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Les marchés de certains pays mentionnés dans les politiques d’investissement des compartiments peuvent ne pas répondre aux critères de marché réglementé tel que visé par l'article 41(1) de la Loi de 2010. Des investissements dans de tels marchés seront considérés être des investissements non admis à la cote officielle d'une bourse ou non négocié sur un marché réglementé, en fonctionnement régulier, reconnu et ouvert au public qui ne peuvent excéder 10% des actifs nets conformément au point 1 des dispositions communes à tous les compartiments actuels et futurs figurant ci-avant.

Les investissements en Russie par le biais du Russian Trading System (RTS) et du Moscow Interbank Currency Exchange (MICEX), voire sur d'autres Marchés non réglementés, sont exposés à un risque accru eu égard à la propriété et à la garde de titres.

Il existe des risques importants inhérents à un investissement en Russie (et dans la CEI) à l'instar de retards dans le règlement des transactions et le risque de perte résultant des systèmes d'enregistrement et de garde des titres, le manque de dispositions en matière de gouvernance d'entreprise ou de règles ou réglementations générales relatives à la protection des investisseurs ou encore les difficultés associées à l'obtention de valeurs de marché précises de nombreux titres russes (et de la CEI), en partie du fait du volume limité d'informations à la disposition du public. Le risque existe par ailleurs que les gouvernements de Russie et des Etats membres de la CEI ou d'autres organes exécutifs ou législatifs décident de ne pas continuer à soutenir les programmes de réforme économique mis en œuvre depuis la dissolution de l'Union soviétique. En outre, la preuve du titre juridique sera conservée sous la forme d'une écriture et la SICAV pourrait perdre l'enregistrement et la propriété de ses titres suite à une fraude, une négligence ou même une omission.

Les investisseurs potentiels sont avertis du fait que l'investissement dans les actions de la SICAV implique un risque relativement élevé: l'effet de levier des investissements en warrants sur valeurs mobilières et la volatilité des prix des warrants sur valeurs mobilières font augmenter le risque de l'investissement dans les actions de la SICAV à un niveau plus élevé que dans le cas des fonds traditionnels en actions.

L'attention des investisseurs est attirée sur le fait que les investissements en produits "High Yield" impliquent une augmentation du risque car, outre les risques communs à tous les investissements en produits "fixed

income", ces produits "High-Yield" sont soumis à des fluctuations supplémentaires liées à la qualité de crédit des émetteurs et du supplément de rendement que le marché exige pour la rémunérer. Ce supplément de rendement exigé n'est pas stable dans le temps mais fluctue au gré du cycle économique mondial. La valeur nette d’inventaire des compartiments investissant en produits "High Yield" pourra en conséquence être plus volatile que celle de compartiments "fixed income" traditionnels.

Les risques liés aux pays émergents sont de nature politique (e.a. instabilité et volatilité de l'environnement et de la situation politique), économique (e.a. taux d'inflation élevé, risques liés à des investissements dans des sociétés récemment privatisées et de dépréciation de monnaies, manque de développement des marchés financiers), juridique (insécurité juridique et difficulté, en général, à se voir reconnaître et / ou sanctionner des droits), et fiscale (dans certains Etats, les charges fiscales peuvent être très lourdes et il n'existe aucune garantie d'interprétation uniforme et cohérente des textes légaux; les autorités locales sont souvent investies d'un pouvoir discrétionnaire de créer de nouvelles taxes, parfois avec effet rétroactif).

Il existe également des risques de pertes dus à l'insuffisance de systèmes adéquats pour le transfert, l'évaluation, la compensation, la comptabilisation, la procédure d'enregistrement des valeurs mobilières, la garde des valeurs mobilières et la liquidation des opérations, risques qui ne sont pas aussi fréquents sur la plupart des marchés de l'Europe Occidentale, de l'Amérique du Nord (USA et Canada) ou d'autres marchés développés.

Certains marchés obligataires et certains marchés des dérivés étant des marchés de gré à gré, la liquidité des titres peut être affectée par des crises systémiques ou de liquidités. Il en résulte une volatilité et une illiquidité accrue des investissements.

Les produits structurés sont des produits synthétiques. De tels produits peuvent également intégrer des instruments dérivés et/ou d'autres techniques d'investissement et instruments. De ce fait, il convient de tenir compte non seulement des risques inhérents aux valeurs mobilières, mais également des risques inhérents aux instruments dérivés et aux autres techniques d'investissement et instruments. En règle générale, les investisseurs sont exposés aux risques des marchés ou instruments de base sous-jacents, ainsi qu’au risque

‘émetteur’ du produit structuré et au risque du/des sous-jacent(s). En fonction de leur composition, ils peuvent être plus volatils et donc renfermer davantage de risques que les placements directs et présentent en outre un risque de perte de rendement ou même de perte totale du capital investi en raison de l'évolution des prix du marché ou de l'instrument de base sous-jacent.

Risques liés au recours à des instruments dérivés et à d'autres techniques d'investissement particulières et instruments financiers

Un recours prudent à des instruments dérivés, tels que des options, futurs, swaps, CDS, etc. sans que cette liste ne soit exhaustive, ainsi qu'à d'autres techniques d'investissement particulières et instruments financiers est certes source d'avantages, mais implique également des risques qui se distinguent de ceux liés aux formes de placement traditionnelles et qui, dans certains cas, peuvent même être supérieurs. Ci-après sont décrits de manière générale les facteurs de risque et aspects importants qui concernent le recours à des instruments dérivés ainsi qu'à d'autres techniques d'investissement particulières et instruments financiers et dont l'investisseur doit prendre connaissance avant tout investissement dans un compartiment.

Risques du marché: de caractère général, ces risques sont liés à toutes les formes de placement; dès lors, l'évolution de la valeur d'un instrument financier spécifique peut dans certains cas aller à l'encontre des intérêts d'un compartiment.

Contrôle et surveillance: les instruments dérivés ainsi que les autres techniques d'investissement particulières et instruments financiers sont des produits spéciaux qui requièrent des techniques d'investissement et des analyses de risque différentes de celles des actions et obligations. L'utilisation d'un instrument financier dérivé présuppose non seulement la connaissance de l'instrument sous-jacent, mais également la connaissance de l'instrument dérivé proprement dit, sans que l'évolution de la valeur de ce dernier ne puisse pour autant être surveillée dans toutes les conditions de marché possibles. L'utilisation et la

complexité de tels produits impliquent notamment que des mécanismes de contrôle adéquats soient maintenus pour la surveillance des opérations conclues, que les risques encourus par un compartiment au regard de ces produits et que les évolutions du cours, du taux d'intérêt ou de change concerné puissent être évalués.

Risques de liquidité: il existe des risques de liquidité lorsqu'un titre particulier est difficile à acheter ou à vendre. Si des opérations présentent un volume important ou si des marchés sont partiellement illiquides (notamment dans le cas de nombreux instruments négociés à titre individuel), exécuter une opération ou dénouer une position à un cours avantageux peut s'avérer impossible dans certaines circonstances.

Risques de contrepartie: avec les instruments dérivés négociés de gré à gré, l'investisseur court le risque que la contrepartie à une transaction ne soit pas en mesure d'acquitter ses engagements et/ou qu'un contrat soit annulé, par exemple en cas de faillite, d'illégalité a posteriori ou de modification des prescriptions légales en matière de fiscalité ou de présentation des comptes par rapport à celles en vigueur au moment de la conclusion du contrat lié à des instruments dérivés négociés de gré à gré.

Autres risques: parmi les autres risques inhérents à l'utilisation d'instruments dérivés ainsi que d'autres techniques d'investissement particulières et instruments financiers, il convient de citer entre autres le risque d'évaluation divergente de produits financiers, qui résulte de l'application de méthodes d'évaluation agréées différentes et de l'absence de corrélation absolue (risques de modèle) entre les produits dérivés et les valeurs mobilières, taux d'intérêt, cours de change et indices sous-jacents. De nombreux instruments dérivés, et particulièrement les instruments dérivés de gré à gré, sont complexes et souvent évalués de manière subjective. Des évaluations imprécises peuvent avoir pour conséquence des règlements en espèces d'un montant plus élevé à la contrepartie ou une perte de valeur d'un compartiment. Les instruments dérivés ne répercutent pas toujours intégralement ou même dans une large mesure l'évolution des valeurs mobilières, des taux d'intérêt, des cours de change ou des indices sur lesquels ils sont censés s'aligner. De ce fait, le recours à des instruments dérivés ainsi qu'à d'autres techniques d'investissement particulières et instruments financiers par un compartiment n'est pas forcément un moyen efficace d'atteindre l'objectif d'investissement d'un compartiment et peut même s'avérer contre-productif.

Risques liés aux investissements dans des obligations adossées à des créances hypothécaires ("mortgage-related") ou adossées à des crédits ("asset-backed")

Certains compartiments, et en particulier les compartiments obligataires, peuvent investir dans des produits dérivés hypothécaires et des titres structurés, et notamment dans des titres de types "mortgage-backed" et

"asset-backed". Les titres "mortgage pass-through" (adossés à des créances hypothécaires avec flux identique) sont des titres représentant des participations dans des "gisements" de crédits hypothécaires vers lesquels sont transférés ("pass-through") les remboursements de capital et les versements d’intérêts effectués mensuellement par les particuliers emprunteurs sur les prêts hypothécaires sous-jacents aux titres. Le remboursement anticipé ou tardif du principal d’un crédit hypothécaire sous-jacent par rapport au tableau d’amortissement des titres du gisement "pass-through" détenus par les compartiments peut abaisser le taux de rentabilité lorsque les compartiments réinvestissent ce principal.

Par ailleurs, de même qu’en règle générale pour les titres obligataires remboursables par anticipation, si les compartiments ont acheté les titres à prime, un remboursement anticipé réduirait la valeur du titre par rapport à la prime payée. En cas de baisse ou de hausse des taux d’intérêt, la valeur d’un titre de type "mortgage-related" baisse ou augmente généralement, mais dans une moindre mesure que celle d’autres titres obligataires sans clause de remboursement anticipé.

Le versement du principal et des intérêts sur certains titres de type "mortgage pass-through" (mais non la valeur de marché des titres eux-mêmes) peut être garanti par le gouvernement fédéral américain ou par des agences ou des organes du gouvernement fédéral américain (dont les garanties sont uniquement soutenues par le pouvoir discrétionnaire du gouvernement fédéral américain de racheter des engagements de ces agences ou organes). Certains titres de type "mortgage pass-through" émis par des établissements non gouvernementaux peuvent être assortis de différentes formes de garanties ou d’assurances, d’autres peuvent n’être adossés qu’au nantissement hypothécaire sous-jacent.

Les compartiments concernés peuvent aussi investir dans des obligations "CMO" de premier ordre, qui sont des produits structurés garantis par différents gisements de titres de type "mortgage pass-through". Comme pour une obligation, le détenteur d’une CMO perçoit mensuellement dans la plupart des cas les intérêts et le principal remboursé par anticipation.

Le nantissement des CMO peut être constitué directement par des crédits immobiliers résidentiels ou commerciaux, mais il l’est plus généralement par des portefeuilles de titres de type "residential mortgage pass-through" garantis par le gouvernement fédéral américain ou ses agences ou organes. Les CMO sont structurés en plusieurs tranches de titres, chacune de ces tranches ayant sa propre durée de vie moyenne prévue et/ou sa propre échéance fixe. Les paiements mensuels du principal, y compris les remboursements anticipés, sont affectés aux différentes tranches en fonction des conditions juridiques rattachées à chaque instrument, et les variations dans les taux de remboursement anticipé ou les hypothèses de calcul peuvent avoir des conséquences importantes sur la durée de vie moyenne prévue et la valeur d’une tranche donnée.

Les compartiments concernés peuvent investir dans des titres "stripped mortgage-backed" dont le remboursement du principal ("principal-only") ou des intérêts ("interest-only") est structurellement différé. Ces titres sont caractérisés par une plus grande volatilité que les autres types de titres "mortgage backed". Les titres "stripped mortgage-backed" achetés sur une prime ou une décote substantielle sont généralement extrêmement sensibles non seulement aux variations des taux d’intérêt couramment pratiqués, mais aussi à la rapidité des remboursements du principal (y compris des remboursements anticipés) sur les créances hypothécaires sous-jacentes, et lorsque la rapidité de remboursement du principal est durablement supérieure ou inférieure à celle escomptée, le rendement actuariel de ces titres peut fortement baisser. De plus, les titres

"stripped mortgage-backed" peuvent être moins liquides que d’autres titres structurés différemment et sont caractérisés par une plus forte volatilité en cas d’évolution défavorable des taux d’intérêt.

Outre les titres susvisés, le Gestionnaire concerné anticipe l’émission de nouveaux types de titres "mortgage-backed" par le gouvernement fédéral, les entités gouvernementales ou paragouvernementales et les emprunteurs privés. A mesure que de nouveaux types de titres "mortgage-backed" sont développés et proposés aux investisseurs, le Gestionnaire envisagera d’effectuer des investissements dans ces titres dans la mesure où ils sont négociés sur un marché organisé.

Les titres négociables de type "asset-backed" représentent une participation dans, ou sont garantis par et remboursables sur les flux financiers générés par des créances spécifiques, la plupart du temps un gisement de créances similaires les unes aux autres, telles que crédits automobile, créances sur cartes de crédit, crédits garantis par un bien immobilier, prêts à la construction ou obligations bancaires.

En outre, les compartiments susvisés peuvent investir en obligations adossées à des prêts ("CLO") dont le portefeuille sous-jacent est composé de prêts.

Risques liés aux investissements dans des obligations convertibles

Certains compartiments peuvent investir dans des obligations convertibles qui connaissent les évolutions et aléas des marchés en étant soumis particulièrement aux influences du cours de l'action sous-jacente, du niveau général des taux d'intérêts, du risque de crédit de l'émetteur, du niveau des devises (que ce soit celui de la devise d'émission, ou celle de l'action sous-jacente), de la volatilité de l'option de conversion. L'importance de ces différents risques peut varier au cours du temps.

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