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Trajectoires résidentielles

Dans le document RAPPORT DE STAGE 2017 (Page 119-122)

BIBLIOGRAPHIE COMMENTÉE

1.5 Trajectoires résidentielles

BALLAIN, René, BLAIS, Jean-Paul et BOBROFF, Jacotte, 1984. Évolution du patrimoine-logement et trajectoires résidentielles. [Paris] : Plan Construction.

BERGER, Martine, BRUN, Jacques et FRANCE. PLAN URBANISME CONSTRUCTION ARCHITECTURE (éd.), 2006. Mobilités résidentielles, navettes et recomposition des systèmes résidentiels en région parisienne. La Défense : Plan urbanisme construction architecture. Recherches 167. ISBN 2-11-085679-3.

BONVALET, Catherine et BRINGÉ, Arnaud, 2016. L’impact des trajectoires familiales sur les parcours résidentiel et géographique des franciliens nés entre 1930 et 1950? Revue européenne des sciences sociales. 2016. Vol. 54-1, n° 1, pp. 75-102.

BONVALET, Catherine, FRIBOURG, Anne-Marie et FRANCE. PLAN CONSTRUCTION ET ARCHITECTURE (éd.), 1990. Stratégies résidentielles actes du séminaire... Paris, 1988. Paris : INED. Congrès et colloques 2. ISBN 2-7332-4002-1.

CARTIER, Marie, MASCLET, Olivier et SIBLOT, Yasmine, 2012. La France des « petits-moyens » enquête sur la banlieue pavillonnaire. Paris : La Découverte.

TAP / Enquêtes de terrain.

COURGEAU, Daniel, 1988. Méthodes de mesure de la mobilité spatiale migrations internes, mobilité temporaire, navettes. Paris : Institut national d’études démographiques. ISBN 2-7332-2009-8.

DANIEL COURGEAU et MONIQUE MERON, 1995. Mobilité résidentielle, activité et vie familiale des couples. economie et statistique. 1995. Vol. 290, n°

1, pp. 17-31.

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L’article porte sur les processus de transformation du peuplement du département de la Seine-Saint-Denis (banlieue nord et est de Paris), du triple point de vue des logiques résidentielles des groupes sociaux, des effets de la structure de l’offre et des marquages sociaux des territoires;

partir des données du recensement général de la population de 1990, on regroupe en classes d’habitat des types de logements dont les habitants ont des caractéristiques proches. Ces classes sont ensuite hiérarchisées

125 et interprétées à partir d’un indice de statut socio-résidentiel, dont les variations spatiales nous permettent d’identifier l’influence des marquages sociaux des communes sur le peuplement (aires résidentielles), qu’ils relèvent des composantes de leur parc immobilier (zones d’habitat) ou de leur situation géographique (effets locaux).Ces typologies sont ensuite utilisées pour interpréter la mobilité résidentielle des ménages entrés dans un logement de la Seine-Saint-Denis en 1994. Les données relatives aux ménages enquêtés ont été exploitées dans une triple direction: pour cerner les trajectoires résidentielles des ménages; pour mettre à jour les choix de localisation des ménages, les marges de manoeuvre et les contraintes pesant sur leur décision; en utilisant les parcours résidentiels du moment comme un indicateur des évolutions des peuplements territoriaux.

SEBILLE, Pascal, 2009. Un passage vers l’âge adulte en mutation? In : Portraits de familles l’enquête Étude des relations familiales et intergénérationnelles.

Paris : INED. pp. 315-340. Grandes enquêtes.

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Liège : ULG. pp. 19-42. ISBN 2-930322-98-5.

1.6 Mobilités

IMBERT, christophe, DESCHAMPS, Guilhem, LELIEVRE, Eva et ET AL., 2014.

Vivre dans deux logements: surtout avant et après la vie active. Population et Sociétés. janvier 2014. Vol. n°507.

11 % des adultes en france en 2011 habitent 2 logements ou plus. 26 % pour les 18-19ans. (raisons familiales et scolaires). Chez les adultes en activité (9 à 10 %) ce second logement est occupé pour les vacances, d’autant plus après 60 ans, à l’arrivée de la retraite, tant que les conditions financières et physique permettent de conserver deux logements. Un nombre important d’individus vivra ou à vécu en bi-résidence. La double résidence doit donc être prise en compte comme d’autres évolutions sociétales importantes.

VINCENT-GESLIN, Stéphanie, RAVALET, Emmanuel et KAUFMANN, Vincent, 2016. Des liens aux lieux : l’appropriation des lieux dans les grandes mobilités de travail. Espaces et sociétés. 2016. Vol. 164-165, n° 1-2, pp. 179-194. DOI 10.3917/esp.164.0179.

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2.1 Généralités

AZAROVA, Katerina, 2007. Appartements communautaires à Moscou : un territoire partagé. L’Homme et la société. 2007. Vol. 165-166, n° 3-4, pp.

161-175. DOI 10.3917/lhs.165.0161.

“Entre 1918 et 1922, la forme du logement ou la redistribution rationnelle des surfaces habitables dans les grandes villes de la jeune Union Soviétique, rassemble des habitants d’origine et de condition sociale très diverses dans des grands appartements bourgeois en communauté de voisins composée de plusieurs familles. Ce voisinage ne se transforme pas en communauté proclamée, mais évolue toutefois selon quelques principes de collectivisme. Ce système de fonctionnement se base sur des règles inédites qui se développent au cours de l’histoire depuis 1918 jusqu’à la fin du Régime soviétique.”

Au regard de la cohabitation étudiée dans cette recherche, cette “cohabitation forcée” est un contre exemple des aspirations actuelles des habitants, plus proches du “vivre ensemble séparément”. La description que fait l’auteure d’une journée classique permet de comprendre les systèmes d’organisation au sein de cette communauté.

Pour aller plus loin:

Katerina AZAROVA, L’appartement communautaire: l’histoire cachée du logement soviétique. Éd. du Sextant, 2007, 362 p. : L’ouvrage complet comporte des entretiens et une série de photographies.

KLAPISCH, Cédric, DURY, Loïk et LEVESQUE, Laurent, 2005. Les poupées russes. Studio Canal vidéo [éd.]. 2005. : Une scène du film se déroule dans un appartement communautaire.

BREVIGLIERI, Marc, 2006. Le temps des cohabitations. In : Habitat et vie urbaine changements dans les modes de vie les actes du colloque, 14 et 15 mars 2006 rapport final. La Défense : PUCA. pp. 45-56. Actes de colloque. ISBN 2-11-085685-8.

ELEB, Monique et BENDIMERAD, Sabri, 2013. Cohabiter. Les lieux de la cohabitation. In : Assises de l’habitat Leroy Merlin. 2013.

Cette recherche dresse un panorama des cohabitations en s’appuyant sur plusieurs séries d’entretiens. Pour cela les auteurs on fait le choix de diversifier les situations: de la colocation étudiante à une cohabitation entre femmes âgées, des cohabitations familiales ou entre inconnus. A l’aide de relevés habités mais aussi de photographies, ils illustrent et comparent les différents modes d’organisation entre les cohabitants, en exposant à la fois les aspects positifs et négatifs qu’ils expriment. L’intérêt de cette étude réside dans le fait qu’elle met en lumière un mode de vie encore parfois méconnu et ce, en le prenant dans sa globalité.

HAFFNER, Josette, 1968. Habitations communautaires pour étudiants, jeunes travailleurs, retraités... Paris : Ed. Eyrolles. Architecture de notre temps 5.

KOPP, Anatole, 1967. Ville et révolution architecture et urbanisme soviétiques des années vingt. Paris : Éd. Anthropos.

LAFERRÈRE, Anne, 2003. Cohabitation. In : Dictionnaire critique de l’habitat et

2 Cohabitation

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du logement. Armand Colin. Paris. pp. p.76.

MARANDOLA, Marthe et LEFEBVRE-DECAUDIN, Geneviève, 2009. Cohabiter pour vivre mieux. Paris : J.C. Lattès. ISBN 978-2-7096-3079-5.

YOUNÈS, Chris, 2008. Cohabiter. In : Collectif nouvelles formes d’habitat collectif en Europe [exposition, Arc en rêve, Centre d’architecture, Bordeaux, 4 juillet - 26 octobre 2008]. Bordeaux : Arc en rêve, Centre d’architecture. pp.

p.42-43. ISBN 978-2-906489-33-2.

Dans le document RAPPORT DE STAGE 2017 (Page 119-122)