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L49 [V2-VàC] – Fonctions exponentielles

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9

Fonctions exponentielles

49

Leçon n° Niveau Terminale S et BTS

Prérequis notions de dérivabilité, existence d’une solution d’équa diff, bijection, fonctions

logarithmes, limites, théorème des valeurs intermédiaires

Références [60], [147]

49.1

La fonction exponentielle

Définition 49.1 Soit a un nombre réel. On appelle solution sur l’intervalle I de l’équation différen-tielle Y0 = aY toute fonction dérivable sur I, qui vérifie sur I : f0 = af.

Exemples 49.2 1. La fonction nulle est une solution sur R de l’équation différentielle Y0= 2Y . 2. Les fonctions constantes sont des solutions sur R de l’équation différentielle Y0 = 0Y .



R 49.3 L’équation différentielle Y0 = aY , notée aussi dydx = ay, exprime une proportionnalité entre la fonction

et sa dérivée. Elle permet de modéliser de nombreux phénomènes (en physique,. . .).

Propriété 49.4— Théorème d’existence. Il existe une fonction f, dérivable sur R, solution de l’équa-tion différentielle Y0 = Y et telle que f(0) = 1 que l’on appelle la fonction exponentielle.

R 49.5 On notera provisoirement la fonction exponentielle x 7→ exp(x).

Propriété 49.6 La fonction exponentielle est strictement positive sur R.

Dv

•Démonstration de la propriété49.6—Soit la fonctionΦ définie sur R par Φ(x) = exp(x) exp(−x).

Φ est dérivable sur R et

Φ0(x) = exp0(x) exp(−x) − exp(x) exp0(−x).

Orexp0= exp donc Φ0(x) = 0. La fonction Φ est constante sur R et égale à 1 car exp(0) = 1. Puisqueexp(x) exp(−x) = 1, la fonction exp ne s’annule jamais.

On démontre, par l’absurde, que la fonctionexp est strictement positive. S’il existait x0tel queexp(x0) ≤ 0, alors exp étant dérivable sur R, elle est continue sur R. En appliquant le théorème des valeurs intermédiaires à la fonctionexp sur [0, x0] ou [x0,0], on trouverait une solution à l’équationexp(x) = 0. Ceci est faux puisqu’on a montré que exp ne s’annule jamais, donc x0tel queexp(x0) ≤ 0 n’existe pas. •

(2)

Propriété 49.7 Soit a un réel donné. Les solutions de l’équation différentielle Y0 = aY sont les

fonctions définies sur R par f(x) = k exp(ax) où k est une constante réelle.

Dv

•Démonstration de la propriété49.7—La fonction f : x 7→ k exp(ax), où k est un réel, est dérivable sur R, et pour tout x de R, vérifie

f0(x) = ka exp(ax)

soit f0(x) = af(x). Donc f est solution sur R de l’équation Y0 = aY . Soit g une autre fonction sur R de Y0 = aY , donc, pour tout x de R, g0(x) = ag(x). Comme la fonction exp ne s’annule pas, on peut définir sur R la fonction u : x 7→ g(x)

exp(ax). u est dérivable sur R et on a, après simplification :

u0(x) =g0(x) − ag(x) exp(ax) .

Or g0(x) = ag(x), donc, pour tout x de R, u0(x) = 0. u est une fonction constante sur R, c’est-à-dire g(x)

exp(ax)est constant, soit g(x) = k exp(ax).

49.2

La notation

e

x

Propriété 49.8 Pour tous nombres réels a et b,exp(a + b) = exp(a) × exp(b).

Dv

•Démonstration de la propriété49.8—Soit la fonction g définie sur R par g(x) = exp(x+ b) où b est un nombre réel. g est dérivable sur R, et on a

g0(x) = exp0(x + b) = exp(x + b) = g(x)

gvérifie l’équation Y0= Y . Donc d’après la propriété49.7, g(x) = k exp(x). Pour tout x de R,

exp(x + b) = k exp(x) et pour x= 0,

exp(b) = k exp(0). orexp(0) = 1 donc k = exp(b) et on a

exp(x + b) = exp(x) exp(b).

Propriété 49.9 Le nombre réelexp(1) se note e. On a e ' 2, 72 et, pour tout x élément de R, exp(x) = ex.

(3)

49.2 La notationex 11

R 49.10 Ainsie√2a un sens, c’est l’image de√2 par la fonction x 7→ ex. On a aussi :

e0= 1, e1= e, e−1= 1

e, e1/2= √e.

Conséquence 49.11 1. Pour tous nombres réels a et b : ea+b = eaeb, e−a= 1

ea, e

a−b= ea

eb.

2. Pour tout nombre réel a et tout rationnel r :era = (ea)r.

Dv

•Démonstration —

— Tout d’abord, on montre que, pour tout nombre n entier naturel, on a la propriété « Pour tout réel a,exp(na) = (exp(a))n». La propriété est vraie pour n= 0 car, par définition

de la fonctionexp : exp(0) = 1. Supposons que, pour un entier k, on ait exp(ka) = (exp(a))k. Alors, d’après la propriété49.6, on a :

exp((k + 1)a) = exp(ka + a) = exp(ka) exp(a).

Donc exp((k + 1)a) = (exp(a))k+1. La propriété est vérifiée pour n = 0. Si on la

suppose vraie pour n= k, alors elle est vraie pour n = k + 1, et donc par récurrence, elle est vraie pour tout nombre entier n ≥ 0.

— Par définition,exp(1) = e et d’après la propriété49.6,

exp(1) × exp(−1) = exp(1 − 1) = 1. Doncexp(−1) = 1

e = e−1.

Si x est un entier positif, on peut écrire x= na avec a = 1 et n entier positif. exp(x) = exp(n × 1) = (exp(1))n

Soitexp(x) = ex.

Si x est un entier négatif, on peut écrire x= na avec a = −1 et n entier positif. exp(x) = exp(n × (−1)) = (exp(−1))n.

Or

(exp(−1))n= (e−1)n= e−n. Soitexp(x) = ex.

Donc, pour tout x ∈ Z, exp(x) = ex.

— Si x est un nombre rationnel, on peut écrire x = pa avec a = 1

q, q entier strictement

positif et p un entier relatif.

exp(qa) = (exp(a))q

Or qa= 1 donc (exp(a))q = e. Soit exp(a) = e1/q.

(4)

Soit

exp(x) =e1/qp= ep/q= ex.

Donc, pour tout x élément de Q, exp(x) = ex.

— On admet que l’on peut étendre cette propriété à R et on convient de noter exle nombre

exp(x) pour tout x élément de R.

• Exemples 49.12 1. ex+1 = eex 2. ex−2= ex e2 3. e2x= (ex)2 4. ex/2 =√ex. 

R 49.13 Ne pas confondree(ab)et(ea)b; ainsiex2= exp(x2) alors que (ex)2= e2x.

49.3

Étude de la fonction x 7→ e

x

D’après sa définition, la fonction x 7→ ex est solution de l’équation différentielle Y0 = Y et telle

que f(0) = 1, donc elle est dérivable sur R donc continue sur R, et égale à sa dérivée.

Conséquence 49.14 1. x 7→ exest strictement croissante sur R.

2. limx→0e

x−1

x = 1.

Dv

• Démonstration de la conséquence49.14—Le premier point découle immédiatement de la définition de la fonction exp. On a (ex)0 = ex et d’après la propriété 49.6,exp est

strictement positive. La fonction x 7→ exest dérivable en0 donc son taux de variation ex

−e0

x−0 a pour limite en0 le nombre dérivé de x 7→ exen0, soit :

lim x→0 ex − 1 x = 1. • Propriété 49.15— Limites. lim x→+∞e x= +∞ et lim x→−∞e x= 0. Dv •Démonstration de la propriété49.15—

— Pour étudier la limite en+∞, on montre d’abord que, pour tout x, ex

≥ x. Soit la fonction f définie sur R par f(x) = ex

− x. f est dérivable sur R et f0(x) = ex− 1.

(5)

49.3 Étude de la fonction x 7→ ex 13

Commeexp est croissante sur R et e0= 1, on obtient le tableau de variations de f :

x −∞ 0 +∞

f0 − 0 +

f & %

1 Comme, pour tout x, f(x) ≥ 0, on a ex

≥ x et, d’après un des théorèmes « des gen-darmes », on a :

lim

x→+∞e

x= +∞.

— Pour étudier la limite en −∞, on pose X = −x et on a ex= e−Xet lim x→+∞e x= lim x→−∞e −X = +∞. Commelimx→+∞ex= +∞, on a : lim X→+∞ 1 eX = 0,

soitlimX→+∞e−X= 0. Donc :

lim

x→−∞e

x= 0.

On obtient le tableau de variations de la fonctionexp.

x −∞ 0 1 +∞ +∞ % e ex % 1 % 0

— La courbe représentative de la fonction x 7→ expasse par les points de coordonnées(0, 1) et

(1, e).

— La tangente à la courbe représentative de la fonction x 7→ exau point de coordonnées(0, 1) a

pour équation y= x + 1. De plus, pour h « assez petit » : eh ≈ 1 + h.

— La courbe représentative de la fonction x 7→ ex est au dessus de l’axe des abscisses, qui est

une droite asymptote.

Conséquence 49.16 1. Pour tout nombre réel x,ex>0.

2. Pour tous nombres réels x et y :ex= eyéquivaut à x= y et ex >ey équivaut à x > y.

Exemples 49.17 1. e3x= ex+1équivaut à3x = x + 1. 2. ex≥ 1 équivaut à x ≥ 0.

3. ex≤ 1 équivaut à x ≤ 0.

(6)

e

O

FIGURE49.1 – Représentation graphique de la fonction exponentielle et de sa tangente en x= 0

Propriété 49.18 Soit u une fonction définie sur un intervalle I. Si u est dérivable sur I, alors la fonction x 7→ eu(x)est dérivable sur I et sa dérivée est x 7→ u0(x)eu(x).

Dv

•Démonstration de la propriété49.18—D’après le théorème de la dérivée d’une fonction composée, x 7→ exétant dérivable sur R et u dérivable sur I, x 7→ eu(x)est dérivable sur I

de dérivée x 7→ u0(x)eu(x).

Exemple 49.19 La fonction x 7→ esin xest dérivable sur R de dérivée x 7→ cos xesin x.  Propriété 49.20— Limites fondamentales. 1. limx→+∞e

x

x = +∞,

2. limx→−∞xex = 0.

Dv

•Démonstration de la propriété49.20—Dans la démonstration de la propriété49.15, on a vu que, pour tout x,ex≥ x. Donc, pour tout x, ex/2x

2 et, pour tout x ≥ 0, (ex/2)2 ≥ x22, soitexx2 4. Or,limx→+∞x 2

4 = +∞. D’après un des « théorèmes des gendarmes », on obtient lim x→+∞ ex x = +∞. On a xex= x e−x. En posant X= −x, on a xex= −eXX. Or lim X→+∞ eX X = +∞

(7)

49.3 Étude de la fonction x 7→ ex 15 donc lim X→+∞ X eX = 0

et, par suite,limx→−∞xex= 0. •

Conséquence 49.21 Pour tout nombre entier n strictement positif : 1. limx→+∞ e x xn = +∞. 2. limx→−∞xnex= 0. Dv •Démonstration de la conséquence49.21— 1. Commeex>0 : ex xn =  ex/n x n soit ex xn =  ex/n nx n n . Orlimx→+∞e X X = +∞ donc lim x→+∞ ex/n x/n = +∞. En composant avec la fonction puissance, on obtient :

lim x→+∞  ex/n nxn n = +∞ d’où lim x→+∞ ex xn = +∞. 2. On pose x= −X, xnex= (−X)ne−X, soit xnex= (−1)n Xn ex. Donc : lim x→−∞x nex= lim X→+∞(−1) nXn eX.

On vient de montrer quelimx→+∞ e

x xn = +∞, donc lim X→+∞(−1) nXn eX = 0. D’où :limx→−∞xnex= 0. • Exemples 49.22 1. Soit f : x 7→ xe10x , lim x→+∞f(x) = +∞.

(8)

2. Soit g: x 7→ x1000ex,

lim

x→−∞g(x) = 0.



R 49.23 Pour les limites en+∞ et et en −∞, on retiendra que « exp l’emporte sur x ».

49.4

Applications

1. Déterminer le plus grand réel a >0 tel que, pour tout x ∈ R, on ait : ax≤ ex.

2. Montrer que, pour tout(x, y) ∈ (R∗+)2:

ex+y

xy ≥ e

2.

3. Moyenne arithmétique et géométrique, comparaison. Soit n ∈ N,(a1, . . . , an) n réels

posi-tifs.

An=

a1+ · · · + an

n (moyenne arithmétique) Gn= √na1· · · an (moyenne géométrique)

Prouver que Gn≤ An, pour tout n ∈ N∗.

4. Déterminer les entiers pour lesquels2n≥ n2.

5. Comparer πeeteπ.

Dv

•Solution — 1. Soit a ∈ R

+. Considérons la fonction h(x) = ax−exp(x). On veut trouver le plus grand réel a tel que ax − exp(x) ≤ 0 pour tout x ∈ R. On calcule la dérivée de la fonction h :

h0(x) = a − exp(x). On obtient :

h0(x) = 0 ⇔ a − exp(x) = 0 ⇔ a = exp(x) ⇔ x = ln(a) h0(x) < 0 ⇔ x > ln(a)

h0(x) > 0 ⇔ x < ln(a)

La fonction h est donc croissante quand x <ln(a) et décroissante quand x > ln(a). On a de plus :

lim

x→−∞h(x) = −∞ et x→+∞lim h(x) = −∞ donc h admet donc un maximum en x= ln(a).

Il faut donc trouver a tel que h(x) = ax − exp(x) = 0 en x = ln(a). C’est-à-dire : h(ln(a)) = a ln(a) − exp(ln(a)) = a ln(a) − a = a(ln(a) − 1) = 0

(9)

49.4 Applications 17 Soit à résoudre :

a= 0 et ln(a) − 1 = 0 ⇔ ln(a) = 1 ⇔ a = e. Or on a fait comme condition a ∈ R

+, donc la seule solution à notre problème est a= e. 2. Soit(x, y) ∈ (R

+)2. En utilisant les propriétés de l’exponentielle, on peut transformer le membre de gauche de l’inégalité :

ex+y xy = exey xy = ex x × ey y. Montrons que la fonction f : x 7→ ex

x est toujours supérieure àe pour x > 0. Calculons

la dérivée f0de la fonction f : f0(x) =xe x− ex x2 = x− 1 x2 e x

Commeex>0 pour tout x > 0, le signe de la dérivée f0de la fonction f est du signe de l’expressionx−1

x2 , c’est-à-dire :

f0(x) < 0 ⇔ x − 1 < 0 ⇔ x < 1 et f0(x) > 0 ⇔ x > 1. La fonction f est donc décroissante sur]0; 1] et croissante sur [1; +∞[. De plus :

lim

x→0f(x) = +∞ et x→+∞lim ex

x = +∞ (croissance comparée). Donc la fonction f admet un minimum en x= 1 et f(1) = e1

1 = e. D’où : ex

x ≥ e pour tout x >0 et ainsi :

ex x × ey y ≥ e × e = e 2 pour tout(x, y) ∈ (R∗ +)2.

3. On étudie les variations de la fonction f définie, sur R, par : f(x) = ex−1− x. La fonction f est dérivable sur R et pour tout réel x, on a :

f0(x) = ex−1− 1. On en déduit, par croissance du logarithme, que :

f0(x) ≥ 0 ⇔ ex−1≥ 1 ⇔ x − 1 ≥ 0 ⇔ x ≥ 1. D’où les variations de f :

x −∞ 1 +∞

Signe de f0 0 +

Variations

de la & %

(10)

La fonction f admet donc, sur R, un minimum en 1 et : f(1) = e0− 1 = 0.

Comme ce minimum est nul, la fonction f est positive sur R et pour tout réel x, on a bien : ex−1≥ x.

En spécialisant, pour chaque1 ≤ i ≤ n, l’inégalité précédente avec x = ai

An, on obtient :

e(ai/An)−1

Aai

n

.

En multipliant, membre à membre les inégalités ci-dessus (tous les membres sont posi-tifs), il vient : n Y i=1 e(ai/An)−1 ≥ n Y i=1 ai An

et comme l’exponentielle transforme les sommes en produit, on peut écrire : ePi(ai/An)−1≥ Qn i=1ai An n e(Piai/An)−nG n n An n et puisquePi Anai − n = 0, il vient : 1 ≥ Gnn An n . On a donc : Ann≥ Gnn

Par croissance du logarithme (An≥ 0 et Gn≥ 0) :

ln(An

n) ≥ ln(Gnn).

D’après les propriétés du logarithme :

nln An≥ n ln Gn.

Comme n est non nul :

ln An≥ ln Gn

Et enfin par croissance de l’exponentielle : An≥ Gn.

4. Soit f la fonction définie sur]0; +∞[ par : f(x) = ln(2x) − ln(x2). D’après les règles de

calculs sur les logarithmes :

f(x) = x ln 2 − 2 ln x. f(2) = ln 4 − ln 4 = 0 et f(4) = ln 16 − ln 16 = 0. On a : f0(x) = ln 2 −2 x= xln 2 − 2 x .

(11)

49.4 Applications 19 Comme x >à0, on a :

f0(x) ≥ 0 ⇔ x ln 2 − 2 ≥ 0 ⇔ x ≥ 2 ln 2. On en déduit les variations de f :

x 0 2 ln 22 4 +∞ Signe de f0 0 + + +∞ +∞ Variations & % de la 0 0 fonction f & % m On en déduit : f(x) ≤ 0 ⇔ x ∈ [2; 4].

On recherche maintenant les entiers n pour lesquels on a :2n

≥ n2, c’est-à-dire f(n) ≥ 0, c’est-à-dire n ∈ N \ {3}.

5. La calculatrice donne :

πe ≈ 22, 46 et eπ

≈ 23, 14(à 10−2près). On sait que pour tout réel x de R

+, on a : ln x ≤ x − 1. En spécialisant x= π e, on obtient : ln π e  ≤πe −1 ln π − 1 ≤π− ee e ln π − e ≤ π − e ln(πe)&leπ D’où : πe ≤ eπ.

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Bibliographie

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De même, il peut être logique de procéder dans certains cas à des sondages à probabilités inégales : par exemple si les individus sont des entreprises, il peut être utile de