l' d'Ir,..1 <II'.lU'I'SI leliqu~Us a 1
ex-Tran
dfinltêt~e.ser effet d' et Wallon en Pialet ne pas l'enlie1.gneml!mt COUDe de leur deIRE
rendu du stage d'Orléans 20 juin 1976)
p 4 p 48
de FABRICATION p 58
p 102
jnl-pr'~mo(hlles LA FORMATION DES MAITRES
P 128
~r(}upe de Travail
~,Vlll~JCeUieULS au compte-rendu du stage de 974) de Martin de Ré 1975) p 134 du matériel p 154 (Electronique) p 156 IlÇf.~n{"p (Tran Thong) p 226 de 1
3
-1ère
PAR T l E
COMPTE - RENDU DU STAGE D' ORLEANS
4
-MODULE PHOTOGRAPHIE Compte rendu: E. GUESNE
1 - Les intentions et la conception du module. Documents N° Tableau des objectifs
N° 2 Liste du matériel
(P. 6 ) (P. II) 2 - Le plan d'expérimentation.
Documents N° 3 Liste des professeurs expérimentateurs (P.18) N° 4&5 Journal de bord (p.20 à 29 ) N° 6 Plan du stage initial de Paris (nov. 74)(P.30) N° 7 Thèmes de travail du stage-bilan d'Orléans
(juin 1975) (P 31)
3 - Compte rendu des dicussions d'ORLEANS et bilan provosoire.
5
-1 - LES INTENTIONS ET LA CONCEPTION DU MODULE
Le module se fonde sur le grand attrait qu'ont les élèves pour la pratique de la photographie, afin d'éveiller leur intérêt pour les phénomènes d'optique et de photochimie qu~ se trouvent impliqués dans la chaîne des opérations techniques. C'est une occasion de conduire les élèves à se poser des questions opératoires et à mettre en oeuvre une méthode pour y répondre.
A la fin de cet enseignement, l'enfant doit donc être capable de réaliser seul, correctement, l'ensemble des opérations de la photographie en noir et blanc: prise de vues, développement, agrandissement et tirage sur papier.
Mais, au cours de cet apprentissage, il aura également eu, d'une part, à analyser quelques exemples de transformations chimiques et, d'autre part, à utiliser un modèle rendant compte de l'ensemble des phénomènes optiques rencontrés en photographie.
La complexité des réactions chimiques impliquées dans l'action du révélateur ou du fixateur interdit d'aborder le mécanisme des réactions, particulièrement avec des élèves qui n'ont aucune idée de la réalité molé-culaire. On ne peut les aborder que d'un point de vue phénoménolosique
("le révélateur noircit l'émulsion photographique si, et seulement si, celle-ci a été soumise à l'action de la lumière" ..• ). Mais c'est l'occasion de mettre en évidence des facteurs influant sur une réaction (temps d'action des produits, température ••• ) et de dégager le concept de "lumière, agent de transformations chimiques".
Pour ce qui est du domaine de l'optique, les premiers résultats d'une enquête actuellement en cours auprès des élèves de 4ème et réalisée en collaboration par les physiciens auteurs du module et les psychologues du groupe de travail, indiquent que si 30 à 50 7. des sujets ont l'intt1iti~n
,
du trajet rectiligne de la lumière, l'idée de conservation de la quantité de lumière semble généralement absente et le rôle de la lumière comme
6
-agent des
responsable de la des et de la V~S1on ets es tement . Ce sont donc ces notions que
le module. L'opt ( d ' i m a g e s ,
grandissement. profondeur de champ, luminosité des images, contraste .•. ) est tée en termes de faisceaux lumineux renvoyés par les objets en tant l' t de la notion de "rayon lumineux", entité abs te, pour ne conserver que des
ce modèle mieux au stade de développement des élèves de concrète. début de la pensée formelle).
Un module. c'est un ensemble d' ectifs et des moyens pour les atteindre. des objectifs de la liste donnée ici
ra1sonnaolement considérés comme fondamentaux et accessibles.
à un niveau à l'ensemble des élèves du cycle d'orientation des col ans) : ils sont rédigés en caractères droits. Les autres, en caractères italiques. sont proposés au libre arbitre des ense""ouau,"",
à cette
- Soit parce qu on les comme secondaires de l' scientifique et technique des enfants;
t parce qu'une fraction importante de la pqnlation des
pas pour atte ces ectifs. à un
7
-1 - Déve de l' habileté manue Ll e - effectuer
pulat
mettre en
rapidement les mani-exrérimentales (peser, ~OiD;D,81~ un fi lm, ... ) 2 -- remal'quer percevo~r it6s d'observation d'une situation l'évolution d'un phénomènes
sur papier ozalid Sf-/rtS-UJZe, au citrat:e de
reproduire des docu-fer et l
ments.
réaliser seul l'e~semble des opérations de la photograp,hi_e en no et blanc: prise de vues,
n",n,>m,pnt, ssement et tirage sur - remarquer le lien entre
3
-obtenus
prévue
Dosés par la
est
se sur l'action d'un facteur fication d'une donnée.
_d~ l'~xE.é!:.i~n~e_
les es, c'est i dire éliminer l'action des facteurs autres que celui qu'on a retenu à titre d' thèse, afin de vérifier cette thèse.
utiliser une thèse pour prédire un résultat d' rience ou d'observation qui constituera un test de l' thèse.
le dispositif expérimental ser l' ience .
rechercher les facteurs pouvant agir sur le observé (ou reconnaître les para-mètres du système) tre une ou sur la si - Exécuti CIl OJ "'0 o .c U) !:il 4
-E-< H U ~ Il<<
u8
---~---
-départ est
ccnfir-dis
en fonction des con-l'hypothèse de
les réuI tats
d' obeeruatione
des résultats
Yla1.-ssances
ut iser les résultats pour dégager des relations
u~'c'.d~uiresou des lois.
---
---T---5 - d'un sens des rc abili tés
• au cours d'un travail collectif, avoir le souci de réaliser correctcme"'t sa pa':'t de la tâche
af de ne pas anihil r les réalisation des autre
partic à la bonne maintenance du matériel coll tif.
6 - d'une au
réaliser seul une en utilisant des
tech-s et detech-s ssances acquises, ou en
s'aidant de documents fournis. H
ap-t'ur à l'école
ses connaissances ou les techniques prises en dehors du cadre scolaire.
compLémentaires
extra-scoLaire, dans Les eeei.onnel.e .
7 - Ouverture sur le monde
·3 - Construction de s
Lumière, agent de transformations chimiques
, produit d'un flux par un aux réglages de l'appareil , reproduction point par point de l ' e t
po de l'objet correspond un point de
pho t og r aphique ) .
--- - - - -~ de ts sensibles sur un transparent est constitué de ts sur pap~er. de conna~ssances LA PELLICULE La pell à la le papier semblables 1) Photochimie 9 -STRUCTURE Cf} w u z ~ Cf} CIl Cf} Q) U H ç: (lj ~ CIl CIl Z • ,.-l (lj z ç: ç: 0 0 u ';.)
9 -ROLE DU REVELATElTR
Le révéla r it l'émulsion pho si, et seu-lement si, cette de re a subi l'action de la lumiêre ; la re ircit ultérieurement une émulsion soumise à la seule action du révélateur.
Le f dissout l'é8ulsion qui na pas été touchée par la 1 ère ou n'a pas été révélée; il ne modifie pas l'émuls nOlrCle.
ROLE DU FIXATEUR :
dilué ou te quand il est
é
est progressive dans le temps (temps
2) PROPAGATION RECTILIGNE . La re contre pas d' propage en 1 stacle.
droite lorsqu'elle ne
ren-RENVOI DE PAR LES OBJETS
po d'une surface éc rée d'aspect de la lumière dans toutes les directions.
renvoi tr.l W U Z
<
REPRODUCTION Un trou petite Un trou f d'autant UN correcnr.nrfr neuse donne d'un us nette et peu à un po de l'objet une image).éclairé une image non localisée, que le trou est fin.
Une lent ) concentre les sceaux
lumi-neux qUl sa surface .
. Une lentille donne d'un et plan une image localisée dans un plan, d'autant plus lumineuse que la lentille est H
<
z
ou
IHAGE REELLE PAR UNE LENTILLE CONVERGENTE
est al avec le po corres-t le cencorres-tre de la lencorres-tille (ou le
et de la lentille, il y a inversion de l'image par rapport à l'objet. carac stique de lentille i est la distance à laquelle se forme l'inf
donnée par une lentille de sa distance de l ' e t à la lentille
lica-istance de l'appareil ique). randissement de ces deux derniers l l ' e t est proche ou plus la distance focal plus II est grande.
- 10
-PROFONDEUR DE CillL~ :
- de part et d'autre du plan d' parfaitement nette, il existe une zone ou l'image d'un objet, donnée par une lentille, semble nette à l'oeil humain cette zone est d'autant plus longue que la lentille, semble nette à l'oeil humain; cette zone est d'autant plus longue que la lentille est plus diaphragmée.
(Appl aux
l'appareil).
3) Flux lumineux :
ages dLd~L1Ld~Hie, vitesse de
- Le flux lumière passant à travers un trou est orotxnrtionneL à la surface trou.
aux nontrr rr as: tesse de l'appareil)
Cf) l:tJ U Z
-<
Cf) Cf) H-<
z
z
o u4) Connaissances techniques photographiques :
Le chiffre indiquant le calibre du diaphragme d'un appareil photographique ou d'un agrandisseur est d'autant plus que trou est petit.
ca à l'autre~ la surface du diaphragme d'un photographique varie d'un facteur 2.
- 1J
-PHOTOGRAPHIE
(1) S- S-S- <0 l-
::l 0-<0 (1) +> VI \(1).
.,... if) +>.,... VI c ::l U C +>.
S- C LU X ... ::l <0.
::l.
...1
-
en matériel non consommable
- - - - cr uAppa
15smic Symbol
Mu11 er
8
1
Agrandisseurs
5(avec 2
1ampes 220
V. )2
15
2
Pl
exi
ass
~22cmx30cm
2
Cuves
S4 Uni versa l (avec 1 spire)
8Manchons
rs
4
as
cm
x 15 cm
6
15
2 5as
cm x
CIT'as
cm x
cm
2
15,
Photo
Cuvette plasti
cm x
cm
"1
12~6012
~Pinces inox
ers
Mu11 er
4
4~5018
Pinces
à lis (lot
nces)
Samari
taine
15,75
5
,7~ineuse
contenance
m de film 35mlT')
Mul1 er
l81,75
81,7:
Sèche
volts
FNAC
1
32
Flacon
in
marron
2ml
Obled
erreri
1
1,83
1,8:
Carto
es
té pour 100 élèves)
hoto
R c ireils
(qHé
pour
100 élèves)
d.lant
i
40
11 es
f ri; :::a
mex
15
illes
f22
0,
- 12
-
(1)s,
Vl
'r-S- nj
:;::} +-'
2
-
non
consommables
~ ,(1)+-' Vl or-C- - - _ . - or- W :;::} C +-' U
M.
=Maître
s;:::5 cn j S - x .-nj :;::}nj +-' E. =élève
CY 0. 0t-M
Photographie moderne
FNAC
1
28,80
28,80
M
Toute la Photographie
rous
l )
1
45 45M
Photo 2000 Il fard
Il2
M
Jeu de fiches techniques
Il,
H ,rr n
Il fard
2E.
Photo-Jeunesse
11ection
2
de
2
32
1
2
16
32
1
2
20
32
nement 1
2
20
40
- 13
-M.
document maître - quantité Dour 1 professeur
E.
document élève
- quantité pour 10C élèves
<li VI s; s-
...
;;:) II:) <li ~ VI ,0)...
VI +.> c::...
;;:) c:: +.> r-r-s, c: X II:) ;;:) tO...
~ 0 ;;:) s; 0 I.L. Cf Cl..1-M
Rapport de
préexpéri~entaticn1973
( lëre
partie)
GTCRFP 1 44F
~1.
Jeux de fiches "r.;cdule photographie" (fiches élèves Et,
GTCREP
,
... 33F
EM
-
fiches professeurs P,
Efl" ['-
questionnaires 73-
74)M.
•
Journal de bord
GTCREP
LO
2, SCF
E
Fiches techniques EtI'
r.
t2 ,
Et3
1GTCREP
100llF
E
Fiches de manipulation
f~l,E)'2P •
E"'2P,
Ef.
12C1
GTCREP
10023F
E
Tableau des conéitions ée pri
SE: èevues
GTCREP
2006F
E
Questionnaire initial
(r,.
... Aou
f,:o 1... P) GCPEP 10023F
E
Fiche des durées
derévéiaticn
(ID 11-
FP
4)GTCRtP
')- 14
-4 -
en~..
d~its
_cQ..n~o!!!l1?!..ble~.lQuant Hé pour
s,
100 élèves)
~ II) II) .,.... 1:: s, ;;;, o LL. (lJ s; .,.... res...,
.<JJ .,.... +-> 1:: .,.... ::::l +-> r-r-I:: X res res...
u...,
:::l s, I - 0 0" 0... l - I-· Révélateur pour papier rapid concentré Guilleminot
ou Révélateur PQ Ilford (11 de concentré)
Papier plastifié Tura Normal 9cm x 13 cm (100 feuilles)
Film 35 mm Plux X Kodak (ou FP4 Ilford)(rouleaux de 17m)
Scotch noir d'électricien 19mm x 50m
Télos
8
13 t58 108 t64
Il ford
u
kGratui
Kodak
vKodak
2
Gratui
j(o~ak20rn
Gratui
3 1339
8 t40 16
2
Gratui
56t96 34,80
Ilford
ublicité
3Gratui
FNAC
3 1854
FNAC
1
6,80
6,80
Ilford
.ratuit
Publicit
Berty
1
20( bl u)20
22(no r)22
Touzart
1
14 t50 14,50
Touzart
1
7,40
7,40
Touzart
1
33,20
33,20
Touzart
14,
4,90
Dagbar
7
1,20
8,40
Touzart
12,10
2,10
Hélio-Flash
4
12,C5
,20
Tesa
24,37
8,74
Odéon
1Photo
1400
26,
1/rNtI,C
324
1 t ! 1ans
de concentré)
Ko da k 500 cm3
vert (400g.)
J
pour 2
technique (400g
Caches autocol ants pour diapositives 24 x 36
Tesa krepp réf. 4321 19 mm x 50 rn
Nitrate ('argent (25g.)
Ammoniaque (11)
Gelatine alimentaire (6 feuilles d'environ 2g)
Chlorure de soèium (lkg) pur cristallisé
Ferricyanure de potassiuw
Citrate de fer ammoniacal
Papier ozalid rouleau O,75m x 20rn
. Lampes inactiniques
· Fixateur Hypam Ilford (21.
{
Phot o Flo
• Agent mouillant
lnvi to l
· Film 35 mm Tri X Kodak (rouleaux de 17 m)
Film Eastman positive haut contraste
Film arts graphiques Helioguil
ortho N° 1
6 t5cm x 9 cm (50 feuilles)
· Révélateur pour films ID Il Ilford (2 t5l)
- 15
-II -
Liste des fournisseurs
DAGBAR - 97 avenue du Maréchal Foch - 94 CRETEIL
FNAC
- 26 avenue de Wagram - 75008 - PARIS
GUILLEMINOT - 22 rue de Chateaudun - 75009 - PARIS
HELIO-FLASH - 78 rue du Volga
- 75020 - PARIS
LIGUE DE LIENSEIGNEMENT - 3 rue Récamier - 75007 - PARIS
MULLER - 17, rue des Plantes - 75014 - PARIS
OBLED-VERRERIE - 40 rue Pascal - 75013 - PARIS
ODEON-PHOTO - 110 boulevard St-Germain - 75006 - PARIS
PHOTO-BAC - 72 rue du Bac
5007-PARIS
SAMARITAINE
- Rue de Rivoli - PARIS
SAVIMEX -
8/10
boulevard du Général Vautrin - 06601 - ANTIBES
TELOS - 58 rue de Clichy - 75009 -
PARIS
TESA Zone industrielle du PlessisClawart 12 avenue Galilée
-92 - LE PLESSIS ROBINSON
TOUZART et MATIGNON - 3, rue Amyot
- 75005 - PARIS
III - Coût total du matériel
10 F.
63 F.
458 F.160
F.
127 F.
2116
F.
210 F.(coût de
1a ma in
doeuvre non
compris)
Documents maîtres (pour 1 maître)
uments élèves (pour 10C élèves)
Documents consow.mables
1-
Equipement non consommable
2-
Documents non consommables
3-4-
Produits consommables (pour
100élèves)
5-
Frais
d
1embal l
(coût moyen par CES)
Frais
port
(coût moyen par CES)
- 16
-2 - LE PLAN D'EXPERIMENTATION
Le plan expérimental, dont le stage d'Orléans clôturait la troisième étape, s'étale sur une durée de 4 ans.
1973. Une prem~ere phase d'approche clinique a pris place au cours du deuxième semestre de l'année scolaire 1972-73, sous la forme d'une douzaine de séances hebdomadaires de deux heures avec trois filles et trois garçons, élèves de quatrième.
L'observation des réactions individuelles des enfants, effectuée avec le support d'un enregistrement au magnétoscope, permet de sa~s~r des types de représentations à priori des phénomènes auxquels on confronte les enfants, de hiérarchiser les niveaux de difficulté d'une maîtrise de la démarche expérimentale par ces mêlfles enfants et de dégager le degré de conceptualisation qui leur est accesssible.
L'ensemble de ces observations a permis d'élaborer un premier projet du module qui, tenant compte de la réalité des enfants de l'ige visé, n'a pas eu à être très profondément remaniê à la suite de son expérimentation dans de vraies classes. Consignées dans un rapport de préexpérimentation, ces observations constituèrent un guide d'obser-vation pour les professeurs qui pratiquèrenet le module dans leurs classes au cours des étapes suivantes du plan d'expérimentation: la plupart des corrportements observés chez les six élèves du premier échantillon s'avér~rent généraux.
1973 - 1974. La phase suivante fut une extension limitée aux classes (types l, II, II aménagé) de six professeurs certifiés cu P E G C de la région parisienne qui travaill~rent en liaison étroite avec nous.
Cette méthode nous permettait d'aborder les problèmes
d'orga-'~is~ti0:~ CP 12 classe quP la p~dagogjp nouvelle du module risquait
d'introduire, et d'éya:uer les besoins des professeurs quant à leur i:"n;!"t;cr]. ' f i e tif de 250 t;lèvE's permettait une êval uation
signifi 17 signifi
-cative de l'impact du module sur les enfants; cette évaluation, réalisée au moyen de deux questionnaires écrits administrés à chaque élève l'un au début et l'autre à la fin de l'enseignement du module, déboucha sur un réajustement du moèule. Il s'est en particulier avéré indispensable d'introduire, non pas une simple affirmation verbale, mais un faisceau convergent de manipulations mettant en évidence le renvoi de lumière par les objets : après ce premier enseignement du module, 65 %œs élèves pensaient que la lumière restait (ou disparaissait) sur une feuille blanche éclairée par une lampe torche. Des entretiens, réalisés avec une trentaine d'élèves de diverses classes de quatrième ne participant pas à l'expérimentation ont par ailleurs montré que l'idée du renvoi de la lumière par les objets était, à quelques exceptions près, tout à
fait absente chez les enfants, l'oeil étant considéré comme agent actif, dans le phénomène de vision, allant chercher l'information au niveau de l'objet.
1974 - 1975 Trente professeurs de dix académies de province (liste p 18 ) entrèrent à leur tour dans l'expérimentation, après un stage de 8 jours tenu à Paris, en novern~re 1974 (plan d'organisation p 30 ). Trois moyens complémentaires l'un de l'autre ont été mlS en oeuvre pour évaluer le module au cours de cette phase :
- Des journaux de bore' rédigés par les professeurs après chacune des séances de l'une de leurs classes. choisie à l'avance
(cf e xen-p l ai res r ep r o dui t s p 20 ) ;
- Un stage-bilan de 8 jours réunissant le groupe de travail et les pr ofe s s e or s r i.r-entatcu r s (Orléans, juin 1975) (cf thÈ'l"ES de travail du stage p 11 ) ;
I'r qu e s r i.om-. '.;"~' lniti ~ et Ln CP1CSt .r c.rn a.tre f jf::'1l
1 t' Lri fl'Dr] Sl
- 18
-LISTE DES PROFESSEURS EXPERIMENTANT LE MODULE PHOTOGRAPHIE (1974-75)
]
BORDEAUX
Melle TOURNEUX]
Mme
GONZALES
•
M. CABANNES
]
M. SAZATORNIL •
CLERMONT-FERRAND :
MmeGI
M.
C.E.S Saint André,55 rue Cerey,33200 BORDEAUX-CAUDERAN
C.E.S Les Eyquems,rue de la Tour de Veyrine,33700 MERIGNAC
Lycée A. Bruyère,rue du Dr Bousquet,63000 CLERMONT-FERRAND
M.
C.E.S Jean Macé,rue Berteaux,63000 CLERMONT-FERRAND
MARSE ILLE :
Mme r~,AJP,LC.E.S Jean Guiton,avenue de Rome prolongée,17000 LA ROCHELLE
C.E.S des Capucines,9ème avenue,69009 LA DUCHERE
C.E.S de la Grande Bastide,avenue Desautel ,13009 MARSEILLE
C.E.S Joliot Curie,10 rue de la Pagère,69500 BRON
M. VERRI
Mme
M. ARNAUD
M. P M.VERDUN
LA ROCHELLE :
Mme BOT! NEAU ]
M. KAMMOUN
]
]
]
LYON
;
...
Moulin,91290 ARPAJON
C.E.S Condorcet,ZUP Sud,30000 NIMES
C.E.S Charlet (Lycée Béchamp),88200
RE~IREMONTC.E.S
C.E.S Metz-devant les Ponts,l rue Nic Young,57000 METZ
Lycée du Parc Impérial,2 Avenue Paul Arène,06000 NICE
C.E.S Jean Mermoz,avenue Ouzilleau,9l600 SAVIGNY SUR ORGE
]
J
]
]
]
]
Mme
M.
~1. l SM.
MONTPELLIER :
M. COSTE
M.
NANCY
M. CHERRI
M.ISSAT
M.
M. LENEPVEN
NICE
Mme CLARY
M.
REGION PARISI
~
ROCHER
M. VETIICOZ
~BODAIN
M. AVERLAND
(M. BlANCH1)
]
]
- 19-C.E.S Malesherbes,95200 SARCELLES
C E.S Romain Rolland,rue de Reims,Tremblay-les-Gonesse
.
93410 VAUJOURS
]
RENNES
TOULOUSE
M. LE BER
]
M. LE HOUELLEUR
~RINGUET
M. CARBONEL
C.E.S Le Landry,llbis rue de Chateaugiron,35000 RENNES
Module
i
PHOTOGIlAPHIE
Date :
.31·~cJ4"lSSéance de trava11 nÔ
Thi•• :
"
:lJ
c";.l./la..
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séance
: vous indiquereil pour chacune
la
durie
élèves ou par vous-m'me pour
de
(des élèves ... )
l'enseigner,
.. 41Durée
Commentaires
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~
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na/l.u.. _
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- Sont-elles assez claires, utiles?
- Modificationssouhaitêes
- Conwnentaires
N N
'"
IV
sur ces documents.
documents compllmenta1res pour vous...s
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Indiquez les. .
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V - Vous êtez-yous servi de documents complémentaires pour vos élèves? lesquels? Appréciations.
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propos de ces objectifs? Commentaires.
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du module
de
31
-STAGE D'ORLEANS (16-20 Juin)
Module Photographie
A - Proposition de thèmes de travail SERIE l - }~NIPL~ATIONS
1)
· Faire l'inventaire des manipulations proposées par le Groupe de Travail au stage initial et qui n'ont pas bien "marché" (diffieile à réussir techniquement, mal adaptées aux élèves ou aux objectifs qu'on s'était fixés).
• En
2)
idem
3)
les causes et trouver des remèdes.
ect Faire l'1nventa1re collègues.
• Définir leurs
des manipulations originales proposées par les
• Mettre au point leur réalisation pratique, si besoin en est. SERIE II
-• Faire l'inventaire des contrôles mis en oeuvre au cours de l'expérimen-tation.
• Quels objectifs contrôlent-ils ?
• Imaginer des contrôles pour remédier aux manques constatés. SERIE III
-1) Documents élèves
• Analyse critique des documents fournis par le Groupe de Travail ou
élaborés en cours d'expérimentation. •
• Correction de ces documents, s'il y a lieu.
• Elaboration de nouveaux documents pour remédier aux manques constatés.
2)
• Faire une ste du matériel manquant. • Supprimer le matériel inutile.
Définir les quantités nécessaires. • Evaluer le taux de casse annuel.
32
-A l i
travaux manuels ••• ) 1• Quel
ena
4)
la des sous une forme deont été faites cette année en colla-autres disciplines (français, arts plastiques,
cor Labor'at.aon mis en oeuvre.
progresslon adoptés (thèmes effectivement
de chacun ?
du travail de ra classe, en parti-de matériel ne permettait pas à toute
même temps.
hypothèse d'une généralisation des modules !"ri""D"'tre.
par le
un de
maître en vue d'une
des moyen de forn~tion mis en
expérimentation du module (stage initial,réunions les coordinateurs,documents rédigés
documents-3
1
stage-O:tla:n dI V L
""""'''.!)
et enles
d'enseignement des itions les
les abordent le module
en il seuls
sont pour la plupart aucune indication
du de vues et
seuls dalB
la
l'atmo8ph~rede du module). Un
pas pour tous les ectifs mis en
oeuvres de 8fav~re
pour ce qui est
de 1 de la paramêtrest
facttJU:Xts
vue L«
ph4no-~~taZ
une oertaine
sont plus
nom-11&1D.ce
m- )
1) Avot de del'expfri-ces deux
pa. u.A.I.JI..L<.;;.&..LIiIlI, nota1llllllentmentation une
par des professeurs ayant acquis
Au cours du et dans leurs journaux de bords, d'introduire des mesures, à l'occasion
du et d'une relation entre la
posi-tion de l ' e t et de l'image donnée par une lentille. Ces mesures ne pas ensuite : dégager la relation
l
+ B -fI d'un mesures des positions de l'objet et dep p
l'image est tout à t hors de portée des él~ves de 4~me ; c'est ce
qui ressort des rendus des expérimentateurs qui l'ont tenté. Mais, sans faire de mesures, en l'objet et l'écran à la recherche
de son avec t l ' e s t capable de dégager
l'idée qu'il pour une donnée de l'objet,
il n'y a d' seule de l'écran; plus l'objet
est proche de la l' s'en écarte. l Remplacer cette observation par deux séries de chiffres (des mesures de
distance n'ajoute rien. Si l'on a
fait aux de l'existence, dans un systme,de
facteurs les uns des autres ou liés entre eux tranch1r un pas essentiel qui est
à la mathématisation de ces relations. besoin de la formulation algébrique pour
mesures n'est qu'un aspect particulier pas un du module qui répond par une nécessairement
On
n'a d' exprimer des de l' du mieux à d'autres 2) Les•
au niveau de la de la robustesse se ~ et d'autre et dupar impose une
chambre et la salle de technologie de la classe menées par le professeur
souvent voisines). Dans ce cadre,
re:Ui(:hE~:nt du travail de la partie surtout en de module lorsque les
l 1 Le rocacaon des et donc deux dans deux ... "''''1:1 i l est apparu de classe é1~ve8 ne sont
- 35
-aplpal~ei,la photographiques, choisis pour un rapport élevé ont l ' e t de pannes peu graves mais fréquentes
• Nous testerons l'an prochain la possibilité d'un
prIOfl!S~ietirsJ auxquels nous fourniront une fiche de Les Performance/Prix~ (1 appareil sur d'pannage par d'pannage. J la au traverl d'une ment.
Mais
cettecar les ont:
reil, magie qui lei sombre de i
On
a 'gaIement not' les enfantsde l'obturateur. Ces ultérieure des
le "temps" m'téorologique et le "temps" d'ouverture ne disparaissent pas avec l'introduction ndiaphragmes-vitesse".
3) Documents él~ves
un ob,]e(:tl,t Le
donc
efJEec:tuê avec les 250 ... 1500 n~ve. des deux ce que la préexp'rimentation indiquait d'jl les enfants de cet les fiches. ~liorer ce comportement est une de IfG~,~y.LOJ'~~.uu d'une ~ritable autonomie de l'eufant
de notre enseignement. et
l b
la des
Les des e~rimentateurs.'adras.eut aux fiche.-guides d' aux fiches techniques (recettes du d've-loppement, du tirage de contacts ••• ) ; certaines concernent le vocabulaire employé; d'autres concernent le delré d'initiative laissée aux
'laves
raes
J aonserv~
les
d
Ȏal.ieer
pourJ7.l*()(J;u'i.ts ut"i.;Lù~~s en
dAvetoppement.
e~p4:~E~nc~es ~aessaiPes.
onaeun étaient: dieoutëee
ont
~U ~a-dmon
e
j"E~Ve:8les .riences
perdent: du
tempS3
nenoter l.eur«
14' •.~i.ll! d
euz-mlmes".
d'eçfriences : sont
contra-pt'10fl!IU~etn:s citfs avaient
d' doit rfpondre "''''''''''''"&ILJ''''U... , s i l la progression l celui du professeur). S'il choisit afin qu'elles moment l la personnalit6 en l ' des 8trQcture et l fiches I l n standard. les ). En intro-et
2,
permettent .) de 1 photop-aphi,ue aWllvtÜlue ne plu l le dans U cOIIIp16-cette se du'Me-anal,.••,..
(cf < l'inltetlti,onet
2
l
de la
eourl
demiiree
_'uce.
en
po8UtprobliM de
la formationq'WI~.tjlon ''PCI~urlquo'iy
de.
sur
1", l'orguigr_
partie optique (la plus locaue)
entre
dei imaaes
de
devrait permettre
IULlI:\UI.auiflrll' le
pe~r1cldede
l'organigr....
fonder
modile, en
eorreapondent
4 3et
4de
avant
lœ:niire
met d'avant la profondeur
profondeur
deal:Lgtu!Ulent d'objets avec
la
du
. .a11PuJLat:lema orillLWlLlea et le. variutes
intro-module
1 Photogrammes - Citrate - Ozalid 2 Quantité de lumière
6)
--
3 Prise de vues~
-\ 4 Développement 1 Développement 4 Tirage de contacts 5 Photochimie 15 1 Reproduction par un trou : observation.
Construction
,
Interprétation à l'aide du modèle6
i Tirage de contacts
t Agrand1ssement de la Renvoi de lumière par les objets
6
7 boite n01re Trajet rectiligne
1 Fabrication d'un stenopé
Reproduction par un trou : 7 Prise de vue
8 Observation
}
(stenopé)Prise de vues
8 1 Photochimie
Interprétation par le modèle
9 Renvoi de lumière par les objets 9 Agrandissement Formation des images
Trajet rectiligne par une lentille
..
Observations avec la
Formation des images par une lentille: 10 boite noire
10 Observation avec la boite noire
6)
~®
•
11 Interprétation de la formation des images par une lentille, à l'aide du modèle.
Prise de vues d'un alignement d'objets avec différents couples diaphragme-vitesse
12 Observation de la profondeur de champ avec la boite noire. Interprétation à l'aide du modèle
13 Prise de vues - Développement
Cl o (")
~
~ z o ex> w ex>1 1 Prise de vues
2 1 Développement
~
Tirage de contacts - citrate - ozalid3
®~..
i4 Quantité de lumière 4 Photochimie
5 6 Photochimie 5 6 Agrandissement Construction de la boite noire
Interprétation de la formation des images par une lentille, à l'aide du modèle. Prise de vues d'un alignement d'objets avec différents couples diaphragme-vitesse
®,
Formation des images par une lentille. observations avec la boîte noire.
Interprétation par le modèle.
Renvoi de lumière par les objets
Trajet rectiligne
W 1.0
v@
Fo rmation
~es images par une Lenti He : observations avec la boite noire trou : } (stenopé) Quantité de lumière
Interprétation par le modèle
Renvoi de la lumière par les objets
Trajet rectiligne Reproduction par un observations prise de vues 7 9 8
la
construction de la boite noire IlReproduction par un trou
observations.
J
(ss enopet ~) pr~se de vues Agrandissement 9 8 7 10 "12 Observat de profondeur de champ avec la boite noire. Interprétation à l'aide du modèle
13 Prise de vues - Développement L l ""''''~ .'.>
ORGANIGRAMME Ne 1 40
-Notions
!DOCUMENT N°
91
- Lumi~re, agent trans-formations chimiques.
Séance Ne 1 - Réalisation de photogrammes
Fabrication et utilisation de papier sensible au citrate de fer
Rpnrnrl,,~tionde documents sur papLer ozalid
- Positif - néga
- Image latente
. . - Révélateur, fixateur
- Influence du d sition, du temps d aC&~IDn du révélateur.
Séance N° 2 à 1f agrandis s eur
grammes) pour deux diaphragmes successifs. Recherche d'une relation entre les
temps d'expositions qUL engendrent
Couples "diaphrogme-vitesse"
- Quantité de
ssement du papier
(photo-~
.
un meme nOL
- Bob du film en cartouches de 10 vues pour la séance suivante
iéance N° 3 - Reconnaissance de la similitude entre
agrandisseur et appareil photographique. - Prise de vues
- Eutr a înemenr au de la cuve de dévelopoemen.t
- Développement
Séance N° 5 ~eLU"lJ,GL.~sance des fférentes parties
de la pellicule - Structure de la PhotochimLe Manipulation l i cul e / ""GL1.l..puLation tubes à essai Rôle de la produits de développement. par contact Ag,ra.no.Lssement d'une en
~
l Construction a ternance de la e noSéance N° 8
Séance N° 9
41 -Observation de la reproduction des objets à l'aide du stenopé
(simple trou)
- Prise de vues à l'aide du sténopé (trou d'épingle)
- Interprétation de la reproduction des objets par un trou. à l'aide du modèle.
-
Nettet~croissante quand
. .
la tai
Ll.edu trou diminue.
- Luminosité décroissant
avec la taille du trou.
-
D~localisationde la
reproduction {facultatif}.
Séance N° 10
Séance N° II
- Manipulations mettant en évidence le renvoi de lumière par les objets. - Manipulations mettant en évidence le
trajet rectiligne de la lumière (facultatif).
- Observation d'images d'objets données par la boîte noire. munie d'une lentille.
- Interprétation de la formation des images par une lentille, à l'aide du modèle.
- Prise de vues d'un alignement d'objets avec des couples diaphragme-vitesse différents. Développement des films.
- Relation {qualitative}
entre la position de
l'image et la position
de l'objet.
- Focale
- Grandissement
Facultatif; on a pu
imposer l'alignement d'
objets parmi les prises de
vues de la
s~anceN° 3
Séance N° 12 Fabrication
de diapositives à partir des négatifs précédents. - Observation de la profondeur de champ obtenue
avec la lentille de la boîte noire. munie de diaphragmes de tailles différentes.
- Interprétation à l'aide du modèle.
Séance N° 13 - Prise de vues - Développement
Utilisation raisonnée
des
diff~rents ~glage8de l'appareil
photo-graphique.
Reproduction de documents sur papier ozalid
Fabrication et util ation de papier sens le au citrate de fer
·Séanc~ N° 1 - Réalisat
ORGANIGRAMME N° 2
de photogrammes
42
-Notions
- Lumière, agent de
trans-fo~~tion8
chimiques.
- Positif - négatif
- Image latente
~
- Révélateur, fixateur
- Influence du temps d'
expo-sition, du temps d'action
du révélateur.
Séance N° 2 à l'agrandisseur:
Recherche d'une entre les
temps d'expos qU1 engendrent ~ un ssement du papier (photo-grammes) pour deux diaphragmes successifs.
- Quantité de lumière
- Couples
"diaphragme-vitesse" équivalents.
- Bob du lm en cartouches de 10 vues pour la séance
Séance N° 3
Séance N° 4
- Reconnaissance de la similitude entre agrandisseur et appareil photographique. - Prise de vues - Entraînement au chargement de la cuve de - Développement - Tirage de contacts Séances N° 5 et 6
- Observation de la tion d'objets (filament d' ampoule, bougi~)
par un s e trou percé au fond d'une te de conserve (observation sur un calque placé sur la face opposée, qui a été découpée)
Tnr~TnTPtationà l'aide du modèle
- Netteté croissante quand
la taille du trou diminue.
Luminosité décroissant
avec la taille du trou.
- Mise en évidence de la propagation rec-tiligne de la lumière par des manipulations (facultatif)
Séance N° 7
- VDserva~10n ae la reproduct10n d'objets non lumineux par eux-mêmes.
- Interprétation à l'aide du modèle
- Mise en évidence du renvoi de la lumière par les objets (manipulations)
- Fabrication de la boîte n01re (stenopé)
- Prise de vue à l'aide du stenopé (trou d'épingle)
43
-Séance
N° 8
- Reconnaissance des différentes partiesde la pellicule
- structure de la pellicule
- Photochimie : Manipulation pellicule
s h rmanipulation ou en tu es a essalb ~ .
- Rôle de la
lumière~des
produits de développement.
Séances N° 9 et la
_ Agrandissement d'une vue du premier film
t
en alternance
. ,. l ,.
,
- Observat10n d 1mages d objets tlonnees par la boîte noire, munie d'une lentille.
Relation (qualitative)
entre la position de
l'image et la position
de l'objet.
- Focale
Séance N° Il - Interprétation de la formation des images par une lentille, à l'aide du modèle.
- Prise de vues d'un alignement d'objets avec des couples diaphragme-vitesse différents. Développement des films.
- Grandissement
Facultatif: on a pu
imposer l'alignement dt
objet..rparmi les prises de
vues de la séance N°
JSéance N° 12 Fabrication de diapositives à partir des négatifs précédents. - Observation de la profondeur de champ obtenue
avec la lentille de la boîte noire, munie de
diaphragmes de tailles différentes.
- Interprétation à l'aide du modèle.
Séance N° 13 - Prise de vues - Développement
Utilisation raisonnée
des différents réglages
de l'appareil
photo-graphique.
44
3
ance nOl Bob du film en Examen des ages de l'appareil
cartouches de 10 vues~-;Tt~~~0P~
photog r aphique
Cf
o<c tians opéra toi res)s
Prise de vues
anee n02 -Entraînement au de la cuve de lappement -Développement -Lumière>agent de transfor-t t '1's ati mations ehimi.auee, e 1 1.> on D "
t /. _
'
~ ib I it -1..0S1-t1'01 né qat.t.]', sens! e au Cl r3- l 1 ~ ~- mage &atente. . ~-Févélate~r>.-o~nTD"~-Reo roduction de documents -Tnf'Luence du t emos dî
exoo-er ozal sition>du te~s d'actio~ du révé lat eu»,
alternance de
contacts
Séance n"4 r~HLpU'Latianà l'agra.ndlls:sE!Ur recherche d'une
relat entre les d exposit
en--gendrent un même noircissement du er(con--tact pour deux dlapnra,gules sifs.
~ -Quanti té de lumière.
~
-Couplee "diaphragme-vitesseIléquivalents.
anee nOS -Reconnaissance des -Photochimie: Hanipulation licule ties de la tubes 1 le.~Structure .,... pellicule. .a..,:-Rôle de la .,... des produits déve Loppemertt , Bilces n06 et 7 issement d' vue. de la ets à l'aide le t
'ince nOs -Observation de la
du s te
se de vues à l'aide d'
-Netteté croissante quand
~la taille du trou diminue. ~-Luminositédécroissant
avec la taille du trou. -Dé localisation de la reproduction{facultatif}·
!nce n09 TnrDrnr3tat de la trou,à l'aide du le.
des ets par un
-rlduLjJulat -re par les
mettant en ets.
le renvoi de
lumiè-de la
Séance nOIO
~éance N° II
Observat la boîte
-Relation{qualitative}entre la
p a r ' " position de l'image et la
po-.,.,.. sition de l'objet. -Foca -Grandissement. par Dêveloppel11:eI1X - Pr des ets avec rents.
Séance N° 12 à des négatifs précédents.
- Observa avec l obtenue de Séance N° 13 le,
Utilisation raisonnée
des différents réglages
de l'appareil
46 -ORGANIGRAMME N°4
ance nOI Bobinage du film cartouches de
la
en
1....
en ... \EXamen des réglages de l'appareilvues alternance . . ~ .
l '
photographlque(fonctl0ns operatolres) ,PU1SPrise de vues
-Entraînement au chargement de la cuve de développement -Développement
-Reconnaissance des différentes parties de la -Photochimie:
Hanipulation su~~nipulationen tubes
pellicule ~ essais. ance n03 Tirage de contacts en alternance
-Lumière, agent de
transfor-Fabrication et utilisation mat~o~s chimiques. de papi.er. sensi.'ble au ci'tra- -Pos~t~f/négat~f.
-t d fer ~-Image latente.
e e . ."",.-r::révélateur,fixateur.
-Reproduction de documents -Influence du temps
d'expo-sur papier ozalid. sition,du temps d'action du révélateur.
pellicule.~-Structure
de la ."",. peTlioul:e , ~Rôle de la lumière, ."",. des produits de déue Loppement.. ances nOS et 6Agrandissement d'une en ... Construction de la
vue. :\ternance boîte noire.
ance n07
-Netteté croissante quand
-Observation de la reproduction des objets à l'aide la taille du trou diminue.
du sténopé(boîte noire munie d'un simple trou) .-Luminosité décroissant avec la taille du trou.
-Prise de vues à l'aide du sténopé(trou d'épingle).
-Délocalisation de la reproduction{facultatif}·
-Interprêtation de la reproduction des objets par un trou,à l'aide du modèle.
-Hanipulations mettant en évidence le renVOl de lumiè--re par les objets.
Hanipulations mettant en évidence le trajet rectiligne de la lumière(facultatif).
en a ternance
ances nOg ~
la
-Relation, {qualitative}
, _ d ., Manipulation à l'agrandisseur: Observatl0n entre la
posi-Mant~te e lum&ere , ' , .
, " , ~recherche d'une relation entre d lmages d ObJe~tion de l'image
oupl.ee .diaphraqmeê~ les temps d eXpOSition qUi en-, . . . L..tI,...-_ _. . .~ ..;.données par la et la poei trion v v
.teeee" équivalents. -sgendrenr un même noircissement boîte noire munie de l'objet.
d'une lentille. -Focale.
du papier,pour deux diaphragmes
Séance N° Il
47
-n~o~'nrétation de la formation des images pal une lentille. à l'aide du modèle.
- Prise de vues d'un alignement d'objets avec des couples diaphragme-vitesse différents. Développement des films.
Fabrication de diapositives à partir des négatifs précédents. - Observation de la profondeur de champ obtenue
avec la lentille de la boîte noire. munie de diaphragmes de tailles différentes.
- Interprétation à l'aide du modèle.
.~~~~~~1~3 - Prise de vues - Développement
Utilisation l'aisonnée
des différents réglages
de l'appareil
photo-graphique.
48
-COI1PTE - RENDU DU STAGE D'ORLEANS
- Liste des participants
Module POLYMERES
(M. BOURDON)
- Professeurs expérimentateurs présents
·
Mme DAMOTTE, M. MARCHAND Mme GAUTHE,
M. GILBERT M. CONVERSET, M. HEYER M. BARTHELEMY, M. NICOD Mme DENTAU'~f. ESCLEYNE,
M. Mme COULON, Mme GUILLOTIN, Mme VIVIERFABRE, M. MARINELLI, M. MARMONTELLI t1. TAURIAC
M. BERGEY, M. BEROUARD, Mme CASTAING, Mme LACOSTE Mme LISSILLOUR
M., CHARPENTIER, Mme PARISIS.
Excusé : M. FOURNEL
- Professeurs ayant déjà expérimentés en 1974
M. DARGENCOURT, M. DEt~RSSEMAN, M. PAUVERT M. VASSILEVSKY
- Membres du groupe de travail
· M. BOURDON, Mlle CARETTO, Mme DUPONT, H. SOUSSAN, M. VIOVY. - Visite de nombreux coordinateurs
49
-II - PRESENTATION RAPIDE DU MODULE " POLYMERES "
1 - Qualités à développer chez l'~lève
1) Grâce à un enseignement avant tout expérimental, l'élève améliorera ses qualités d'habileté manuelle, d'observation, de déduction, d'imagination .••
2) Grâce à une enquête l'élève s'habituera à rechercher, à exploiter des documents, à travailler en équipe, à faire un rapport clair et concis.
3) Grâce à un système de fiches qu'il constituera au fur et à mesure des leçons, l'élève s'habituera à classer et ordonner ses connais-sances. Un même résultat pourra être consigné dans plusieurs fiches réca-pitulatives, cela permettra de voir les connaissances sous tous leurs as-pects possibles. Il faudra faire prendre conscience aux élèves qu'il n'y a jamais de réponse définitive à un problème précis et qu'on peut toujours approfondir les explications: c'est la technique de "l'enseignement spi-ralé" qui permet d'aborder le même problème à divers niveaux d'étude.
4) Sensibiliser l'élève à la notion de sécurité (flamme, gaz toxiques) .•
2 - Quelques aspects pédagogiques
1) Ce module essaiera d'être pluridisciplinaire, c'est-à-dire présenter des aspects variés aussi bien des
. aspects économiques aspects techniques aspects biologiques aspects chimiques aspects écologiques aspects artistiques ...
2) Ce module sera peu linéaire. Autour d'un noyau central obligatoire il sera toujours possible de développer un des aspects en fonction des possibilités locales ou même de l'intérêt de l'ensemble de la classe. La fin du module présente d'ailleurs des options.
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-3 - Progression du module: (Cette progression devra être légèrement corrigée pour tenir compte des discussions qui ont eu lieu lors du stage).
a) Thème l : Présentation et reconnaissance de matériaux naturels et de synthèse.
Ce premIer thème comprend cInq leçons (durée initialement prévue 2 heures).
1ère leçon: Des matériaux sont examinés, nommés, classés (fibre, non fibre; naturel, synthétique; ... ) Les élèves font des manipulations simples leur permettant de se familiariser avec le bec bunsen et le papier pH.
2ème leçon : En faisant brûler de petits échantillons de matière plastique on obtient de précieux renseignements caractéristiques
(facilité d'inflammabilité. couleur de la flamme, quantité et couleur des fumées, aptitudes à fondre ou à goutter, odeur et gaz dégagé, bruit. résidu ... ).
Après ces essaIS des fiches sont établies, elles seront très utiles pour identifier une matière plastique.
On étudie le comportement des matières plastiques
à des températures moyennes inférieures à la température d'inflammabilité. De façon pratique on chauffe une plaque à l'un de ses extrémités de façon
à ce qu'un gradient de température s'établisse. On étalonne grossièrement la température de la plaque en utilisant des espèces chimiques dont la
température de fusion est connue. Ensuite on pourra observer le comportement des matières plastiques à ces diverses températures (ramollissement, fusion. noircissement. t par dépolymérisation ... ).
On étudie la solubilité des matières plastiques dans divers • benzène. alcool •... ).
Pour conf la solubilité on essaie de reprécipiter la matière plastique éventuellement dissoute en ajoutant à la solution un liquide missible au solvant et dans lequel la matière plastique n'est pas soluble (ex: un morceau de polystyrène se dissout dans l'acétone. en ajoutant de l'eau le po tyrène reprécipite).
- 51
-5ème leçon: Il est nécessaire dans cette leçon de faire le point et de montrer l'intérêt des études précédentes.
On donne donc des échantillons à reconnaître.
b) !h~m~ !I_: Analyse, synthèse. Modèles.
Ce thème comprend quatre leçons.
6ème leçon: On présente des transformations physiques (S .... L ....V ... ), on familiarise les élèves avec la notion de molécules. En utilisant des filtrations sur cellophane et l'effet Tyndall on dis-tingue macromolécules et molécules.
7ème leçon: On dépolymérise le polyméthacrylate de mé-thyle (plexiglass, ... ), on montre le passage maa:omolécule .... molécules (effet Tyndall). On fait la synthèse du polyméthacrylate de méthyle. On propose un modèle simple (une molécule de méthacrylate est représentée par une boule, la molécule de polyméthacrylate de méthyle par une chaîne de boules ).
Sème leçon: On réalise d'autres synthèses (polystyrène, polyuréthane, nylon, bakélite ... )
On propose des modèles plus compliqués où l'on peut aller jusqu'aux atomes (atome vu comme grain de matière se conservant sans changement aux cours des réactions chimiques)
9ème leçon: On hydrolyse l'amidon (en utilisant la pancréatine). Inversement on fait la synthèse de l'amidon à partir du glucose 1
phos-phate (en utilisant une solution enzymatique extraite d'une pomme de terre). On suit la formation du glucose en utilisant des clinistix.
c) Thème III (environ 2 à 3 leçons)
Dans ce thème les élèves doivent réaliser un objet en ma-tière plastique qu'ils emporteront. Diverses techniques sont ainsi
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-I -I -I - DEROULEMENT GENERAL DU STAGE
Les grandes lignes du plan de stage qui avait été envoyé aux professeurs expérimentateurs 'ont été suivies.
La première journée a permis de faire un tour d'horizon du module. Le compte rendu des journaux de bord fut le point de départ des discussions.
Les journées suivantes chaque thème fut étudié en détails. Tous les aspects furent examinés: matériel, durée des leçons, critiques des expériences, modification de la progression, parties à mettre en op-tion, relations avec les autres disciplines ...
c'est un petit groupe qui étudia le thème, un rapporteur relata ensuite devant l'ensemble des professeurs réunis en assemblée générale les résultats de la discussion. Un travail efficace a ainsi été fait.
La dernière journée a été consacrée à l'étude de questions générales: rôle de l'enquête, formation des maîtres, contrôles et éva-luation ....
IV - IMPRESSION D'ENSEMBLE SE DEGAGE DU STAGE
- Il ne semble pas y avoir de problèmes importants quant aux manipulations et au matériel.
- Certaines difficultés de compréhension de la part des élèves sont dues au fait qu'il n'y a pas eu, avant ce module, d'enseignement de chimie. Des professeurs ont donc senti la nécessité de développer certaines parties. Il est évident que si, dans une mise en place future, le module arr1ve après ceux de 6e et Se, ces difficultés n'existeront pratiquement plus.
- Des retouches dans la progression sont souhaitées. Elles ont pour but essentiel d'intégrer partiellement l'enquête et la partie
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-- pour donner de la souplesse au module et permettre aux professeurs de l'adapter à leur personnalité, à leur classe, à leur région ... des parties ont été mises en option.
- les professeurs n'ont pas eu le temps, au cours de cette expérimentation, de fouiller à fond le problème des contrôles. Un effort dans ce sens leur est demandé pour la prochaine expérimenta-tion.
v -
CORRECTIONS PROPOSEES THEME PAR THEME! - 1er thème Matériel et matériaux de base
La t a été raccourcie de façon à pouvoir être faite en deux heures. On diminue considérablement le nombre d'objets présentés, on simplifie les classements. L'ordre de la leçon est mo-difié : on commence immédiatement par des manipulations axées autour du bec bunsen, du
L'objectif essentiel des classifications qu~ suivent est de bien distinguer matériaux et objets.
2 - 2ème thème Essais à la flamme
Des suppressions sont proposées : ne plus utiliser les symboles qui carac saient les types de combustion, ne plus faire avec le PVC la manipulat avec le fil de cuivre.
Pour a la leçon chaque groupe ne procédera à la combustion que de trois échantillons.
a priori
Enfin 1'~nnr~0hA se fera par une méthode mo~ns imposée •
. les élèves effectuent la combustion d'échantillons ~nconnus. On devra faire rechercher tous les critères d'observation couleur de la flamme, fumée, tes, résidus ....
les él fectuent ensuite tous l'essai du PVC. Une discussion collective une m~se au point de la méthode d'ob-servation
. les groupes effectuent librement la combustion de trois échantillons
54 -. Discussion collective-.
La leçon ainsi allégée permettra peut être de faire un contrôle expérimental : identification d'un plastique à partir des fiches qui viennent d'être établies.
On pourra faire exposer immédiatement après cette leçon les enquêtes traitant de l'inflammabilité des plastiques.
3 - 3ème thème essais à diverses températures
Une mise au point des manipulations est faite. Le but de cette leçon est surtout d'insister sur les aspects "thermoplastique" et "thermodurcissable".
On pourra relier les résultats trouvés pour le comporte-ment des plastiques à ces températures, à des documents techniques.
On pourra faire rapidement un essai de pliage pour prépa-rer la mise en oeuvre qui sera faite en fin de module.
4 - 4ème leçon Essais aux solvants
Au cours de l'expérimentation,des professeurs ont insisté sur la notion de solubilité (comparaison solubilité fusion, solubilité -réaction chimique, variation de la solubilité en fonction de la nature du corps, de la température ... ).
Ces compléments ne devraient plus être nécessaires car il est prévu dans un module de 6e de faire une approche de la solubilité.
La leçon jugée assez difficile doit cependant, de l'avis général, être traitée.
On pourra prolonger vers les colles (de façon toujours à
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-5 - Sème leçon Contrôle expérimental
Un tel contrôle est très bien accepté aussi bien par les professeurs que par les élèves.
6 - 6ème leçon Transformations physiques Molécules -Macromolécules
Quelques difficultés expérimentalœsont signalées, notam-ment quant à l'effet Tyndall, une liste de conseils pratiques a donc été dressée.
La progression est modifiée: il est suggéré d'introduire d'emblée la notion de molécules et de proposer ensuite quelques ex-périences qui s'interprètent bien avec le modèle moléculaire. Signalons que le module de Se devrait préparer le terrain.
7 - 7ème leçon Depolymérisation du PMM Synthèse -Modèles
Aucune modification du plan n'est demandée. Des conseils seront donnés pour les manipulations (en particulier utilisation de petits tubes pour éviter une pollution exagérée de la salle, des con-seils de sécurité quant ~ la manipulation du peroxyde ... ). Les modèles proposés dans cette leçon peuvent volontairement rester très simples.
On pourra suivre la polymérisation du styrène par une étude de la viscosité (facultatif).
8 - 8ème leçon Synthèse de quelques matières plastiques
Des détails expérimentaux sont notés. La discussion porte surtout sur les modèles. On convient de ne pas donner un seul modèle mais plusieurs. On pourra aller jusqu'aux atomes considérés comme grains de matière se conservant au cours des réactions chimiques.
9 - 9ème leçon
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-Hydrolyse et synthèse de l'amidon
Des compléments sont demandés sur les divers mélanges amidon-eau (lait d'amidon préparé à froid, empois d'amidon préparé
à l'ébullition).
De nombreux détails expérimentaux seront consignés dans le nouveau livre du maître.
Signalons que certains professeurs ont travaillé en collaboration avec des collègues professeurs de sciences naturelles.
la - La dernière partie du module consiste en la mise en oeuvre des matières plastiques
Un travail important avait été fait au cours de la première expérimentation. Seule une nouvelle présentation des con-seils et documents a été retenue '. La partie nouvellement rédigée est très riche et donnera la possibilité de choisir la technique ou l'objet à mettre en oeuvre.
VI - LES PERSPECTIVES
La nouvelle expérimentation commencera pour la grande majorité des professeurs début Janvier 76.
Le livre du maître doit être corrigé et devrait être disponible pour décembre 75.
Le livre technique est à compléter et devra subir des corrections dans les dessins.
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-T E C H N l QUE S D E F A B R ICA -T ION
Il.75
Compte rendu
J.-L. MARTINAND
PREMIERE PARTIE
- Les intentions et la conception 2 - Les étapes de l'expérimentation 3 - Bilan d'ensemble provisoire
DEUXIEME PARTIE
4 - Le matériel pédagogique5 - Les dessins et feuilles de gammes 6 - Les fiches de travail
7 L'organisation des premières séances 8 - Tableau des objectifs