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CHAPITRE II : Le parcours littéraire de Jòrgi Reboul

B) LES RÉÉDITIONS DE RECUEILS PLUS ANCIENS

Les années 1970 sont toutefois surtout l’occasion pour Reboul de rééditer des textes plus anciens. Ces rééditions prendront la forme de trois volumes.

1°/ Publication de 4 Cantadissas (1971)

Tout d’abord, en 1971, Reboul sort une petite plaquette aux éditions 4 Vertats intitulée 4 cantadissas d’aièr emai d’encuei (Figure 28)281.

Figure 28. Première de couverture du recueil 4 Cantadissas

Cette plaquette reprend, en graphie classique avec traduction française, quatre poèmes initialement publiés en 1932 dans la partie III du recueil Sènso relàmbi sous le titre « Cantadisso » : « Tota vida es la via… », « Vira, vira la ròda… », « Tot es van… » et « Rèn es tot… ».

Le premier article consacré à cette réédition est signé de René Méjean# dans la revue

La France latine, en 1971282. Après avoir rappelé la place majeure de Reboul comme poète d’oc contemporain et cité quelques extraits de la critique le concernant, Méjean met en avant l’originalité et le naturel de la poésie de Reboul, loin des travers du courant surréaliste. S’agissant plus spécifiquement de l’opuscule 4 Cantadissas, Méjean relève le 280 André Neyton, Poèmas occitans per uèi (disque 33 tours), Béziers, Ventadorn / Toulon, Rescontres, 1976 ; Patrick Vaillant, Jan-Marie Carlòtti, Jean-Luc Sauvaigo, Riccardo Tesi et Daniele Craighead, Anita Anita (disque 33 tours), Sab Germano (Italie), Robi Droli, 1989 ? (rééd. en disque compact, Gentilly, Riom, Silex Auvidis Distribution, 1994) ; Gaël Hemery, En balans (disque compact), Arles, Ventadis, 2006.

281 4 cantadissas d’aièr emai d’encuei, Riols, Joan Larzac, coll. 4 Vertats, 1971, 23 p.

282 René Méjean, « Georges REBOUL. — 4 Cantadissas d’aièr emai d’encuèi. (Edit. « 4 Vertats », Riols 1971, 24 p.) », La France latine, n°45-46, janvier-juin 1971, p. 53-54.

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caractère particulièrement original des textes qui allient à la fois profondeur du propos et mélodie populaire.

On sait depuis longtemps que Georges Reboul est un des plus importants poètes de l’après- mistralisme, celui, en tout cas, qui a le premier et le plus efficacement contribué à un renouvellement total des thèmes et de la technique poétique d’oc.

Nombreux sont les critiques qui ont tenté une définition de sa poésie. L’un a avancé « qu’elle avait un accent à la fois intellectuel et terrien » et que la « rustique beauté qui en émanait restait comme en suspens, toujours sur le point de se concrétiser ou de se dissoudre ». L’autre a remarqué qu’elle procédait d’une tension, d’un élan intérieurs qui l’amenaient à une sorte d’arrachement d’images, d’affirmations, d’intuitions fulgurantes qu’il jetait sur le papier, un peu à la manière de ces peintres expressionnistes qui jettent sur la toile leurs couleurs « au couteau ». Un autre enfin a souligné « qu’il trouvait dans la profondeur de ses tendances, de ses désirs ou de ses nolitions, une inspiration que d’autres poètes ne cherchent qu’à la surface de leur vie affective ». Et sans doute y a-t-il du vrai dans tout cela. Mais ce qui est non moins certain, c’est que sa profonde originalité, loin d’être le résultat d’une recherche, lui est naturelle et comme instinctive, qu’elle suit le droit courant de la langue d’oc, de l’esprit d’oc, qu’elle ne doit rien — ou fort peu — à tout ce qui l’a précédée et surtout pas aux lourdes et lugubres élucubrations des surréalistes français ni aux prétendues « révélations » de « l’écriture automatique » qui, pour être dictée par « l’inconscient », n’a jamais révélé que l’insignifiance. Il y avait, certes, dans Chausida283 de

surprenants assemblages de notations ou d’images. Mais un même courant les unissait ; de leurs rythmes heurtés éclataient d’imprévus accords, riches en prolongements, et le langage ne s’y dissolvait jamais en scintillations gratuites. Avec 4 Cantadissas la technique s’épure encore et, par une sorte de gageure, unit la grave méditation à des rythmes populaires, des rythmes de carrousel et de fête foraine : « Tota vida es la via — que cavilha — la ròda que vira — pèr lo movement — d’un etèrne — que bolega — tant de plegas — e d’encadenaments ». Il y a là une vie, un mouvement de l’idée et, malgré les apparences, un accord, un équilibre qui évoquent, en plus heureux, en plus grinçant, et sur un autre plan, les chansons de « l’Opéra de quat’sous ». « Une fête foraine de l’esprit ! » trancherait sans doute Ferlinghetti, le poète révolté de San Francisco qui publia, en 1958, A Coney Island of the Mind.

On ne saurait mieux dire.

Un an plus tard, Christian Rapin# fait paraı̂tre un court article dans Oc sur ce même recueil, insistant lui aussi sur l’authenticité et la perfection formelle des quatre textes ainsi réunis284.

Coma o ditz Joan Roqueta dins « La littérature d’Oc », la poësia de Jòrgi Reboul es revindicacion e iniciacion a la libertat. En legissent sos poèmas, òm pensa sovent a Nietzsche o a Gide, mas tanben a S.A. Pèire. I trobam una coneissença — o una intuicion — de las ressorças musicalas de la lenga, qu’estona. Aquela sciéncia del vers es tant

{Comme le dit Jean Rouquette dans La littérature d’Oc, la poésie de Jòrgi Reboul est revendication et initiation à la liberté. En lisant ses poèmes, on pense souvent à Nietzsche ou à Gide, mais aussi à S.-A. Peyre. On y trouve une connaissance — ou une intuitition — des ressources musicales de la langue, qui étonne. Cette science du

283 Dans le texte d’origine, les noms d’œuvre étaient en caractères romains et entre guillemets.

284 Christian Rapin, « Jòrgi REBOUL, 4 Cantadissas, Col. 4 Vertats », Oc, n°238, été 1972, p. 84. La traduction française de la citation tirée de « Touto vido es la vìo » (Sènso relàmbi) est de Reboul lui-même.

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mai originala qu’es afrairada amb un modèrnisme (sic) de l’òbra que daissa pas res enrèr, ni mai l’umor, ni mai lo crit :

E ges de puissança d’amor o d’asirança t’adralharà de son poder,

car siás ton dieu, e siás ton mèstre… Reboul celèbra dins sa (sic) 4 Cantadissas, atal coma dins Terraire nòu (1937), sa comunion amb la tèrra e amb la carn. S’agís d’una anti-conversion e i sèm iniciats per la liturgia d’una poësia autentica, que trai sens dobte sa perfeccion formala de son autenticitat.

vers est d’autant plus originale qu’elle est associée à un modernisme de l’œuvre qui ne laisse rien de côté, ni l’humour, ni le cri :

Et nulle puissance d’amour ou de haine ne te dirigera de sa maîtrise, car tu es ton dieu, et ton maître…285

Reboul célèbre dans ses 4 Cantadissas, tout comme que dans Terraire nòu (1937), sa communion avec la terre et la chair. Il s’agit d’une anti-conversion et nous y sommes initiés par la liturgie d’une poésie authentique, qui tire sans doute sa perfection formelle de son authenticité.}

Beaucoup plus tardivement, Philippe Gardy consacre à son tour quelques lignes à ces quatre Cantadissas dans son livre Une écriture en archipel. Cinquante ans de poésie

occitane (1940-1990). Insistant tout comme René Méjean sur leur facture de chansons

populaires, il y écrit qu’elles « sont autant de “mobiles” (comme ceux du sculpteur Calder) qui, de leurs ritournelles, structurent l’espace et le remplissent de leur leçon, qui est à la fois morale, esthétique et existentielle »286.

* * *

Quoi que cela ne concerne pas spécifiquement l’opuscule 4 Cantadissas, il est impossible de passer sous silence la notice consacrée à Reboul que Louis Bayle et Michel Courty font paraı̂tre la même année dans leur Histoire abrégée de la littérature provençale

moderne287. Comme je l’ai déjà évoqué précédemment (voir p. 144), malgré leur amitié de jeunesse, les relations entre Reboul et Louis Bayle s’étaient fortement dégradées, suite à un article assez peu amène que Bayle avait publié sur Reboul mais également en raison de dissensions idéologiques de plus en plus importantes : tandis que Reboul se tournait de plus en plus ouvertement vers le courant occitaniste, Bayle ― après avoir un moment oscillé entre les deux camps ― avait finalement opté dès 1962 pour un retour à une totale orthodoxie félibréenne, ce qui l’avait peu en peu converti en « premier ennemi de l’occitanisme » en Provence, selon le mot de Robert Lafont et Christian Anatole288.

Quoi qu’il en soit de ces antécédents, le contenu de l’article consacré à Reboul dans l’Histoire abrégée de la littérature provençale moderne se révèle d’une extrême violence vis-à-vis du parcours littéraire et militant du poète marseillais. Cet article apparaı̂t en totale contradiction avec la réception effective de l’œuvre de Reboul telle que je l’ai évoquée jusqu’alors mais, plus problématique encore pour la parfaite bonne foi de son 285 La traduction française est celle proposée dans 4 Cantadissas.

286 Philippe Gardy, Une écriture en archipel. Cinquante ans de poésie occitane (1940-1990), Église Neuve d’Isaac, Fédérop, 1992, p. 29.

287 Louis Bayle et Michel Courty, « Georges Reboul (1902) », Histoire abrégée de la littérature provençale

moderne, Toulon, L’Astrado, Biblioutèco d’istòri literàri e de critico, 1971, 134 p.

288 Robert Lafont et Christian Anatole, Nouvelle histoire de la littérature occitane, vol. 2, Paris, Presses universitaires de France, 1970, p. 741.

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auteur, Bayle semble y oublier complètement l’article qu’il avait fait paraı̂tre en 1947 et dans lequel il avait porté un regard nettement positif sur Terraire nòu289.

Ici, guère de place aux concessions où à la demi-mesure : Bayle s’empare à pleines mains de la perche tendue par la vieille histoire du bandeau « Entre Mistral et Valéry » qui ornait le recueil Terraire nòu afin de dénier à Reboul à la fois le génie du premier et l’intelligence du second. S’il reconnaı̂t au Reboul de Sènso relàmbi d’avoir contribué à apporter un peu de jeunesse dans la poésie provençale, il estime toutefois qu’il a échoué à la renouveler réellement, faute d’une personnalité suffisante pour rompre en profondeur avec la tradition. Terraire nòu constitue aux yeux de Bayle un demi-échec, d’autant que Reboul n’a pas vraiment été suivi, dans une terre provençale que le critique estime éprise de classicisme. L’article ne se montre pas plus tendre avec la suite de la carrière de Reboul, lequel n’aurait plus rien produit à partir de sa conversion à l’occitanisme, si l’on excepte la « traduction » de ses textes en occitan. Au final, Bayle porte donc un regard plus que sévère — et clairement de parti-pris — sur l’œuvre de Reboul, demeurée pour lui essentiellement confidentielle et désormais ignorée des nouvelles générations.

Ce poète, qui se situe lui-même, non sans quelque déplaisante suffisance, entre Rimbaud et Valéry, n’a ni les étincelles du premier, ni, encore moins, la froide et lucide intelligence du second. Mais il apporté, vers les années où il publiait son premier recueil important, Sènso Relàmbi (Sans répit, 1932), sous l’influence de S.-A. Peyre, l’élément de jeunesse un peu révolutionnaire qui manquait à la poésie provençale encore sous l’influence de d’Arbaud et peu habituée aux désinvoltes hardiesses dont les poètes français donnaient depuis longtemps l’exemple. Reboul n’avait pas assez de personnalité véritable, en dépit de ses prétentions, pour rompre avec toutes les traditions et insuffler aux lettres provençales une âme véritablement neuve, mais il avait assez d’enthousiasme pour tenter ce renouvellement. C’est ce que signifie le titre de son second recueil, Terraire nòu (Terroir nouveau, 1938). Demi-réussite, demi-échec, car il n’est pas allé au-delà, incapable de franchir certaines limites, et il n’a guère été suivi : la Provence est terre de classicisme, qui ne se lance pas en aveugle dans les aventures, fussent-elles poétiques […] [F]rappé d’une étrange stérilité dès le moment où, suivant l’exemple et les conseils de son maître, Valère Bernard, il a donné sa pleine adhésion aux thèses occitaniques, il n’a plus rien produit. Son œuvre, presque confidentielle (les deux recueils cités n’ont été tirés qu’à petit nombre d’exemplaires introuvables aujourd’hui), n’a pas atteint les jeunes écrivains qui l’ignorent. Il s’est, depuis trente ans, contenté de traduire en « occitan », ou de faire traduire, les principales pièces de ses recueils provençaux. C’est le plus sûr moyen de conserver à son œuvre son caractère confidentiel.

Bayle réédite en 1995 son Histoire abrégée et en profite pour réécrire l’article consacré à Reboul290. La nouvelle version, beaucoup plus succincte, est un peu moins cinglante. La critique à l’égard du recueil Terraire nòu et la polémique au sujet de la comparaison avec Mistral et Valéry disparaissent ; quant à la fin de l’article, elle est consacrée aux productions théâtrales de Reboul (non évoquées en 1971) ainsi qu’aux derniers grands recueils publiés depuis lors. Bayle continue néanmoins de soutenir que Reboul n’a pas été à même d’insuffler un renouvellement véritable à la poésie provençale 289 « Nouvelles lettres à Joseph Sol sur le félibrige », Marsyas, n°257, novembre-décembre 1947, p. 1377- 1379.

290 Louis Bayle et Michel Courty, « Georges Reboul (1902-1993) », Histoire abrégée de la littérature

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et il laisse par ailleurs toujours entrevoir une critique à peine voilée du ralliement de Reboul à l’occitanisme.

Ce poète a apporté, vers les années où il publiait son premier recueil important, Sènso relàmbi (Sans répit, 1932), sous l’influence de S.-A. Peyre, l’élément de jeunesse un peu révolutionnaire qui manquait à la poésie provençale peu habituée aux désinvoltes hardiesses dont les poètes français donnaient depuis longtemps l’exemple. Reboul n’avait pas assez de personnalité véritable pour rompre avec toutes les traditions et insuffler aux lettres provençales une âme véritablement neuve, mais il avait assez d’enthousiasme pour tenter ce renouvellement. C’est ce que signifie le titre de son second recueil, Terraire nòu (Terroir nouveau, 1938).

Au théâtre, il a donné trois comédies en 1 acte, en prose : Rèn qu’un pantai (1932), Nesimo (1933) et Lou printèms (1936).

Reboul, gagné aux thèses occitaniques, a publié par la suite Chausida (1935), Cantadissas (1971), Prosas geograficas (1985).

2°/ Publication de Sènsa relambi seguit de Terraire nòu (1976)

Nettement plus importante en taille est la deuxième réédition qui a lieu en 1976. Elle concerne les deux grands recueils de Reboul des années 1930, Sènso relàmbi et Terraire

nòu. Comme l’indique Yves Rouquette, cette réédition constitue pour l’IEO une manière de

célébrer les 75 ans du poète, en rendant à nouveau accessible ces textes devenus depuis longtemps introuvables291. Les deux œuvres sont fusionnées en un seul volume qui paraı̂t auprès de l’IEO, dans la collection « Messatges », sous le titre Poëmas. Sènsa relambi seguit

de Terraire nòu (Figure 29)292.

Figure 29. Première de couverte du recueil Sènsa relambi seguit de Terraire nòu

291 Yves Rouquette, « Fête, ce samedi à Béziers : Jòrgi Reboul, poète des grands espaces, de la liberté, de l’amour », La dépêche du Midi, chronique « En occitan », 19 juin 1976, Vent Terral, 2013, p. 155.

292 Poëmas : Sènsa relambi seguit de Terraire nòu, Toulouse, Institut d’Estudis Occitans, 1976, 96 p. Œuvre non

reproduite par respect du droit

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La réédition reproduit dans leur intégralité les textes de 1932 et de 1937 mais sans les traductions françaises d’époque et avec une adaptation en graphie classique qui s’accompagne au passage de quelques modifications linguistiques vers un provençal un plus standardisé que le dialecte marseillais originel. Selon Claude Barsotti que j’ai interrogé à ce sujet, la mise en graphie classique des textes pourrait avoir été effectuée par Yves Rouquette mais le recueil ne donne pour sa part aucune précision sur l’auteur de cette retranscription.

3°/ Réédition de Petite suite forézienne (1978)

Enfin, et même si cette dernière publication est plus anecdotique, Reboul ressort à compte d’auteur en 1978 sa Petite suite forézienne de 1944293.

A# noter pour information qu’au niveau international, c’est cette même année que la

Gran Enciclopèdia Catalana consacre une notice à Reboul sous la plume de Bernard

Lesfargues294. Je profite de cette allusion à la Catalogne pour indiquer également qu’en 1994, au cours du colloque de Septèmes-les-Vallons, Francesc Panyella i Farreras avait indiqué le projet d’une édition en catalan de l’œuvre de Reboul295. N’ayant pas trouvé trace d’un tel ouvrage, j’ai contacté le Cercle Català de Marsella qui m’a répondu par courriel, après avoir directement posé la question à Francesc Panyella. Il en est ressorti que ce projet n’avait finalement pas abouti « car les poèmes étaient trop focalisés sur Marseille et les éditeurs catalans n’ont pas été intéressés »296.

§6-

LES ANNÉES 1980 ET LA FIN DE CARRIÈRE POÉTIQUE DE

REBOUL

Le tout début des années 1980 est seulement marqué par la parution de deux poèmes, la réédition de « Marignano » dans une anthologie de la revue Vagabondages et la sortie d’un inédit, « Nòstre fraire. Pèr Carles Camproux », à l’occasion de la création d’un livre d’hommage à Charles Camproux dirigé par Jean-Marie Petit297.

Ce relatif silence contraste avec le milieu des années 1980 qui voit se succéder la publication des trois derniers grands recueils de Reboul marquant la fin de sa carrière littéraire : Curriculum Vitae, Pròsas geograficas et Mesclas.

293 François Pic, « Essai de biographie de Jòrgi Reboul », Actes du colloque Jorgi Reboul, Septèmes-les-Vallons,

9 avril 1994, Septèmes-les-Vallons, 1996, p. 77.

294 Bernard Lesfargues, « Jòrgi Reboul », Gran Enciclopèdia Catalana, Barcelone (Espagne), Enciclopèdia Catalana S.A., vol. 12, novembre 1978.

295 Francesc Panyella e Farreras, « Jòrgi i els Catalans », Actes du colloque Jorgi Reboul, Septèmes-les-Vallons,

9 avril 1994, Septèmes-les-Vallons, 1996, p. 67.

296 Courriel en réponse du 15 août 2018 que j’ai reçu de la secrétaire du Cercle Català de Marsella.

297 Frédéric-Jacques Temple, « Poètes de Langue d’Oc », Vagabondages, n°32-33, septembre-octobre 1981, p. 104-107 ; Jean-Marie Petit, Omenatge a Carles Camproux, Béziers-Montpellier, CIDO-Occitania, 1983, p. 72-73

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