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ARTheque - STEF - ENS Cachan | L'école et l'entreprise, un partenariat durable et solide

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

BULLETIN OFFICIEL

DE L'ÉDUCATION NATIONALE

:g'~d~~e

UN

PARTENARIAT

DURABLE ET SOUDE

.~

....

20AVRIL

1995

(2)

UN PARTENARIAT

DURABLE ET SOLIDE

"--

~

ÉCOIE

ET

LENTREPRISE

-1396

1

%.B

N°16

.0.

1 20AVRIL 1995

L

e partenariatentre l'école et l'entreprise estdevenu en France, au cours de ces dernières années,une démarche dont la nécessitéestunanimement reconnue.

Au-delàdel'indispensableinformation desjeunes sur lesprofessionset les m

é-tiers,au-delàdes choix personnelset des décisionsd'orientation,l'accentestsurtout mis sur la formation professionnelle.Ils'agit de rapprochertoujoursdavantagel'éc o-le de l'économie afmde faciliteràterme l'insertionprofessionnelledetouslesjeunes, qu'ilssortentdusystème éducatif,qu'ilssoientapprentisou en recherched'emploi.

Ce rapprochemententre l'école etl'entreprise qui nousparaîtaujourd' huisi naturel, n'aen fait qu'une existencerelativement récente.Il a fallu combattre bien desp réju-gés et opérerpresqueune révolutionculturellepourfaireadmettreque le s ystèmeédu-catif devait prendreen compte lesréalitéset les besoinsde l'économieet s' yadapter autant que possible.

Si lesmentalitésontévolué,c'e stquelesattitudesfaceà l'emploi,faceà l'entrée sur

le marché du travailont considérablementchangé.Angoissésparlespectre du ch ô-mage, lesjeuneset leurs famillesdemandentdésormais à l'école qu' elleprépare, a u-tant que possible,àl'insertion professionnelle.

Aussique de chemin parcourudepuislesséquences éducativesenentreprise créées par ChristianBeullacen 1979qui permettaientaux enseignants etaux élèvesded é-couvrir, pour laplupart,un monde qui leur était inconnu!

Aujourd'hui,pasmoinsd'une vingtaine dedécisionsdu Nouveaucontrat pour l'

éco-leconcernedirectementles entreprisesque ce soit pour mettre enplaceune filière co-hérentedeformationprofessionnelle,initiale et continue,pour amélioreret d évelop-per l'informationet l'orientationdesjeunes oupourétablir desliensplusétroits avec lesprofessions.

Enoutre,l'entreprisen'estplus cetteterre inconnue qu'elle étaitautrefois, maisun univers familierque fréquente un nombretoujoursplusimportantdejeunes. Ainsi, prèsde 900 000élèves de lycéestechniques et delycéesprofessionnelsy passent chaque année6 millionsde semaines de stage et 250 000 apprentislui consacrentla moitié de leur tempsde formation.

C'estpourquoijetiens à rendre hommage àtouteslesentreprisesqui,malgréles contraintesdecompétitivité et de rentabilité,eten dépitdesinvestissementshumains et matérielsque nécessitele bonaccueild'unjeune enstage,se sontcourageusement engagéeset investiesdansunensemble d'actionsdontlebutestde faciliter l'entréedes

~Piln p ç:~lIr)pm~rrh pnpl'prnnl nl ;;.linn;\1~ ".:111n"JI h A" t:llnn....An-;"'"....I

1

20

AVRIL1

(3)

.AJCTUALITÉ 1y';'B.O. 1

13 9

7

N°16 20 AVRIL

1995

Les conventio nsdepartenariat quiparaissentaujourd'huidansle Bulletinofficiel spécial nOS -passées pour l'essentielavec les branches professionn elles,mais aussiavecdesinterbranches ou des entreprisesisolées-témoignentdela coopérationcontinueetdynamiq ue désormaisin sti-tuée entre lemonde scolaireetlemonde économiq ue,de leur mobilisation comm uneenfaveur de

la formatio net de l'insertion desjeun es.

François BAYROU

U

ne

volonté

d

e

travailler

en cOlll

lllun

Un ensemble de conventions organise

les relations de l'éducation nationale

avec les branches professionnelles

et

les

entreprises. Responsable du bureau du

partenariat avec le monde professionnel

à

la

DLC, Benoît

Bouyx

explique

la

portée de ces textes

.

Bulletin officiel:Plus de 40 conventions de parienariatexistent entrel'éducation natio-nale et le monde professionnel Quelle signi -fication peut-on donneràcesaccords?

Benoît Bouyx:Signerune convention, c'est avant tout traduire une volontéde travailler en commun et,en quelquesorte,"officialiser"des lienstissésparfois depuis longtemps.Quand noussignons avec nos partenaires nous tentons d'approcherd'unemanière globale les pro-blèmesdeformatio n,d'évaluationet dedi

-boli qu e,quiperme td'approfondirou de re-nouvelerles formes de notre partenariat. Cela dit, toutesnos relationsavecle monde profes-sionnel ne"passent" paspar des conventions. Notre bureau a pour missionessentielled'être une porte visible et identifiable pourles pro-fessionnelssouhaitantentrer encontactavec l'éducatio nnationale.

B. O.: Quelleestla partdes branchespro -fessionnelles dans le partenariat "conven -tionné"?

B.B:Nous avons 27 conventionsavec les

bran ches.Historiq uement,ces conventions

sont liéesàl'existence del'apprentissage. Elles

permettentd' établirune coopérationentre la branche et l'éducation nationale et d'affecter unepartie de lataxe d'apprentissage àdes ac-tions co ncern a nt lespremières.Avecle s branches,nos liens sont donc ancienset,le plus souvent, féconds .Ensignant par exemple le 22 février dernierune conventio nde coopération de cinq ans avec la Fédérationnationaledu bâ

-timent nous avonsvoulu exprimerla volonté

politiquede travailleravec ungrandsecteur d'emploiet d'apprentissagequichercheégale -ment à développeretdiversifierla qualification

,..JI'"Cg T'l'lo.::llln N'm lnlr p rPtri~~~;~tl'''n

...

(4)

1398

1

5b.B

.O.

1 J&TUALITÉ

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1995

. . . vise auss iàrenforcernos liensrégio -nau x :danstoutesles acadé mies,des "groupes de suivi" desprojets réunissant le rectorat etla Fédération régionaledu bâtiment sero nt mis en place.

B. O.:Onaparléd'un"déficù derelations" entre l'éducationnationaleetlesPME...

B.B : Oui,àjustetitre, car cephénom ène est bien réel.Letissu desPME a,par tradition,des relationsmoinsétroites avec l'éducation na-tionale.Celatientsouve ntàla nature des en-trepriseset au moded' organisationdes profes-sions. La signat ure récen ted'une conve ntio n

avec laConféd ération généra le despetites et moyenn esentrepri ses (CGPME)a pour prin -cipa lobjectifle renforcem en tdenoslien s. On doit seréjouir ,d' ailleurs ,dela fortevolonté pa-ritairequis'estexpri mée lor sdesdeu xpre

-mièresréuni on sducomité depilotage de cette

conve ntio naux que lles ont parti c ipéles cinq

syndicats de salariés de ce secteur. Surle fond, nos travauxsontorganisés selontrois axes.

D'abordl'amélioratio n del' accue il des jeunes

enpériode de forma tion dan sles entreprises.

Ens uite, ledéveloppementdela coopératio n

entre le "tissu" desPMEet les établisse me nts

scolaires. Par exemple, nousnégoci ons ac tuel-le men t des opérations deformation enalte r-nance souscontrat de travail. Enfin , grâceàun accordavecleCentred' études etde recherc hes

sur les qualifica tio ns(CERE Q), nou s s ouhai-tonsmieux connaître l'universdesPME.

B. O.:Qu'attendez-vous du développement desrelationsentre lesgrandesentrepriseset l'éducationnationale?

B.B:Je vous diraid'abordquenosrelation s

n'ont pastoujours étésimples.Nos "univers deréféren ce s"ne sont pasiden tiqu es etcela n' apas facilité la communicati on ...Depui s

unedizain ed'années, cepe nda nt, l'é volution est trèspositive.A l'éviden ce ,ilestsai n que

nou s ayo ns desrelationsdirectes avecles e n-trepri ses.

B.O.:Pourquoiinsistez-voussur cette no-tionde "relations directes" ?

B. B : Parceque cesrelati on s, sans l' écran ,.,,,o~,.,nol·~;~v~~~"'I;o100h.~ n~hno

n..

In. f',<

1995

dération s,nou s permettent demieu x a ppré-hend erles réalitésdu mond e dutravail.C'est ainsique s'enric hit notre connaiss ance dela

liaisonentrelaformation et l'emploi.D' au tre

part,les entre prisessont despart en airesdi

-rec tsquand,par exemple,ils'agit d' accu eillir

desjeun es enpériode deformationou ded é-velopper des contrats de qualifica tion.J'ajou -tequela formationcontinue -lieuessentielde renco ntreentre l' éducationnational e etles

.entreprises-est unpuissant facte urde chan-geme ntà l'intérie ur dusystèmeéducatif lu

i-mêm e.

B. O. :En quoi Io.fonnationcontinue mo-di.fie-t-elle lesystème?

B. B: Je penseque le système éducatif, ene n-tranten contact avec des adultessalariés, pro -gresse dan sle sens d'un plus grand réalisme,

doncd'uneplus grande efficac ité.Lorsq u'u n

GRETA estactif etconstitue unpôle local re-con n u de for ma tio n,celasig nifiequ' ilse confronteréellement aveclesproblèmesde qualificationàl'intérieur desentreprises. A

monsens,l'établisseme ntscolaire de l'avenir

sera capablede mieuxrépondreàla demande

de son environnemen téconom ique.Est-il u

to-pique,d' autrepart,d'imaginerun lieude sco -lari sati onuniqu e dans lequ el se "mé la

nge-raient" les pub lics,qu' il s'agisse des scolaires,

des appre ntisou des adultes?Lepart en ari at avecle monde professionne lrejaillit nécessai-rementsur l'éd ucation nationale.

B

.

O.

:

Quelles conventions le ministère de

l'éducationnationalesignera-t-ilpr

ochaine-ment?

B.B : Nousnou s apprêtonsà signeravec Ci-troën unaccord quisymbo lisera larichesse et l'ancienneté denosrelations. Cetteentreprisea

mis l'acce ntsur la formationcontinue des e

n-seigna nts qu' ell e acc ue illeenstage. Deplus,

chaqueannée,Citroënreçoitdesprofesseurs

princip auxde troisième pourlesinform er sur lesmétiersdel' industrie automobileetles pos-sibilités d' ori en tati on pourles élèves. Par ailleurs, dansune conve ntionavecLaPoste,

(5)

-duCAP defacteurpour quinzejeun es en f

or-mation sousstatut d' apprentissagedansl'

aca-démi ede Nice .A larentréeproch ainecette opé ratio nco nce rnera plusieurscentainesde

jeunesdansla régionparisienne.

B. O. :Quelles sont les attentes des entre-prisesou desbranchesen termesdeformation etd'évaluationdescompétences acquises?

B. B :Pourmieux comprendre ces attentes, il

faut d' abord savoir quelesentreprisesont m

al-heureu sementconsciencede ne plus être de

grandes "embaucheuses". Aussi,lesthèmesde

coopération qu'ellesprivilégient concernent davantagelespersonnelsdéjà en place .Lafor

-mation en alternanceet lavalidation des acquis

professionnel sintéressentparticulièrementnos

différentspartenaires.Cesdispositifsperm

et-tentdequalifierou derequalifier une popul

a-tionsalariée touchée par leschangementstech

-nologiques.C'est le cas ,par exemple ,des secteurs de lamaintenance ou du nettoyagequi

se sont"technicisés"ces dernièresannées.Les

métiersdela banqueetdel'assurance ont éga-Iement connu unchange ment de culture quela

form ation continuea dû prendre enco nsidéra-tion :dan s cesprofession s,l'exi genceco

rn-Â TUALITÉ 1y";'B.O.

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merciale a supplanté l' activité administrative . B. O. : Quels sont, s'agissant des conven-tions,lesobjectifsdu bureaudu partenariat?

B.B : L'objectifessentielest defairepasserle

messagepartenarial au niveau des académies, c'est-à-direau plusprès des réalitésdu terrain.

Pourcefaire,nous encourageo ns la signature de conve ntions régional es, sous l'autorité des recteurs. Une convention decette nature a été

signéeavec legroupe Accordansl'acad émi e

deBordeaux, et uneautreest en cours de né

go-ciationavec l'acad émiede Toulouse.Il

convientégalement de promouvoir une

inter-action dynamique entrel'échelon acadé mique et l'échelon national. Avec la branchede la r

é-paration automobile nousvenonsd'organiser

unsé mina ire national auquel participaient,

pour chaque académie,desreprésentantsde la

professionet desresponsablesde l'éducation

nationale.Toutescesrencontresfont"vivre" lesconventions et permettentdemieux définir lesdispo sitifsde formation professionnelle et,

principalem ent,les contratsen alternancesous

statutscolaire.

Propos recueillis par

GérardDOULSAN

En avant avec Citroën

Depuis plus de vingt cinq ans,

la

société

Automobiles Citroën entretient des

relations avec l'éducation nationale en

organisant des stages de formation pour

les

enseignants, les étudiants

et

les

élèves. Thbjectif commun

est

I

ls sont venusdécouvrir Catia ou Medusa... Etcependant, ilsn'oublientpas leursélèves.

"Mo n rôle d'ensei gn ant est, principal

e-ment, de favoriser l'adaptabilitéprofessionnel

-lede mes élèves",déclare FrancisDussol, pro-fesseurde géniemécaniqu e etconstructionau lycéeCabanisde Brive.Comme dix de sesc

ol-lègues,FrancisDussol effectue unstage . . .

«,litpE11Il/n{tiiPr']" 14n7 1

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1y;,BoOo 1

~

TUALITÉ

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(suitede lapageJ399)

. . . d'informatiqueindustrielle d'une semai-ne à l'Institut Citroën de Saint-Ouen,dans la Sei-ne-Saint-Denis."Les élèvesque nousformons,

remarque-t-il, n'apprendront pas nécessaire-ment à se servir en classe des logicielstrèspe

r-formants de dessin et de conception assistés par ordinateur, comme Catia ou Medusa, que nous

découvrons cette semaine."En revanche, sou-ligne Patrick Dodrelle, professeur de génie mé

-canique au lycée Charles de Gaulle de Poissy, dans les Yvelines,"la confrontation de notre ex

-périence pédagogique avec les réalités indu

s-trielles enrichira notre enseignement. Ici, nous

prenons conscience en direct du niveau atteint par la technologie avancée. C'estaussi pour nous une manière de vérifier le degré d' efficaci-té des formations et des diplômes technolo-giques et professionnels auxquels sont préparés

nos élèves. Je repartirai conforté dansma

conviction qu'unbon diplôme est avant tout un passeport pour l'exerciced'uneprofession,

c'est-à-direla preuve qu'un élève ou un étudiant a appris à apprendre."

UNE VISION

ALONG1ERME

Cette idée qu'unenseignementfructueux,

donc utile,échappe aux nécessitésétroites

d'uneformation immédiatement utilitaireet

rentablecorrespondd'ailleurs àlavision à long

terme de lasociété AutomobilesCitroën. " De-puisplusdevingt-cinq ans,remarque Alain Rochette, chargé des relationsavec l'ensei

-gnement à la direction de la communication de

Citroën,nousdévelopponsnos relations avec l'éducation nationale. Notre objectif est,bien

sûr, d'assurer en permanence une communic

a-tion constructiveréciproque qui permet d'a

c-tualiserles formations initiales."Mais l'expé-riencede ces vingt dernièresannéesle montre :

l'évolutiondestechniqueset des métiersest si rapide dansl'industriequ'ilest profe

ssionnel-lement vital de doter lesjeunesen formation d'un "capital d' adaptabilité"."C'est ce capital,

affirme Alain Rochette,qui,dans une carrière,

nermetà~{1même !'ndiVidlld'ex ercertrois.

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voire quatre métiers différents."Aussi,le par-tenariat bien compris entre l'éducation natio-nale et Citroën repose sur une information que

l'entreprise s'efforcede rendre complèteet transparente.

FORMER ET INFORMER

US

E

NSEIGNANI'S

Premier public visé: les professeurs, qu'ils

exercent dans l'enseignement général, tech-nologique ou professionnel. Citroën prévoit .par exemple qu'en1995 près de 834 ensei-gnants seront accueillis dans des journées

d'informationet des stages de formation de cinq jours. Ces stages,définis en commun avec le Centre d'étude et de rénovation péda-gogique de l'enseignementtechnique (CER-PET) et les MAFPEN et auxquels participent également des inspecteurs pédagogiques ré-gionaux et des inspecteurs de l'enseignement

technique,"balaient"tout le champ de l' acti-vité de l'industrie automobile,dela con

cep-tion à la vente,etsensibilisent les participants

au concept de la"Q ualité Totale Citroën" . "Nous pensons aussi,précise Alain Rochet-te, qu'unegrande entrepriseindustrielledoit donner des information ssur les métiers et les

emplois qu'elleestsusceptible d'offrir.C'est

pourquoi, depuis deux ans,nousaccueillons

un jour par mois dan sl'usined'Aulnay50 professeur sprincipauxde troisièmedesa ca-démiesde Paris,Créteil et Versailles. "Vill

a-ge de 6000 âmes danslequel sont répertoriés

240 métiers,l~site d'Aulnayconstitueun lieu

d'informationprivilégiépour cesenseignants

responsables de l'orientationqui,au coursde

la mêmejournée,ont lapossibilitéde ren

con-trer desjeunes diplômésayant cinq ans d' an-ciennetédans l'entrepri se."L' informationà

destinationdesprofesseurs,despersonnels

d'informationet d'orientat ionet des chefs

d'établissement,remarque AlainRochette,

concerne aussiles possibilités et lesproc

é-duresde recrutement."Titulairesdu CAP,du BEP, du bac pro ou diplômésde l

'enseigne-ment supérieur,Citroën recrutera 1500jeunes

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A CTUALITÉ

I

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.O.

1

14 0

3

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"Yi

,

évolution des techniques et des métiers est

si

rapide

dans l'industrie qu'il est professionnellement vital de

doter les jeunes en formation d'un capital d'adaptabilité"

Deuxièm e "cible" de communication, les

ly-céenset lesétudiantssont directement informés

par l'entreprisede la nature et de l'évolutiondes métiers."Notre politique d'informationest très

diversifiée,souligne Alain Rochette."Envoi systématique de documents dans les

cm

des

lycées et dansles CIO,périodes de formation pour lesfuturs bacheliers professionnels, tech-nicienssupérieurs et ingénieurs,animation d'un réseau de40 jeunes salariés chargésde r

epré-senter Citroën dansleur lieudeformationd'ori

-gine, organisation de visitesdes sites industriels

et commerciaux, participation à des forums

d'étudiants ...Citroën tientà informer lesjeunes.

Sur chaquesite de l'entreprise, une personne

ressource estchargée de définir des sujets de

stages et de prévoir leur pilotage et leur finan-cement."T rès souvent, selon Alain Rochette,le stage est une forme de pré-recrutement.Laplu -part des 671 jeunes diplômés que Citroën a

re-crutés en 1994 font partie des 1738 stagiaires

quiétaient en formationdans l'entreprise." Lesresponsablesdesministèresde l'édu-cation nationale et de l'enseignement s upé-rieur,au niveau national et académique,

constituentle troisièmemaillon de la chaîne partenariale forgée par Citroën."Le s rela -tionsquotidiennes,sur des terrains multiples,

ont le mérite d'exister,indique Alain Ro-chette. Maisil convient de les valoriseren les faisant connaître."De cepoint devue,la s

i-gnature, prévu een 1995,d'unecon vention

de cinq ansentre Citroën et lesdeux minis-tèresconcernésesttrès attendue par les diri-geants de l'entreprise."Ce t accord-cadre,

poursuit-il,favorisera une concertation plus étroite entre lesresponsables et,comme pour un projet d'entreprise,permettra de définir desaxes de travail dans un cahier des charges

qui s'imposeraà tous."

Références

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