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PARTIE III : Résultats d’observation validations méthodologies et discussions

1. Interprétation visuelle et analyse des résultats :

érents faciès des terrains, suivre l’évolution au cours du temps des états de surface, de la végétation, des zones érodées ou érables, les limites et déplacements des

objets ( e nombreux changements ont été localisés sur les

don

.I.G ArcGIS).

Fig. 26 : Distribution des principaux changements locaux observés sur le Laval&Moulin (de 1985 à 1999)

les changements dans les bassin s manuellem

ocessus de détection de changement sur le Laval et le Moulin

L’analyse du contenu des images pour la reconnaissance des systèmes érosifs par approche manuelle « visuelle » à travers les formes et les couleurs, que nous avons abordée dans ce stage est d’un grand intérêt pour repérer les diff

forêt, blocs, réseau hydrographique...). D

nées THRS de l’archives. L’analyse de chaque agrandissement photographique comporte les phases suivantes : la délimitation sur différentes images des zones d’objets d’intérêts homogènes (zone testes), l’analyse descriptive de leurs compositions, formes et de la structure puis l’identification et l’analyse de changement par comparaison multidates et enfin la localisation et la cartographie à l’aide du système d’information géographique (S

Par le Moulin, nous avon

Dynamique de la végétation:

biais de cette technique plusieurs changements ont été localisés sur le Laval et le s observés les changements suivants:

- Etant donné la relation qui existe entre la densité du couvert

végétale et la vitesse d’érosion, on peut parfois se servir de la végétation comme indicateur de l’érosion. Nous avons fait des observations sur les zones de végétation et à différentes échelles :

Du 1\50 000 au 1\30 000 : à cette échelle des évolutions des limites des grandes unités paysageres

(bassins versants, forêts, versants, lits majeurs…) ont été observées sur les bassins du Laval et du Moulin et à partir de trois données temporelles multi formats : photoaérienne (1948) en panchromatique, simulation Pléiades (2004) et Spot5 (2003) en panchromatique.

tre peu d’évolution des limites de forêt

- ra

Photoaérienne (1948) en N/b Simulation Pléiades (2004) Spot5 (2003) en N/b

L’exploitation des données de l’archive à cette échelle mon vines entre 1949 et 2004 et une légère reprise végétale.

- Au 1\8 000 : Les bassins du Laval et du Moulin sont couverts par les photoaériennes au 1\8000.

A cette échelle, deux type de dynamique de la végétation sont distingués à partir de la densité du peuplement (changement de la texture sur les photoaériennes multidates) :

- Une dégradation des surfaces végétalisées avec reprise d’érosion. La disparition du couvert de

végétation indique l’activité hydrologique (ruissellement, reprise de l’érosion). A l’échelle globale des bassins du Moulin et du Laval , la distinction entre les types de pelouses : claire, intermédiaire, dense embroussaillée en 1985, pâturée, embroussaillée en 1999 rend compte en grande partie de la dynamique de l’érosion dans les bassins. L’exemple par le biais des photoaériennes 1985 et 1999 peut témoigner de cette évolution régressive.

Fig. 27 : Exemple : dynamique de la végétation indicateur de l’érosion.

- L’analyse de la végétation par interprétation des photoaériennes montre une légère reprises sur les versants sud du Laval et la partie centrale. Néanmoins, sur les bassins, il reste difficile à estimer cette dynamique.

Modifications des lits de cours d’eau : nous avons effectué des observations tout le long du lit

principal du Laval et à partir des orthophotoaériennes 1985 et 1999. Au cours du temps et en fonction des épisodes de crue, de nombreuses modifications ont été identifiées sur le long du lit principal du Laval et du moulin. Les changements sont visibles sur les agrandissements de photographies aériennes (1985/1999) :

Fig. 28 : Exemple : Modification de lit majeur ( Laval).

Les observations ont permis aussi, d’identifier de nouvelles zones de stockages de sédiments et de cailloux grossiers actives, ainsi que des changements aux niveaux des épaisseurs pour les dépôts

tabilisées et asséchée sur des zones marneux. s

Déplacement de blocs (dépôts): nous avons fait des observation e de hotoaériennes entre 1985 et 1999 sur les lits et les ravines du Laval et du Moulin. Les grandissements des photoaériennes au 1\8000° ont permis de détecter des mouvements de matériaux

ès importants sur le Laval. Les distinctions entre les deux dates 1985 et 1999 sur le Laval et le oulin permettent à moyen terme de juger l’importance de l’activité hydrologique globale des bassins

lissement de masse :

à partir de deux coupl p

a tr M

et locale des ravins.

Fig. 29 : Exemple : Déplacement de blocs.

Ces mouvement de blocs s’avèrent les indicateurs intéressants de l’impact hydrologique des envasements des lacs et des barrages. Cependant, les changements varient en relation avec la taille, la forme des blocs, et l’ancienneté de la stabilisation et en fonction des paramètres physiques des bassins : la pente, l’importance du réseau hydrographique, la présence de la végétation…

G De no ont été observés sur les

versants du Laval. Un im vé sur le bassin du Laval (1979) . Il

témoigne de cette dynamique du s d’étude. Cependant, Des

appareils de ains sur les zones de glissement ont

été déjà mis en place par Intérêt Scientifique) : «

Draix, étude de l’érosion en de recherche (Paris7,

Avignon …).

Nous n’avons pas pu suivre tous les objets d’intérêt indicateurs de changements (Ravines, lits majeurs, blocs, végétation…) sur toute la zone du Laval et du Moulin par manque de temps et surtout

mbreux changements locaux de masses portant glissement de terrain à été obser

ystème géomorphologique de la zone mesures et de connaissances des écoulements sou-terr

des équipes de recherches du GIS (Groupement d’ montagne », dont font partie des laboratoires

, Caen, Rennes, Aix…) et différents organismes ( Cemagref, RTM, IPG de Strasbourg

Fig. 30 : Exemple : changement de masse « glissement de terrains » détecté sur les ortho images 1985 et 1999 et validé sur le terrain. 1999

du fait d’un grand nombre de données. suivi le lit principal du Laval et du Moulin,

les limites de la forêt jusqu’au nes. Ce choix résulte de

la complexité due aux grands nom archive et des

différences de comporte

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