• Aucun résultat trouvé

Prise en charge du risque de leuco-encéphalopathie multifocale progressive chez des patients atteints de sclérose en plaques traités par natalizumab : étude descriptive interrégionale Caen-Rouen

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Prise en charge du risque de leuco-encéphalopathie multifocale progressive chez des patients atteints de sclérose en plaques traités par natalizumab : étude descriptive interrégionale Caen-Rouen"

Copied!
78
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: dumas-02115769

https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02115769

Submitted on 30 Apr 2019

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci-entific research documents, whether they are pub-lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Prise en charge du risque de leuco-encéphalopathie

multifocale progressive chez des patients atteints de

sclérose en plaques traités par natalizumab : étude

descriptive interrégionale Caen-Rouen

Floriane Calocer

To cite this version:

Floriane Calocer. Prise en charge du risque de leuco-encéphalopathie multifocale progressive chez des patients atteints de sclérose en plaques traités par natalizumab : étude descriptive interrégionale Caen-Rouen. Sciences pharmaceutiques. 2018. �dumas-02115769�

(2)

Pour obtenir le diplôme d’état de Docteur en Pharmacie

Préparée au sein de l’Université de Caen Normandie

étude descriptive interrégionale CAEN –

/U

(3)

jusqu’au 31/08/2019

Eméritat jusqu’au 31/08/2019

(4)

LAPOR N’DIAYE Monique

(5)

SAINT

(6)

d’encadr

m’avoir confié l’étude

té l’étincelle d ’épidémiologie de la que je mène aujourd’hui grâce et avec

s d’une valeur

J

m’avoir tant appris sur la Sclérose en Plaques

Au Dr.

d’externat, tout particulièrement celui e garderais le souvenir d’une

’avoir fait de mon expérience en officine avec son équipe d’apprentissage et de partage des

(7)

avoir permis l’accès à la base SEP du CHU de Rouen

et Annick pour l’aide précieuse

mon externat et encore aujourd’hui.

l’ensemble des professeurs et enseignants de l’U

s s

ma mère, pour m’avoir transmis s

s

(8)

®

e et mécanisme d’action

(9)

II.3. Stratification du risque de LEMP lié à l’exposition au

II.3.1. Durée d’exposition au Natalizumab.

II.3.4. L’index d’anticorps

PRÉSENTATION DE L’ÉTUDE DESCRIPTIVE INTER

(10)

Figure 8 : Mécanisme d’action du Natalizumab Figure 9 : Mécanisme d’action du Natalizumab

Figure 12 : Proposition d’un algorithme de stra intégrant l’index JCV et de la L

l’index du niveau d’anticorps anti

de l’étude chez les patients qui ont arrêtés le Natalizumab comparativement

Figure 15 : Flow chart de la population d’étude répartie en groupe de risq

(11)
(12)

c C y trice d’Antigène s Ar FDA CSF IC c

(13)

v

(14)

INTRODUCTION GÉNÉR

l’indication de Sclérose en Plaques Récurrente sur l’activité ralentissement de l’évolution du

pour le développement d’une affection neur

arrêt. Il n’y a

l’ac

l’incidence d MP et à l’identification de alement à notre connaissance peu d’études se son s ce de ce risque dans la décision d’arrêt du

L’objectif prin d’évaluer l’impact du statut JC

L’objectif secondaire a été d’ l’impact de la

d’arrêt

(15)

s

handicap d’origine non traumatique chez

l’adulte d’individus

(16)

L’incidence standardisée c vient de l’observation de c d’étude en s . Cependant l’ensemble de c s

(17)

d’ l’ l’haplotype de l’épigénétique l’ s s d’ordre rtie de l’hérita

e l’éloignement géographique à l’équateur. Ce u d’

l’équateur q taux d’ensoleillement plus élevés l’hémisphère s

larité dans l’ép ’âge, de d’

(18)

l’infection à l’ à n’importe quel âge représente un facteur

s s

u comme l’un des facteurs

d’exposition sem

. D’après l’étude de He

s le tabac et l’exp à l’EBV

s

l’ensemble d s

(19)

s s s

d’interactions

(20)
(21)

L’i

s

de l’espace

s

s peuvent alors s’accumul

it d’ l’expos

d’un contact cellulaire direct et une action

c

a maladie l’inflammat s’installe

L’inflammation chronique est sans doute l’action

(22)

un profil d’imagerie d’un patient à l’autre

ar l’échelle de Kurtz

(l’EDSS)

Il n’ l’heure actuelle aucun mar ueur clinique, biologique ou d’imagerie

l’évolution de la pathologie Cependant d’un point de vue clinique, grâce à des

, l’âge au dé

d’une phase progress s

x

risque d’un handicap L’âge a l’atteinte du handicap

dans l’évolution de

adie et évolution vers le handicap n’est pas linéaire. L’étude de établi une tranche d’âge critique : l’associatio

t l’aggravation du handicap évalué par le Score de Sévé

(23)
(24)

toujours utilisée à l’h s

plus ou moins totale, c’est sont l’expression clinique du processus

l’apparition de nouveaux symptômes n d’anciens symptômes l’aggravation de symptômes préexistants, s’installa

ti

est considérée comme l’évolution

n’ précédent l’évolution, on parle donc de forme

s c’est

l’aggravation continue, sur une période d’au mo trairement aux poussées, il n’y

se caractérise par l’installation essive d’un handicap irréversible.

(25)

s’est sim en compte l’activité

(CIS

et/ou l’espace sy

(26)

rémittente et progressive selon la

(27)
(28)

Apparition d’u

première ou d’un nouvel

s

réhaussées par le Gd à n’importe

d’une nouvelle lésion ou d’une lésion

de l’IRM initiale.

utilisés aujourd’hui

oligoclonales dans l’ana

s

notamment, permettant d’améliorer l

(29)

Critères diagnostiques de McDonald 2010 (22) ≥2 poussées ≥2 lésions cliniques l’évidence d’une ≥2 poussé ≥1 lésion clinique ≥1 poussée ≥2 lésions cliniques ≥1 poussée ≥1 lésions cliniques DI DI

(30)

L’IRM permet d’obtenir la ’est pas l’administration par voie intraveineuse de

, signe d’une n

nse qu’elles ém

≥2 poussées ≥2

≥2 poussées

1 (aussi bien qu’une histoire claire d’un

≥2 poussées

(31)

chaque patient de façon optimisée en fonction de l’évolution de sa maladie. Elle s’appuie sur

ent

Le traitement des poussées n’est pas systématique, on estime que 2 poussées sur

. La décision d’enclencher une corticothérapie s’appuie sur la gêne et

A l’heure

s

isque d’induction d’hépatite,

troubles psychotiques). Dans l’optique d’une

l’efficacité

lone IV, cette étude montre que l’administration orale de corticoïdes à forte doses n’est pas inférieure à l’administration IV sur le critère d’évalua

D’un point vu de la tolérance, mise à part une inci e plus importante d’insomnie corticothérapie orale qu’intraveineuse, aucune différence significative n’apparaissait entre les deux voies d’adm

(32)

s mécanismes d’action qui régissent l’effet des corticoïdes sur les poussées sont d’être tous élucidés. Mais avec les connaissances de la physiopathologie

s ismes d’ac

s

L’a

l’expression des molécules d’adhésion. l’expre

l’activation des cellules T et la synthèse d’immunoglobulines

L’augme β dans le LCR.

l’expression des cytokines pro L’in l’apoptose des cellules T.

dizaine d’année permettant d’adapt

de la pathologie. L’intérêt de la mise en place d’un traitement de fond pour ralentir l’é

nombreuses études montrent que l’initiation d’un traitement chez les patients ayant

de traitements ne s’applique pas aux formes progressives de SEP l’

(33)

de l’AMM

Indication dans l’AMM

s

Mécanisme d’action

l’organisme. Les propriétés anti s

l’inhibition de la prolifération des Lymphocytes T, de l’induction de l’apop

l’induction des cellules T régulatrices l’inhibition de la migration des leucocytes à travers la BHE et d’une potentielle action antivirale

(34)

résultats d’efficacité constatés aux cours des essais cliniques et en vie réelle –

le taux d’apparition de nouvel ssées à l’IRM semble réduit d’environ 65% s

progression du handicap et pour l’ l’atrophie cérébrale globale en IRM

L’effet secondaire le plus fréquent est le Il

s

après l’injection et se dissipe Ils

plusieurs années après l’initiation du traitement. Ils peuvent être

L’

leucopénie ou d’anémie ement lors de l’

(35)

L’Ac

l’AMM

Indication dans l’AMM

’act

Les mécanismes d’action à l’origine de l’efficacité de l’ ’

d’ résentatrices d’

s formé entre l’

CMH ainsi formé est reconnu par les cellules T réactives à l’ ment synthétisées à la périphérie. L’

l’A d’un

l’

lésions à l’IRM

l’ef

l’ n’a pas été dé

nterférons béta n’ont pas montré de différen

s s

(36)

nce de l’

une réaction d’intensité légère à modérée peut appara site d’injection

. L’ n’a

effet indésirable ne survient généralement qu’une seule fois au cours du traitement. L’utilis prolongée d’

l’AMM

dans l’AMM

Mécanismes d’action

s’exerceraient via l’activat “Nuclear factor (erythroid like 2”

(37)

, le Nrf2 libre pourra être conduit jusqu’a

s s

D’autres mécanismes d’actions sont proposés dans différentes études in vivo et ex

Module l’activation du facteur nucléaire

s s

(38)

(da l’AMM

Indication dans l’AMM

d’action

l’ADN par une inhibition non compétitive et réversible d’une enzyme mitochondriale

d’expres

L’inhibition de la DHODH par le n’

significativement réduit d’environ 31% (A

s à l’IRM ainsi qu’une diminution des lésions actives

s s

(39)

(da l’AMM

Indication dans l’AMM

RR : n’ayant

d’une durée d’au moins un an

d’évolution rapide définie par au moins 2 l’année

l’IRM cérébrale ou

(40)

l’AMM

n dans l’AMM

Mécanisme d’actio

s

va conduire à l’internalisation et la dégradation du récepteur. Il en résulte

L’i

tifs d’exercer leur effet

(41)

fs d’évaluation à l’IRM

, et l’atrophie cérébral

0,5 mg ont été des infections, un œdème maculaire et un bloc auriculo

(42)

l’AMM

ans l’

Mécanisme d’action

it

migration des monocytes et des lymphocytes, induisant l’apoptose des cellules s

(43)

. L’ s

s

s

es, l’utilisation de la

ssont donc différents d’un patient à l’autre et s’adaptent aux signes fonctionnel

s s

epose sur l’uti

(44)

RI®

FDA

cause d’un fort

u’en Eu Il bénéficie d’

d’un

d’action

α l’entrée des cellules

ans le cas d’une SEP chez les modèles d’Encéphalite Animale Expérimental

avec des molécules de signalisation et d’adhésion présentes . Ces molécules d’adhésion

s α

l’endothélium vasculaire et être exposés à des facteurs chimiotactiques,

l’hétérodimérisation, pour l’intégrine ɑ unités inactives à l’état basal β1 et β7.

des intégrines α4 β1 est la molécule d’

. L’intégrine α4 β7 olécules d’adhérence ’arrêt

(45)

v s par l’état l’intégrine pour En cas d’inflammation

Les 2 intégrines α 4 β7 et α 4 β1 peuvent se lier aux protéines

activation des intégrines va renforcer l’adhésion et permettre le

e (passage des leucocytes à travers l’endothélium pour arriver à l’intérieur

nt venir se fixer sur les sous unités α4 β1 et α4 β7

, empêchant donc l’adhésion entre les leucocytes et les cellules

et provoquer l’inflammation.

(A), d’adhésion d’extravasation (C). L’adhésion des molécules α4β1 and α4β7 trouvés sur les leucoc

processus d’adhésion aux cellules endothéliales.

(46)

Natalizumab bloque l’adhésion des leucoc

antagonisant l’interaction de la sous unité α4β1 de l’intégrine α4 avec VCAM 1 et de α4β7

d’aller « cibler les agents responsables de l’inflammation

L’étude pivot d’efficacité du Natalizumab est l’étude

s s

à raison d’une injection toutes les 4 semaines

d’évaluation de l’

IC

l’augmentation d’au moins 1 du s

1,5 ou plus par rapport à un EDSS initial de 0. Cette augmentation d’EDSS dev

(47)

e critère d’évaluatio

s à l’imagerie

D’après cette mêm

visible à l’IRM à 1 ans e

Une autre étude importante sur l’ef est l’étude

d’efficacité l’association du N avec l’ 1a à l’

pport au groupe recevant l’I

s T2 à l’IRM était di

s

de l’

Les réactions d’hypersensibi l’humanisation de l’

on d’anticorps

ervalle d’au moins 42 jours.

(48)

La production persistante d’anticorps ant ée avec une réduction d’effet du traitement et des poussées plus fréquentes ainsi qu’u u handicap et de l’activité

l’IRM

s à l’administration en

s perdurent jusqu’à la

s ou d’autres formes de cancer mais l’incidence avec l’apparition du SIDA atteignant un taux annuel d’incide our 1000 personnes par an. Après l’introduct

le taux d’incidence annuel est

l’utilisation de nouvelles molécules pour le

nécessité grandissante d’identifi Depuis l’utilisation du Natal

’ ’autres

(49)

gique d’évol

maladie d’ . L’agent

il s’agit d’un polyomaviru s

cte exclusivement l’homme. JC s’échelonne de

dans l’enfance, sans manifestation s’établir de

’un état latent à un état activé et migre jusqu’au cerveau où des modifications

i

Clinique de l’infection

c

vec ceux observés lors d’une poussée de SEP

Ils

’ résulte d’ u’elle soit l’expression de l’effet ind irable d’un

(50)

l’imagerie I

s d’effectuer efficacement la reconnaissance et l’élimination cérébral. L’immunosuppression n’est pas l’unique

it JC

s

s s

rapide des échanges de plasma afin d’éliminer

n’a pour le ’où la nécessité d’un suivi

Stratification du risque de LEMP lié à l’exposition

d’exposition l’administration antérieure d’un traitement

jusqu’en mars 2011 ont permis d’é

Durée d’exposition

L’incidence de la s

d’exposition ou

(51)

l’historique des traitements

d’exposition aux age s s

%), ’

s

s

avant la mise en place d’un traitement au l’ab nce d’immunod

(52)

ro

est nécessairement augmenté en cas de présence d’anticorps anti

2012. Le taux de séropositivité augmente avec l’âge. Le taux de séroconversion est

Le calcul d’incidence à 2012 s’est

rtir d’une incidence de

n’a fait que d’augmenter pour atteindre une incidence de –

Cela suggère que l’ me jusqu’alo utilisé n’est pas suffisant pour prévenir le et que d’autres indicateurs

s

L’index d’anticorp

x taux d’antic

D’après les données actuelles, le risque de LEMP chez les patie

(53)

ugmenté en présence d’un

y

dont l’index d’anticorps anti

dure depuis plus de 2 ans et n’ayant pas reçu

c index d’anticorps anti immunosuppresseur préalable, l’index d’anticorps anti

EM

est une molécule d’adhésion cellulaire exprimée par les onction importante dans l’adhési

le long de l’endothélium vasculaire et leur réentrée dans les ganglions lymphatiques s

(54)

plus l’expr l’augmentation

s associé à l’ d’anticorps anti s’avère prometteur pour compléter l’

s’élev it IC –

Proposition d’un algorithme de stratification du risque de LEM l’index JCV et de la L

L’expre ARN pendant l’expositi

(55)

l’expression était la plus importante ns LEMP. L’

c

risque de LEMP mais leur utilisation n’est pas encor

– d’IL la production l’IL D’autres s s

s entre l’index anticorps

(56)

e risque de LEMP qui n’est toujours pas entièrement ma d’une LEMP

raitement s’impose. Afin d’optimiser

été mis au point incluant des contrôles d’un point de vue

symptômes d’un éventuel nouveau

avec comparaison d’une IRM réalisé

et n’ayant

tous les 6 mois à partir d’une durée de traitement de 2

c

sence d’ADN JCV

ons appropriées jusqu’à l’exclusion définitive d’une

d’être maintenue pend

en charge le plus précocement possible d’un

sy s

(57)
(58)

à 6 mois seulement après l’arrêt du traitement. Le risque d’aggravation du handicap

traitement et ne protège pas de l’accumulation du hand L’étude RESTORE

semaines après l’arr ’apparition d x s) et de 12 semaines pour l’apparition

’ s

’EDSS

c

oupe B (n’ayant jamais reçu d’immunosuppresseur avant

(59)

’ÉTUDE DESCRIPTIVE INTER

e 2014, sur l’ensemble de

d’éval

s

D’après des études cliniques, trois facteurs de risques ce sont précisés virus JC, l’utilisatio

it

. L’algorithme de stratification de

t d’aider dans la prise e décision d’arrêt du

L’étude réalisée par Tur et que l’arrêt du traitem

L’objectif d’évaluer l’impact d

l’imp

(60)

d’étude

l’ L’OFSEP a mis en pla

s l’OFSEP

n’impliquant ni

l’enreg l’exploitation des données d’Helsinki.

gie JCV connue au moment de l’étude Les critères d’exclusion

L’exposition du traitement inférieure à 6 mois.

L’absence de l’étude.

s ti

(61)
(62)

Sur la durée de l’étude, au total 161 patients on critères d’

n’a pas été effectuée le temps de l’étude. L’âge m

6,22 ans) et l’EDSS moyen de 3,40 (SD

la durée moyenne d’exposition au

% ( début de l’étude et de 71,9 % ( à la fin de l’étude

(63)

ulation d’étude répartie en groupe de risque de LEMP uées donnent l’incidence du risque associé en fonction des 3 facteurs associés

(64)

antérieure d’immunosuppresseu durée de l’exposition au

de Dunn’s)

Aucune différence significative n’est apparue tre les trois groupes d’un point de

/intermédiaire l’arrêt du traitement

la fin de l’étude

Le principal motif d’arrêt

d’entre eux Le motif d’arrê

neurologue et le patient. L’absence d’efficacité vient en troisième position des motifs

’arrêt pour 9% (4/44) l’arrêt du

grammé (2/44), l’anticipatio ’une future grossesse (2/44) et le diagnostic d’une LEMP avéré pour 3 patients

(65)
(66)

t de l’étude le taux de

pu être estimé à 12% au cours de l’étude (30 mois), soit un taux

cerne l’arrêt du , le pourcentage d’arrêt du

d’arrêt du l’exce

l’opposé, aucun

n’a

0,5/1000, le taux d’arrêt du

s que ceux retrouvés dans l’étude d’arrêt de

de 2 ans d’exposition et l’utilisation antérieur d’un traitement immunosuppresseur). Pour le g

’exposition au ), le taux d’arrêt é

convergente que le taux d’arrêt est face à l’esti

d’aut i

d’arrêt est le risque de LEMP pour un peu plus de l

(67)

suite ou de l’arrêt d’un traitement. d’

s

étudiée par Tur et al. La prise de décision dans la poursuite ou l’

st beaucoup plus hésitante d’autant plus s’avère efficace et qu’une absence d’activité d’un point

l’IRM

mois après l’arrêt, correspondant à une reprise continue de l’activité de la

s

risque de LEMP s’échelonne de 8,1 à 8,5 pour 1000 patients

s Cet indicateur n’était pas dispon

et n’est à l’heure

de l’étude

(68)

que d’une part

à l’hôpital d’autre part ce traitement

e neurologique, ces patients sont rarement perdus de vue jusqu’au potentiel ues concernant l’évolution du statut sérologique JCV

la qualité et l’exhaustivité de

médicales d’un centre expert à l’autre et également d’un neurologue à l’autre.

aura certainement une vigilance d’autant plus accru l’arrê

JCV n’est pas un paramètre acquis

c

connaissance aucune étude n’a établi un algorithme s

d’arrêts qui s’avère à l’heure actuelle être un t

miter l’effet rebond observé dans de nombreux cas à l’arrêt

à œuvre

yse biannuelle de cellule l’express

(69)

ant l’i l’arrêt du

de LEMP est le motif d’arrêt majoritairement retrouvé,

l’importance du risque de LEMP sur l’ , à partir d’un facteur de risque avéré.

résultats soulignent également l’impo

d’optimiser le traitement ou d’envisager une alternativ L’intérêt de

firmer ces observations à l’aide d’une plus importante et d’évaluer l’impact de

l’index des anticorps J l’arrêt

l’arsen reste l’un des traitements l’activité infla r l’accumu

de SEP agressive et d’échappement thérapeutique. L’étude présentée contribue à l’amélio

(70)

– – – – – – – – – – – –

(71)

– – – – – – – – –

for multiple sclerosis: 2005 revisions to the “McDonald .” Ann Neurol. 2005 Dec 1;58(6):840–

(72)

Burton JM, O’Connor PW, Hohol M, Beyene J. Oral versus intravenous

– – – – – – – –

Feinstein A, O’Connor P, Feinstein K. Multiple sclerosis, interferon beta –

(73)

efficacy of interferon β versus glatiramer acetate for relapsing – – – – – – –

O’Connor P, Wolinsky JS, Confavreux C, Comi G, Kappos L, Olsson TP, et al. –

O’Connor P, Comi G, Freedman MS, Miller AE, Kappos L, Bouchard J –

(74)

d cytotoxic drugs’ –

t B, Kappos L. Natalizumab: Targeting α4 –

Polman CH, O’Connor PW, Havrdova E, Hutchinson M, Kappos L, Miller DH, –

(75)

– – – – – – – – – – – –

(76)

– – – – – – – – – –

(77)
(78)

Références

Documents relatifs

[r]

La figure 3.6 (plus de détails dans l’annexe I ) montre les valeurs de précision sur la base de données Caltech101 avec les caractéristiques de 100 dernières couches pour

This is especially evident when analyzing the literature on human histological studies on intrabony defects filled with various types of alloplastic materials suggesting that in

Dans le même ordre d'idée, l'utilisation du cadre d'analyse développé sur une plus grande base de données permettra aussi de valider nos résultats et potentiellement de trouver

m’accompagner parce que j’avais trop peur et sinon après ça a été, mais à mon autre école, là je pleurais tous les soirs parce que les profs ils étaient un peu méchants,

Au niveau des piliers en or et en titane court, les dimensions de l'épithélium de jonction et du tissu conjonctif sont plus réduites par rapport au titane pur, et des

La première étape est l’acquisition de la séquence d’images de la scène dont on souhaite effectuer la reconstruction 3D. L’idée générale de l’acquisition est

C’est pourquoi grâce aux réponses que les médecins généralistes, très sollicités, ont bien voulu nous apporter, nous avons mis au point une plaquette avec le LORSEP,