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NOTRE COUVERTURE :
C'était le bon vieux temps ••• Celui où l'on ~evenait ingénieur en dessinant à l'échelle 7/10 un dessin donné à 3/5. Celui où l'on numérotait dans l'ordre les sujets de concours et où les auteurs les signaient. C'était aussi le temps où les rondelles étaient en cuir, les instrume.nts d • usage, et les vues en concordance ••• Comme on n'avait pas encqre inventé la cotation fonctionnelle on n'osait indiquer les cotes qu'en pointillés. Et pour les tolérances, il y avait des maisons spécialisées.
D'accord, on venait de terminer la ''der des ders", des milliers d'ho~mes
en revenaient les poumons brû:J.és par l'ypérite, et tout restait à.construire : les centrales nucléaires, les plates-formes pétrolières, les usines de produits chimiques, les bombes thermonucléaires, les Boeing Jles téléphériques, lès navettes spaciales, les pétro:J.iers qUi ne cbulent pas~ les trains qui savent s'arrêter •••
Que pourra-t-on dire, en 2060, des sujets de concours de 1989. Et s'ils étaients désuets?.
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0 0 0 J J )~La r~s1~tance
d'une ché!ne c'est la
r~sistancede son maillon faible".
J.K. Temsey.
Futur
d~l~gu~ am~ricainaux risques artificiels.
La Rédaction. J 0 0 ,.) 0 0 0 0 ( 0 0 0 0 '