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Un autre dessin retournant d’une logique inconsciente peut être proposé, notamment lorsque se présente le cas d’une régression du désir et donc de la courbe pour flirter par excès avec le bord asymptotique délimitant le champ de l’Autre. Une telle régression trouve pas forcément son origine dans la perte pure et dure du désir comme on pourrait le penser, mais plutôt dans une tentative de fourvoyer le sujet dans une Autre dimension. Il s’agit de montrer comment ($) peut se diriger non pas comme précédemment dans le discours du Maître où il s’extériorise vers un au-delà dans le réel, là où se localisaient le discutable phallus et son représentant l’objet convoité, mais cette fois-ci dans une sorte de mystification, où s’opère un décalage vectoriel vers le bas, une translation dans le champ de l’Autre qui va avoir certaines conséquences hystérétiques dans le développement du discours.

Soit une séquence quelconque de la courbe produisant le mouvement régressif suivant :

Si nous posons deux fois le théorème de Thalès dans les triangles, on obtient :  S R (a) - (+Ph) Ph(i) Ph(S) Moi idéal a’ I Figure 15 S1 $ C A v s2 a v’ Sur moi P

s2 = v et v’ = S1 et comme v = v’ on a par simplification : s2 = S1

103  Et l’existence du conjugué harmonique S1, s2, a, et $.

Afin d’éclairer le lecteur du nouvel agencement vectoriel qui apparaît sur les figures ci dessus, il semble nécessaire de postuler que la régression hystérétique serait le résultat à la fois d’un tassement dans le réel du discours du Maître et d’une contrainte dans le jeu vectoriel. La régression de la courbe serait la conséquence simultanée de la pression du Réel à l’endroit de chaque vecteur qui la soutienne et d’une aspiration phallique. Cette double contrainte favorise une sorte de substitution vectorielle et un glissement translatif.

En effectuant une comparaison entre la figure14 et la figure 15, on s’aperçoit que : « a » prend la place et le sens de « s2 », « s2 » la place et le sens de « S1 », « S1 » entre

dans l’Autre tel quel et « $ » prend la place et le sens de « a ».

Toujours selon la règle qui privilégie les vecteurs œuvrant au déploiement de la courbe dans le Réel et de l’impossible rapport sexuel, une nouvelle conjugaison harmonique se révèle où du point de vue mathématique la relation d’ordre pour les vecteurs de même sens sera :

 s2 < S1 et a < $ et de l’égalité des rapports s2 / S1 = a / $

Du point de vue hystérétique :

 s2 est le représentant de S1 // « a » induit la production du sujet $ (la double barre signifiant la trame de coupure par l’hystérèse)

D’un point de vu de la théorie du discours lacanien on obtient le discours de

V’ V A a s2 S1 $ Schéma simplifié

104 l’Universitaire :

 s2  a (la flèche signifiant dans le discours l’adresse de la « pulsion de communication »)

S1 $

Cette fois, l’hystérèse plaide pour un discours qui ne procède plus selon les mêmes codes que précédemment, la coupure n’intervient plus selon les mêmes modalités. La base du signifiant Maître S1 ne s’origine plus sur l’axe symbolique qui délimite les bords de l’Autre. S1 est totalement pris dans l’Autre. En d’autres termes, la pulsion initiale est totalement internalisée, elle n’est plus comme auparavant dans le discours du Maître une énonciation qui fait autorité dans le réel. C’est au nom de l’Autre que (S1) produit un savoir (s2) dans le réel et qu’il cherche à l’imposer à l’autre. Le signifiant

Maître totalement phagocyté par l’Autre, trouve son prolongement dans le réel en faisant la promotion du savoir, en produisant un énoncé.

Le savoir s2 vient se prendre ainsi (ou à son insu) pour le signifiant (S1) du discours du

Maître avec toutes les perversions ou les manipulations que cela entraîne. Notamment de gérer la coupure du réel et la représentation de « a » afin de mieux assujettir le sujet « $ » dans le simulacre d’un Réel symbolique ($ à cheval entre R et le champ de l’Autre et coupant l’axe du symbolique).

L’hystérèse régressive montre à son tour l’importance cruciale de la localisation du phallus dans le discours. En effet, c’est elle qui gouverne et donne sa direction à la courbe. La localisation du phallus dans « A » sert de prétexte, d’aspiration de la courbe d’hystérésis mais cette fois-ci vers le bas, dans le champ de l’Autre, l’Autre en tant qu’entité qui préexiste à l’hystérèse du sujet.

Ce point hors lignes qu’est le phallus, tel que l’appelle J. Lacan, oriente le désir du sujet et son fantasme, il ordonnance un nouveau mode relationnel que le sujet entretient désormais dans son rapport d’aliénation entre l’objet « a » et l’Autre.

La localisation du phallus est un repère topologique fondamental grâce auquel peut être identifié le discours du sujet. Sa position dans l’Autre est typique du discours de l’Universitaire où le phallus (ph) n’est plus du côté de l’objet a dans le réel – comme le Maître – mais fantasmé dans l’Autre le sujet de la transcendance.

Dans ce nouveau rapport mathématique qu’entretient l’hystérèse avec la position du phallus, il garde toute sa positivité mais du fait de son internalisation dans l’Autre il se verra appliquer un signe moins (-) pour en justifier sa place quand il est forclos dans l’Autre. Ce qui donne – (+Ph).

105 Ce qui veut dire que le sujet fait un amalgame et ce qu’il croit identifier comme Idéal du moi n’est en fait que la figure de l’Autre qui en renforçant sa prégnance agit comme Surmoi. Pour le dire autrement le sujet doit porter de gré ou de force le costume que l’Autre lui a taillé et dont la fonction surmoïque qui caractérise son éventuelle tyrannie introduit le savoir comme principal instrument de refoulement puisque le signifiant Maître a été absorbé.

Dans ce rapport fondamental, l’objet « a » prend la place du phallus dans le réel sans pour autant en conserver les propriétés hystérétique qui sont les siennes comme nous l’avons vu dans le discours du Maître. L’objet « a » dépourvu de la plus-value qu’occasionnait la présence du phallus au-dessus de lui se voit destitué et confiné dans sa plus pure objectivité matérielle.

Ainsi, la position phallique que favorise le discours Universitaire, impose au sujet un rapport signifiant dans l’Autre en bafouant les principes de la sexualité, les règles de la logique de l’aliénation du sujet dans le réel et de la séparation. De plus l’hystérèse nous interpelle sur la constitution du Moi dans le discours de l’Universitaire.

Dans la figure 14 du discours du Maître, le Moi du sujet, était constitué dans le jeu spéculaire à la fois d’un signifiant S1, d’une coupure l’hystérèse, et d’un savoir s2 en

provenance de l’autre, pour le dire plus simplement, c’est mon image (a) dans le miroir (a’) qui m’informe (s2) comment suis-je (S1/ $). Alors que dans la figure 15, le Moi ne

se constitue plus suivant les mêmes vecteurs et les mêmes règles. Ici, le Moi du sujet ne se structure plus par un savoir de l’objet mais par un savoir sur l’objet. Le Moi ne se partage plus entre un signifiant et un signifié, le savoir a pris la place du signifiant Maître et a opéré un renversement, s’impose à l’autre, en tant qu’objet, et n’a d’autre finalité que de produire sur lui un assujettissement.

Que reste-t-il de l’idéal du Moi du Maître dans ce schéma ? Il en est réduit à se confondre de plus en plus avec le Moi, ce qui finalement le relègue à être un Moi idéal. De plus, ce niveau de régression favorisera l’accroissement de l’influence de l’Autre comme Surmoi dont la fonction sera de poser au sujet des injonctions à la jouissance – continue à jouir – voire jusqu’à son terme la mort127.

L’hystérèse régressive ne permet plus comme précédemment l’extension du sujet dans le réel mais l’intention dans l’Autre. Pour le dire autrement le discours de l’Universitaire

127 Nous traiterons des conséquences pathologiques d’un tel fonctionnement dans un e partie ultérieure de ce travail

106 n’admet pas l’ex-sistence, mais favorise l’in-sistence du sujet de l’inconscient. Non pas que l’inconscient Freudien disparaisse, mais le sujet de l’inconscient sera de plus en plus mis à mal, pour le dire avec Ch. Melman « on aura affaire en quelque sorte à un inconscient qui n’aura plus d’interlocuteur. Il n’y aura plus ni d’envie de se faire reconnaître, ni non plus énonciation au titre de sujet. »128

En ce sens, la position phallique actuelle change la mouvance du sujet, elle empêche celui-ci de toute possibilité de transport, de métaphorisation « hors-de », elle contrevient aux lois du discours du Maître et donc du langage. En rendant la tentative d’emprise légitime par le savoir sur l’objet – en tout cas sur l’image que le savoir se fait de l’objet du réel – elle dépouille l’autre objet de toute sa subjectivité. Sorte de régression du Maître au niveau de l’esclave ou, du point de vue de ce dernier, sorte d’émancipation de l’esclave qui se prend pour le Maître et qui pourtant continue à être sous l’influence du signifiant maître (S1) internalisé qui lui dit qu’il doit produire quelque chose, un énoncé par exemple. Le discours du Maître a laissé la place au discours de l’Universitaire soi disant maître, « Ne croyez pas que le maître soi toujours là. C’est le commandement qui reste, impératif, catégorique : continu à savoir ! »129

Un tel discours peut apparaître comme un discours objectif subvertissant le « suis-je » du maître en « moi-je » de l’Universitaire. En effet, si dans le discours du Maître la fonction caractérisée par le « suis-je », le « je » (s2 / a) « fait suite » au signifiant S1,

c'est-à-dire textuellement « après S1 suit le je (s2 / a) », dans le discours Universitaire le

« je » s’amalgame dans le Moi non pas dans un mouvement continu où le savoir et l’image de l’objet se synchronisent mais en sens opposé (voir figure 15).

Ainsi, la fragile constitution du Moi ne se structure plus dans le clivage entre un signifiant et un signifié comme dans le discours du Maître ; dans le Moi idéal de l’Universitaire toute la relation à l’autre est constitutive d’un vide, le vide de l’objet a et de sa requête. Le Moi, est ainsi carencé à la fois par la coupure hystérétique et le vide de la « mé-prise » à l’égard de l’objet « a ». Le savoir proposant une connaissance sur l’objet appartenant au réel doit donc se plier aux lois qui en régissent l’impossible de son appréhension, réel de l’objet ne permettant pas de le saisir dans sa totalité – l’impossible de ne faire qu’Un – cela relègue finalement le Moi idéal dans une connaissance tronquée, partielle, partiale, favorisant un aveuglement constitutif du Moi.

128 Ch. Melman : L’homme sans gravité, P 155, Edition Folio 2010. 129

107 Le subterfuge du discours de l’Universitaire offre une assurance spéculative au sujet d’un « moi-connaissance » qui n’est en fait qu’une « me-connaissance », d’où l’illusion persistante du « je » qui se prend pour le Moi idéal.

De plus, l’inclusion du signifiant maître dans l’Autre ne favorise plus l’expression de la vérité – qui ne peut jamais totalement s’exprimer telle quelle puisque subsiste dans toute activité psychique toujours une part inconsciente, de transcendance de l’insu, même dans l’extension de l’hystérèse du Maître – mais incite le sujet à retourner vers l’Autre, non plus pour promouvoir l’extension d’une vérité mais dans l’intention de ramener le sujet à la raison, à la raison du plus fort, au plus fort des idéaux de l’Autre, de l’Autre et son désir, « Le désir de la mère (l’Autre) n’est pas quelque chose qu’on peut supporter comme ça, que cela vous soit indifférent. Ça entraîne toujours des dégâts. »130

Ce que J. Lacan appelle des dégâts se traduit par une véritable remise en cause de la fonction du signifiant du nom du père et qui entraîne tout le processus hystérétique vers sa chute. Pour le dire autrement, dans une telle configuration du discours la fonction paternelle est considérablement amochée.

À l’origine le signifiant S1 avait la charge dans le langage à la fois d’effectuer le refoulement originaire et de maintenir une séparation entre le sujet et l’Autre, mais également d’effectuer la reprise du désir par la fonction opérante du signifiant du nom du père. Ici ce procès ne peut plus s’accomplir et la relance de la courbe d’hystérésis se trouve compromise. Forclos dans l’Autre, la métaphore paternelle est mise en échec, compromet gravement la structure intégrale de l’axe Ph(S), c'est-à-dire « l’axés » au symbolique jusqu’à en éradiquer sa fonction, et enliser le sujet dans un processus où il reste captif de l’Autre.

En ce sens, nous pouvons observer grâce à l’hystérèse comment se déclinent tous les processus du langage dans le discours Universitaire et notamment de l’importance fondamentale de la position phallique – dans l’Autre – Cela induit une dynamique d’internalisation signifiante, de forclusion de la métaphore paternelle et rend compte de la force gravitationnelle de l’Autre, l’Autre absolu, contre lequel le sujet de l’inconscient ne peut plus lutter pour la relance du désir dans le réel.

À propos de ce phénomène gravitationnel induit par le phallus dans l’Autre et de la place du nom du père dans ce discours J. Lacan nous indique la raison pour laquelle intervient la forclusion du nom du père « ce n’est pas uniquement de la façon dont la

108 mère s’accommode de la personne du père, […], mais du cas qu’elle fait de sa parole , de son autorité, autrement dit de la place qu’elle réserve au nom du père dans la promotion de la loi. »131,

Nous pouvons partiellement conclure que l’hystérèse révèle les travers que favorise le discours Universitaire en contrevenant aux lois du langage et de la sexualité, notamment en monopolisant certaines fonctions qui s’exprimaient alors dans le réel avec le Ma ître et de la force des signifiants. Avec l’Universitaire, l’Autre ne permet plus l’ex-sistence du sujet, la progression de la courbe, la subjectivité. Elle cantonne celui-ci au formalisme des idéaux de l’Autre, pour le dire autrement, le discours Universitaire est un discours qui éradique le sujet de l’inconscient, ce n’est plus le sujet qui parle c’est l’Autre comme surmoi.

3.3)

L’autre partie du plan

L’analyse hystérétique demande à être complétée. Jusqu’ici nous avons pu étudier deux cheminements de la courbe (progressif et régresif). Le plan tenait compte de deux interfaces : Une première interface dans laquelle évolue l’hystérèse définit le Réel (R), et la seconde interface le champ de l’Autre (A).

Ce plan constitué de deux parties, est délimité par les axes de l’imaginaire (I) et du symbolique (S) sécants en (C), point d’origine de l’hystérèse du sujet de l’inconscient que nous avons conformément à la théorie freudienne dénommée la Chose.

Il apparaît donc nécessaire, afin de pouvoir compléter notre concept et de permettre d’effectuer une analyse des discours et du lien social, de prendre le temps de définir l’autre partie du plan afin d’analyser les implications que cela va générer et d’examiner les rapportsque le sujetentretient avec les signifiants. Nous observerons comment deux nouveaux discours vont pouvoir émerger, deux nouvelles structurations hystérétiques, et des interactions qui pourront se révéler entre elles et avec les deux précédentes.

Au début de notre modèle mathématique nous disions que la chose (C) était à l’origine du mouvement de l’hystérèse dans le Réel, l’origine de la perte inaugurale. Nous considérions que son positionnement était central notamment parce que de ce point théorique s’originait simultanément la croissance du sujet de l’inconscient et le

131

J. Lacan : « D’une question préliminaire à tout traitement possible de la psychose » (1957), in Ecrits, op. cit., P 579

109 développement à la fois du symbolique et de l’imaginaire.

Jusqu’à présent nous avons considéré ce déploiement dans le réel dans une hystérèse soit progressive soit régressive. Celles-ci, orientées à droite, et contenues par les deux bords du symbolique et de l’imaginaire. Cependant, si déploiement hystérétique il y a, l’orientation que peut prendre l’hystérèse n’est pas une donnée préalable. C’est le rapport au réel, le jeu des signifiants, le sujet de la transcendance… Bref le rapport au social qui pourra définir de la forme et de la direction que prendra l’hystérèse en tant que représentant du désir.

Le plan euclidien est un plan à deux dimensions qui dans sa conception ne se limite pas à être un mi-plan. C’est une surface plane illimitée, où seules les représentations de points, de droites et de courbes peuvent en cartographier la surface. Une surface décomposée ainsi en sous-surface et dont la seule limite est la limite humaine dans son pouvoir de représentation.

Alors, en repartant de l’origine (C), en prolongeant nos deux axes sur le versant gauche, deux nouvelles interfaces apparaissent. (C) devient central et fixe, il ouvre la voie à la structuration éventuelle de nouvelles hystérèses. De plus la centralité et la fixité de la Chose, compte tenu des propriétés hystérétiques que nous avons déjà définies en f ait un point par lequel une isométrie est possible, c'est-à-dire permettant de conserver mathématiquement les distances, les angles, les surfaces… Psychanalytiquement et hystérétiquement, ce sont deux nouveaux mondes qui s’ouvrent à l’analyse hystérétique et qu’il s’agit d’exploiter en complément de la théorie des discours que nous avons développée jusque-là.

Si nous réalisons, conformément à la théorie mathématique, une projection du demi-plan (R) par le centre (C), on obtient un nouveau demi-plan inversé dont la symétrie centrale permet d’établir la relation que pour tout point « s » de (R), se trouve un point « s' » symétrique de « s » par rapport à (C) dans l'autre demi-plan. Ce nouveau demi-plan, dans lequel se situe « s’ », conserve les mêmes propriétés mathématiques que (R) et des propriétés différentes psychanalytiquement, ce nouveau demi -plan produit les mêmes causes mais pas les mêmes effets que dans (R).

110 En effet, si on revient maintenant à la théorie psychanalytique et à l’hystérèse du sujet on s’aperçoit que le sujet n’évoluerait plus dans le même réel…

Attention ! Non pas qu’il puisse exister deux réels, mais l’appréhension du réel par le sujet ne se fait plus selon les mêmes prérogatives, le même positionnement que dans (R). L’impossible et le décalage du sujet par rapport au réel se conservent, mais cette fois-ci le sujet ne s’implique plus de la même manière face à ces dispositions. Il appréhende le réel sous un autre angle, par une sorte de retournement s’effectue la projection, la symétrie centrale au point (C).

C’est à ce niveau de notre argumentaire que vient se créer un point de rupture entre la théorie mathématique d’Euclide, du plan à deux dimensions, et la théorie de l’hystérèse . Si mathématiquement la position de « s » dans le réel pouvait se définir par des coordonnées sur les axes dont les valeurs numériques étaient positives, dans le nouveau demi-plan en bas à gauche, les coordonnées de « s’ » seront toutes deux négatives mais conserveront la même valeur numérique.

Le point « s’ » sera donc un point appartenant à la bissectrice (Cs) et à celle -ci se superpose la droite (ss’) avec l’égalité (sC) = (Cs’).

Cependant, pour caractériser l’envers du Réel et par rapprochement à la mathématique möbienne qui concilie à la fois tridimensionnalité et mouvement, à partir du point (C) la projection effectue un retournement qui ne reste pas sans conséquence, psychanalytiquement et hystérétiquement les répercussions de cette proposition engendre un nouveau dispositif projectif par rapport à un point, un dispositif à l’envers