Traitement des symptômes dépressifs dans le contexte du cancer du sein : comparaison de la thérapie cognitive et de la luminothérapie
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L’IRM mammaire préopératoire peut être envisagée pour préciser l’étendue d’un cancer du sein lorsque l’imagerie conventionnelle (mammographie plus échographie
Deux études (1 prospective et 1 rétrospective) menées essentiellement chez des patientes admissibles à une CCS (selon l’imagerie conventionnelle) ont rapporté l’effet de l’IRM
Aucune étude portant sur l’effet de l’IRM sur les résultats cliniques des patientes atteintes d’une tumeur mammaire suspectée d’envahir les muscles de la paroi thoracique ou
• Chez 6 % à 31 % des patientes atteintes d’un cancer du sein âgées de moins de 50 ans, l’IRM préopératoire de routine permet de détecter des lésions malignes
• Selon deux études rétrospectives (n = 1 078), la probabilité qu’une IRM préopératoire induise un changement de prise en charge n’est pas plus grande chez les patientes
L’étude rétrospective d’He et ses collaborateurs [2016] a comparé l’IRM et l’échographie bilatérales pour la détection de lésions malignes additionnelles (ipsilatérales
L’IRM s’est montrée utile pour évaluer la tumeur résiduelle chez les patientes qui ont des marges chirurgicales positives [Stucky et al., 2009; Lee et al., 2004; Orel et al.,
Marinovich et ses collaborateurs [2015] ont examiné les études qui ont comparé directement (chez les mêmes patientes) l’IRM à l’échographie (5 études), à la mammographie