Les sols de Tunisie présentent 'une gvainde diversité. Cette diversité est ,liée
àla fois il la diversité d e s climla.ts e t à !la grand'e variabilité, d e I Q litho logie e t d e
Ipmorphologie.
A) - A l'exclusion d e la région d u flysch oligacène
Q,UNord où IQ pédo- genèse se' ragprcciie beaucoup d e celle d e s Irégions tempérées IQ grandle 'majorité des sois de la République
'Qson évolution dominée par les mouve- h e n t s du cplcil;rn. Comme nous ,l'avons vu 10,u début de cette notice, la ma-
!jorité des afflwrements se comlpose de 'roches s6dimentaires essentielle- La présence :de roches
hcarbonates ou suil fates, sou'm#ises à un climat relative- ment peu actid ,Cu moins, une partie d:e l'année o~entroîn'é une &volution d e caractère relativemient limité..
Cette
évo;btionse caractérise prin:cipalemsat pair une migration du calcaire, les horizon.s supérieu.rs ou les
sols des niveaux-les pilus 6levés ten-d a n t
àse décalcarifier a u 'profit d'horizons o u dme 'nivealux inférieurs,. Nous avons p.u conshter qu'e cette 'migration obé,it à certaines 'lois
t :1") - Le mouvement diu calcaire e s t ,plus intense.au Nord qu'au Sud.
'Les sols de la vaIlGe de Ia Medjerdah lprés,ent,ent ,de p.uissantes accumula- tions calcaires dont i'im8por-taance est sans ,nuesure w e 8 c les a!ccumwlations en nodules 'du Cetitre Tunisien.
2")
- Dam une m8ême région mI'alccumulation varie en inte'nsité d'un niveatu morFhclogique à I'aiutre. Les niveaux l,es plus anciens présentent les horizons calciques iles plusr développés qu'on .se rapproche die la pé.riode cctuelle les accu-iulations calIcaires deviennent moins impcrrta,ntes telles q u e nodules puis pseudomyc6llium. C \ e t k constatation e s t aussi valab1.e a u 'Nord qu'au Sud de In Tunisie. Mais dans cette diemi&-e régioln (les croûtes constituent de w5rrtubles adfleurements rocheux. ,Pat- analogie avec les croû- tes d u 'Nord i l est llogiquie Ide psn15er 'que,
p sbmûtes 'du Centr,e et du Sud sont en fait les horizons d'accumulation d e
solsaujourd'hui disparus sous l'in- fluence d'une éroswn part.iculièrement inteme.
On peut
doncbrosser le tablei& schéma,tique suivant d e I'6volution des
solsen Tunisie.
Sur .roches (calcaires tendres se forment des sals peu épais à caractere
d e rendzine. Si (IC végétation est un m,aquis ou une 'forêt biien installée les
caractères de structure e t d'e- matière organique permettent de les consi-
dérer comme des rendzin'es typiques. Dès que le manteau alluvial pu collu-
iial s'épaissit cn note malgré uln gradient cie calcaire faible ou nu!l, I'appa,-
rition de pseudorr,ycélium .ou d'accumu1,ations diffuses qui sont les signes
d'un faible mo.uvm1en-t de calcaire lié
DUXalternances climatiques de
sé,-cheresse e t d'humidite. Or la formiation de ces sals est manifestement
ré-kente. A l'autre extrémité d e
Íachaine évolutive, un horizon calcique dé-
'gagé par 1'é~osii;n e t repris, par I,a pédog.enèse actue4ile donne naisvonce
.soit
--inent calciques
àl'exclusion #e roches éruptives ou 'métamolrphiques.
ù
une rendzi,ne soit b unsal
brun cal'cbire. Dans ces S ~ I S qu'on p e u t cisnsi- sidbrer comme ,poiygéniqu:es Ie cailcaire tend, encoreà
'migrer.Si
doncon8 ad'-
t n e t comme certains géomorphologu'es u.ne kontindit6 dnlns l'action des CIi-
'mats lail coursdu
qua,ternaire, e t en su,ppmant que les types d'humus n e Sont pas différw,ts, on en virent à rapproche,r lessols
calci"orphes ;des salsk3
laccumulaticln calcaire p e u t d h e l o p p é e . iwhumique..
Leur structu're est souveidt différente dessols
i~mhumliqules 'Typiques Jmais puIr bien a e s=Is
l a structure des horizons superficieils reflète &avantage le type de .&&ta- tian acituel1'l.e -(natuireIlleau
!saus culltune) ~ ~ u e ~ )ewpe
d ebwl &il soif is&*
m i q u e ou colcinllorphe.
II
s u f f i t 'pour s'en convaincre d e voirla
.rapidfité avec laquelle mles ,rendsines Ge d k r a d e n t pair mise e n culture.A
un stade plus avanc8, la différenciation entre les horizonsA,
'6 e t I'hor.izan d'accumulla;tiion a l a c r i r e (Ga) s'ame,nlt-uleOn,
& m v ela farma- tion
d e nodules e t même dencroûtemlents, presque toujours a s s o c i s à des bseudomyc6liums e t des accuimulations diffuses. Ces sols sont consid&és cdsrvrrieM e s bls
'ïscuhumiqules bruinis. \ L o i q , u e la d6oalcarifioait.bn de !'hori-zon A, B
e s tà peu
?rès totalLe le sol estappel6 sal
isohu.mique ch;ata,in.E n f i n lorsque
ile sol
n'est plus cailcoire e t 'Is c l i n " suffisarmkent actif la rubéfaction cutistitue le deCrnier stade de I'6vol,utian.~ '
I I
y a d a i c une c o n t i n u i t é dans les p h h o m è n e s cl'6vollufion des-sols.
. Plus un
sol
est ca'lcaire BU dbpartplus
les phénomènes devroht s'exe,rcer. longtemps e t i r t e n s e m e n t pour arriver
au stade
ulti.me c'est-à-dire QUsal'
rouge. C'est .le cas des T e r r a Rossa qui semblant fort a,nciennes.
.Au
.con- t r a i r e un matériou non calcaire maInifestera beaucoup plus v i t e dies signes 'de steppisation e_f rriême d e :rubéfaction. C'est le cas d,es duneg sableuses kle la plaine de Kairouan quise
steppisent rapidement ou des argiles non- talcairesdu
crét.c;ce in3f6rieur qui ont&olué
e nml
rouge ou chatafin rouge idepuis !le soltcnien.C e t t e ezqquisss schématique n o u s amene
à
soulever quelques rpr&dh"¡m'portants
die
classification:
a)
- La
-limite e n t r esols
colcimsrphes e t sols isohwniques telle qu'elle existe dans;IC
cl~cssification. francaise est très imprecise.La
distinction se 'Fera sans idcute gràceà
une connaissqnce a,nallytique plus f i n e de la matiè- Le organique. M a i sil
semble qu,e dans l h n e e t I'awtre classe, letype
de .mcrtibre organiquesoit
¿'avantageli6 21
un type d e végétation. qu'àun
type pédog6nétiqueLe
gradievit de calcaire est lui aussi un crit&re b i n t e r p r k i t a t i o n delicat.C e r t a i n s profik
du Nord
etdu
C e n t r e g r b e n t e n t des horizons A; e tB
de. sols calcimorphes associés b
des
horizons rd'accumulatim Urès irnportants, 'Fdentiques b ceux dessals
isohumiques.II
emb1erei.t donc plus conforme6
la r h i l i t éde
regmuber une .partie bu moins idessols
ccllcimolrphes avecles sols
isoliumiques.b )
-
Dans laclasse
dessals
isohuimiques .la distinctionsol brun, sol
cha- tain soulève Guelqves difficultés. C e t t e distinction est bas&e, on l'a vu, ur ades caractèresde
structure ,et d e Reneur e n &lcaire des horizons de sur- 'face.Or
cesdeux
caractèresne
sopt pas toujours présentsà
la fois.. .
,
I
'
137
La. lstrucfure
'deml peult Ctre liée
à'la noltulre du maitbriau originel
-.Quant a u profil calcaire, Ià encore, i l 'peut être lié à des facteurs tres loca-
lisés :roche mhre plus ou mobs catlc&re, pédxli8mat plus sec, realcarifica- tion ultérieur.%.
Por conséquant il nou's .semble pr6f&a(ble d e n e faire qu'un seul grou- pe de tous
ccssols 'du Nord die la Tulnlisie pr&senta,nt en comim'un
:- une texture bien développée g6nérallement (prismatique, - une occumulation calcaire puissante.
On pourtlples,appeler d'un )mÊmle nom
: solchatain ou sol marron ou tel a u t r e nom.qu'on voudra miois on les s6patera des sols du Ce'ntre à tex- ture g6néralement plus grossière, 6 structure ,mall indiividlualisée e t à accu- mulation calcaire pelr importante (limons
ànochles). Lal distinction entre sol brun e t
solchotaip serait s u p p r i , d e ou ramenée à u n échelon in(f6rieure kle la classification.
c) - Entre
soisisohumiqueic et
solis àsesqulioxydes rouges mkditerra- néens, la limite soi-llhe des probkmes non résolus. C'est, Ià emore, une meilleure connaisso,nce. d e s deux pédbgenès,es qui permettra de séparer les deux classes de
sol.LG w o g e n e s e des sols rouges form& sur roches mère géologiqbe sqmble ússez coract6ristique. Far contre sur roch,e m&re colhvia- le ou a,lIuviaIe Ics horizons rouges sont associés 6 une alcculmulation cailcaire identique
àcelle des
sols'isohurhiques. Dams ce
M Sles SOIS rouges sont-ils 'des 'sols isohiiniiques lithochromes comme ,le prételnd'ent les pédologues d u 'Maroc (A. &uella8n, il966 ? Ou bien la, ruIb&hction est-elle conte<mlporahe
d e l'accumulation calcaire, puquel cas on serait eln j " c e de sols_ cha.- tain-rouge 7 Ou bien en8fin la rubéfaction s'est-elile supsrposée à
Ia ste.ppi-sation ce qui en ferait un
salrouge, héritier dle sol j_sohumiqu,e '(ou sol rou- ge isohumiqlie) ? Les trois hypothhses sont éga4ement possibles. Elles exis- t e n t en fait et nom avons prolposé
QUcours de l'étude des SOIS mug,es des critères provisoires de distinction. Mais lei p t n b l h e n'est pas résolu dam
sonfond. L'existence des sous groupes steppis6 e t ei-tcroûté dans
loclassi- fication actuelle
I ~ G U Ssemibile en t o u t c a ~ :prêter à conIfusion. !Lal plu'part des sols rouges d e Tunisie présentent des horizons e n c r o û t b e t tous les
WISrouges sont d u s
GUmoina ste,ppises +sus l'influence diu climat e t d e la miise en culture. I I hudra!¡$ pouvoir connaítre le type d,e matière organlique
SOUSlequel 'se produit la rubéfuction e t vérifier qu'il est distiinct de ce1u.i d.es WIS isohumiques. Nous n'en
m m e spas enCCore z1 ce stade.
éga'lement tr&s important en milieu md'iterranken. Elle se manifeste
SOUStrois for- mes :
B) - L'hydroirorphie e s t un a u t r e facteur d e p d o g e n è s e
- I'individdisation du fer, en milieu plus 'temp&é,
- l'accumuiation d,e calcalire en nodules ou en encroQte8ment,
- le noircissement ou
((tirsification
s.Au cours &s'dern.ières années on avait été ¡tent6 d e rapprocher le phé-
nomene d e vertisoiisation d e I'hyd'romorphie. Les $tudies de A. MORI (1 966)
tendent
òmontrer maintenant que, seuls les vertisols f e " iprésentent les
caractèces d'hydromorphie, la structure des v e r t i a l s &taint plut6t lide un
On
retrobve d m c idne forme cYhydromorphie que la classification franGaise de1959
rangeait a.ans un grouipe à engorgement temporaire de surface o u 'd'ensemble.Or
cette forme d'hyd.romorphie est très courante. O u t r e les ver-'tisols
topolithomcsrphes elle a f f e c t e nom,bre $e sols d@pourvus de caractères Vertigues a u sens étymologiquedu
termle mnis plus proches des sols isohu- 'miques quxquslsils
sont associés dans l e pa,ysage.II
sera donc intkressant de réintrod'uire les m r a c t & r e sde
tirs,ificationou
de noircissetrient a u niveaudu
sous groupe, soit dansla
classe des sols isohumiques, saitdons la
classe des vertisols.C) -
L'halamwphiP est Is troi'sième cph6namiène pkdologique très ré- pandu en Tunisi-. Elle ,se surimpose à I'hkydlrolmorphie 6 laquellle elle est souv*ent associée. Son ,a.ction se ca,ractérise d e d e u x manières :-
accroisserr.entdu
rQidu sec d e la solutiondiu
swl qui a pour corolla,i- re une' augmentation.de
sa pression os8motique e t ulne actiontoxi-
que surla
végetation.-
degradation de la structure par f i x a t i o n d!e sdium s8ur,le
complexe absorban t.L'a classificqtion francaise d e
1962
reflète b i e nles
différentes unités morphologiques rencontrées en Tunisie. Elle est d'uti,lisation facile sur le f e r r a i n . Ses lirnites auéc les autres classes posent cependant quelques pro- blèmes,.On
a esscye 0ux Etats.Un,is d e prendre pour l i m i t e des sols halo- tnorphes une tencl;r en sels solu:bles telle qu.e I.es renidements c u l t u r a u x m o - yens subissent unr: rbduction sensible.Or
cette teneu.r varie non seule:ment 'suivantIQ
n a t u r edes
cultures mlais encore suivantles
vari&t& utilisées. Les pbdologues e t les agrolnolmles kmt pu mn'stater larsqu'tls ont jvod1.u appliquer'les
normes oimé.riccines auxsols
de Tunisie que ceux-ci, quoique salés aux regards des pé&lcgues américains, p o r t e n t elnmre des rendlem'ents satisfai- sants. Le phénc;r+ne de soluredu sol
est du 'reste &minement variable.a teneur en
sols
solsbles d'u8r, profil varie avec les saisons e t avec des. mé- thodes culturales. Suivant les co-nditions d ' a b s e m t i o n on pourra donc le Ce qui p e u t entrainerde
graves erreurs dans la mise en valeur d e cesol.
La 7" a p p r o x i m a t i c n d eIC
classificationUS
a résolu cette d;ifficulté e n suppri- mant l a classe des sols halomorphes pour les r6partir da" les différentes 'classes voisines. C e t t e mesure p e u t se justifier pour les.sols
où Ia s d u r e 'de l a solution du so] est le seul r&sulrat de I'halo'morphie. La &gradation 'de l a structure p0.r contre est un FhbnomBne p&dog&n&tique dont, les résul- r o t s sont visiblgS e+ duraibles, entraînant des conséque.nces sur l a dynlamlque 'de l'eau e t probcblement deIa
matière orga,niq.ue. Une expkrimentatioln ac- t u e l l e m e n t en cours en Tunisie sous ;l'égicle de l'Unesco p e r m e t t r a m n s dou- t e d'étudier d e i n m i è r e rigoureuse c e t t e pé.dog&nIèse e t son a c t i o n sur la végétation. 'La classification ffasncaise de
G.
AUBERT permet un classement sim-ple,.
ilogique e t cchérent des, unités d esols
cartographiées en Tunisie. Son M l i s a t i o n a souieve des difficultés dues, la p l u p a r tdu
temps, à notre con- naissance insuffisante des -phénomGnes &évolution dessols. LQ
principale.
\
' dhsser 'kol hlalomor,p:phe DU
Sal
à ,mcact&re'
secondaire bhalomoeph,ie.. .
139
difficulté
à
laquelle s,e sont h'eurtés les pédoilogues provient, e n fait,de
ce queIQ
'plupart des sols sant 'polyghiques. Chaque période du quaternaire aEté
ma,rquée ' x r un climat qui a conditionné lune pédogenèse, cette pédoge- h&se pouvant niosquer ou effacerles
caractèresde
110 paogenèse précéden- te. Certains auteurs ont cruà de
grosses vairiatiolns dlimatiques d'unse pério- 'deà
l'autre, c l l o i i t du climat très froid au subtropical.. ,D'autres au , con- 'tralre ontété
frnppés par ta concordence entre Ia, répartition de certainsbols
m&me pncieris e tdes.
climats actuels. 181s e8nonr
dediuit qu'alu cours dd.u quaternairslos
rioyennes climc?tiqu8es avaient peu varié, seules les valeurs extrêmes avciwt pu. s'écarter ouse
rappmhe'r.Dans ces conditions I'évyalution des
SUIS
a pu s'effectuerde
manike continuee t
suivmtIC
même. pédogenèse mais avec une vitesse d'évolution variable; c'est probableme'nt le ca5 dle i l a i rubéfaction oud.e
la migration du talcaire, phénomene très lents h u contraire sous l'influence des oscilla- I'tions climatiques d'autres phénomènes tels que l e durcissement d'une croû- t e ou la nature àe la ma.tière organique oFt DU &valuer plus rapidement.
.L
I- i-natière orgaiiiqbe en particullier s,erait en &quilibre avecle
climat. actuel ' keflétqnt mal (sauf peut être e n mli,lieu hydmmorphe) les pdogendses an-ciennes.
. '
Dans beaumup de cas aussi la pédogen&se interfère avec la sédimenta- tion des matériaux. Lorsque p6dogenèse et sbdimentation ont alterné les
BOIS
sont superposes avec une limite nette e tle
prpfil ne présente pasde
diffi.cultésLOI
sqbe pédogenèse ef S,,kdimentotion son$ contem,poraines la pé- d0genbse.a pu vaiquer 'les s6dim,ents, au fur e t à meswe de 'leurs dépôts.Les
limites dires aux différentes phasesd e
sédimentation, disparaissent allors complètement QU se confondent avec 'les l h i t e s d'horizons. Actuellem.ent .encore la iplupart des profils sont remaniés sur
20 à 40
cm.. Les horizonsde
surface sont GénéIalement plus riches eq s d e s grossiers, plust ,pauvres en . .
a.rgile
que lorsqu'on ccnmitra cette pedogenese \ e t l'es facteurs
qui
lui ont donné naissance.Nos
recherches feront donc un graind progrès larsqule nous au- rons 'acquis une parfaiteIde
sBd,imenfation e t d'&alution dies matériaux sous ces climats. Pour acquérir une t e l l e connoissaIn,c,e, I'étude morphologi- que ou physicochirnique des prcfils n e suffit plus.I I
,faut une étroite coopé- ration avec d'c?u.tres sciences t e l i e que g6omrphologie (don.t les études en Tunisie ont &jà mmmencéj, sdimentologie, palynologie, écologie e t m&- ,ne radiologie drlnt les don,née< partlelles peuvent concourirà
la recons- tituation.desphases de
la pédogenèse- au cou~is du quaternaire.. .
I
On ne pourra .donc cltasser va,lableme.ht les sols d'alprès deur pédoaenèse..
,
. .
A. M,OR1 - 'k,mfil PE. 73 dane &tude 225 C
Situal ion géomarphollogique:
Plaine ql~luviaileTopoqraphie : Zone
de
diffluence e t d%mndaition d.e .l'Oued'Mel- 1,ah.
Végétotioln
:
Phallairis.Regime aqrmomique : cu!ltures anlnusl'les sur billtons Matériab orig,inel .: -glIt.p4ons