9
Fonctions exponentielles
49
Leçon n° Niveau Terminale S et BTSPrérequis notions de dérivabilité, existence d’une solution d’équa diff, bijection, fonctions
logarithmes, limites, théorème des valeurs intermédiaires
Références [60], [147]
49.1
La fonction exponentielle
Définition 49.1 Soit a un nombre réel. On appelle solution sur l’intervalle I de l’équation différen-tielle Y0 = aY toute fonction dérivable sur I, qui vérifie sur I : f0 = af.
Exemples 49.2 1. La fonction nulle est une solution sur R de l’équation différentielle Y0= 2Y . 2. Les fonctions constantes sont des solutions sur R de l’équation différentielle Y0 = 0Y .
R 49.3 L’équation différentielle Y0 = aY , notée aussi dydx = ay, exprime une proportionnalité entre la fonction
et sa dérivée. Elle permet de modéliser de nombreux phénomènes (en physique,. . .).
Propriété 49.4— Théorème d’existence. Il existe une fonction f, dérivable sur R, solution de l’équa-tion différentielle Y0 = Y et telle que f(0) = 1 que l’on appelle la fonction exponentielle.
R 49.5 On notera provisoirement la fonction exponentielle x 7→ exp(x).
Propriété 49.6 La fonction exponentielle est strictement positive sur R.
Dv
•Démonstration de la propriété49.6—Soit la fonctionΦ définie sur R par Φ(x) = exp(x) exp(−x).
Φ est dérivable sur R et
Φ0(x) = exp0(x) exp(−x) − exp(x) exp0(−x).
Orexp0= exp donc Φ0(x) = 0. La fonction Φ est constante sur R et égale à 1 car exp(0) = 1. Puisqueexp(x) exp(−x) = 1, la fonction exp ne s’annule jamais.
On démontre, par l’absurde, que la fonctionexp est strictement positive. S’il existait x0tel queexp(x0) ≤ 0, alors exp étant dérivable sur R, elle est continue sur R. En appliquant le théorème des valeurs intermédiaires à la fonctionexp sur [0, x0] ou [x0,0], on trouverait une solution à l’équationexp(x) = 0. Ceci est faux puisqu’on a montré que exp ne s’annule jamais, donc x0tel queexp(x0) ≤ 0 n’existe pas. •
Propriété 49.7 Soit a un réel donné. Les solutions de l’équation différentielle Y0 = aY sont les
fonctions définies sur R par f(x) = k exp(ax) où k est une constante réelle.
Dv
•Démonstration de la propriété49.7—La fonction f : x 7→ k exp(ax), où k est un réel, est dérivable sur R, et pour tout x de R, vérifie
f0(x) = ka exp(ax)
soit f0(x) = af(x). Donc f est solution sur R de l’équation Y0 = aY . Soit g une autre fonction sur R de Y0 = aY , donc, pour tout x de R, g0(x) = ag(x). Comme la fonction exp ne s’annule pas, on peut définir sur R la fonction u : x 7→ g(x)
exp(ax). u est dérivable sur R et on a, après simplification :
u0(x) =g0(x) − ag(x) exp(ax) .
Or g0(x) = ag(x), donc, pour tout x de R, u0(x) = 0. u est une fonction constante sur R, c’est-à-dire g(x)
exp(ax)est constant, soit g(x) = k exp(ax). •
49.2
La notation
e
xPropriété 49.8 Pour tous nombres réels a et b,exp(a + b) = exp(a) × exp(b).
Dv
•Démonstration de la propriété49.8—Soit la fonction g définie sur R par g(x) = exp(x+ b) où b est un nombre réel. g est dérivable sur R, et on a
g0(x) = exp0(x + b) = exp(x + b) = g(x)
gvérifie l’équation Y0= Y . Donc d’après la propriété49.7, g(x) = k exp(x). Pour tout x de R,
exp(x + b) = k exp(x) et pour x= 0,
exp(b) = k exp(0). orexp(0) = 1 donc k = exp(b) et on a
exp(x + b) = exp(x) exp(b).
•
Propriété 49.9 Le nombre réelexp(1) se note e. On a e ' 2, 72 et, pour tout x élément de R, exp(x) = ex.
49.2 La notationex 11
R 49.10 Ainsie√2a un sens, c’est l’image de√2 par la fonction x 7→ ex. On a aussi :
e0= 1, e1= e, e−1= 1
e, e1/2= √e.
Conséquence 49.11 1. Pour tous nombres réels a et b : ea+b = eaeb, e−a= 1
ea, e
a−b= ea
eb.
2. Pour tout nombre réel a et tout rationnel r :era = (ea)r.
Dv
•Démonstration —
— Tout d’abord, on montre que, pour tout nombre n entier naturel, on a la propriété « Pour tout réel a,exp(na) = (exp(a))n». La propriété est vraie pour n= 0 car, par définition
de la fonctionexp : exp(0) = 1. Supposons que, pour un entier k, on ait exp(ka) = (exp(a))k. Alors, d’après la propriété49.6, on a :
exp((k + 1)a) = exp(ka + a) = exp(ka) exp(a).
Donc exp((k + 1)a) = (exp(a))k+1. La propriété est vérifiée pour n = 0. Si on la
suppose vraie pour n= k, alors elle est vraie pour n = k + 1, et donc par récurrence, elle est vraie pour tout nombre entier n ≥ 0.
— Par définition,exp(1) = e et d’après la propriété49.6,
exp(1) × exp(−1) = exp(1 − 1) = 1. Doncexp(−1) = 1
e = e−1.
Si x est un entier positif, on peut écrire x= na avec a = 1 et n entier positif. exp(x) = exp(n × 1) = (exp(1))n
Soitexp(x) = ex.
Si x est un entier négatif, on peut écrire x= na avec a = −1 et n entier positif. exp(x) = exp(n × (−1)) = (exp(−1))n.
Or
(exp(−1))n= (e−1)n= e−n. Soitexp(x) = ex.
Donc, pour tout x ∈ Z, exp(x) = ex.
— Si x est un nombre rationnel, on peut écrire x = pa avec a = 1
q, q entier strictement
positif et p un entier relatif.
exp(qa) = (exp(a))q
Or qa= 1 donc (exp(a))q = e. Soit exp(a) = e1/q.
Soit
exp(x) =e1/qp= ep/q= ex.
Donc, pour tout x élément de Q, exp(x) = ex.
— On admet que l’on peut étendre cette propriété à R et on convient de noter exle nombre
exp(x) pour tout x élément de R.
• Exemples 49.12 1. ex+1 = eex 2. ex−2= ex e2 3. e2x= (ex)2 4. ex/2 =√ex.
R 49.13 Ne pas confondree(ab)et(ea)b; ainsiex2= exp(x2) alors que (ex)2= e2x.
49.3
Étude de la fonction x 7→ e
xD’après sa définition, la fonction x 7→ ex est solution de l’équation différentielle Y0 = Y et telle
que f(0) = 1, donc elle est dérivable sur R donc continue sur R, et égale à sa dérivée.
Conséquence 49.14 1. x 7→ exest strictement croissante sur R.
2. limx→0e
x−1
x = 1.
Dv
• Démonstration de la conséquence49.14—Le premier point découle immédiatement de la définition de la fonction exp. On a (ex)0 = ex et d’après la propriété 49.6,exp est
strictement positive. La fonction x 7→ exest dérivable en0 donc son taux de variation ex
−e0
x−0 a pour limite en0 le nombre dérivé de x 7→ exen0, soit :
lim x→0 ex − 1 x = 1. • Propriété 49.15— Limites. lim x→+∞e x= +∞ et lim x→−∞e x= 0. Dv •Démonstration de la propriété49.15—
— Pour étudier la limite en+∞, on montre d’abord que, pour tout x, ex
≥ x. Soit la fonction f définie sur R par f(x) = ex
− x. f est dérivable sur R et f0(x) = ex− 1.
49.3 Étude de la fonction x 7→ ex 13
Commeexp est croissante sur R et e0= 1, on obtient le tableau de variations de f :
x −∞ 0 +∞
f0 − 0 +
f & %
1 Comme, pour tout x, f(x) ≥ 0, on a ex
≥ x et, d’après un des théorèmes « des gen-darmes », on a :
lim
x→+∞e
x= +∞.
— Pour étudier la limite en −∞, on pose X = −x et on a ex= e−Xet lim x→+∞e x= lim x→−∞e −X = +∞. Commelimx→+∞ex= +∞, on a : lim X→+∞ 1 eX = 0,
soitlimX→+∞e−X= 0. Donc :
lim
x→−∞e
x= 0.
•
On obtient le tableau de variations de la fonctionexp.
x −∞ 0 1 +∞ +∞ % e ex % 1 % 0
— La courbe représentative de la fonction x 7→ expasse par les points de coordonnées(0, 1) et
(1, e).
— La tangente à la courbe représentative de la fonction x 7→ exau point de coordonnées(0, 1) a
pour équation y= x + 1. De plus, pour h « assez petit » : eh ≈ 1 + h.
— La courbe représentative de la fonction x 7→ ex est au dessus de l’axe des abscisses, qui est
une droite asymptote.
Conséquence 49.16 1. Pour tout nombre réel x,ex>0.
2. Pour tous nombres réels x et y :ex= eyéquivaut à x= y et ex >ey équivaut à x > y.
Exemples 49.17 1. e3x= ex+1équivaut à3x = x + 1. 2. ex≥ 1 équivaut à x ≥ 0.
3. ex≤ 1 équivaut à x ≤ 0.
e
O
FIGURE49.1 – Représentation graphique de la fonction exponentielle et de sa tangente en x= 0
Propriété 49.18 Soit u une fonction définie sur un intervalle I. Si u est dérivable sur I, alors la fonction x 7→ eu(x)est dérivable sur I et sa dérivée est x 7→ u0(x)eu(x).
Dv
•Démonstration de la propriété49.18—D’après le théorème de la dérivée d’une fonction composée, x 7→ exétant dérivable sur R et u dérivable sur I, x 7→ eu(x)est dérivable sur I
de dérivée x 7→ u0(x)eu(x). •
Exemple 49.19 La fonction x 7→ esin xest dérivable sur R de dérivée x 7→ cos xesin x. Propriété 49.20— Limites fondamentales. 1. limx→+∞e
x
x = +∞,
2. limx→−∞xex = 0.
Dv
•Démonstration de la propriété49.20—Dans la démonstration de la propriété49.15, on a vu que, pour tout x,ex≥ x. Donc, pour tout x, ex/2≥x
2 et, pour tout x ≥ 0, (ex/2)2 ≥ x22, soitex ≥ x2 4. Or,limx→+∞x 2
4 = +∞. D’après un des « théorèmes des gendarmes », on obtient lim x→+∞ ex x = +∞. On a xex= x e−x. En posant X= −x, on a xex= −eXX. Or lim X→+∞ eX X = +∞
49.3 Étude de la fonction x 7→ ex 15 donc lim X→+∞ X eX = 0
et, par suite,limx→−∞xex= 0. •
Conséquence 49.21 Pour tout nombre entier n strictement positif : 1. limx→+∞ e x xn = +∞. 2. limx→−∞xnex= 0. Dv •Démonstration de la conséquence49.21— 1. Commeex>0 : ex xn = ex/n x n soit ex xn = ex/n nx n n . Orlimx→+∞e X X = +∞ donc lim x→+∞ ex/n x/n = +∞. En composant avec la fonction puissance, on obtient :
lim x→+∞ ex/n nxn n = +∞ d’où lim x→+∞ ex xn = +∞. 2. On pose x= −X, xnex= (−X)ne−X, soit xnex= (−1)n Xn ex. Donc : lim x→−∞x nex= lim X→+∞(−1) nXn eX.
On vient de montrer quelimx→+∞ e
x xn = +∞, donc lim X→+∞(−1) nXn eX = 0. D’où :limx→−∞xnex= 0. • Exemples 49.22 1. Soit f : x 7→ xe10x , lim x→+∞f(x) = +∞.
2. Soit g: x 7→ x1000ex,
lim
x→−∞g(x) = 0.
R 49.23 Pour les limites en+∞ et et en −∞, on retiendra que « exp l’emporte sur x ».
49.4
Applications
1. Déterminer le plus grand réel a >0 tel que, pour tout x ∈ R, on ait : ax≤ ex.
2. Montrer que, pour tout(x, y) ∈ (R∗+)2:
ex+y
xy ≥ e
2.
3. Moyenne arithmétique et géométrique, comparaison. Soit n ∈ N∗,(a1, . . . , an) n réels
posi-tifs.
An=
a1+ · · · + an
n (moyenne arithmétique) Gn= √na1· · · an (moyenne géométrique)
Prouver que Gn≤ An, pour tout n ∈ N∗.
4. Déterminer les entiers pour lesquels2n≥ n2.
5. Comparer πeeteπ.
Dv
•Solution — 1. Soit a ∈ R∗
+. Considérons la fonction h(x) = ax−exp(x). On veut trouver le plus grand réel a tel que ax − exp(x) ≤ 0 pour tout x ∈ R. On calcule la dérivée de la fonction h :
h0(x) = a − exp(x). On obtient :
h0(x) = 0 ⇔ a − exp(x) = 0 ⇔ a = exp(x) ⇔ x = ln(a) h0(x) < 0 ⇔ x > ln(a)
h0(x) > 0 ⇔ x < ln(a)
La fonction h est donc croissante quand x <ln(a) et décroissante quand x > ln(a). On a de plus :
lim
x→−∞h(x) = −∞ et x→+∞lim h(x) = −∞ donc h admet donc un maximum en x= ln(a).
Il faut donc trouver a tel que h(x) = ax − exp(x) = 0 en x = ln(a). C’est-à-dire : h(ln(a)) = a ln(a) − exp(ln(a)) = a ln(a) − a = a(ln(a) − 1) = 0
49.4 Applications 17 Soit à résoudre :
a= 0 et ln(a) − 1 = 0 ⇔ ln(a) = 1 ⇔ a = e. Or on a fait comme condition a ∈ R∗
+, donc la seule solution à notre problème est a= e. 2. Soit(x, y) ∈ (R∗
+)2. En utilisant les propriétés de l’exponentielle, on peut transformer le membre de gauche de l’inégalité :
ex+y xy = exey xy = ex x × ey y. Montrons que la fonction f : x 7→ ex
x est toujours supérieure àe pour x > 0. Calculons
la dérivée f0de la fonction f : f0(x) =xe x− ex x2 = x− 1 x2 e x
Commeex>0 pour tout x > 0, le signe de la dérivée f0de la fonction f est du signe de l’expressionx−1
x2 , c’est-à-dire :
f0(x) < 0 ⇔ x − 1 < 0 ⇔ x < 1 et f0(x) > 0 ⇔ x > 1. La fonction f est donc décroissante sur]0; 1] et croissante sur [1; +∞[. De plus :
lim
x→0f(x) = +∞ et x→+∞lim ex
x = +∞ (croissance comparée). Donc la fonction f admet un minimum en x= 1 et f(1) = e1
1 = e. D’où : ex
x ≥ e pour tout x >0 et ainsi :
ex x × ey y ≥ e × e = e 2 pour tout(x, y) ∈ (R∗ +)2.
3. On étudie les variations de la fonction f définie, sur R, par : f(x) = ex−1− x. La fonction f est dérivable sur R et pour tout réel x, on a :
f0(x) = ex−1− 1. On en déduit, par croissance du logarithme, que :
f0(x) ≥ 0 ⇔ ex−1≥ 1 ⇔ x − 1 ≥ 0 ⇔ x ≥ 1. D’où les variations de f :
x −∞ 1 +∞
Signe de f0 − 0 +
Variations
de la & %
La fonction f admet donc, sur R, un minimum en 1 et : f(1) = e0− 1 = 0.
Comme ce minimum est nul, la fonction f est positive sur R et pour tout réel x, on a bien : ex−1≥ x.
En spécialisant, pour chaque1 ≤ i ≤ n, l’inégalité précédente avec x = ai
An, on obtient :
e(ai/An)−1
≥Aai
n
.
En multipliant, membre à membre les inégalités ci-dessus (tous les membres sont posi-tifs), il vient : n Y i=1 e(ai/An)−1 ≥ n Y i=1 ai An
et comme l’exponentielle transforme les sommes en produit, on peut écrire : ePi(ai/An)−1≥ Qn i=1ai An n e(Piai/An)−n ≥G n n An n et puisquePi Anai − n = 0, il vient : 1 ≥ Gnn An n . On a donc : Ann≥ Gnn
Par croissance du logarithme (An≥ 0 et Gn≥ 0) :
ln(An
n) ≥ ln(Gnn).
D’après les propriétés du logarithme :
nln An≥ n ln Gn.
Comme n est non nul :
ln An≥ ln Gn
Et enfin par croissance de l’exponentielle : An≥ Gn.
4. Soit f la fonction définie sur]0; +∞[ par : f(x) = ln(2x) − ln(x2). D’après les règles de
calculs sur les logarithmes :
f(x) = x ln 2 − 2 ln x. f(2) = ln 4 − ln 4 = 0 et f(4) = ln 16 − ln 16 = 0. On a : f0(x) = ln 2 −2 x= xln 2 − 2 x .
49.4 Applications 19 Comme x >à0, on a :
f0(x) ≥ 0 ⇔ x ln 2 − 2 ≥ 0 ⇔ x ≥ 2 ln 2. On en déduit les variations de f :
x 0 2 ln 22 4 +∞ Signe de f0 − − 0 + + +∞ +∞ Variations & % de la 0 0 fonction f & % m On en déduit : f(x) ≤ 0 ⇔ x ∈ [2; 4].
On recherche maintenant les entiers n pour lesquels on a :2n
≥ n2, c’est-à-dire f(n) ≥ 0, c’est-à-dire n ∈ N \ {3}.
5. La calculatrice donne :
πe ≈ 22, 46 et eπ
≈ 23, 14(à 10−2près). On sait que pour tout réel x de R∗
+, on a : ln x ≤ x − 1. En spécialisant x= π e, on obtient : ln π e ≤πe −1 ln π − 1 ≤π− ee e ln π − e ≤ π − e ln(πe)&leπ D’où : πe ≤ eπ. •
Bibliographie
[1] Problème des sept ponts de Königsberg, Wikipédia, l’encyclopédie libre.
[2] C. LE BOT, Théorie des graphes, 2006, http://blog.christophelebot.fr/
wp-content/uploads/2007/03/theorie_graphes.pdf.
[3] Coloration des graphes, Apprendre-en-ligne, http://www.apprendre-en-ligne. net/graphes-ancien/coloration/sommets.html
[4] O. GARET, Exemples de problèmes de graphes, http://iecl.univ-lorraine. fr/~Olivier.Garet/cours/graphes/graphes-documents_d_
accompagnement.pdf.
[5] E. SIGWARD& al., Odyssée Mathématiques Terminale ES/L, Hatier, 2012.
[6] Graphes probabilistes, Terminale ES spécialité.http://mathadoctes.free.fr/TES/ graphe/f4_graphe.PDF
[7] G. COSTANTINI, Probabilités (discrètes), Cours de Première S, URL : http://
bacamaths.net.
[8] P. RIBEREAU, Cours 5 Probabilités : Notion, probas conditionnelles et indépendance, URL :
http://www.math.univ-montp2.fr/
[9] P. DUVAL, Probabilités, TS. URL : http://lcs.werne.lyc14.ac-caen.fr/ ~duvalp
[10] G. COSTANTINI, Probabilités : Généralités, conditionnement, indépendance, Cours de Pre-mière S. URL :http://bacamaths.net.
[11] M. LENZEN, Leçon no3 : Coefficients binomiaux, dénombrement des combinaisons, formule du binôme. Applications., 2011, URL :http://www.capes-de-maths.com/index. php?page=leconsNEW
[12] G. CONNAN, Une année de mathématiques en Terminale S, Ch. 14, 2009-2010, URL :http: //tehessin.tuxfamily.org
[13] G. COSTANTINI, Loi binomiale, URL :http://bacamaths.net
[14] C. SUQUET, Intégration et Probabilités Elémentaires, 2009-2010. URL : http://math. univ-lille1.fr/~ipeis/
[15] L. LUBRANO& al., Mathématiques, BTS Industriels - Groupement B et C, Dunod, 2011. [16] G. COSTANTINI, Lois de probabilités continues. URL :http://bacamaths.net.
[17] J.-P. GOULARD, Lois de probabilités continues, TS, 2014-2015.
http://blog.crdp-versailles.fr/jpgoualard/public/
TS-2014-2015-cours-loiscontinues.pdf.
[18] Probabilités 3 : Loi uniforme sur [a; b], Lycée de Font Romeu. http://www. lewebpedagogique.com/cerdagne/files/2013/02/02-Loi-uniforme. pdf
[19] Loi uniforme sur[a; b], IREM de Toulouse. URL :http://www.irem.ups-tlse.fr/ spip/IMG/pdf_LOI_UNIFORME.pdf
[21] C. SUQUET, Initiation à la Statistique, 2010. http://math.univ-lille1.fr/
~suquet/Polys/IS.pdf.
[22] J.-F. DELMAS, Modélisation stochastique, Cours de M2, 2009. URL :http://cermics. enpc.fr/~delmas/Enseig/mod-stoch.pdf
[23] L.-M. BONNEVAL, Chaînes de Markov au lycée, APMEP no503, 2013. URL : http://
publimath.irem.univ-mrs.fr/biblio/AAA13018.htm
[24] Marche aléatoire, IREM de Franche-Comte. URL : http://www-irem. univ-fcomte.fr/download/irem/document/ressources/lycee/marche/
marche-aleatoire.pdf.
[25] Marches sur Z, culturemath.ens.fr, URL : http://culturemath.ens.fr/maths/ pdf/proba/marchesZ.pdf
[26] Contributeurs à Wikipedia, Marche aléatoire, Wikipédia, l’encyclopédie libre, 2014.
[27] Marche au hasard dans les rues de Toulouse, URL : http://mappemonde.mgm.fr/ actualites/M_toulouse2.html
[28] R. NOEL, Statistiques descriptives, http://amphimaths.chez-alice.fr/N1/ stats_desc_poly.pdf
[29] J. LEVY, Séries statistiques, URL :http://jellevy.yellis.net.
[30] P. BRACHET, Statistiques : résumé de cours et méthodes, Première S. http://www.
xm1math.net/seconde/seconde_chap9_cours.pdf.
[31] Contributeurs de Wikipédia, Série statistique à deux variables, Wikipédia.
[32] G. COSTANTINI, Séries statistiques à deux variables. URL :http://bacamaths.net. [33] A. GUICHET, Prépa ECS - Lycée Touchard, Chap 1. 1.2. URL :http://alainguichet.
mathematex.net/ecs-touchard/wiki.
[34] Y. DUCEL & B. SAUSSEREAU, Partie I : Du théorème de Moivre-Laplace (TML) au Théorème-Limite Central (TLC), Journée académique « Terminale », Besançon, octobre 2012. http://bsauss.perso.math.cnrs.fr/IREM_FC_GrouProbaStat/ Terminale-I_JourneeOctobre-2012_DIAPORAMA_120929/DIAPORAMA-I_
JourneeTerminale_octobre-2012.pdf.
[35] R. BARRA& al., Transmath 2nde, Nathan, 2010. [36] P. MILAN, Statistiques et estimation, Terminale S.
[37] IREM Aix-Marseille, Groupe Proba-Stats, Estimation : intervalle de fluctuation et de confiance, Mars 2012. http://www.irem.univ-mrs.fr/IMG/pdf/estimation_ nouveau_programme2012.pdf
[38] Intervalle de fluctuation, intervalle de confiance, Animation nouveaux programmes de mathématiques Terminale STI2D - Académie de Créteil, jeudi 3 mai 2012.
http://maths.ac-creteil.fr/IMG/pdf/intervalles__fluctuation_ confiance_sti2d-stl_1_.pdf
[39] N. DAVAL, Statistiques inférentielles : estimation. BTS Domotique. URL : http:// mathematiques.daval.free.fr
BIBLIOGRAPHIE 23
[41] P. MILAN, Multiples. Division euclidienne. Congruence, Terminale S Spé. URL :
http://www.lyceedadultes.fr/sitepedagogique/documents/math/ mathTermSspe/01_Multiples_division_euclidienne_congruence/01_
cours_multiples_division_euclidienne_congruence.pdf.
[42] Contributeurs de Wikipédia, Liste des critères de divisibilité, Wikipédia.
[43] C. PARFENOFF, Division euclidienne, division décimale, Classe de Sixième. URL : http: //www.parfenoff.org
[44] J. ONILLON, Vestiges d’une terminale S — Résolution générale des équations diophantiennes. URL :http://tanopah.com.
[45] ZAUCTORE, Équations diophantiennes du premier degré, 3 octobre 2007. http://www. mathforu.com/pdf/equation-diophantienne-premier-degre.pdf
[46] D.-J. Mercier, CAPES/AGREG Maths, Préparation intensive à l’entretien. URL :http:// megamaths.perso.neuf.fr/exgeo/preparationintensive.html
[47] F. HERBAUT, Souvenirs d’oraux du CAPES 2011, Académie de Nice. http://fabien.
herbaut.free.fr/oraux/oraux_2011_v1.pdf.
[48] Contributeurs de Wikipédia, Équation diophantienne ax+ by = c, Wikipédia.
[49] P. MILAN, Les nombres premiers, Terminale S Spé, 22 janvier 2013. URL :http://www. lyceedadultes.fr/sitepedagogique/documents/math/mathTermSspe/ 03_Nombres_premiers/03_cours_les_nombres_premiers.pdf
[50] J.-P. BELTRAMONE& al., Déclic mathématiques, TS, Enseignements spécificique et de spécia-lité, Hachette Éducation, 2012.
[51] D.-J. MERCIER, Fondamentaux d’algèbre et d’arithmétique, EPU, Publibook, 2010.
[52] B. BERTINELI& Y. SCHUBNEL, Leçons de mathématiques, CRDP de Franche-Conté, 2001. [53] G. TENENBAUM& M. MENDÈS-FRANCE, Les nombres premiers, PUF Editions, 2000. [54] X. DELAHAYE, Congruences, Terminale S. URL :xmaths.free.fr
[55] J.-P. QUELEN, Petit théorème de Fermat et codage RSA, 15 janvier 2011.
[56] M. LENZEN, Leçon no14 : Congurences dans Z. Anneau Z/nZ, 2011. www.
capes-de-maths.com/lecons/lecon14.pdf
[57] Contributeurs de Wikipédia, Équations du second degré, Wikipédia.
[58] C. BOULONNE, Notes de cours, M101 : Fondements de l’algèbre, L1 Mathématiques, 2006-2007.
[59] Équations du second degré à une inconnue. URL : http://ww2.ac-poitiers.fr/ math_sp
[60] G. BONTEMPS& al., Fractale, Maths 1re S, Bordas, Programme 2001.
[61] G. COSTANTINI, Nombres complexes, Terminale S. URL :http://bacamaths.net. [62] G. CONNAN, Une année de mathématiques en Terminales S, Ch. 1, 2009-2010. http://
tehessin.tuxfamily.org
[63] D. FELDMANN, 21. Géométrie analytique. URL : http://denisfeldmann.fr/PDF/
21ganal.pdf.
[65] Coordonnées Géographiques, MPS. URL : http://www.mimaths.net/IMG/pdf/
coorgeo.pdf.
[66] G. COSTANTINI, Exercices de Géométrie Analytique. URL :http://bacamaths.net. [67] J. ONILLON, Géométrie analytique : un regard d’un autre temps, 2007.http://tanopah.
jo.free.fr/ADS/bloc13/geoanalytique.pdf
[68] Contributeurs de Wikipédia, Géométrie analytique, Wikipédia.
[69] Contributeurs de Wikipédia, Repérage dans le plan et dans l’espace, Wikipédia. [70] Contributeurs de Wikipédia, Système de coordonnées, Wikipédia.
[71] D. ROBERT, Mathématiques en Terminale ES, Enseignement de spécialité, 2012-2013.http:
//perpendiculaires.free.fr/wp-content/TESspe-2012-2013.pdf.
[72] Devoir maison – 5, Chiffrement de Hill, Spé TS, Lycée Victor Duruy - Mont de Marsan.http://mathstsduruy.fr/wp-content/uploads/2013/04/dev5_
Sp%C3%A9_maison_2012.pdf.
[73] Chapitre 12 : Proportionnalité. http://maths.vivien.free.fr/documents/
Cours/chapitre6D1-Proportionnalite.pdf.
[74] Chapitre 13 : Proportionnalité. http://www2.ac-lyon.fr/etab/colleges/ col-69/jgiono/IMG/pdf/cours_Proportionnalite.pdf
[75] Théorème de Thalès - Démonstration. URL : http://mathadoc.sesamath.net/ Documents/college/3eme/3thales/demoaire.PDF
[76] S. PASQUET, Proportionnalité, Classe de 6ème, 5ème, 4ème et 3ème. http://mathweb. fr.
[77] J.-G. CUAZ, Pourcentage, Première L Math-Info. http://francois. schulhof.perso.neuf.fr/cours_maths/lycee/statistiques/cours_ pourcentage.pdf
[78] Contributeurs de Wikipédia, Pente (topographie), Wikipédia.
[79] Pourcentages, CNED Académie en Ligne. URL :http://www.academie-en-ligne. fr/Ressources/7/MA11/AL7MA11TEPA0012-Sequence-02.pdf
[80] Intérêts simples. http://mathadoc.sesamath.net/Documents/mp/bacpro/ bacgestion/int_simp.PDF
[81] A. IMONE, Systèmes d’équations, d’inéquations, Troisième. http://albertimone. voila.net/Brevet/syst.3.html
[82] S. PASQUET, Systèmes d’équations et inéquations affines, Première ES.http://mathweb. fr.
[83] J. ONILLION, Systèmes d’inéquations, régionnement du plan. URL : http://tanopah. jo.free.fr/seconde/regionalpha.php
[84] Programmation linéaire,http://extranet.editis.com/it-yonixweb/images/ 500/art/doc/8/85a981cb4526acd3393830353930393136343535.pdf
[85] S. GOUIN & al., Dimathème TSTT (Action et communication commerciales administratives), Programme 1999, Didier.
BIBLIOGRAPHIE 25
[87] S. MEHL, Droites du plan, étude analytique élémentaire. URL :http://serge.mehl. free.fr/anx/dtes_p.html
[88] C. PARFENOFF, Droites parallèles. Droites sécantes, Seconde. URL : http://www. parfenoff.org/pdf/seconde/geometrie/2de_Droites_paralleles_ Droites_secantes.pdf
[89] D. PERRIN, Droites du plan. URL : http://www.math.u-psud.fr/~perrin/
CAPES/geometrie/droites2012.pdf.
[90] M. HAMED, Leçon 24 : Droites du plan. http://michael.hamed.perso.sfr.fr/ acces/Le%C3%A7on%2024%20-%20Droites%20du%20plan.pdf
[91] P. LUX, Droites et plans dans l’espace. URL :http://pierrelux.net/documents/ cours/2/espace.pdf
[92] J.-L. ROUGET, Droites et plans de l’espace. URL : http://www.maths-france.fr/ Terminale/TerminaleS/FichesCours/DroitesPlansEspace.pdf
[93] C. ROSSIGNOL, Droites et plans de l’espace. URL : http://www.ac-grenoble.fr/
lycee/vincent.indy/IMG/pdf/droites_plans_espace.pdf.
[94] Droites remarquables dans un triangle, 4e 3e, Playermath. URL : http://www.
playermath.com/images/pdf/f4gmethogeo_corr03.pdf.
[95] S. DUCHET, Droites remarquables dans un triangle, 4e. URL :http://epsilon.2000. free.fr/4C/4C-02.pdf
[96] Contributeurs de Wikipédia, Droite d’Euler, Wikipédia. [97] Contributeurs de Wikipédia, Cercle, Wikipédia.
[98] B. SICARD, Équations cartésiennes dans le plan et dans l’espace. URL : http: //math.sicard.free.fr/1S/equations_cartesiennes/equations_ cartesiennes.pdf
[99] M. CUAZ, Géométrie dans l’espace, solides de l’espace. URL :http://www.hexomaths. fr/fichiers/GeometrieespaceCOURS.pdf
[100] Contributeurs de Wikipédia, Solide géométrique, Wikipédia.
[101] T. EVEILLEAU, Les solides de Platon. URL : http://therese.eveilleau.
pagesperso-orange.fr/pages/truc_mat/textes/platon.htm.
[102] S. DELAUNAY, M302 : Cours de Géométrie I, 2009-2010.
[103] C. BOULONNE, Notes de cours, M103 : Fondements de l’analyse 2, 2006-2007.
[104] P. BRACHET, Produit scalaire : Résumé de cours et méthodes. URL : http://www. xm1math.net/premiere_s/prem_s_chap5_cours.pdf
[105] A. LIÉTARD, Produit scalaire. URL : http://maths1s.chez.com/1S/ produitscalaire.pdf
[106] M. CUAZ, Produit scalaire. URL : http://mathematiques.lfsl.free.fr/IMG/ pdf/ProduitscalaireRESUME.pdf
[107] C. ROSSIGNOL, Produit scalaire dans l’Espace, Année scolaire 2014/2015.http://www. ac-grenoble.fr/lycee/vincent.indy/IMG/pdf/produit_scalaire.pdf
[108] E. SUQUET, Théorème de Thalès, Troisième. URL : http://www.automaths.com/3/
[109] Propriété de Thalès, 3e. URL :http://melusine.eu.org
[110] Théorème de Thalès - Démonstration. URL :http://mathadoc.com. [111] Contributeurs de Wikipédia, Théorème de Pappus, Wikipédia.
[112] Contributeurs de Wikipédia, Théorème de Desargues, Wikipédia.
[113] J. HAMON, Leçon 24 - Théorème de thalès. Applications à la géométrie du plan et de l’espace. URL :http://jaimelesmaths.voila.net/Capes/Lecon_24.pdf
[114] E. SUQUET, Trigonométrie, Troisième. URL : http://www.automaths.com/3/ cours/3_Trigonometrie_C.pdf
[115] G. COSTANTINI, Trigonométrie et fonctions circulaires, Première S.http://bacamaths. net
[116] G. COSTANTINI, Trigonométrie, relations métriques dans un triangle. URL : http:// bacmaths.net
[117] Contributeurs de Wikipédia, Théorème de Pythagore, Wikipédia.
[118] M. LENZEN, Leçon no32 : Relations métriques dans un triangle. Trigonométrie. Applications. URL :http://capes-de-maths.com
[119] P. DEBART, Constructions géométriques au collège. URL : http://debart. pagesperso-orange.fr
[120] COJEREM, Des situations pour enseigner la géométrie 1re/4e - Guide méthodologique. De Boeck, 2000.
[121] G. COSTANTINI, Barycentre d’un système pondéré, Première S. URL : http://
bacamaths.net.
[122] P. BRACHET, Barycentres : Résumé de cours et méthodes. URL : http://lycee. lagrave.free.fr/IMG/pdf/doc_barycentre.pdf
[123] X. DELAHAYE, Homothéties, translations, rotations - Première S. URL : http://x.
maths.free.fr/1S/cours/cours.php?nomcours=1Shomtcours&page=01.
[124] S. DELAUNAY, M302 : Cours de Géométrie I, 2009-2010.
[125] C. PARFENOFF, Droites sécantes, perpendiculaires et parallèles. URL : http://www. parfenoff.org/pdf/6e/6e_%20perpendiculaires_paralleles.pdf
[126] P. LUX, Produit scalaire et Orthogonalité dans l’espace. URL : http://pierrelux. net/documents/cours/TS_2012/produit_scalaire/produitscalaire_ orthogonalite.pdf
[127] MATHOUS, Orthogonalité de droites et de plans. URL :http://mathtous.perso.sfr. fr/articles/Orthogonalite%20de%20droites%20et%20de%20plans.pdf
[128] G. COSTANTINI, Les suites, Première S. URL :http://bacamaths.net
[129] X. DELAHAYE, Suites numériques, limites. Première S. URL : http://xmaths.free.
fr/1S/cours/cours.php?nomcours=1Ssuitcours&page=01.
[130] M. CUAZ, Suites arithmético-géométriques.
[131] Suites arithmétiques, suites géométriques, CNED Académie en Ligne.
URL : http://www.academie-en-ligne.fr/Ressources/7/MA11/
AL7MA11TEPA0012-Sequence-08.pdf
BIBLIOGRAPHIE 27
[133] Étude de suites. URL : http://mathsplp.creteil.iufm.fr/ht_works/ exposes/suites/suites.htm
[134] G. COSTANTINI, Suites de nombres réels, Terminale S.http://bacmaths.net
[135] P. BRACHET, Suites : Résumé de cours et méthodes. URL :http://www.xm1math.net/ premiere_s/prem_s_chap4_cours.pdf
[136] T. VEDEL, Suites définies par récurrence, Terminales. URL :amemath.o2switch.net/
ame_mathematique2/cours_tes/suiterec2bis.pdf.
[137] A. SAMIER& C. RASSON, Suites, Leçon de Math, S2, Master 1 Ens. Math, 2010-2011. [138] S. PASQUET, Ainsi de suite. URL :http://mathweb.fr.
[139] Définition d’une suite récurrente à l’aide de la fonctionln , IREM de Lyon, Groupe UPO Lyon. URL :http://math.univ-lyon1.fr/irem/IMG/pdf/lnsuite.pdf
[140] X. DELAHAYE, Suites numériques, Cours et exercices, Première S. URL :http://xmaths.
free.fr/1S/cours/cours.php?nomcours=1Ssuitcours&page=01.
[141] G. COSTANTINI, Les limites, Première S. URL :http://bacamaths.net.
[142] X. DELAHAYE, Limites, Terminale S. URL : http://xmaths.free.fr/TS/cours/
cours.php?nomcours=TSlimfcours&page=01.
[143] G. COSTANTINI, Continuité, Cours de Terminale S. URl :http://bacamaths.net. [144] G. LEAHPAR, Image d’un intervalle par une fonction continue, image d’un segment.
Conti-nuit de la fonction réciproque d’une fonction continue strictemnet monotone sur un intervalle. Leçon no60 du CAPES 2010. URL : http://leahpar.etnalag.free.fr/capes.
html.
[145] G. COSTANTINI, Fonctions dérivables, Cours de Terminale S. URL :http://bacamaths. net
[146] X. DELAHAYE, Dérivée, Terminale S, URL : http://xmaths.free.fr/TS/cours/ cours.php?nomcours=TSdericours&page=01
[147] G. COSTANTINI, Exercices rédigés sur les exponentielles et les logarithmes. URL : http: