déclarer leur act.ivlté

agrlcole .

de Ia moitié des éPouseq

icole au du ma exe un mé

2.

Plus 48 43 39 10

(7)

t-Tableau 2.

agricultrlce exploltante salarlée agricole

total des ac ves aqricoles patrons de

1'lndust.rie

et

du

I

l

évolution de ra catégorie soci.ale indivrduelle des fêmmes qur épousent les agricuLteurs exptoitànts (en T) .

1959 1960 33r5

).

36 ,7 0 r9 O,I lr9 3'6 5r0 2r8 € 14,3 48,9 0,r r00 29 346 32,0 ,o 34 ,9 1,0 0rr 2rL 4 r3 5rl 3r6 e I6 ,2 48,8 0rl 100 26 938 r8,0 L,2 19,2 15,5 2,0 r7,5 comrnerce

cadre supérieur, profession

J. roe ra Ie cadre moyen emPloyée ouvrière personnel de service autre active

tolal des actives non agri-coles

lnactLve

catégorie non dÉclarée Total

t

valeur

absolue

0rg 0 0rg 8 r6 19 ,7 15 r2 8rg e 1,0 8,a 20 ,6 1È -or 55 ,9 54 ,2 r00

r2

805 25 ,7 0r9 26 ,2 0,4 r00

1l

376 r969 r970 I97l t97 2 r973 t97 4 r00

r3

868 23,L lr6 24,7 0,9 0r6 5r6 13,5 ll,0 7rg J9 ,3 35 ,5 0r5 r00 L2 A42 20,9 t,5 22,4 0r8 or7 6r2 15,6 ll,l 8r3 0rl 42 rB 34 ,4 0r3 r.0 0

r3

0r7 20 ,2 lr4 2r ,6 017 0r8 7 12 11 ,3 l3r3 8r6 Ê 47 ,9 30,1 0'4

t*-13 270 I8,9 r,0 19,9 0r9 0r8 7 17 18, 4 L4,7 8 r7 e 5r,2 28 ,4 0r5 lo ^PtoOoQJotsrfFl^ào^oN O 0, O rr 0r 0, !, ts.or l-..(D T otQ

coo<SSrrO}dPlOOFl ortooor550rorrHP. No0iolaorFlrr-o3o É5}oOOâOrtr..0rO O < o Fl : :t F,t O O v. tt O, 5 F oBOlr0rts.aftÉor-oo 5 H.^'O ûl 'O O ld |',.rr - P.O o rto/uoÉÉOOr0rOF(O3Ëtr f1 HohFtonoFts.ÉE<lqo OOriolots.cfO<OfjÉ,a m æ P. 5 O r1 O F. 0' O Fl Ft O F. NOo0,Oo,<<oP-crlJ uooSoFhooo_o,0ro/oo rt O 5 O,- O - t, O rl 5 O o æ5(D(D(,F.oooP. tsrtHO,oO5ô5oOO3d r. O h ts l.J p. 5 O O tsh - O 0, t, o o o -td o 5 P P. I tsl Ft o HfP'o5<HHOrCOr.r.5 oro À o 5 c, a o D, o I o E o n O o J o, O p.re i_. o\ o I æ H rr É E p cl Fl 'O O,13 È1 Ë at O O æ o ï F p- É n O H.'O O ô O ts rt O, O'Q O fJ. O Fl O ô\ tr O o550nooÉoa|dÉH<P. 550P.P.OtsO-OOts.Op rtOÉ5OÈiO(DXjTOOH rJ ts H 0 c @ P a P...5 É O OoOdrt-OOO,HFO ts iJ rr p P'rQ .t rl H -- O tsolproJoSÉoarurotro NoroÈrrf€p^U'Bâo 'OtsiÉOo,F,o,Eo,Oo do 1.,: O\ O\ oJ\, ts{ m Â, O O ts F,.rO C vOHoOO[lrrOf!,OmHrU .HP.OOBA'AÉO<ts.O' <OJ3oû5ooorP.oo PO,f30rts.ôOtsNtstoPÉh OOoTOO,OO5<oP OOrltst.fOP.orr'dpoOOOts'FOO^-Otr PaOOpOZaÉAO,0JCtsl {DôôiËP0rOùôtcH a:rlnFnÊ,H!5(DP.oF h I O rt É O\ É t,. tt o, rt tt rt O otsNloFjts.OrFl,AO 5s3oto<ooOoHoo rt!tsÂirtSooIOOCSO, ÈoH.ts.rroroBdo O,-mmftOç!À,OOôrjdô 0rÉAÉOPOrtt-. <Pro\tstsl.oPEOJOCts1< 0, H'o o o o p rd B o rr o, o 500mHoo[,oo.oo ÉHÉOFP.ËïJrloO 0,ooort<tsJoo5u<a aôA< O 'Q aY â h É O O P.F1 F{ J ÉtsOq,oQ,PO<OP. ûtÊl,OK.OOFrrt(Dtsôr Or.iOOlrfJl-O ôrif,Ol,1Où) oot ut NÉOOO,O!30)tQo iF,tf,o-otDoitÉ5 UOrtorhl<5-rt H ctld ts O O O\ C 'Èeoot,o5(D5ttruË30OOH @ at, o h 5 É lO\OrioOrPoJO oo\FltslÈ1|Jc@(-o rtoP.CO(Quntr oÉo3@P.o-Poo,Srro,OtoOO\ rOOËo5tsÊd< {5.rUH.içF<O !rOOOôrt(DH FJ'o<OoFi5É OOÉ|/]OrBrdrPctrt ÊAor(D<tsoH. N5P.ÉtsOO\O HTOHOOq,îJj O ÀO O Ar O O O aa.<rdÉÉ0, O O cr\f P.t! tn ArtOOôdtsJÉOro\ 0,P'nnd(Dort5rr oJN.iOÊÉOdO\ BrotsrrlQO,5 Ourd.rOOÉûtnO.r OOolrtOo0rO OÉOP'.ttsOF !5HOOOO0IP OùSJoorHrdO Og(0ld0,0rpO\OrO,-Q 5!mOOlO,aO<Ë oaCrtOOO\ roH.oO,tslorcùo ^ { C iO < O p.(o y NÀ<hiots10o{ô, .-tslo/or0P.oP coP.ohooôç tsO,O\Co(DOÈr{ OO\F3ts.tlpÉ(, d o o 0, P'È ô\rt o H hSOLOÊ,OO No:,Fooorrr -=^o)5oJH<rUÉ {rù N 3 O O P.ô\ Q, P OOOOFIOç Q O Àr .. a a ç, ! o<:rè :Or'ÉtoFOOnn,O,r rr(Dç:ùiLaftiô H(noP.<'ûP crrQEsnoooo(jlÈ.1 ts.ts.0rr-loo NtsNCOOO/O,dq rrrUA,HHSrd NUNmÂrdOo0iDt, UFol)cryL< f"Q,fqP.oxôo dOOP:JoOO I Fn U| rt !r lctùl ôr

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(8)

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Ën tout étal dc cause, le fait que Plus de la moitié des

jeunes pa)'sans alent pour épouse une femme née à Ia ville ou

qui a travaillé l-rors de 1'agriculture et peut-être en ville-associée au fait que ces femmes ont été' ou sont' aussi

sou-vent empl-oyées de bureau et cadres moyens qurouvrières et personnels de service - ne Peut pas ne pas avoir des consé-quences importantes sur les systèmes de référence et drattente

des nouvelles générations d'agriculteurs. I1 y a 1à un facteur de généralisation des normes d'origine urbaine' comportant en particulier de nouvelles attitudes à I'égard de 1a fécon-dité, de 1'éducation des enfants, du travail et des loisirs.

De ce fait, iI sera de moins en moins Iégitime d'analyser

1a réalité sociafe agricole sans distinguer entre les groupes de générations.

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