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83 Les aménagements actuels débutèrent en 1909 per la création du conol

Dans le document DE LA (Page 86-100)

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CHAPITRE l - -=GE=NERAL==I::.:T:.:;E=S--:...-...:::SUR~-=1~E:...C=A::o::DR=E..::PH::.:;[Y=S.=.IQOII.:UE=

1a plaine d'Andratsay résulte de l'effet de barrage provoqué par une coulée volcanique récente issue du volcan Fizinana qui n enprunté le cours de 11:-rivière Andratsny. Un lac s'est fomé et a été par ln suite coobl~. Quand le niveau d'accuoulation des particules provenant des versants des collines de bordures a atteint celui des points les plus bas de ln coulée, ln rivière An-dratsay a repris son cours en se frayant difficilenent un chenal ou nilieu de celle-ci qui est du type "cheirel! (voir croquis nO 2).

D'une superficie de 1.350 ha environ, elle se subdivise en deux par-ties :

or~eV!Y"t.

- une partie OQQ]Q9R±Qke de 610 ha qui prend ~~issnnce au débouché des lacs Andraikibn et Andranobe.

- une partie occidentale en aval, plus ronnssée, de 740 ho.

Entre les deux, un couloir de noins d'un kilonètre de long sur 200 n de large au oin~uc, enprunté par la route Antsirabe-Betafo.

Un drain central qui n'est autre que le cours rectifié de la rivière Andratsay traverse la plaine d'Est en Ouest. Il seuble que la oauvnise évacuation de l'eau soit due à un trop faible encaisseoent du cours de la rivière dans la

coul~e qui joue encore son raIe de barrage ; ce rÔle est encore accentué lorsque l'on procède au curage des drains: cette opération occasionne en effet un

abaisseoent de leur niveau de base, nécessaire pour qu'ils puissent recueillir les eaux de la plaine, nais qui rend difficile leur écouleuent à enuse de ce seuil créé par la coulée.

Au cours de récentes prospections pédologiques effectuées en vue de l'établissenent de la carte p~dologiqueau 1/100.000 d'Antsirabe~ M. RATSIMBaZAli

fi pu mettre en évidence pour cette plaine trois horizons diffGrents en ce qui concerne les sols :

- en profondeur, un ancien gley particulièrement recherché por tous ceux qui font des briques ;

- puis un horizon tourbeux évolué d'environ un nètre d'épaisseur aynnt une teneur en nn tière organique de 30 ~G

...

.

Proje.1oioas

!80018 mipa10i...ique·

(reliefs "6riris cie 1& Surfae. II)

~S.01e J.ecaJ.em8ll1o reo01lveri de prej eo'tions Alluvions

Laous1ore cl' An1osiZ'&1te ,;poiD.'bs

00"'_

" - i a i T i è r e .

6

Cen10res êrtlp"':1fs CouJ.êes

.,

Eohe11e 1 1/100 000

86 - enfin, sur la tourbe, un horizon d'environ 60 cn, d'6v~isseur vnrin-ble selon les endroits, riche en umote (4 à 10

0/00 )

et en

E

(3

0/00)'

riche

en Ca et Mg, pauvre en K.

Cet horizon est utilisa por les racines du riz il est facilonent engorgé de par la présence des horizons inf<-rieurs lors de 10 saison des pluies, surtout si le drain fonctionne I:llll. Mais on oesure 10 fragilité de cet édifice et la délicatesse uvec laquelle il faudrait y toucher. Un dûroctuee non contrelû du seuil barrant lu plaine aurait des conséquences catastrophiques en provoquant l'assèchenent de l'horizon tourbeux qui se rétracterait et deviendrait hydrophobe.

d'autant plus que l'insuffisance des canaux d'irrigation sur la rive droite et leur inexistance sur la rive gauche interdiraient de pallier ce phénonène par un apport constant d1eau lors des opérations de dr~inage après déroctnge.

Dons l'état actuel des choses, c'est-à-dire au vu de l'équilibre at-teint depuis des dizaines d'années do nise en culture, on se deoande s'il ne voudrait pus oieux Be contenter d'assurer l'évacuation correcte des eaux de

ruisselleoent et des poches d' eou situées dans les parties les plus bnsses pll1tet que de vouloir nodifier ce nilieu nu risque de le bouloverser conplètùnent.

Les collines qui bordent la plaine sont de deUL~ origines :

- soit elles dérivent d'apporeils volcaniques r0cents, CODBe celles du Sud-Est de la plaine ou du Nord-Ouest ; elles portent des sols bruns hunifèr8s appelés "andosols", à bonnes optitudes culturales;

- soit elles dérivent de la surface d'aplnnissenent internüdinire

0980-tertioire formant ce que l'on oppelle des "reliefs dérivés", cvec des pentes ossez fortes à fortes, sensibles à l'érosion et portont des sols fûrrallitiques appartonnnt aux sous-closses "rajeunis" ou "fortenent rajeunis", en général bien structurés et bien pénétrés par les racines , plus ou noins pauvres chioiquenent

~nis dotés de bonnes propriétés physiques qui les rend optes à l~ culture et à 10 réponse aux engrais.

Ln

pente est l'inconvénient nnjeur de ce type norpho-pédologique et on devra reconnnnder des anénagenents anti-~rosifsou du nains l'anéliorntion de ceux qui existent déjà et (pli. sont du type "an6nngenent en rideaux", atténuant la pente par la création de pseudo-bnnquettes •

• •

87 Enfin. on trouvera de nonbreux recouvrenents cendreux sur le sccle Dignntitique par ailleurs forteuent attnqué par les lovaka. Les pluies intenses entrainent des transports solides inportants à partir de ces lavnkn ou des parcelles de cultures Dises à nu et 001 protégées contre l'érosion et qui vie~'

nent se déposer plus bos dans ln plaine. Certains exutoires ont oté CClilllisés jusqu'au drain central Dais les brèches sont fort nonbreuses, provoq~ant ains~

la stérilisation d'un bon nonbre de rizières.

Le clioat de la région est un clinat tropical d'01ti tude dont la plu-·

~onétrie annuelle se situe entre 1.300 et 1.500 nn (1.412 à Antsirnbe) tonbnnt en 120 jours de pluie répartis surtout de novenbre à nurs (SO

%

du total D.nnuel)~

La tenpérature Doyenne est de 1605 (voir graphique nO 1).

Le ~~xinun de pluie s'observe en janvier cependant que pendant la snison dite "sèche" il toobe frôquennent un crachin qui atténue probable:lent 1[;

sécheresse de cette période.

Ln caractéristique de cette région d'altitude est la tenp~ratureassez basse que l'on observe à partir de nai jusqu'à septenbre. A la pépinière d'An-tsirabe on note 16 jours de gelée par an et la noyenne annuelle des ':::1iniue. se situe à 10°1. Ces basses tenpérntures peuvent provoquer des dégets aux cultures d'hiver et à l'arboriculture en cas de gelées tardives. Elles posent un problèn8 d'adaptation du calendrier cultural de ln riziculture et linitent certaines cultures conne le oanioc. Les précipitations orageuses tonbent avec violence et l'on sait ce que celn entraine au point de vue de l'érosion. Enfin ID grêlo est un phénonène froquent puisqu'à Antsirabe on note 25 jours de grêle par an intervenant en saison des pluies : en avril-nai, causant ninsi des dégBts aux cultures non récoltées et en octobre.

D'après

BOURGEAT

(Reconnaissance pédologique du périnètro d'Andrnnobe.

ORSTOM 1968), le déficit en onu serait plus fort que ne l'indiquent les calculs de RIQUIER d'après THORNWAITE. Ce d(~ficit dépasseroit 200 no, du 15 juin au 15 octobre et nGcessiterait une irrigntion ,our les cultures hivernales. Ceci est d'ailleurs confirné dans les faits puisqu'nuc'~leculture de contre-saison ne s'effectue s'il n'y a pns de disponibilités en eau. (graphique nO 2)

88

Pour ce qui concerne ln plnine d'Lndratsny, on peut observer un cortcÏ!' nonbre de cultures de contre-saison, en particulier de léguoes sur les colluvion~

de bos de pente situées en bordure de cEmal. En l'absence de ;lnitrisG de l'enu tH;

en l'nbsence totale d'irrigation de la rive gaucho du drnin ~rinciplll, los ropi-quages du riz ne sont possibles qu'une fois ln snison des pluies bien établie}

c'est-à-dire courant novenbre et décenbre. Les poysnns préfèreraient repiquer tet, c'est-à-dire en octobre ~our bonéficier au nnxinUI1 des DOis chauds et pour éviter les gr~les tardives d'avril.

Pour plus de coupléuents physiques sur cette petita rogioll, on se re-portera aux ouvrages suivants :

BilTTISTINI

BESAmIE

BOURGEAT

Problènes uorphologiques du Vakinnnkarotra. lfud. Revue de Géogrnphic~

N° 5.

Juillet-Décenbre

1964.

Géologio éconouique de ln préfecture d'Antsirabe. TtlDDIlDrive. Ser-vice G-dologique.

1962.

Docunent nO

156. 138 '.

ronéo.

Reconnaissance pédologique du périn8tre d'Andranobe (Région d'An-tsirabe). Tnnnnnrive. ORSTOM.

1968.

17 p. ronéo.

ZEBROWSKI et RATSIMBAZAFY : Corte pédologique au

1/100.000è

do la feuille d'An-tsirnbe (N

49).

Tananarive. ORSTOM. Â para1tre.

A N T SIR ABE PEP l NIE R E

DIAGRAMME Or-mROTHERMIQUE (Moyenne 35 ana)

Ali;. ~50om

P:

141~ mm

r -'

8 '·

300

200

100 80

60 :\0

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Groph~q<Je "1

A N T SIR ABE ECO L E

PJ.w.e 1 1.445 mm

____ .Evapo1:ranspire:tion po1:e:a:tieJ.le 965 Evapotranspiration réelle 733 300 .1\

200 •

lIIIIDJ

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RuisseJ.lement &1: drainage 712 UtiJ.isa1:ion de J.a réserve

en eau du soJ.

Cons1:i1:ution de l.a réserve en eau du doJo

Dé~ioienoe en eau 232

100 •

50 .

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.J F M o

..

D'après BOURGEAT F. Reoonnaissanoe pédologique du périmètre d' Andranobe ; 1968 - OR8TüM Tananarive.

Graphique nO ~~

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CHAPITRE II - DOIDrEES SUR LA POPUU. TION

2.1. Généralités - Localisntion de la population

La population intéressée par le plaine d IAndratsay, c'est-à-dire y culti-vant, se trouve entièrenent disseninée en une poussière de haneaux situés tout ~u­

tour des rizières et au sonnet dos collines qui fornent l'encadreuent nontagneuy..

La population totale de chnque hnneau, c'est-à-dire d'une unité éléuent:l.ire d'l:~­

bitat forné par quelques naisons, est géniralenent conprise entre :30 et200 Imbi-tants. Quelques gros haneaux totalisent 400 hobiulnts et parfois 600. Les honGouy.

sont eux-D~nes rogroupés en villoges adr1inistrntifs. Chaque cODDune rurale (ou cAnton, ces deux unités adninistratives recouvrr:nt ici la n~ne réalit6 sur le terrain) est ainsi fornée d'un certain nonbrû de vill~&es &c1c.inistratifs eux-;,~;tes

eonposés de 5 à 20 haoeaux en général.

La oultiplicité de ces hnneaux ne nous Il pas pernis d'en dresser 10 carte de localisation. Lo docunent do base, la carte IGlJ au 1/100.0001 ne suffit pns car elle porte trop peu de nons et 10 plupart du tenps les vill,'lges ndninis-tratifs n'y figurent n~oe pas.

Nous avons dénonbré 264 hr.meaux foras.nt 26 villages ad1:inistrntifs ,:u-tour de cette plaine, totalisant 17.058 habitants. Le tableau 1 rGsune ces donn:08 par contons, quartiers et villages.

•••

9'

fCANTON DE MANDRITSARA!

Quartier S~

- Antsirofony - Ireninoro - Mnndrosoa Sud - ifusonpenonrivo

4 4

2 4

14

49' 529 295 642

1.889

TOTAL NOImRE DE HilI1EAUX POPULATIOn

Canton ANTSIRABE-B.AJlLlEUE 11 2.'8'

Quartier BELAZAO 9 992

Quartier MASINANDRAlNA 82 5.789

Quartier d' ALAKiUiISY 68 1.775

Qoortier d' IAVONARIVO 80 4.290

Quartier MANDRITSARA-suD 14 1.889

TOTAL 264 17.058

Sur la carte nu 1/20.000 , nous avons porté le non des principaux villages et haneaux et les routes et pistes carrossables. Les sites d'habitat non répertori~s sont reprGsentés pcr quelques noisons isolées. Le type d'habitat en honeaux de taille Doyenne et très dispersés disporait dans la partie Ouest qui feme ln plaine pour laisser pInce à un ty})e très pnrticulier uniquenent localisé sur ln coulée-cheire qui a forné barrage. En effet. on trouve là non plus des hnncaux nais des nnisons dispersées ou tout ou plus groupées pur deux ou trois nu nilieu des chanps de cultures pluviales et de quelques rizières qui se sont adaptées à la topogrAphie bouleversée do ln cheire. Les nurettes de pierre sont nonbreusos et elles ceinturent les pnrcelles et les cours des O8i-sons (1).

...

(1) Voir à co sujet

rI.

BIED-CHARRETON: Le canton de Botnfo et le village d'im-jazafotey. In Julletin de Madagascar. Tananarive 1968. N° 265-66 ~t 2G7.110p.

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De plus, outre oes deux types d'hnbitat, on trouve 10 long do ln route Antsirobe-Betofo un grand nonbro de hnDe[\ux fornés p~r dûs a:lisons trl2-ditionnelles anciennes et des hnbitotions plus nodernes, cubiques, on cinent qui nnt6rialisent ln proxioité de ln ville et son influence.

Les densités de populntion sont très élovées pour Mndognscnr ~~r c~ntons,nous obtenons les chiffres suivants (en 1968) :

- Antsirnbe-bonlieue Bolazeo

Betafo MDndritsl1ra - Tritrivn

284

153 142 54 45

Si l'on s'en tient aux 2 quartiers Nord du cnnton de Tritrivn et ou quartier Sud de 1fundritsara, on obtient une densifé d'ensGnble approchant IGS

200 habitants nu kiloTIètre carré. Si l'on cerne 10 plaine dtAndratsny de plus près, c'est-à-dire en localisant excctenent ln totalité des 264 hauc~ux cités et en linitnnt approxioDtivenent leurs zones dû cultures, on obtiont une popu-lotion de 17.000 ind~vidus vivant sur une superficie d'environ 70 ~~, soit unG densité de ~ hab/K02.

L'inextensibilité des rizières qui, sur 70

KrJ2,

ne reprjsentont que 1.550 11..1 dont 1.350 pour ln pl!Jine, Elxpliquo le pnysnge pnrticulior de cette petite région qui nontre uno Occupo.tion des collinos extr~Lle;:ent 'Jlovéo qui laisse pruvoir que la part des cultures pluviales est nu noins égole sinon su-périeure à cello de ln rizicul turo, du noins on ce qui cone orne lcs sU}1orficics.

Sur certaines parties volcaniques le pourcentnge d'occupation du sol par

l'n,-port à la superficie totale dépns3e les 90 5~, jachères conprises. On TIesure l' inportnnce de ces chiffres élevés de densité et d'occupation du sol quand on connait la faiblesse relative de 10 technicité actuelle des paysans ; ln terre produisant juste assez ou nene pas assez pour se nourrir il est nécessaire de se procurer des ressources conpléoontaires ~illeurB pour se nourrir et des re-venus nonétcires à l'extôrieur d'un systène de production ngricolû que nous verrons assez rigide et peu différcnci~, d'où le rôle de l'l;oigI'Eltion, source d'apport nonétaire, des uétiers vnriés tournnnt autour de l'artisanr..t et du CODIlerce et enfin le r~le inportnnt de Ir ville d' Antsirabe l)~r les sale ires qu'elle verse. Nous sonrles ici au confluent de deux nondes : un Dondc rurnl

•••

95

"trnditionnel" où les échanges sont porsonnalisés et qui n dG plu~ en ~lus de difficultés à subvenir à sos besoins nlioentnires et un nondu urbain n~p~rtc­

nnnt à une écononio nonétarisée ; les Dodas d'articulation ou de desnrticulntion de ces deux Dondas règlent ln vie rurale.

2.2. Structures de la population par sexe et par

age

Nous n'avons pas fait d'enquÔte ~~rticulièreà ce sujet en raison du nonbre suffisent d'études dénographiques sur les Hautes Torres. Ev-id6~~ent, il s'ngit d'enqu~tes assez globales qui, en général, ne saisissent que les problè:.:lOS typiquenent déoographiques, laissant de côté en particulier les côt6s "activité de la populntion" et "nouvenonts nigratoires". Aussi nous ne pouvons donner de chiffres précis pour ln plaine d'Andratsay cor le tonps nous n nnnqué pour

or-~niser une vuritable enqu~t~ dénogrnphiquo significative qu'il nurnitfollu fûir~

p.sr sondage sur une base très bien établie et d' autre rr,rt nous nous sonoes heur~;és

à do telles réticences devant los questionnaires ~lC nous avons délibérénent abandonné ce type d'enquôte n'ayant pas de~~ ou trois nois ~ perdre en discus-sions pour les tcJ.R nocepter.

Nous utiliserons pour une large port los donnéos de P. FJ~NCOIS sur la population rurale de la Province de Tananarive ainsi que quelques données de l' INSRE (Enquête dénogrnphique, l1adagasco.r. 1966).

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Le tableau nO 2 indique ln rupnrti tion par sexe et p[~r âge de ln PO:JU-lotion rurale de la Province de Tananarive pour

10.000

individus.

TABLEAU 2

MASCULIN JCLASSES D'AGES !

,

, ,

, . FEMInIU

ENSEMBLE

1.054 0 - 4 1.017 2.071

829 5 - 9

813 1.642

606 10 - 14 597 1.203

346 15 - 19

3GO

706

377

20 - 24 400 777

_ _ _3_1_5_ _..;...._2_5_-_2_9_ _...:-_ _3_3_5_--.; 6_5_0_ _1

!

257 30 - 34 276 533

250

480

35 - 39

230

!

----_._--...;;...---~----_...:-_----~17

40 -

44

233 450

206 45 - 49 205 411

168 50 - 54 166 334

135 55 - 59 129 264

97

(,0 - 64

93

140

71 65 - 69 67 138

77

70

et +

74 151

4.985 5.015 10.000

soit, par grands groupes d'tiges

49.1

~b de noins de

15

ans,

46,1 5'1,

de

15

à

59

ans et

4,8 %

do

60

nns et plus. Le tntL~ de !msculinité est de

99,4 %;

on

notera ln proportion extrênenent élevée de DOins de quinze ans, prGsque l~

noltié de ln populn tion.

La pyrauide des êgas (grel1hique nO 3) ~.lontre une base extrênellent élnrgie, un creux entre

15

et

20

ans puis un rétrJcisseuent régulier qui s' ncco-1ère à p,}rtlr de

50

ans. Cette pyranide est signific:1tive d'unE; j)opulntion en forte expansion.

F R 0 VIN C E D E

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